
C H A P I T R E 5
« Yu laik ai lukot. Em laik ai lukot. »
Quelques jours plus tard..
Je suis avec Raven à l'intérieur du laboratoire de mécanique. Sur les étagères pleins de bout de ferrailles tout droit sorties des autres sections de leurs navettes sont trier par ordres de grandeurs. Il doit y en avoir des centaines, voir plus. C'est assez impressionnant. Je continues d'observer attentivement tout le contenue de la pièce. « Tu as trier tous ça toute seule ? » Raven me regarde en souriant. « Bien sûr que oui » Je me mets à rire. «Ça ne m'étonne même pas de toi en faite. » Raven est l'une des rares personnes ici qui a su m'apprécier rapidement. Malgré sa mésaventure avec les natifs auparavant elle a su faire la part des choses. C'est ce que j'apprécie chez elle.
« Mia, vient là. » Je m'approche d'elle. Elle a toute mon intention. « Est-ce-que tu peux tenir ce fil en place s'il te plaît ? Il faut que je le soude. » Je pose mon doigt de la même façon qu'elle me l'a indiqué. Je regarde les composants du boîtier qu'elle repart. « Si tu passe ce fil là dedans ? Ça ne fonctionnerait pas mieux. Puis lui je l'aurais soudé avec ce bout là. » Elle me regarde et me lache un grand sourire. « On dirait que tu as fais ça toute ta vie. » Si elle savait. Je lui souris.
Par la fenêtre de la pièce, mon regard est attiré. Il y a un attroupement devant les grilles du camp. Raven et moi on se regardes, et décide de sortir dehors voir ce qui ce passe. On s'intègre permis le groupe et s'excuse pour avancer dans la foule. J'aperçois des natifs de l'autre côté de la grille. Clarke, Kane, Bellamy et quelques gardes sont devant tout le groupe. Raven et moi rejoignons Bellamy. « Des Azgeda ? Que font-ils ici ? »
« Je n'en n'ai aucune idée. » Je regarde Raven assez intriguer. « Ouvrez les grilles ! » Les gardes exécutent les ordres de Clarke. Les trois natifs entre. « Roan kom Azgeda. » Clarke lui fait signe d'avancer. Ils ont l'air de ce connaître. Il jète un œil derrière Clarke, il me regarde. « Kikakeyron. » C'est tout ce qu'il avait prononcé. Cela faisait bien longtemps que l'on ne m'avait pas appeler comme cela. Clarke se retourne vers moi. Je baisse les yeux et fait mine de pas comprendre. Bellamy observe la scène sans rien dire. Clarke accompagne Roan a l'intérieur. « Bellamy avec moi. » Bellamy me regarde. « Je reviens. » Il me touche l'épaule et s'en va.
« Retournez à vos poste. » Tout le monde exécutent les ordres de Kane. Ils n'avaient pas l'air plus intrigués que cela. Je ne pouvais pas rester ici à rien faire alors qu'un Azgeda était en train de négocier ici. . « De quoi vont-ils parler à ton avis ? » Raven me demande. J'hausse les épaules. « Je n'en ai aucune idée. Mais pas pour longtemps. » Je m'apprêtais à partir mais Raven me tenait le bras. Je la regarde. « Ou est-ce que tu vas? »
« Il faut que je sache ce qu'il se dit. »
« Attend la fin, et on demandera à Bellamy. » Je rigole et fait en sorte qu'elle lache mon bras. « Parce que tu crois qu'il nous dira quoi que ce soit ? » Elle hausse les sourcils et sourit. Elle semble assez confiante. « A moi non, mais par contre... à toi, je pense qu'il y a moyen. »
« C'est pas vrai. » je lève les yeux au ciel. Raven se mets à rire. « Allez Mia, avoue le ? »
« Tu veux que j'avoue quoi ? »
« Tu peux demander n'importe quoi à Bellamy il te le dira, ou même fera ce que tu lui demandes. » Elle sourit.
« Peut-être. » J'émets un petit sourire. « Mais ce n'est pas une raison pour en profiter. » Elle soupire. « Il faut que je sache. »
« Tu compte faire quoi si tu refuse de demander à Bellamy ? »
« Il y a des conduits au-dessus des couloirs et de la salle de réunion, n'est ce pas ? » Raven comprend mon idée. « Alors non. Non non. Tu n'y penses même pas c'est bien trop risqué. »
« De toute façon ce n'est pas toi qui m'en empêchera. » Je pars. « Mia ! Mia non ! J'irais leurs dire. » Je me retourne. « Eh bien vas-y. Mais je sais que tu ne le fera pas. »
Je me retourne et continue mon chemin. Je n'entend aucune réponse de la par de Raven. Je sais qu'elle ne leur dira jamais. Je suis bien la seule qui sache réellement la comprendre ici, tout comme elle sait me comprendre. Jamais elle ne perdrait l'opportunité de se sentir mieux et de pouvoir communiquer en toute liberté. Je le sais. C'est mon amie. Amie. Cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu d'amis. Ça me réchauffe le cœur rien que d'y pensé. J'avais oublier cette sensation, la sensation d'avoir des amis proches sur qui tu peux compter.
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