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Chapitre 12: La Famille Walker(1)

Le reste de la journée s'est déroulé assez bien. J'étais assez démoralisée par les paroles de Mya, et cela a affecté mon comportement. Ewan c'est inquiété et m'a questionné. J'ai préféré simuler que j'allais bien. Je ne veux pas l'inquiéter. Surtout que je vais lui désobéir en me liant d'amitié avec Umi.

Les cours terminés, je me rends à la maison. Ewan voulait m'accompagner, mais son entraînement de basket l'a quelque peu occupé. Je lui pardonne, il m'appelera ce soir.

Arrivée devant le palier de la maison, je prends la clé sous le paillasson, et ouvre la porte.

Mais la surprise qui m'attend est pour le moins surprenante.

Le salon-salle à manger est totalement sale. Il y'a des livres, des cahiers, de la boue, du chocolat partout sur le sol. L'écran plasma s'est décroché du mur et à présent il pend. Les oreillers des fauteuils sont dispersés, les fauteuils déplacés, et de l'eau, qui vient de je-ne-sais-où, coulle en abondance.

Okay, il y a un problème ici.

J'entends un bruit de verre qui se fracasse dans la cuisine. Mon sac en bandoulière accroché à mon épaule glisse et tombe au sol.

Je me précipite dans la cuisine, et je trouve Ran tenant un verre cassé en main, et arrêté au milieu des débris. Je vois près du frigo Aoi, il tient un grand bol rempli d'une substance inconnu.

La cuisine est sale. Mais vraiment très sale. Des oeufs sont cassés au sol, sur les murs, sur le frigo. De la boue et du chocolat recouvrent les meubles. Certaines assiettes sont cassées. De la farine, de l'huile, du beurre, de la pâte  à gâteau sont versés sur le plan de travail. Une odeur de brûlé émane du four. Je crois même que de la pâte à gâteau est collée au plafond.

Merde.

Je soupire durement et m'acroupis au sol. Je défais mon chignon, et m'ébouriffe les cheveux. Mes petits frères vont me tuer. Littéralement.

Alors que je constate encore les dégâts, Ran s'approche de moi tout en cassant les débris de verres cassés. Heureusement qu'il porte des chaussures. Aoi imite son frère, et jette le bol contenant la substance inconnue au sol. Ils se précipitent et me prennent dans leur bras.

Je les repousse doucement sachant pertinemment qu'ils sont coupable du bazar de la maison. Je range la broche dans ma poche arrière et attend les explications, mais ils me regardent avec leur yeux bruns fonçant vers l'orange, essayant de m'amadouer.

Je souffle exaspérée et me pince l'arrête du nez.

- Les gars... qu'est-ce qui s'est passé?

Ils se regardent puis moi, et parlent  ensemble.

- Cali, la nounou, nous a laissé à la maison parce qu'elle avait une course urgente importante à faire. Maman est de garde aujourd'hui à l'hôpital et elle viendra demain. Papa aussi est en réunion et viendra demain. Maman a accepté que Cali parte parce que nous sommes responsables!

Je ferme les yeux. Mes parents sont irresponsables. Si ce n'est pas mon père qui en rentrant du travail se dispute avec ma mère et se saoule, c'est ma mère qui laisse des enfants de six ans sans défense dans une maison. Si je n'étais pas arrivée la maison aurait  pris feu. Pris feu... je n'ai pas éteint le four!

Je me lève précipitamment et éteins le four. De la fumée noire commençait à s'en échapper, et l'odeur de brûlé empoisonne l'oxygène. Je tousse, suivie des garçons. Nous sortons de la cuisine et je m'assois sur le bras du fauteuil la tête entre les mains.

Maya calme toi, calme toi.

Je regarde mes petits frères qui toussent, et me regardent attendant la punition. Je soupire et essuie de la manche de mon pull, la suie sur leur front. Ils semblent effrayés, alors je les prends dans mes bras en les serrant fort.

- On a fait une bêtise, non? Demande Aoi.

- Alors pourquoi tu nous prend  dans tes bras? Continue son frère.

Je les relâche et les observe. Leurs cheveux blonds coiffés en bol sont tachés de cendre et de substance bizarre. Ils sont recouverts de boue aussi bien sur le visage que sur leurs vêtements. Je soupire.

- Oui, vous avez fais une bêtise et pas qu'une petite. Qu'est-ce qui s'est passé pour que vous décidiez de faire de la cuisine?

Ils se regardent, et commencent à jouer avec leurs doigts la tête baissée.

- En fait, comme t'as pas eu de gâteau d'anniversaire on voulait en faire pour toi, mais on dirait que ça un peu mal tourné.

Je regarde les dégâts.

- Non, pas un peu, mais beaucoup!

- Désolé, Maya on recommencera plus, promis! Ils déclarent.

Ils me font les gros yeux, et je ne peux m'empêcher de leur  pardonner. Ils sont si mignons, sérieux.

- Okay... mais vous m'aidez à ranger le bazar. Et après prendre un bain.

Ils acquiescent d'un signe de tête.

- Super! Je m'exclame en me levant. Venez on a du pain sur la planche.

Ils sourient et nous débutons le ménage.

..................

Je ne sais pas combien de temps a pris le nettoyage mais je sais que la maison n'a jamais été aussi propre et belle. Les carreaux de la cuisine brillent, le salon est  rangé à la perfection et même une odeur de lavande accentue le tout. Je suis fière de nous.

Pour nous féliciter j'ai fait des tartes aux pommes pendant qu'ils se lavaient. Non je ne suis pas une bonne cuisinière, mais je me débrouille. En fait c'est comme les maths, il suffit que je suive  la recette pour pouvoir faire de délicieuses tartes. Même si quand les parents sont absents, c'est moi qui fais la cuisine. Et par faire la cuisine j'entends bien commander le repas et le faire livrer. Mais quoi? Je paye donc c'est comme si c'est moi qui cuisine.

Assis sur la table à manger, nous dégustons les tartes. Non, pas toute les tartes. Au moment de manger la deuxième tarte, la porte du salon s'ouvre sur Alice. Sa tenue est toute froissée et elle nous regarde à peine lorsqu'elle s'avance vers les escaliers.
Aoi se lève de sa place et prend  la main d'Alice dans la sienne.

- Viens Alice, Maya a fait des tartes aux pommes, s'exclame le petit blond.

Ma soeur le zieute  méchamment et pars en le bousculant. Aoi, estomaqué par le regard de ma soeur baisse la tête et revient vers moi les larmes aux yeux.

Mon coeur se pince à la vue de sa bouille d'ange triste. Mais qu'est ce qui ne va pas chez Alice? Elle est en colère et déverse sa frustration sur les autres, complètement folle.

Dit la fille la plus rancunière de la terre, me souffle ma conscience. Et évidement je la range dans un placard fermé à double tour dans ma tête.

Je prends Aoi dans mes bras, emprisonnant son petit corps contre moi. J'encarde son visage de mes mains, et commence doucement un petit rituel qui je sais le calmera: le rituel des bisous.
Une  douce pression sur son front, un doux baiser sur le bout de son nez rougis, un baiser sur sa joue salée de larmes, et le dernier dans son cou, en le chatouillant. Aoi se tortille, et rigole légèrement. Je souris fière  de moi, ou plutôt d'Ewan qui a créé ce rituel.
J'essuie ses joues et l'embrasse le haut du crâne.

- Merci Maya, me chuchote mon petit frère. Mais pourquoi Alice ne m'aime pas?

Mon coeur flanche à sa question. Ce n'est pas qu'elle ne t'aime pas mais plutôt que l'adolescence la fatigue énormément. Surtout les garçons. Alors que je m'apprête à lui répondre, Ran tire son frère et le fait descendre de mes genoux.

- Merci pour les tartes Maya, mais nous on va jouer chez les voisins, on se voit à dix neuf heures. Oh, et fais bien la vaisselle! Crie Ran en détalant comme un lapin avec son frère.

Je n'ai  même pas le temps de comprendre ce qui viens de se passer que la porte claque. Ils m'ont laissé les tâches ménagères? Je soupire et regarde les assiettes sales que nous avons laissé.

Super! Notez l'ironie.

La vaisselle n'ayant pas fait long feu je me rends à l'étage en direction de la chambre d'Alice. Je n'ai pas besoin de lire le journal de la Maya du futur pour savoir que je dois aider Alice. C'est une évidence.

Alors que je suis devant sa porte où les autocollants "interdit d'entrer sous peine de mort" sont collés, j'entends ses sanglots. Elle pleure comme moi hier. Le plus triste c'est que moi personne ne m'a consolé, mais moi je serai là pour elle.

Je me demande pourquoi elle pleure. Même si c'est évident qu'un garçon est caché derrière tout ça. La dernière fois qu'elle a pleuré comme ça, c'est quand Ryan, son ex, l'a trompé. Elle avait pleuré et déprimé pendant des semaines, et avait mis du temps à s'en remettre, en plus ce salaud l'avait trompé plus d'une fois. Pourtant Aruine, son nouveau copain, l'aime à la folie. Elle aussi d'ailleurs. Ils s'aiment beaucoup, et je n'arrive pas à comprendre ce qui aurait pu se passer jusqu'à faire pleurer Alice, ainsi. Aussi étrange que celà puisse paraître, Alice est la plus fragile malgré ses airs de bad girl. Elle accorde trop  vite sa confiance.

Moi je le dis, le monde n'est pas fait pour les gens gentils, doux et naïfs... Pour une fois je suis d'accord avec toi conscience... mais pour les rancunières et égoïstes personnes comme toi. Comme je le dis, je suis daccord avec toi conscience.

Je sors de ma discussion,- quelque peu bizarre-, avec ma conscience, et toc à la porte. Une fois, deux fois, trois fois, et une multitude de coup plus tard. Je commence à perdre la patience que j'ai, c'est-à-dire aussi pleine que le nombre de chance que j'ai zéro à un devoir de math, donc pas du tout.

Je frappe plus fort et crie à plein poumons.

- Alice sors de la chambre!

Rien.

- Je te dis d'ouvrir putain!

Rien.

- N'abuse pas de mon inexistente patience! Si tu veux pleurer fais le, mais en silence! Mais bon sang ouvre!

Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre sur un tableau raté de Picasso... oups excusez moi, sur ma soeur.

- Qu'est-ce que tu veux, Maya? Demande-t-elle en essuyant peu gracieusement la morve qui s'échappe de ses narines avec la manche de sa chemise.

Je ne peux m'empêcher de sourire amusée par tout ça. Elle est à moitié vêtue . Sa tenue de l'école et son pyjama sont porté en même temps, son mascara à coulé, ses cheveux roux sont ébouriffés et elle renifle tout le temps. Haha comme un caniche mouillé.

- Bon, la situation est plus grave que prévu. Je vais chercher de la glace au chocolat, les tartes aux pommes, et peut être les magazines sur les plus beaux acteurs.

Elle sourit légèrement.

- Et les DVD de Game Of Thrones? Elle me demande.

Je me mords la lèvre.

- Bien sûr qu'ils font partie du lot, mais s'il te plaît Alice choisi! Sois tu porte ton uniforme sois tu porte ton pyjama.

Elle baisse les yeux sur sa tenue, s'empourpe et passe une main dans ses cheveux en riant nerveusement.

- C'est vrai, tu as raison.

- J'ai toujours raison, je reviens dans cinq minutes. Okay?

- Okay, elle sourit.

Je m'éclipse et pars à la recherche de nos outils contre les peines de cœur.

- Tu en a mis du temps, se plaint Alice quand elle m'ouvre la porte.

Je lève les yeux au ciel, et rentre dans la chambre. Mes bras sont chargés, je dépose les affaires à terre, et observe cette pièce que je n'avais pas vu depuis des années. Les murs roses, et décorés de posters d'acteurs, de dessins animés ont été repeint en violet sombre. Je ne savais pas qu'elle avait repeint sa chambre. Le grand lit rose qui régnait au milieu de la pièce a été troqué contre un petit lit violet placé contre le mur. Les peluches de toutes sortes ont été jeté au placard, sauf Lapinou l'ourson en peluche que je lui avait offert. Les lumières sont à peine fortes, non en fait c'est juste la lumière de sa veilleuse qui éclaire la pièce.

Je me tortille, légèrement mal à l'aise. Cette chambre j'y ai passé un bout de mon enfance. Contrairement aux apparences, Alice et moi étions proches, mais l'adolescence suivi des problèmes de mon père, de leurs disputes incessentent avec ma mère, la mort de ma grand mère qui a été on peut le dire le déclencheur de tout ce merdier nous a éloigné. Alors que Takumi sortait et rentrait à pas d'heures, Alice passait son temps avec Ryan, de ce fait j'ai dû m'occuper des jumeaux. C'est vraiment étrange de savoir que pendant deux ans ses proches étaient devenus une sorte de colocs. J'aime Alice mais ça fait longtemps qu'on a pas eu une vrai discussion.

Je m'assois en tailleur sur le parquet frois. Alice me rejoins et je remarque qu'elle porte tout son pyjama et non la moitié.

- Alors, on tue qui? Je demande en mettant de la chantilly sur les tartes.

Elle rit doucement et prends le pot de glace, y plonge la cuillère et déguste avant de parler.

- Ta stupidité grande soeur qui ne sait pas choisir les hommes.

Je fronce les sourcils et croque dans une part de tarte.

- Aruine te  maltraite? Je demande en mangeant.

Elle secoue la tête désespérée.

- Si seulement il me maltraitait. Mais non, il m'évite. Il ne me touche plus, me parle peu, m'évite, et il me regarde à peine... j'ai l'oppression d'être un fantôme.

Je déglutis lentement. Alice prend  une autre cuillère de glace.

- Aujourd'hui au lycée quand j'ai voulu  l'embrasser il m'a repoussé, à midi il a refusé de manger avec moi prétextant qu'il devrait déjeuner avec ses potes. Mais le comble c'est quand il m'a laissé partir à la maison sans un aurevoir. Non, en fait ça ce n'est pas le pire. Le vrai des vrais  pires  c'est qu'il traîne avec Stella, la fille qui est amoureuse de lui depuis toujours!

- Okay je crois voir ce qui se passe. Mais depuis quand il est comme ça?

Elle mange encore sa glace et réfléchit  avant de dire.

- Pour tout dire je dirai  deux semaines. Je crois que c'est depuis une fête où nous sommes partis. Pendant que je dansais avec mes amies je l'ai surpris à parler avec Ryan.

Ryan? Il doit y avoir anguille sous roche.

- Et tu ne te doutes pas que Ryan est derrière tout ça?

- Si bien sûr que si! Je lui ai demandé mais il m'a parfaitement pas répondu et ignoré.

- Je suis sur que Ryan à fait un plan diabolique  pour vous séparer.

- Moi aussi j'en suis sûre ! Mais Aruine, s'il me fait confiance doit me parler de tout, et non pas prendre ses distances! Il me fait tant souffrir!

Alice crie, et des larmes commencent à ruisseller le long  de ses joues. Le spectacle qui me fait face est juste horrible. Tout mon corps tremble ainsi que mon coeur qui se tord. Pris d'un excès d'amour pour ma sœur j'encercle mes bras autour de son corps. Elle se tend face à mon geste, mais doucement son corps se détend, et elle m'entoure de ses bras, enfoncant sa tête dans le creux de mon cou. Elle pleure un bon moment, et moi je carresse tendrement ses cheveux. Je pense vraiment qu'Aruine est un con. Je le déteste  faire souffrir ma soeur ainsi. Il ne mérite pas son amour.

- Merci, Maya, déclare Alice en s'extirpant de mes bras.

Elle frotte son oeil et reprend son pot de glace.

- De rien, c'est gratuit. Tu devrais encore insister avec Aruine, d'après Ewan la seule solution pour sortir du labyrinthique du silence est de communiquer. Paraît-t-il que c'est la base dans un couple.

- Dis celle qui n'a jamais eu de copain, mais merci pour le conseil, dit merci aussi à Ewan.

- Pas de soucis.

- Justement en parlant d'Ewan c'est lui qui t'a offert ce collier? Elle me demande.

Inconsciemment, je sers le médaillon de l'infini.

- Oui. Il me l'a offert qu'aujourd'hui mais j'y tiens déjà énormément.

- Cool ça. Toi et Ewan, c'est toujours de l'amitié? Ou...

Je rougis en comprenant d'où elle veut en venir.

- Quoi? Non, non! Moi et Ewan on est meilleurs amis, c'est tout!

- N'importe quoi! Maya il t'a offert un collier avec le symbole de l'infini, évidement qu'il t'aime!

- Non! Il a juste dit que son amour pour moi s'étend jusqu'à l'infini, je dis un sourire niais aux lèvres.

- Oh mon Dieu! Vous êtes amoureux c'est évident!

Je me suis sentie rougir.

- Non! Ewan est juste mon meilleur ami. C'est tout... je dis ayant un goût amer dans la bouche.

- Oh, dit-t-elle. Tu te souviens quand vous étiez petits? Il menaçait tout les garçons de ne pas t'approcher parce que tu étais sa"Mayou à lui tout seul". Vous avez vraiment l'air d'un couple, j'espère que tu le sais.

Maintenant qu'elle le dit c'est vrai que notre relation peu porter à confusion. On se prend la main, on se câline, il me dit "je t'aime" et encore plein d'autres choses. Pourtant nous sommes amis. Amis et rien de plus.

- C'est vrai. Mais tu sais, il est plus qu'un ami mais je le considère pas comme un frère, et avec l'adolescence notre relation selon moi se complique. Je veux dire j'ai l'impression qu'il y a une certaine ambiguïté de mon côté.

Alice approuve d'un signe de tête vague.

- Je te comprends. L'adolescence est une période de démence à plusieurs sens qui s'étend bien plus loin et brouille les sens, cite-t-elle.

- C'est joli.

- Je sais.

- C'est de qui? Je demande en faisant référence à la citation.

- Alice Andréa Walker.

- Tu as toujours été plus douée  que moi avec les mots.

Elle souffle.

- N'importe quoi. Tu as toujours été le petit génie de la famille. Même dans les matières littéraires.

Je souris tristement. Je me demande si le fait que je sois un peu trop intelligente à approfondir le creux entre moi et Alice. J'imagine que c'est dur d'être toujours rabaissée à cause des notes de sa petite soeur.

- Mais même si t'es un génie, je suis sur que je peux décrire tes sentiments pour Ewan. En tout cas mieux que toi.

- Ah, oui? Je demande en levant un sourcil.

- Oui.

- Alors je t'écoute.

- Okay, elle prend une  grande inspiration. Ce que tu ressens pour Ewan est un doux mélange entre la joie et la douleur. Tu es heureuse d'être avec lui, pourtant une douce douleur enfle ton coeur en sa présence. Tu ne peux pas ne pas lui pardonner. Tu lui donne souvent des excuses quand il fait quelque chose mal, tu penses constamment à lui, et quand tu es triste sa  simple présence de réconforte et te donne de l'espoir. Avec lui c'est comme faire des montagnes russes, l'adrénaline est toujours au rendez-vous avec une dose de bonheur inconditionnel, elle s'arrête et me regarde les yeux brillants. Avec lui tu sais que tu as trouvé ta moitié, ce qu'il te manque . Comme s'il te complétait. Alors oui ce que tu ressens pour Ewan est compliqué  mais beau et explicable.

J'ai le souffle coupé. Elle a sû décrire avec de magnifique mots mes sentiments pour Ewan (même si je pense qu'il manque quelque chose). Je suis surprise.

- J'ai raison? Elle me demande.

- Oh que oui tu as parfaitement raison. Mais comment tu as réussi à si bien décrire ces sentiments.

- Je t'ai juste décris les sentiments que je ressens pour Aruine.

Je rougis et elle éclate de rire. Puis nous regardons des vidéos, écoutons des chansons et nous nous en dormons blottie ensemble. Comme deux pièces d'un même puzzle qui ont mis longtemps à s'emboiter.

♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡♡

Hey!!!!! Comment ça va les gens?! Moi je vais super bien et jespere que vous aussi.

Que pensez vous de ca chapitre? Il est bien? Moi j'aime beaucoup Alice Andréa Walker, elle est vraiment cool et ne me ressemble pas du tout. Mais bon mon avis ne compte pas, je poste la suite ce soir qui jespere vous plaira.

Alors à la prochaine!! ❤

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