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Chapitre 39 : Au Revoir

"Adieu, toi que j'ai tant aimée, que j'aime tant encore, toi qui as rempli pour jamais ma vie d'amour et de douleur. Adieu, je pleure en écrivant ce mot. Adieu... adieu !..."

- De Alphonse Karr / Une heure trop tard (1833) -

( ce genre de citation qui correspond tellement au chapitre)

Je bouge une nouvelle fois dans mon lit, essayant de faire abstraction de la masse qui me colle. Je fronce les sourcils lorsqu'un souffle chaud chatouille mon cou, me faisant encore plus gigoter. Une chose mouillée se pose sur ma joue, m'obligeant à poser ma main sur cette partie de mon corps. Une autre mâchouille dans mon cou, d'autres sur mes doigts et je suis sûre que je suis entrain d'être remplie de bave. Je m'arme de tout mon courage et ouvre lentement les paupières. Aux dernières nouvelles, nous n'avons pas de chien et jamais nous n'aurons ces sales bêtes poilus, puant, idiot à se balader la langue hors de la gueule.

La lumière de la chambre m'attaque à peine ai-je ouvert mes yeux. Je lâche un petit cri que j'étouffe dans mon oreiller. C'est les vacances de Noël, qui peut bien me déranger quand je fais ma grasse matinée. La veille a été terriblement épuisante. J'ai traîné avec les jumeaux toute la journée, participer à une bataille de polochons et jouer du violon à ces monstres. Ils ont dormi aux environs d'1h du mat', et il a fallut que je dorme à 3h parce que je discutais avec Ewan. Autant le dire, j'ai vraiment, vraiment, besoin de 12 heures de sommeil.

— Ran, lèche-la encore, j'entends alors que j'avais momentanément fermé les yeux.

J'ouvre brusquement ceux-ci et me tourne pour voir Alice, Aoi et Ran. Ce dernier est baissé vers mes jambes nues, la langue pas très loin d'elle. Mon frère allait-il me lécher ? Je jette un coup d'oeil à ma montre avant de revenir sur les gens qui me font face.

— Hier j'ai dormi à 3h, commencé-je doucement. Actuellement il est 8h30, je voudrais juste savoir pourquoi vous venez me réveiller et pourquoi Ran joue au chien.

— Tu vas rire si on te le dit, répond mon aîné en haussant les épaules.

— Essayons.

— Y'a aucune raison, juste que c'est mignon de se réveiller par une léchouille. Fait pas genre, t'as pas aimé.

— Je n'ai véritablement pas aimé !

— La vraie raison, explique Aoi, c'est que Alice à un rendez-vous de bisous avec son copain !

— Oui ! confirme son frère.

— Et comme maman n'est pas là, je compte sur toi, frangine !

— Quoi ?! Et Takumi ?! Pourquoi c'est toujours moi ? 

— Takumi est avec son groupe en plus tu es la dernière de la famille.

— C'est faux...

— Ta gueule.

Je fronce les sourcils en m'avouant vaincue. À quoi bon discuter avec elle, je n'ai pas vraiment le choix et avec la tenue qu'elle a porté, elle ne risque pas de venir maintenant. Suis-je donc condamnée à m'occuper de mes petits frères quand tout le monde est occupé ? Ne puis-je pas avoir un peu de temps pour ma pauvre petite personne ?

— Tu n'as qu'à appeler tes copines, je t'en donne l'autorisation !

— Je n'ai...

Et la porte claque. Je grogne en me recouchant sur le lit, essayant d'oublier la langue de Ran sur mes jambes et les petites mains d'Aoi qui jouent avec mes cheveux. J'adore mes frangins, passer du temps avec eux c'est génial, mais qu'est-ce que c'est épuisant. Avant ça ne  l'était pas tant que ça, je suppose que je me donne deux fois plus pour combler le vide que papa a laissé. Plus que trois jours avant la fin de l'année, trois jours et 2018 sera bouclé, trois jours avant le nouvel an et la première fois que mon géniteur sera absent pour dire bonjour à 2019. Il eu un temps où pour moi, cette année là serait celle de l'air robotique, des voitures volantes, d'un futur totalement génial, mais en fait non. Ça sera de nouveau trois cent soixante soixante-cinq jours sans grand changement, enfin je crois. En plus avec tout les trucs du futur que j'ai vu, je ne pense pas le changement va m'étonner.

Je repense à l'année dernière, à cette même période, Maya Walker aurait regarder une nouvelle saison de sa série du moment, garder ses frères et parler avec son meilleur ami. Programme intéressant, sauf qu'aujourd'hui il y a des améliorations. Je n'ai plus de meilleur ami, mais un petit ami, deux copines géniales, et un baby-sitting un peu plus coriace. La Maya d'il y a un an était réservée et banal, elle voulait se fondre dans la masse, elle ne savait pas comment gérer ses problèmes, elle était faible. J'ai bien grandi depuis lors et j'en suis heureuse. Le passé est passé, le passé est enterré, le passé restera passé.

J'hoche la tête, remontée à bloc, j'ai des projets pour la nouvelle année, des défis à relever, des choses à faire bouger. Je regarde encore mes jumeaux et ne m'étonne même pas de voir Ran mâchouiller mes cheveux tandis que son frère l'observe. J'espère qu'il sera moins bizarre quand il sera grand.

— Les garçons, je leur dit. Je vais vous faire déjeuner et Aya et Mya viendront jouer avec nous !

Ils échangent un regard avant de sauter partout en criant : " crêpes, crêpes !"

Je roule des yeux et prends mon téléphone afin d'appeler mes amies. Ça aussi c'est un truc que la Maya d'il y un an n'aurait jamais fait. Appeler des amies. Je souris à cette constatation.

•°•°

— Maya, je veux plus de chocolat ! crie Aya en posant ses pieds sur la table passe. Oui la fameuse du fameux jour.

Je souffle pour garder mon calme sous les yeux rieurs de Mya. Qu'est-ce qui m'a pris de faire venir cette fille tyrannique ? Ayala Casey est un monstre ! Elle ne m'aide pas et joue les gamines comme les jumeaux, en plus, elle profite de moi ! « Maya fait ci », « Maya fait ça ! »  « Maya où est mon déjeuner ? ». Pourquoi je fais ça, déjà ?

— Dis-moi une seule raison de continuer se lui obéir, je grogne à Mya qui au moins m'aide.

— Il n y a aucune raison, par contre, elle te fera chier si tu ne l'écoutes pas, rit-elle.

— Super ! Non mais...

— Maya, j'attends !

Je lève les yeux aux ciel sans bouger. Ça lui fera les pieds de profiter de sa tendre amie que je suis.

— Maya Walker si j'entre dans cette cuisine, tu es morte et enterrée !

— Elle est capable de le faire, dit Mya en souriant.

— Non ! Je me rebelle !

— Tu te quoi ?

Je retiens un cri en faisant un grand bon en arrière, une main sur mon cœur.

— Tu es malade, sale malade ?! j'hurle, la respiration agitée.

— T'es une froussarde !

— Grr...

— Et si on allait dans le futur ?

Nous tournons la tête vers Mya.

— Pourquoi ?

— Voir Miley, ça fait trois jours quand même et en profiter pour qu'elle nous donne des pâtisseries de chez Applebee's !

— C'est un super bon plan ! je m'exclame.

— Pas pour moi, vous savez que c'est pire que le décollage horaire les voyages temporels ? Tu passes trois heures dans le futur et tu reviens ici, rien ne change.

— Donc tu restes ?

— Ouais ! Prenez moi des gaufres et dîtes à Miley de dire au chef Wright de mettre plein de miel.

— Elle nous prend encore pour ses servantes.

— Laisse tomber, rigole Mya.

Aya sort de la cuisine en criant aux garçons qu'elle vient leur faire un maquillage sexy. Souvent, très souvent, je me demande comment des personnes aussi contradictoires comme nous, pouvons être amies. Nous sommes à des années lumières, les unes des autres.

Je règle ma montre et prends la main de Mya avant de cliquer sur star, impatiente de retrouver ma Miley. J'ai hâte de la prendre dans mes bras en lui parlant de l'esclavage que me fait subir Aya, ou qu'elle me parle des futurs films et séries, ou mieux, qu'on fantasme ensemble sur les nouveaux acteurs. C'est fou comme les gens deviennent de plus en plus beaux à mesure que le temps passe. Bref, tout ça pour dire que j'ai hâte de voir Miley.

Lorsque nous arrivons en 2033, je suis surprise par le fait que nous n'arrivons pas dans la maison de mon alter ego. De toute manière cette montre fait ce qu'elle veut.

Nous nous approchons de la grande grille bleu électrique, cependant, je remarque quelques différences. Miley a refait la peinture ?

— Y'a pas un truc qui a changé ? demande Mya en fronçant les sourcils.

— Si, peut-être qu'ils ont fait des rénovations, je réponds en tenant fermement mon manteau, ignorant la peur qui grandit dans mon ventre.

Nous nous avançons pour atteindre la maison, mais à peine ai-je posé ma paume sur la grille pour qu'elle reconnaisse mon empreinte, qu'un visage se dessine subitement dessus.

— Bonjour, mesdemoiselles, dit une voix robotisée appartenant au visage.

— Heu, bonjour, nous aimerions entrer, nous sommes des connaissances de la personne qui habite ce lieu... Maya Walker.

— Maya Walker ? J'ai le regret de vous annoncer qu'il n'y a aucune Walker dans ce domaine.

— Pardon ? dis-je. Si, bien sûr que si, Maya Walker, violoniste, chef d'entreprise, elle est décédée il y a quelques mois.

— La seule Maya qui correspond à votre description est Mme Hill, violoniste bien vivante et ne vit pas dans cette habitation.

— Quoi ?! C'est impossible ! Elle a une fille, Miley Walker, une quinzaine d'années, blonde, yeux verts...

— Cette description n'est pas correcte, la fille de Mme Hill n'atteint pas encore la dizaine...

— Alord vous mentez ! Miley à quinze ans et elle...

— Maya, j'entends.

— Ferme-la, Mya, putain boucle-la ! Tu te rends compte de ce que ce putain de robot dit ?! Comment ça il n y a pas de Miley ?! Comment ça, hein ?! Il y a un problème...

— Maya ! Tu ne comprends pas ?! Le futur... le futur a été changé !

Je recule devant les mots de Mya. Qu'est-ce qu'elle raconte, cette idiote ? Non, c'est impossible, il y a trois jours j'ai pris Miley dans mes bras, je me souviens de la chaleur de son étreinte, de son parfum sucré qui est resté sur ma robe, de la sensation de joie que provoque son sourire et sa petite fossette. Qu'est-ce qu'elle dit ? Elle est malade ?! Il doit y avoir une raison, un truc, un hic, qui explique tout. Miley ne peut pas avoir disparu... non, pas comme ça, pas sans me dire au revoir... il y a quelques jours je l'avais dans les bras !

— Maya...

— Non, non, Mya ! Je sais que tu mens ! Miley ne peut pas... je n'y crois pas, je t'en prie dis moi que c'est faux ! Non, pas comme ça, pas ainsi...

Ma voix se casse comme le sol sous mes pieds. Je m'écroule sur le sol, incapable de tenir plus longtemps. C'est quoi cette sensation, c'est quoi ce gouffre que je sens ? C'est quoi cette douleur ? C'est faux, n'est-ce pas ? Bien sûr que c'est faux, c'est une blague, je dois rêver, pas Miley, pas déjà...

Ma maman est géniale ! Elle n'est pas égoïste et fait tout dans l'intérêt de tout le monde !

Non ! J'y crois pas ! Je crie en tapant mes poings contre le sol, les frappant avec force. Des bras m'entourent mais je me débat. Non ! Je ne veux pas ! Pas ma Miley ! C'est quoi cette douleur ?!

Tu es courageuse, Maya, je suis fière de toi !

Non ! Je suis faible, Miley, je deviens une gamine quand je suis confrontée à un problème dont je n'ai pas la solution. Thales n'a jamais donné une propriété pour affronter le deuil ! Pythagore n'a jamais écrit de formule contre la souffrance ! Albert Einstein n'a pas expliqué comment combattre la douleur d'une disparition ! Je suis faible sans toi, Miley...

Maman, protège moi, papa veut me manger !

Je suis tellement désolée, j'aurais dû te protéger. C'était mon devoir de mère, pas le tiens, je suis tellement désolée...

Maman t'es trop nulle ! Rit la voix de Miley.

Maya tu es drôle !

Mais non, tu ne sais pas à quel point j'aime ta présence !

Le trou dans mon cœur commence à prendre en grandeur. Il dévore tout mes souvenirs, tel un monstre, il y laisse une marque noir horrible. Il tâche tout mes précieux souvenirs avec Miley. Il les brûles sous mes yeux, me mettant face aux faits, je n'ai pas su la protéger. Comment ai-je pensé dépasser ça ?! J'étouffe les sanglots qui me brûlent la gorge en hurlant quitte à m'attirer de mauvais regard, je pleure quitte à finir mes larmes. Je ne veux pas, cette sensation prend possession de chacun de mes muscles, chaque parcelle de mon corps est marquées au fer rouge. Toute les parties que Miley a touché. Ses baisers, ses câlins, ses petites tapes... est-ce normal que j'entende encore son rire dans ma tête ?  Pourquoi ce son aux abords enfantin et banal déchire comme un katana ? Transperçant mon coeur, me laissant dans une marre de sang et de tristesse.

— Maya ! Calmes-toi, s'il te plaît !

Deux mains heurent violemment mes joues. Mya Lynch me fait face, les yeux injectés de sang.

— On doit partir et vite ! Je t'en prie, Maya, calmes-toi !

Ce n'est pas toi qui vient de perdre ta fille.

— Miley...

— Oui ! Je suis au courant au cas où tu le verras pas ! Je vais mal, mais si Miley te voit ainsi, elle sera déçue... rappelles toi que le Ciel voit tout, il va lui répéter notre tristesse. Soyons fortes, s'il te plaît.

Le regarde Mya Lynch. Comment suis-je réagir pour que le Ciel me ramène ma Miley ? Elle est avec lui ? Alors c'est vraiment fini ? Elle est partie pour de bon ?! Pourquoi mon cœur est-il soudainement trop gros pour ma poitrine ? Est-ce normal que je voie des lumières blanches ? C'est Miley qui vient me chercher ?

— Maya ?! Par pitié d'avanouie pas ! Maya  !

La dernière image que je vois avant de sombrer dans un monde de ténèbres et de souffrance, c'est le sourire en coin de Miley. Vous savez, celui qu'elle fait lorsqu'elle veut vous consoler.

°•°•°•°

Je suis réveillée depuis plusieurs heures. J'entends clairement les voix venant de l'extérieur, l'agitation est à son maximum, pourtant, personne n'entre. Peut-être qu'ils pensent que je dors, pourquoi ne viennent-ils pas me consoler ? D'ailleurs, comment doivent-ils me consoler ? Une glace de chez Dolce&Liam ? Un baiser d'Ewan ? Regarder de nouveau film ? Un câlin de Miley ? Oui, c'est ça, un câlin de Miley. Mais, elle n'est pas là. En même temps, c'est elle qui a provoqué mon chagrin.

— Maya ? Je peux entrer ?

Je ne réponds pas et fixe mon plafond. Pourquoi est-il blanc ? Je veux dire, il y a de si belles couleur, comme les yeux de Miley, pourquoi un plafond blanc ? Qui en a décidé ? Les gens décident souvent pour nous. Notre prénom, nos origines, notre famille, qui part et qui reste. C'est comme ça que ça fonctionne. En fait, je crois que la disparition de Miley, bien que prévue, c'est une sorte de punition, une punition pour avoir niqué les lois de physiques et avoir défié le Destin. Après tout, n'est-ce pas lui qui décide de tout ? Mais si ça aussi, Il l'avait prévu ? Je parie qu'il sirote tranquillement un jus de fruits en me narguant.

— Maya.

Je baisse les yeux pour tomber dans les magnifiques pupilles d'Ewan. Comment-a-t-il fait pour avoir ses petites tâches d'or dedans ? Miley aurait été sublime si elle avait les yeux d'Ewan. Je suis persuadée que le garçon qu'elle aimait lui aurait mangé dans la main.

— Elle a disparu, tu sais, je lui dis. Miley a disparu et maintenant dans ce nouveau futur tant désiré, ils l'ont tous oubliée, oui même ce Noah machin-chose. Il vivra sa vie, il se mariera, il fera des gosses sans se douter d'un truc. C'est fou, non ?

— Oh, ma Mayu.

Ewan se glisse sous mes draps, m'enfermant dans ses bras, réchauffant un peu mon corps glacé. Les mains de Miley étaient souvent glacées. J'éclate en sanglots.

— Ça ira, on ira mieux, on doit être heureux pour elle.

—  Je sais.

— Je sais aussi que c'est dur, mais je te promets que cet avenir qu'elle nous a offert, on en profitera, on va prouver à tout le monde que la recette du bonheur, c'est nous qui la détenons.

— Quand on naît, on nous explique tout. On explique qu'il faut prendre soin des choses, on nous dit d'être gentils, on nous dit profiter de ce qu'on a et un jour, on nous dit qu'on va mourir. Pourquoi on nous dit pas comment lutter face au chagrin de la mort ? Pourquoi on défie tout, mais on arrive pas à défier la mort ? Parce que Miley, elle est morte, non ? Genre disparu ? Je n'arrive pas à y croire.

— Moi...

— Je t'aime au moins jusqu'à l'infini. Je t'aime tellement que ça en fait mal, des fois. Et puis, souvent, on souffre tellement que la douleur s'en va. Tu ne ressens rien et c'est pire. Tu te demandes si tu es vivant. Je me sens comme ça. Miley me manque.
 


La prise d'Ewan devient forte. Je crois qu'il pleure.

— Moi aussi. Je t'aime, Maya, au moins jusqu'à l'infini.

— Je t'aime, Ewan, au moins jusqu'à. J'aime Miley, avec elle, même l'infini semble trop petit.

Et il me serre plus fort. Il ne parle plus.

Dans la vie, y'a ces moments de joie et d'amour profond. Ceux qui te font sourire même quand tu es vieux et tout fripé.

Dans cette même vie, y'a des moments d'extrême tristesse. Ceux qui rende ton cœur anesthésié pendant longtemps. Ceux-là, tu évites d'y penser.

Et toujours dans cette vie, comme si c'était pas suffisant, il y a ces moments de joie et d'amour profond où la tristesse extrême vient s'ajouter. Ces moments te font prendre conscience de pleins de choses. Tu les gardes précieusement, c'est pas tout les jours que les émotions sont aussi paradoxales.

Je vis ce moment d'émotions paradoxales actuellement.

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Heeeeeeeeeeeeeeeeeeeeey mes oursons à la fraise !

Comment alliez vooooous avant ce chapitre ?

Et après ?

Bon, je sais, j'y suis allée un peu fort avec les descriptions des émotions, mais dites moi, les avez vous ressenti ?

La colère de Maya ?

Sa tristesse ?

Son incompréhension ?

Ce chapitre est vraiment triste, Miley a disparu pour de bon, se sacrifiant comme prévu...

Qu'avez-vous pensé de ce personnage ?

Vous l'avez aimé ?

Vous aussi ça vous fait mal, hein ? ( j'ai les larmes aux yeux)

Et le chapitre dans l'ensemble ?

C'était le dernier, l'épilogue est aussi posté, j'espère qu'il vous apportera un peu de joie.

Ça me fait bizarre de terminer cette histoire, j'ai des frissons.

Qu'avez-vous pensé de cette histoire en général ?

Des personnages ?

Votre préféré ?

Celui que vous avez détesté ?

D'après vous, quel est le plus de cette histoire ?

Votre moment préféré ?

AVANT DE LIRE LA SUITE JE VOULAIS VOUS DIRE MERCI BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP ❤❤❤❤❤❤❤❤❤ VOUS M'AVEZ SOUTENU DEPUIS LE DÉBUT, VOUS AVEZ TOUT LU, JE SUIS EXTRÊMEMENT HEUREUSE, MERCI ÉNORMÉMENT ❤❤❤❤❤ bref, vous allez sûrement rougir dans la dernière partie car elle est remplie de gentillesse. ( d'ailleurs, histoire de dormir moins bête, vous savez que malgré ma peau foncée, je suis capable de rougir ? ( moi aussi ça m'a fait un choc))

QUESTION PARCE QUE JE SUIS CURIEUSE

Vous savez que je vous aime ?

Bisous bisous à la menthe violette. ❤❤❤❤

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