La jeune secrétaire pousse la porte du cabinet et se jette sur son ordinateur. Elle l'allume et peste contre sa lenteur. Il faudrait être efficace, rapide et la technologie se traîne, les organisateurs se traînent alors que la vie d'une femme est en jeu. Elle tape le mot de passe, se trompe, peste une nouvelle fois, retape le mot de passe, c'est le bon, se jette sur les documents et recherche. Chaque bilan de santé est conservé pour des raisons médicales.

« Elle était venue il y a quelques mois déjà... En septembre. Là, je l'ai ! »

Elle mis le document en pièce-jointe d'un mail qu'elle adressa au responsable du match, dépendant directement du ministère de la gestion du football. Cette fois, ils allaient l'écouter et faire cesser cette cérémonie de mise à mort immédiatement.