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Chapitre 3

*** Loane 

Je marchais dans les couloirs avec Arion, j'allai rencontré mon mari et je n'avais pas envie, j'allai encore tenir la chandelle je le savais, cela ne me dérange pas, mais je ne sais pas comment Victor vas se comporter si il vas me mettre au rang de muette, où si il vas faire comme Jude écouter mes idées et me laisser vivre comme je l'entend. C'est alors que j'entendis un bruit de roue, mais je ne vis personne

- Loane sa vas ?

Je me tournai vers arion, je me remettais à marcher, j'avais pourtant entendu des bruit de roue. Il me conduit à un grand bureau. Au centre se tenait un home de 19 ans je dirai, il avait des cheveux bleue en sorte de crête, avec des yeux jaunes, il regardait arion d'un air triste. Arion parti. Alors c'est lui Victor Blade. Je sens que je ne vais pas bien m'entendre avec lui.

- Alors tu est Loane, je suis Victor Blade.

- Enchanté Victor, je vois que tu t'est renseigner.

- Oui, donc tu sera, ma fiancée.

Ce mot me glaça les veines, ce cher Victor croyait que je ne savais pas pour lui et Arion. Il a vraiment mal prévu son coup.

- Que sais tu sur moi, Victor ?

- Que ton ancien fiancé, à rompu vos fiançailles car il était amoureux de son conseiller.

- Ne t'inquiète je suis prête à encore tenir la chandelle.

- Pardon, que veux tu dire ?

- Ne fait pas l'innocent, je sais pour toi et Arion.

- Comment l'as tu su ?

Ce regard, c'était le noir, il était vraiment en colère, il vas devoir apprendre à me connaitre. Lui joue au dames. Moi au échec.

- Ne t'inquiète pas, je ne dirais rien, ce n'est pas dans mon interrét.

- Comment l'as tu su ?

- Sa se voit rien qu'au premier coup d'œil. Dis moi comment te comporte tu

- Pardon ?

- Sache que je veux bien tenir la chandelle mais pas êtres muette pour le restant de mes jours, pense y.

Avant qu'il est pu dire un mot, ou jeter quoi que se soit je partis, Arion qui attendait derrière la porte me regarda surpris je lui fis un signe de la main ce qui voulait dire qu'il pouvait entrer et je partis dans les dédale que formait ces couloirs cherchant une bibliothèque ou je pourrais apprendre beaucoup de choses sur cette demeure, Victor et sa famille, et surtout. Pourquoi n'ai je épouser que le cadet de la famille Blade et qu'il n'y est aucune présence de l'aîné.

*** Annabelle

Misaki était devant moi, nous étions dans les couloirs pardon, dans un labyrinthe, j'arrivai dans un bureau, simple, où le bleue et la mer était les seuls mots qui existaient. Misaki referma la porte. J'avança, au centre de la pièce il y avait une jeune homme d'après peu près un ou deux ans de plus que mois. Il avait des cheveux bleue/ gris, avec un bandeau, il avait aussi une grande cicatrice à son œil gauche.

- Enchanté tu est Annabelle.

- Oui et toi Dave

- Exactement tu as une ouïe fine.

- Bon je vais jouer carte sur table. Je refuse d'être mis au rang de muette.

- Qui a dit que tu avais le choix.

- Car c'est moi qui décide .

- Non. Tu restera au rang de muette.

- Non.

- Si.

- j'ai dit non monsieur le pirate.

Il me regarda avec des yeux de merlans frits et commença à rire et moi aussi, on aurais dit des enfants de cinq ans, si mon avenir se passer comme ça, toute la demeure aurais droit aux échanges vulgaires et très bruyant d'un vieux couple. Je me demandais si nous allions bien nous entendre ou pas.

- Monsieur le pirate dit il ? Sérieusement ?

- Oui bon, as tu un plan pour se repérer dans ce labyrinthe ?

- Oui tient.

C'était du papier tout froissait, à mon avis dit il avait vécus six bon siècle si ce n'est pas sept. 

- Merci.

- Annabelle ! J'ai dit que tu serai muette en public, crois tu vraiment que je parlais de toute ta vie? Tu ne seras pas un objet du moins en privé, j'essaierai en public mais je tient aussi à ma fierté.

Je le regardais surprise c'était le premier homme à me dire ça à avoir un peu de bons sens. Il était diffèrent, peut être avais je rencontré plus rebelle que moi. Non à mon avis on est à égalité.

- Je ne pensai pas rencontré plus têtu que mois dit le loup de mers.

- Tu crois quoi, je ne suis pas une fille facile.

- Je vais bien m'entendre avec toi.

- Au revoir loup de mer.

- Loup de mer, maintenant ?

Je pris le plan et parti dans le jardin. L'ai frais fait du bien. Non ? On avait dit avec les filles qu'on se retrouvait à dix sept heure à la salle à manger. Je me demande comment sa aller se passer de leur coté. 

*** Régina

Je suivais Mike, je n'aimais guère ce silence qui était installer et c'était dommage mais je devrais m'y habituer. Mon mari me mettra au rang de muette, et je devrais hélas m'y soustraire. Mike se tenait devant une grande porte, le bureau du général Alpha. il ne pouvait pénétrer dans ce lieu. J'entrais la peur au ventre. Le moins qu'on puisse dire c'est que cette pièce ne manquait pas de charme, du marbre, du parquet. Tout était claire la seule tache, était les armoiries D'El Dorado, sombre tenu sur un mur entre deux fenêtres. Un garçons aux cheveux violet était au centre entrain de pianotai sur son clavier, je dirais qu'il était impatient. Alors c'est lui, le général Alpha. Je ne fis pas de bruit, je préféra l'observer durant plusieurs minute, il était intriguant ces manières de travailler de se couper du monde. Il leva les yeux, il n'était pas surpris de me voir, il n'a pas dut remarquer ma présence, mais comme tout bons homme préfère garder sa fierté. 

- Enchanté dit il, je suis Alpha mais ça, tu le sais déjà, je suppose et toi tu est Régina.

- Je pense que ce n'est pas la peine de répondre vu que tu le sais déjà.

- Très bien, tu sais quel rôle tu as, n'est ce pas ? 

- Celui de fiancée, d'épouse, muette.

- Exactement, tu ne devras pas me contredire. Tu devras rester muette, les affaire de l'entreprise sont les miennes, tu n'a pas le droit d'émettre une suggestion, nous, nous somme bien compris.

- Et si je n'accepte pas, si je ne veux pas finir en marionnette.

 - Ton père m'avait dit que tu avais un sale caractère.

- Il a tord je n'ai pas un sale caractère. Mon caractère m'est propre. C'est juste que je ne me laisse pas faire. 

- C'est moi qui dirige, tu fera ce que je te dis.

- Ce n'est pas forcément celui qui dirige, qui décide. Et je ne ferais jamais ce dont je n'ai pas envie.

Je l'entendis, répliquer, des mots, crier, mais je n'écoutai plus et parti, Mike me regarda, je sais qu'il avait tout écouter, toute la demeure nous avait entendu, mais cela importait peut.

- Mike a tu un plan s'il te plait.

- Oui tient

- Merci c'est gentil.

Je partis dans les long couloirs, je regardais les horloges, il était quatorze heures, déjà, je n'avais pas faim, je préfère me rendre dans la salle de musique. Je vis Annabelle à travers la fenêtre, elle paraissait anxieuse, je me demande comment son rendez vous à elle c'est passé. Loane et Salomé sont s'en t'elle sortit.

*** Salomé

Je discutait avec Béatrice, dans les couloirs, j'appris qu'elle avait 20 ans et qu'elle était la sœur adoptive de Dave, et que maintenant tout comme Misaki avec Annabelle, Mike avec Régina et Arion avec Loane. Béatrice sera ma femme de chambre. Nous parlions de tout et de rien, jusqu'a ce que nous arrivions. 

- Le bureau de ton frère, tu ne peux pas y entrer.

- Non, mais ne t'inquiète, Dvalin est le plus patient de notre famille.

- Hélas ici il ne s'agit pas de patience mais de mariage et de sentiment, enfin si cette émotion est encore de ce monde.

- Elle en fait encore partie Salomé courage.

- Merci. Béatrice, toi et les filles vous êtes des jeunes femmes fortes.

J'entrais dans le bureau, c'était un bureau simple, une bibliothèque, trois fauteuil, un miroir et une table avec un ordinateur où derrière se caché Dvalin. Il était assez grand, je dirais un mètre soixante quinze, il avait des cheveux noire long ou était attaché une chaîne en perle. Il leva les yeux de son ordinateur surpris de me voir. 

- Bonjour tu est Salomé assis toi. 

Je m'assis, il est comme Béatrice me l'avait décris. Il semblait assez perplexe. Et je l'avoue moi aussi. Nous ne nous connaissions pas et nous allons devoir partager notre vie. Il n'y a jamais une fin.

- Ravi de te connaitre tu connais déjà mon nom je pense.

- Oui répondis je, et hélas pour toi même si je ne le savais pas, les journaux me l'aurait appris.

Il sourit ,amusé, je commençais à le distinguer calme, distant mais protecteur. Il me regard un air protecteur dans le regard celui d'un grand frère, celui que je n'ai jamais vu dans mon propre frère.

- Je vais t'apprendre des choses que tu sais déjà, tu sera ma fiancée

- Et je serai réduite au rang de muette et d'objet

- Non... Je... je ne veux pas que tu sois réduite au rang de muette et encore moins d'objet, tu pourra me faire toute les réflexions que tu voudras mais, essaye de ne pas le faire en public s'il te plait et quelque fois je dirais non car je n'aimerais pas tes idées. Cela te convient.

Je le regarda, très surprise, le seul qui avait assez d'ouverture d'esprit pour faire ça était mon père, je me souvenais de la phrase qu'il m'avait dit

" Un homme autre que moi te dit ces mots, c'est que c'est une personne en qui tu peux avoir confiance"

Je sentis une légère larme coulait de mes yeux, Dvalin le vit, il vient près de près moi et l'enleva

- Pardon je suis désolé, pourquoi pleure tu ?

- Ne t'inquiète pas c'est juste que tu me fais pensé à une personnes que j'aime beaucoup.

- J'aimerais beaucoup la rencontré.

- Je suis désolé mais tu ne peux pas, elle est morte il y a quelque mois. Je vais y aller, bonne chance pour tes comptes.

Il me regarda avec un sourire enfantin, Béatrice se tenait derrière la porte un sourire aux lèvres.

- Alors sa c'est bien passé. Demanda t'elle anxieuse ?

- Oui il est très gentil, dvalin est quelqu'un de très sympathique.

- C'est là première fois que tu le vois et tu en as une bonne opinion.

- Oui, il est quel heure.

- seize heure vingt. Pourquoi ?

- J'ai promis aux filles de les rejoindre à dix sept heure, finalement nous avons beaucoup parlé. Je peux t'aider.

- Oui j'ai besoin de toi pour ta garde robe.

- Je te suis mademoiselle.

*** dans un bureau, sombre loin des regards

- Tu devras mettre de la fumé somnum, comme ça on croiras que c'est une méthodes de la famille Dark et la sécurité du château et des fiançailles sera en plus remise en cause.

- Je refuse, je ne veux pas qu'on lui fasse de mal.

- Comme c'est chou, tu n'a pas le choix, ton père a passé un pacte avec moi pour renverser ce cher Axel Blaze. Et puis ne t'inquiète pas pour ta chère fiancée. Elle sera juste endormi tu prendra plusieurs de ces affaires et le tour est joué. Tu vois un jeu d'enfant ?

- Ordure murmura t'il.

- Fais attention à ce que tu dis, n'oublie pas à qui tu parle, je tient peut être la deuxième place face à l'empereur mais je suis quelqu'un d'extrêmement puissant, ce n'est pas par hasard que ton père à fait un pacte avec moi pour devenir mon allié même si c'était dans ton dos.

Tous les enfants de ce père baissait la tête, leur père était peut être aimant mais il avait aussi soif de pouvoir et toute sa famille le savait, surtout sa fille biologique et les premiers enfant qu'il a adopter. Ce pacte était horrible mais c'était comme ça ils devaient obéir aux ordres de l'allié de leur père et sans protester.

La roue tourne désormais, certaine ont fait des choix plus judicieux que d'autres, mais que va t'il se passer à la fin. Colère, tension, reculs un seul mot règne la trahison. Les choix vont s'avérer fatidique dans ce jeux. Le monde n'en a pas fini et il continuera jusqu'à ce qu'eux n'en peuvent plus. Jusqu'à ce que ce fichu monde gagne comme à chaque fois.

(A votre avis de quel père parle t'on dans le dernier passage, quel est le numéro deux après Axel Blaze, la suite vas arriver lentement car je suis très fatiguer en ce moment donc désolé mais quand je dis lentement c'est un chapitre par semaine. 2190 mots.)

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