Chapitre 16 : Pourquoi je suis jalouse.
Je me réveille à midi et dire que personne n'est venu me réveiller.
Je descends comme une tortue je ne voulais pas le croiser, je me dirige vers la cuisine le seul problème il faut passer par la chambre de Roy. Moi qui désirais ne pas le voir car je sais que je ne vais pas assumer.
Après deux minute de réflexion je décide de passer discrètement et puis je ne vais pas crever de faim moi.
Heureusement il ne m'a pas remarquée, une odeur appétissante provient de la cuisine, je me précipite en voyant que se sont des lasagnes. Je réchauffe puis prend un morceau dans une assiette.
Je m'assis sur une chaise et pose l'assiette puis ouvre la porte réfrigérateur puis en sort une bouteille de jus d'orange. Je ferme d'une main le réfrigérateur et de l'autre je tiens la bouteille, je pose cette dernière sur la table et cherche un verre.
Et puis merde je pus l'apercevoir sur l'une des étagères en bois tout en haut. Étant petite je trouve du mal à y accéder donc je prend une chaise et je monte dessus ça rime à rien j'y arrive pas. Je me soulève sur les pointes des pieds j'y été presque jusqu'à j'entende des raclements de gorge, surprise je perd l'équilibre je ferme les yeux pour ne pas voir le choc.
Seconde après seconde et toujours pas d'impact sur le sol mais je sens deux bras musclés m'entouraient la taille. J'ouvre un œil puis l'autre et je vois un Roy qui me regarde bizarrement.
Roy : Et bien tu essaie de m'éviter.
Lerza : Non c'est juste que je croyais que tu avais besoin d'être seul.
Roy : Ah bon.
Je sens la chaise craquer sous notre bois.
Lerza : Stp on descend.
Roy : T'es qu'une gamine.
Lerza : La gamine t'emmerde.
Roy : Lerza.
Lerza : Bon d'accord.
Il descend et me tend sa main que je saisie mais il me pousse vers lui. Une main tient mon bras l'autre par la taille et nos visage sont à quelque millimètres sans me rendre compte je rougie mais ça m'apporter peu car j'étais un peu choqué de voir des traits de rougeur sur le visage de Roy.
Lerza : Oh tu rougi t'es trop chou. «dis-je en lui pressant une joue de ma main libre».
Roy : Oh arrête avec tes mots doux ça m'énerve.
Lerza : Mmm.
J'était déjà dans mon monde, de ses yeux gris comme un gouffre sans fin. Je descends mon regard jusqu'à sa petite bouche bien dessiner, ses lèvres m'appelle je veux les croquer.
Roy : Hé Lerza arrête de te lécher les lèvres je vais te sauter dessus.
Lerza : Tes lèvre je veux les bouffer.
Je ne sais ce qui m'arrive, toute innocence est partie laissant place à une autre Lerza, je ne me connaissait pas à moi même je voulais juste avoir ses lèvres contre les miennes.
Roy : Lerza cv.
Lerza : J'en sais rien je me sens bizarre.
Il continu à me regarder en mordant sa lèvre inférieur, je veux bien la lui mordre moi aussi je commence à l'embrasser il répond direct alors que lui me plaque contre le mur, j'enroule les pieds autour de ma taille pour approfondir le baiser en espace d'un instant j'oublie tous mes soucis... les anges... les démons... les vampires qui cherchent à me tuer, j'oublie tous malheusement cet instant ne dure pas pour longtemps, ce moment magique interrompu par une voie féminine qui m'est inconnu.
...??? : Je vous dérange peut-être.
Je me décolle de Roy et me cache derrière lui car j'ai vraiment honte de moi.
Roy : Non non bébé. «il lui lance un clin d'œil».
C'est qui elle et puis pourquoi il l'a surnome "bébé".
Lerza : C'est qui elle. «dis-je sèchement et en me plaçant près de Roy».
...??? : Trésor pourquoi tu m'as remplacé avec.
Bam un vent pour toi.
Roy : Tkt c'est juste que j'ai pas pu résister. Puis t'as tes règles donc on peut pas.
Le connard il a abuser de moi, certe c'est moi qui l'est provoqué mais ce n'est une raison de me vouloir juste par plaisir.
Lerza : Connard tu me dégoûte.
Je m'apprete à partir quand il me barre la route.
Lerza : Laisse moi et va chercher des plans de cul pour ton plaisir.
Roy et...??? : HaHahahaha.
Lerza : Qu'est ce qui vous fait rire bande d'allumette en chaleur.
Roy : Bien jouer Moa.
Moa : Ouais.
Ils se tchequent un sourire complice sur leurs visages que je veux écraser et bruler jusqu'à ce que le moindre os disparaisse.
Lerza : Quoi.
Roy : Regarde toi tu petes la jalousie.
Moa : Ta marcher dans le jeu. T'as vraiment cru ça venant de Roy.
Lerza : Je ne pète rien et puis qu'il fait ce qu'il veut j'en ai rien à foutre.
Roy : T'es sûr. «me défiant du regard».
Lerza : Sûr et certaine.
Roy : Donc ça ne te fera rien si j'embrasse Moa.
Lerza : Non fait ce que tu veux.
Enfaite ça me fera beaucoup de chose mais je suis trop têtu pour ne pas perdre un défi.
Roy : Bon d'accord.
Le connard je croyais qu'il plaisantait mais apparemment non. Et puis trop de fierté pour m'y opposer.
Il la colle au mur et s'approche d'elle et cette dernière place ses mains dans son cou et lui par la taille et la rapproche, leurs visages n'étaient qu'à quelque centimètre dsl mais j'en peux plus.
Lerza : Stooop.
Putain mais il est sourd ou quoi. Parce qu'il ne s'arrête pas bref il continu son petit fuking de jeu. Oh qu'il aille crever. À peine leurs lèvres allaient s'effleurer que je crie.
Lerza : Sayez je l'avoue je suis jalouse. Et puis continu ton petit jeu j'en ai rien à fouttre. Laisse moi tranquille.
Roy : Je ne peux pas.
Lerza : Pourquoi.
Roy : Je ne veux tout simplement pas.
Lerza : T'es vraiment bizarre comme mec.
Roy : Toi aussi. C'est derniers jours je n'arrive pas te comprendre tu disparais comme hier ou t'as l'ai tout le temps pensive. Que cache tu Lerza.
Lerza : Rien.
Roy : Alors dis-moi où était tu hier.
Mon cerveau tourne, je réfléchis et puis si il voulait me faire chier en avouant que je suis jalouse, pourquoi ne pas le faire à mon tour et j'ai bien des idées en place.
Lerza : Enfaite c'est vraiment embarrassant.
Roy : Parle.
Lerza : Ah c'est juste que je voulais juste me balader un peu prendre l'air et puis j'ai rencontré un mec de ouf vraiment bg puis on s'est bien amusé et il m'a embrassé j'ai sentis des sensations bizarre et je crois que j'en suis amoureux, après tout il y a l'histoire de l'amour du premier regard et...
Roy : T'ES SERIEUSE MOI QUI ESSAYAIS D'ÊTRE SYMPATIQUE ET TOI QUI CHERCHE AUTRE PART, ET QU'EST CE QUE TU FAIS DE MOI QUI T'ES ATTENDU 12 ANS, DEUZE PUTAIN D'ANNÉE....
Lerza : «je le coupe» c'est qui, qui se foutais de ma gueule pour me rendre jalouse.
Roy : OUAIS ET ALORS. «il réfléchi un instant», oh non ne me dis pas que c'était juste une comédie pour me rendre la pareil.
Lerza : Tu croyais vraiment que je vais chercher ailleur.
Roy : Peu importe tu me rassure.
Moa : Vous êtes vraiment des cons, y a pas un qui remplace l'autre.
Roy : Toi ne fait pas ta maligne la saint nitouche.
Moa : La vierge elle t'emmerde.
Lerza : Attendez un peu et dites c'est qui Moa.
Roy : Simple à deviner c'est....
P.D.V.de l'auteur.
Alors c'est qui??
Il ne reste que quelque chapitre avant la fin.
Le média représente Moa.
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