
C H A P I T R E 27
26 ans plutôt...
La terre. Elle était magnifique vu de l'espace. Avec ses couleurs vives, du bleu, du vert, du blanc, un peu de marron par-ci par-là. Une œuvre d'art vu d'en haut. Cela faisait des années que Marie avait pour habitude de se lever à l'aube pour voir le soleil se coucher sur l'autre partie de la terre. Elle aimait ça, c'était sûrement la plus belle choses qu'elle avait vu. Cela l'inspirait.
Assise devant la fenêtre, Marie caressait son ventre rond. Comme si elle voulait rassurer le petit être humain qui grandissait à l'intérieur d'elle. « Petite Ana, je te souhaite d'en voir des milliers de coucher de soleil. C'est merveilleux. Comme tu le sera. Merveilleuse tu sera ma fille. » Mais les pas rythmés et agités des gardes ne faisait que gâcher se moment de calme. Cela ne faisait que lui rappeler la guerre qui éclater entre les scientifiques et Polaris et le conseil qui dirigeait l'Arche. Les conflits étaient de plus en plus fréquents, de nombreux scientifiques étaient réduit au silence ou bien envoyé à la dérive s'ils parlaient. Ceci était le côté obscur de la vie sur l'Arche.
Pourquoi une guerre aller finir par éclater ? Car ils savaient. Les scientifiques de la station Polaris en savaient beaucoup trop. La plus part était des anarchistes, le chaos c'était tout ce qu'ils voulaient. Ils était puissant, ils avaient de grande connaissance, et aussi de grands moyens pour mené leurs projets à bien. Leur instabilités faisait peur au conseil et au Chancelier.
Une main chaude et délicate vient de poser sur l'épaule de Marie. Elle n'avait pas besoin de tourner la tête pour savoir qui était cette personne. Derrière elle, des cris. Des cris stridents se faisaient entendre. « Lâchez-moi ! Vous nous tueraient tous ! Ce ne sont pas nous les criminels ! Lâchez-moi ! » Une femme, une scientifique de Polaris qui allait sûrement se faire envoyer à la dérive. « Marie, tu devrais rentrer chez nous te reposer. Sortir te promener aussi près du terme de ta grossesse n'est sûrement pas une bonne idée. » Marie contempler une dernière fois la terre avant de relever et de retirer brusquement la main posé sur son épaule. Elle fait face à cet homme. « Ne te sers pas de ma grossesse comme excuse pour cacher les atrocités que tu commets dans la partie de l'Arche où la Terre est la plus belle. »
« Marie... » Elle se reculait lentement. « S'il te plaît Marcus. Laisse moi. » Marie se retourne et continue son chemin. Marcus lui n'avait pas bougé. Il fixait la femme qu'il aimait s'en aller, loin de lui.
Pourtant cela n'as pas toujours était aussi froid entre eux. Avant, ils s'aimaient, ils étaient heureux, avaient des projets, regardaient le coucher de soleil ensemble. Lorsqu'ils on décidés d'avoir un enfant, ils étaient tellement amoureux. Fou l'un de l'autre. Comme tout couple, ils se chamaillaient pour le prénom de leurs enfant. Mais ils avaient finit part tomber d'accord sur : Annabeth si c'était une petite fille et : Louis pour un petit garçon. Et ce fut Annabeth. La petite Ana avait été construit dans le plus merveilleux des amours, mais malheureusement elle fut née dans le chaos.
Le jour la guerre éclata au sein de l'Arche, Anabeth était déjà née depuis quelques mois déjà. Pas dans le meilleur des mondes. La relation entre Marcus et Marie s'était envenimée, à cause d'une scientifique. Marie s'était liée d'amitié avec une scientifique de Polaris. Becca. Ses idées allaient dans le sens contraires de celle de Marcus. Ils étaient bel et bien séparés. Marie ne voulait plus que Marcus approche leurs petite fille, ce qui avait coupé tout lien.
Puis, ce jour là. Le jour où l'anarchie total régnait au sein de l'Arche. Marie n'avait qu'une idée en tête, sauver sa fille. Elle ne voulait pas que Kane brouille la vie de sa fille, elle ne voulait pas que Anabeth grandisse avec ces atrocités autour d'elle. Becca lui avait parlé de son plan d'urgence si les scientifiques ne s'en sortaient pas vivant. Marie avait prévu que sa fille fasse partie de se plan d'urgence.
Marie courrait à travers les couloirs métalliques de l'Arche. Anabeth âgée de quelques mois était dans ces bras, contre sa poitrine. Elle pleurait, ses pleures résonnait dans tout les couloirs. « Shhh... calme toi ma chérie, tout ira bien... » Elle essayait tant bien que mal de calmer sa fille. Elle lui disait que tout irait bien même si elle savait que ce n'était pas vrai. Rien n'irait bien à présent. « Marie ! Arrête toi ! Marie ! » Ils l'avaient rattrapés. « Eh merde. Attrapez là ! » Marie avait joué un rôle bien plus important dans cette guerre, et Kane l'avait découvert. Il savait aussi que si il la laissait faire il ne reverrait jamais sa fille.
Elle était presque arrivait. « Becca ! Ouvre le sasse ! » La scientifique s'exécute. Les portes s'ouvraient, Marie continuait de courir jusqu'à la station Polaris. Becca la rejoint. Marie baisse la tête vers sa fille. Elle avait arrêté de pleurait. « Oh mon bébé. » Des larmes dégringoler de ses joues, mais un magnifique sourire rayonnait sur son visage. « Ma petite fille. Je t'aime tellement mon enfant. » Un carnet était coincé dans la couverture avec sa fille. Elle lui caresse le visage. « Marie, nous n'avons plus le temps. Entre avec nous. » Marie tend sa fille à Becca qui l'a saisi et la tire contre elle. « Prend soin d'elle, s'il te plaît. Becca, prends soin de ma fille. » Kane et les gardes arrivèrent. « Marie ne bouge plus. » Elle se tourne vers Becca. « Vas-y. Dis-lui que je l'aime. »
« Non... Marie ! » Elle appuie sur le bouton, Becca entre dans la station Polaris. Les portes du sasse se fermèrent de chaque côté. « Non non non ! Qu'est-ce que tu fais ? Non ? Ouvre ça, s'il te plaît ouvre ça ! » Les portes sont closent. Impossible des ouvrirent de l'extérieur. Kane cogne contre la paroi. « Ouvre cette putain de porte ! Qu'est ce qui te prend ?! Revient avec moi. Je t'en supplie. »
« Je suis désolée Marcus. »
« Non non, tu n'es pas désolée. S'il te plaît, aller ouvre cette porte. » Il se rend compte que c'est la fin. « Marie non.. s'il te plaît. »
« Au revoir Marcus, je t'aimais. J'étais folle amoureuse de toi. Malgré que tu n'es pas toujours était présent pour nous. Je t'aimais. » Des larmes dégringolait le long du visage de Marie. « Et... et notre fille ? Qu'adviendra-t-elle ? Tu y a pensé..? »
« Becca, allez-vous en. Sauve ma fille. » La décompression se fait, la navette se détache. Les cris de Kane, Marie à la dérive.
Il venait de perdre sa fille et sa femme.
J'ai fais un petit remake de l'histoire de l'Arche à ma sauce, pardon pour ceux à qui ça ne plaira pas.
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