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Chapitre 17 : Je le rends fou à ce point.

Roy : Simple à deviner c'est un ange gardien.

Lerza : Et...

Roy : Elle sera avec toi dans la même classe que toi pour te protéger.

Lerza : Oui et...

Roy : Tu la connais.

Lerza : Et comment...

Roy : C'est la forme humaine de Magistra.

Lerza : Et... attend comment ça se fait.

Roy : Et bien quand un ange veut devenir un ange gardien pour les famille Royal, on lui transmet une malédiction à partir d'un rituel.

Lerza : Pourquoi c'est une malédiction.

Roy : Parce qu'elle ne peut pas combattre avec ses pouvoirs sans se transformer une licorne.

Lerza : Mais c'est géniale.

Moa : À ma place tu ne dira pas ça.

Lerza : Et pourquoi avoir accepter.

Moa : Parce que t'étais tout innoscante et je voulais rester avec toi seulement le protocole royale interdit de fréquenter leurs peuples sous prétexte que c'est dangereux.

Lerza : MOI aussi je t'aime t'es ma femme.

Roy : Non c'est ma femme.

Lerza : Ah ça non Moa m'appartient.

Moa : Je ne suis un objet. Donc je n'appartiens à personne du moins pas à Roy.

Roy : Wé je parlais à toi Baka.

Lerza : De quoi.

Roy : Rien laisse tomber.

Lerza : Dis srx les licornes ça existent.

Roy : Dis srx les anges ça existent. «en emitant ma voie».

Lerza : Oui.

Roy : Si les anges existent alors pourquoi pas les licornes. T'es vraiment idiote ou tu le fais exprès la preuve est devant toi. «il désigne Moa de ses mains».

Lerza : N'exagère pas.

Moa : Ça existaient.

Lerza : Ça existaient?

Moa : Désormais il ne reste que moi.

Lerza : Comment ça c'est arriver.

Moa : À cause des vampires qui ont transféré une maladie mortelle aux licornes.

Lerza : Oh c'est vampire je veux les détruire.

Moa : Haha ce n'est pas un caractère d'un ange mais je suis de ton avis. «elle rit d'une manière étrange».

Roy : Moa va dans ta chambre pour te reposer.

Moa : Haha mais non je suis bien en votre compagnie.

Roy : Moa.

Moa : D'accord. «grogna-elle avant de s'éclipser».

Lerza : Pourquoi tu l'as virer.

Roy : Quand elle est stresser ou triste elle commence à rire comme une psychopathe c'est juste l'adrénaline.

Lerza : Ah ok tu peux continuer.

Roy : Bon il ne restait plus que la reine solitaire, même si elle était puissante elle savait qu'elle finirait comme son clan. Alors qu'un jour elle a rencontré Moa et elle a décidé que c'était mieux de se sacrifier pour se venger que de périr à son sort.

Lerza : Qu'elle triste histoire.

Roy : Alors petite jalouse.

Lerza : Euh.... grrr... «mon ventre qui me fout la honte le sauve la vie».

Roy : Tu as faim.

Lerza : Bah oui petit con c'est toi qui m'a distraite de mon plat.

Roy : Allez je t'invite avec Moa à un restaurant.

Lerza : Ce n'est pas la peine.

Roy : Ne t'inquiète pas, en même temps on prendra les mesures pour ton uniforme et celui de Moa.

Lerza : Ah oui je vais commencer demain.

Roy : Yep. Aller je te laisse une heure pour te préparer et changer les idées de Moa.

Lerza : Ok.

Je monte mais le problème je ne sais pas où est sa chambre. Je cherche dans toutes les chambres du deuxième étages mais rien. Fatiguer je descends et va à la chambre de Roy.
Je rentre dans sa chambre et je vois...

Fin.
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*Oh non je blagais*.

Je rentre dans sa chambre et je vois un Roy en train de regarder un album photos. Quand il me vit il le cache derrières son oreiller.

Roy : Lerza qu'est ce tu fait ici. «dit-il un peu surpris».

Lerza : Qu'est ce que tu caches. «je m'approche du lit».

Roy : Rien rien. «il me bloque le chemin».

Lerza : Dis-moi stp.

Roy : Non.

Je réfléchis un peu et une ampoule s'allume dans mon cerveau (genre j'ai trouvé une idée).
Je le regarde intensément dans ses yeux, je sentais qu'il est confus entre me regarder ou fuir mon regard.

Lerza : Tu sais t'as les beaux yeux du monde.

Roy :... «il ne repond rien occuper à réfléchir sur ce qu'il doit faire».

Je l'embrasse mais il me repousse, je suis vraiment déçu.

Roy : N'essaie même pas de me distraire.

Lerza : À plus Bébé dommage d'avoir rater cette occasion.

Je me retourne et marche en direction la porte quand je sentais une main me tirer, mais c'est que pour un tire c'était un peu abuser donc je tombe sur le lit suivis de Roy qui fait attention à ne pas mettre tous son poids.

Lerza : Pourquoi avoir fait cela.

Roy : Tu as raison je ne peux rater une occasion pareille.

Lerza : Alors qu'est ce que tu attend. «dis-je en tirant sur son col pour le rapprocher».

Roy : Tu pensais vraiment ce que tu disais tout à l'heure sur les yeux.

Lerza : Tu en penses quoi toi.

Roy : En te connaissant bien mieux je dirai que tu étais sincère.

Oui c'est vrai que j'étais sincère, je ne peux mentir car je sais qu'il me connaît bien donc c'est comme un détecteur de mensonge, je fus sortie de ma rêverie à l'instant où il m'embrasser, je le laisse faire et répond, en plus qui pourrais refuser. Il me mordille les lèvres pour que je lui laisse accès à ma bouche ce que je fis. Nos langues dansaient en synchronisation.

Ce moment est magique et me procure des choses étranges comme des frissons, et des guerriers se battaient dans mon petit ventre prêt à s'exploser.

Ne te laisse pas distraire. «me prévient ma conscience».

C'était la première fois que je suis dû même avis que ma conscience. Je continue d'une main de lui caresser ses cheveux et je profite du moment où il a les yeux fermer pour tendre mon autre bras vers l'oreiller, puis je trouve le petit carnet ou je ne sais quoi, je le sort et souris fière de moi. À bout de souffle Roy se détache de moi et sourit à son tour, n'ayant pas encore remarqué que je tiens l'objet.

Roy : Tu me rends fou Lerza. «il sourit de plus belle dont il a le secret».

Lerza : J'ai gagner.

Roy : Hein.

Je me détache de lui et me lève pour être prêt de la porte, il se lève à son tour me regardant confus. Je prends la chose qui est enfaite un album photos et le balance devant ses yeux à droites puis à gauche.

Roy : Coquine.

Lerza : Mais intelligente.

Je trouve ça bizarre qu'il reste à sa place. Bon bah ten pis pour lui, je glisse ma main vers la poignée de la porte mais je découvre que celle-ci était fermer.

Griller. me fit remarquer ma conscience.

Ah je vois c'est pour cela qu'il n'a pas bougé d'un poil.

Roy : Tu croyais pourvoir me distraire je savais ce que tu completer.

Lerza : Malin va. Alors pourquoi m'avoir laisser essayer alors que c'était peine perdu.

Roy : Comme je te l'ai dit je ne peux rater une occasion pareille surtout si il s'agit de toi.

Lerza : Ah bah maintenant y en a d'autre.

Roy : T'es une grosse jalouse. J'ai dit cela. Bah si c'était une autre je l'aurai pas laisser tenté même entrer dans ma chambre.

Lerza : Je te crois. «dis-je ironiquement».

Roy : Je te jure sur ta tête. Rassurer.

Lerza : Mouais...attend... pourquoi c'est ma tête qui prend tous.

Roy : Bah tu vois il ne t'es rien arriver. Contente.

Lerza : Surtout que je vais regarder ses photos. Qu'est ça pourra bien être, des photos de toi petit embarrassant hihihi.

Roy : Pour l'amour de dieu ne l'ouvre pas. «il essaye de me l'arracher mais je l'évite à chaque fois».

Lerza : Hahaha noooon je suis très curieuse. «je ris sûrement l'adrénaline».

Roy : Si tu l'ouvre je ne vais pas t'ouvrir pas la porte. «dit-il d'un regard menaçant».

Lerza : Bah ten pis ça vaut le coup de tenter.

Je l'ouvre et découvre des photos, pas de simple photos. Je fis les grands yeux quand je découvre que se sont des photos de moi. Depuis la naissance jusqu'à la dernière année avec mes parents, ça fit remonter un tas d'émotions que je cache en mordant ma joue droite pour ne pas laisser la tristesse prendre le dessus.

Roy : Lerza?

Lerza : Hum.

Roy : Dsl d'avoir remémorer tant de souvenirs. «dit-il en se levant».

Lerza : Tkt. Juste comment t'as eu ça.

Roy : Tu sais avec ton père on avait décidé que tu devras vivre avec moi pour ta sécurité. Mais hélas il est mort.

Lerza : Ouais c'est vrai. Mai si il avait accepté donc tu es une personne bien.

Roy : Tu doutes encore.

Lerza : Je ne peux plus te le cacher mais j'ai peur de toi.

Roy : T'as peur de moi. Genre maintenant. «il est maintenant en face de moi».

Lerza : Non t'es devenu une autre personne mais... «je baisse la tête alors que les mots ne veulent pas sortir».

Roy : Mais? «il me remonte le menton d'une main pour me regarder dans mes yeux».

Lerza : Je ne veux pas que tu redeviens la personne que j'ai rencontré pour la première fois dans le café de Blanca.

Roy : Ne t'inquiète pas, puisque tu restais avec moi alors n'est pas peur car cette personne ne reviendra jamais.

Lerza : Jamais.

Roy : Ouais. Mais en parlant de Blanca je ne l'ai pas trouvé.

Lerza : Ah ça c'est réglé.

Roy : Tu l'as tuer. Brûler. Ou bien enterrer vivante. Étouffer avec une corde.

Lerza : Mais d'où tu as c'est idées de psychopathe.

Roy : Enfaite c'est ce que je voulais lui faire. Mais j'étais un peu confus de savoir qu'elle moyen sera bon.

Lerza : Psychopathe va.

Roy : Allez dis-moi.

Lerza : Montre moi la chambre de Moa pour la sortie.

Roy : Ah oui. C'est au toit elle aime regarder les étoiles la nuit.

Lerza : Merci. Roy?

Roy : Tu ne peux plus te passer de moi.

Lerza : T'es vraiment con. Je veux juste que tu m'ouvre la porte.

Roy : Ah d'accord. Je viendrai avec toi puisque je suis prêt et toi de même.

Lerza : Si tu veux.

Il ouvre la porte grâce à la clé qui était dans sa poche de son jean.
C'était vraiment fatiguant de monter.

Lerza : Stp crée un portail pour nous téléporter jusqu'à sa chambre.

Roy : Non.

Je crée moi même le portail et je me retrouve dans la chambre de Moa, elle s'était endormie donc je sort et je me trouve devant un Roy un peu énervé.
Il allait parler quand je met mon doigt devant sa bouche «pas maintenant tu vas la réveiller». Il acquis et me suis cette fois descendre était un jeu d'enfant.

Aucun de nous deux n'a décroché un seul mot, il monte dans sa voiture et je monte côté passager puis démarre. Et c'est là qu'il décide de couper le silence.

Roy : Dis moi comment t'as fait pour faire ce portail.

Lerza : C'est comme ça.

Roy : Lerza je t'es cache quelque chose.

Lerza : Quoi donc.

Roy : Que tu es un ange, alors tes parents t'ont scellé pour que les vampires ne te trouves pas.

Lerza : Alors pourquoi avoir fait ce rituel.

Roy : C'est juste pour annuler le sceau.

Lerza : Je savais qu'il y avait des choses flou dans mes souvenirs.

Roy : Et tu ne trouve pas ça bizarre.

Lerza : Pourquoi.

Roy : Je ne sais pas tu utilise des pouvoirs qui ne sont pas les tiens. Ce sont comme ceux d'un démon et si ça continu comme ça tu ne vas jamais apprendre à te servir de tes propres pouvoirs.

Lerza : Et comment compte tu t'y faire.

Roy : J'en sais rien. Tiens on est arrivé on en parlera plus tard ok.

Lerza : Comme tu veux.

Éclipse de la sortie.

C'était vraiment trop cool, je décide de voir Moa car je lui ai apporter un cadeau.

Toc toc toc.

Moa : Entrer.

Lerza : C'est moi.

J'entre et m'assis sur le lit et la regarde elle était vraiment triste mais bizarrement elle n'a pas l'air d'avoir pleurer. Elle me ressemble beaucoup car à n'importe quel moment aucune larme ne sort de mes yeux. Car je dois être forte comme me l'a conseiller toujours ma mère.

Lerza : Cv.

Moa : Ouais alors t'as passer une bonne journée.

Lerza : Plus ou moins.

Moa : Bien. Qu'est ce qui t'amène.

Lerza : J'ai apporté des chips et des bonbons pour passer une soirée entre fille car pour moi ça datte pour longtemps.

Moa : Ah ouais et bien ça sera ma première pyjamas party.

Lerza : Srx.

Moa : Au plus point du monde.

Lerza : Bon alors tiens.

Je lui tends un colliers avec une licorne comme pendentif et il y a marqué "Magistra" dernière la licorne.

Moa : Oh c'est trop beau mais il ne fallait pas.

Lerza : Bien sûr que si.

Moa : Merci. «elle me prend dans ses bras».

Lerza : Alors tu veux regarder quoi.

Moa : Ce que tu veux.

Lerza : Mais dis-moi tu aime les série policières.

Moa : Ouias surtout quand il y a un énorme meurtre.

Lerza : D'accord.

J'allume la télé puis met sur la chaîne TF1, où il y avait R.I.S Police Scientifique.
Après quelque minute le sommeil prend le dessus et on s'endort devant la télé.

Le lendemain.
On se réveille se prépare et met nos uniforme, c'était vraiment beau.
On se rendit à l'académie et note le cours puis prends ce qui nous avaient manqué.

Éclipse de six jours.
On était dimanche. On prenait notre déjeuner avec Roy puisque Moa est aller faire les magasins vraiment bizarre cette fille.

Lerza : Roy?

Roy : Hum.

Lerza : Je peux te demander un truc important. Une faveure pour être précis.

Roy : Oui je t'écoute.

Lerza :....

P.D.V.de l'auteur.
Alors que veut Lerza.
La suite pour bientôt (comme dab).

Le média représente Magistra.


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