Kane est assit en haut des escaliers tu laboratoire. Il divague entre rêve et réalité. Son regard est tourné vers Raven a l'œuvre mais il n'est pas vraiment concentré sur ce qu'elle fait. Il repense à plein de chose. Plein de chose qu'il a raté, qu'il aurait dû faire autrement. Il est inquiet. Bellamy a ramené Mia, il y a quelques jours déjà, mais elle n'a pas repris conscience depuis. Abby ne sait pas vraiment pourquoi, elle pense juste qu'elle a besoin de repos et de temps. Rien de bien grave, ses blessures ne lui seront pas fatal. De quoi rassurer tout le monde.

Kane se relève et décide de remonter voir comment aller sa fille. Il traverse les pièce de la maison jusqu'à la chambre de Mia. Il s'apprêtait à entrer lorsque la porte s'ouvre. Il tombe nez à nez avec Bellamy. « Alors ? » Bellamy ne répond pas, il le fusille du regard. Kane se recule et laisse Bellamy sortir et refermer la porte.

« Comment va t'elle ? Est-ce-que je peux... » Bellamy lui bloque le passage. « Non, vous ne pouvez pas. »

« Mais... Pourquoi ? Bellamy s'il te plaît, c'est ma fille. »

« Une fille qui vous a totalement désintéressé durant ces 26 dernières années. » Bellamy sert les poings.

« C'est faux. » Réplique Marcus. « Je la pensais morte, je ne pensais pas qu'elle serait encore en vie et en plus sur Terre. » Bellamy ne semble toujours pas convaincu, il croise les bras sur son torse et monte la garde. Il n'est pas décidé à bouger. Kane capitule. « Dis-moi au moins, comment elle va ? »

« Elle se repose. » Répond simplement Bellamy. Kane hoche d'un coup de tête et s'assoit contre le mur, la tête entre les mains. Il pousse un long soupire. « Qu'est-ce que j'ai loupé, Bellamy ? » Il ne répond pas, mais s'assoit contre la porte à son tour. Il fixe le sol. « J'en sais rien, je pense à peu près tout. » Kane pouffe de rire. « Ça au moins c'est direct. »

« J'ai pas envie de faire de détour avec vous, Kane. J'ai trouvé le carnet de Marie dans les affaires de Mia. » Kane relève la tête d'un coup. « Marie... Marie... Je n'avais pas entendu ce nom depuis bien des années. »

« Je sais que c'était votre femme, et la mère de Mia. Lorsqu'elle a décidé de laisser votre fille a Becca Pramheda c'était une idée purement réfléchit. Croyez moi. Vous auriez nuit à la vie de votre fille et elle n'aurait pas mérité ça. »

« Qu'est-ce-que Marie a écrit dans ce carnet ? »

« Sur vous ? » Kane affirme. « Elle vous aimez. Énormément, mais vous êtes devenu quelqu'un de mauvais et sûrement corrompus. Mais elle vous aimez, et elle n'a jamais cessé d'éprouver quelconque sentiment pour vous. Cela lui a coûté la vie. » Il ne répond pas et regarde le sol, il laisse apparaître un léger sourire. « Je l'aimais aussi. C'était une femme merveilleuse, belle, aimante, souriante, avec un fort caractère et beaucoup de courage. Mia tient tous se bons côtés d'elle. » Kane se relève. « Marcus ? »

« Oui, Bellamy ? »

« Vous n'êtes plus cette personne. Alors continuez sur cette voie, peut-être que Mia apprendra à vous pardonner. » Il affirme puis s'apprête à partir mais se tourne vers Bellamy. « Ce qui se passé entre Mia et toi ne me regarde pas, mais... ne gâche pas tout, ne fais pas comme moi. Garde là au près de toi, même si elle te repousse. Soit là pour elle, fait ce que je n'ai jamais fait pour elle. » Bellamy sourit. « Jamais je ne pourrais faire ce qu'un père est censé faire. » Kane réfléchit. « Aime là, Bellamy. » Il hoche de la tête. Kane s'en va. Bellamy reste seul, appuyé contre la porte.

Il est pensif. Il est inquiet. Il repense a sa soeur, qu'il a enfin laissé vivre. Elle était sa moitié jusqu'a présent, il l'avait toujours protégé et dans un moment de colère, il a prit conscience des choses. Il l'avait envoyé à la mort. Il ne savait pas s'il la reverrait un jour, il s'en voulait. Mais ce qui est fait est fait, il ne pouvait pas revenir en arrière. Sa priorité était devenu Mia.

Elle ouvrit un œil, puis l'autre. Sa tête lui tournée. Mais elle était réveillé. Mia était de retour. Elle se frotte les yeux puis se redresse, elle était au laboratoire. Il n'y avait personne dans la pièce, mise à par une cause. La caisse que Roan avait donné à Bellamy pour la soigner. Elle se relève difficilement, son ventre lui faisait mal, et le reste de son corps de même. Elle s'approche de la caisse et fouille instinctivement dedans. Une lettre se trouve au fond. Elle l'ouvre : « Auda riskines, fleimon-de kigon. Medo gyon klin, ba keyron ste yuj. Yu gonplei nou ste odon, ai lukot. —Roan »

À travers les ténèbres, la flamme perdure. Le corps meurt, l'esprit reste fort. Ton combat n'est pas terminée, mon amie. —Roan

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j'ai fais une « critique » sur la saison 5 de the 100 sur mon rant book, je vous invites à y aller. il y a des spoils attention.

donnez-moi vos avis s'il vous plaît, ça me manque.