04 octobre 2018
Encore une date qui aurait pût être différente. Je parlais avec Coco, et je parlais... de si oui ou non, je devais te montrer tout ce que j'écris. Mais je ne peux pas inverser le temps, je ne peux pas réparer les pots brisés, et je ne peux pas vivre ne dehors du temps pour que tout redevienne comme avant. Je ne peux qu'essayer de réparer mes bêtises, et de te montrer que je ne suis pas une psychopathe. Simplement une personne qui est en kiff sur toi, mais qui arrive pas à gérer ça. Parce que tu m'as entendu, ou plutôt Corentin, ça a fait que tu me fuis. Et je t'ai entendu dire dans le rang "Mais je veux pas la faire souffrir tu comprends" avec le temps de quelqu'un qui se fout de la gueule du monde. Je ne sais pas si tu parlais de moi, mais si c'était le cas, je ne sais pas si c'était fait exprès que tu parles fort, pour te faire entendre, ou simplement que tu à laisser échapper ça trop fort. Je ne sais toujours pas si tu me hais, mais je ne sais pas ce que je suis pour toi. Une simple connaissance ? Une ennemie ? Une personne que tu aurais préféré ne jamais rencontrer ? Peut-être, peut-être que tu es simplement trop gênée de devoir me parler. Peut-être, peut-être ! que Charlie a raison quand elle dit que tu m'aimes mais que tu ne veux pas me le dire ! Que sais-je ? Comment suis-je censée te comprendre, alors que je ne peux même pas essayer de te connaître. L'autre jour, tu as vu que j'étais sur un rocher, juste en face de toi, cinquante centimètres plus haut peut-être, et tu me regardais, la veste devant la bouche, avec ton pull à capuche Ellesse, tu levais la tête vers moi. Peut-être quelques secondes, nos regards se sont croisés, puis tu es partie en courant. Tu as descendu les escaliers de la colline en courant, puis tu as ré-enfilé ta veste en cuir, et tu as parlé avec je ne sais plus qui, je te regardais toi, pas les autres. Tu étais de dos, alors je pouvais te regarder autant que je le voulais sans me faire prendre. Mais "la sonnerie à retentit" ( NDA : seuls les vrais savent ), et j'ai donc dû descendre à mon tour. J'ai voulu te parler, j'ai dis quelque chose du genre "Euh... Marie, est-ce que je peux, 'fin est-ce que je peux te...". Heureusement pour moi, tu m'as dis "oui" avant que je n'ai à finir la phrase. Je t'ai demandé pourquoi tu m'évitais, et apparement, c'est "Ben en fait, c'est que j'attends que tes sentiments pour moi ils passant". Ouais. Ben c'est pas gagné ma cocotte, parce que ce n'est pas en t'éloignant de moi que tu vas faire un bouclier contre le fait que je t'aime et d'un coup, d'une seconde à l'autre, BOUM !!!! je ne t'aime plus, et tout redevient comme avant. Je dis que je prank tout le monde depuis le début et c'est retour à la vie d'avant.
Nan.
N
A
N.
Only in your wildest dreams.
Autrment dit : ça ne va pas marcher. Désolée, mais si je parle sincèrement, cette idée est plutôt conne. Pas toi, seulement l'idée. Parce que ça me pousse à te parler, à vouloir comprendre pourquoi tu me fuis, pourquoi tu me lance des regards noirs, pourquoi tu ne me parles plus. Et donc, je continue de t'aimer. Et ça fait l'effet contraire que celui que tu voulais. Donc en continuant comme ça, on s'enlise dans des sables mouvant et on ne s'en sort plus. On essaie d'avancer mais on finit surtout par reculer. Non, je n'ai aucun problème avec ces deux mots. C'est juste que... comment dire ? Ah ! Je sais, c'est juste que ce sont les mots qui expriment le mieux ce que je veux exprimer. C'est débile ? Je sais.
05 octobre 2018
HEY !!! Oune nouveau pitit chapitré !! 667 mots !!!! C'est petit hein ? Et ben je changerai rien, comme d'habitude !!! Brefouille, je viens juste vous faire chier pour ça, mais bon, pour tout vous dire, chuis en cours de maths donc on est sur l'ordi ça va, et le mec avec qui je travaille on se marre donc ça va, mais en vrai c'est chiant les maths. Bref, je me fais un peu chier mais pas trop.
ALLEZ SCHUSS !!!!🏳️🌈
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