Je sais que je ne devrais pas. Je sais que je ne devrais pas. Mais je ne t'ai jamais parlé de mon esprit de contradiction ? Et bien, vu que mon égo est inexistant ; l'esprit de contradiction compense et donc par conséquent en devient sur-dimensionné. Quel dommage ! Quoique... mais bref. Maintenant, c'est la fin. La vraie ; la "belle". J'aurais aimé faire une de ces fins clichées où l'épilogue se résume à "À force de courage, de patience et d'efforts de la part de Fatima ; Marie tomba amoureuse d'elle. Elles vécurent heureuses ; se marièrent grâce à la loi du 23 avril 2013 pour le mariage pour tous et adoptèrent beaucoup d'enfants ; quatre chiens ; deux chats ; un hamster ; deux poissons rouges ; un cheval et un âne. Pour compléter toute cette perfection clichée insupportable, elles réussirent leur vie et moururent dans leur sommeil, non pas d'une maladie tel que le cancer ; la grippe ou autre qui les auraient faites souffrir durant leurs dernières heures". J'aurais aimé une fin heureuse. Mais non. Pas mar psychopathisme, mais parce qu'un auteur se doit de relater les faits tels quels ; pareils à Lemony Snicket racontant dans les moindres détails les Aventures Désastreuses des Orphelins Baudelaires, ou Alexandre Dumas qui raconta les aventures extraordinaires d'Arthos, Porthos et Aramis. Autrement dit ; ça ne sera ni une fin heureuse, ni un remake de Hunger Games. Et non ! C'est triste ? Quand on y pense, pas tant que ça. Mais il est temps de passer à l'histoire :

depuis quelques temps, tu est... courtoise ? Polie ? Pas que tu ne l'ai pas été avant, mais cette politesse un peu plus "attentionnée" était... touchante. Ces petits sourires de temps à autres qui me donnaient espoirs quand il n'y avait rien à imaginer. Ces petites "mimiques" on va dire qui changeait peu à peu. Puis cette lueur dans tes yeux, celle du dégoût, qui est presque disparue. Presque, car ce n'est plus vraiment du dégoût, mais plutôt du malaise. Et oui... c'est... je ne sais pas. Tout ça pour en venir à l'actualité ( on dirait un journal télé ( rime involontaire again ) non ? ). Tu es... normale. Arg, ce mot. Mais ce n'est pas le moment de s'énerver. Quoique... ouais nan, enfaite nan. Tu es donc "normale", puisque je ne suis plus une ennemie mais que je ne suis pas une amie. On va dire que je suis la Suisse, je suis neutre. Mais c'est mieux que rien. Il me reste l'espoir qu'un jour on redeviendra ce qu'on était avant : potes.

HEY ! Je pleure. Je peux paaaaaaaas avandonneeeeeeeer cette histooooooooiiiiiireeeeeeeeeeeuuuuuuuu !!!!!!! Nom d'une pipe en bois, c'est... c'est... je me sens mal. Je ne peux pas me sentir bien. J'abandonne mes personnages, mes chapitres, cette histoire... j'en peux plus. Mais bon. Il faut ce qu'il faut hein ! Bon ben je poste.

ALLEZ SCHUSS !!!!🏳️‍🌈🏳️‍🌈🏳️‍🌈