Chapitre 12
(version nightcore de femme à la mer d'hoshi chaîne : Misaki-chan)
*** Salomé deux jours plus tard
Cela fesait que deux jour que j'était dans ce fauteuil, je n'avais rien bu, rien mangé, j'avais ressorti les plateaux qu'on m'apportai et ne laissait entrer personne, quand je dormais je le voyais juste, Dvalin, entrain de dire que je n'était qu'un jouet, un cauchemar, pourtant ce n'est pas une illusion, c'est vrai. Tellement vrai. Je suis tellement faible. Insouciante.
Salomé, ton nom est la paix même, n'oublie jamais ceci ma fille
Paix ? Je ne l'aurais jamais, je n'aurais pas la paix, celui que j'aime ne m'aime pas, je ne suis rien. Juste un dommage collatéral, un erreur, mais sa on s'en fiche. Des larmes coulaient encore, depuis deux jours j'avaient l'habitude. Je ne savais même plus ce que je fesait là, il me déteste pourquoi ne pas détruire les fiançailles, ha oui, c'est vrai ma main rapporterait de l'influence, que se soit du côté de mon frère ou de celui de Dvalin. Que fessai je là, dans ce monde. J'entendis un petit bruit quelqu'un toquait à la porte.
- Personne ne peux entrer.
Des pas se firent entendre et pourtant mes larmes redoublèrent, comme si je voulais de l'aide pourtant même si on m'en donne, je ne pourrais pas en faire usage. Je ne peux pas recevoir de l'aide, le seul qui peut m'aider me voit comme me verrait mon frère, comme un pois, une jeune femme indiscipliné, qui n'aurait pas du vivre. J'avais envie de crier de pleurer, de sauter, de me briser. Alors c'était ça, la dépression. Une phase ou tu sens ton cœur vide. J'entendis ma porte s'ouvrir et se refermer. C'était surement Béatrice qui s'inquiétait pour rien.
- Personne ne peux entrer, sors s'il te plait.
La fin était dit comme une plainte, mais la personne ne m'écouta pas et s'avança. Je baissais ma tête. Et me replia sur moi même.
- Béatrice sors.
- Ce n'est pas Béatrice.
La personne étaient devant moi, elle n'était pas Béatrice, mais alors qui était ce. Annabelle n'aurait pas parler ainsi. Loane et Régina n'ont pas ce timbre de voix. Je lui jeta un regard. Des cheveux noirs ? Je levai ma tête, Dvalin était devant moi assis, un regard de peine dans ces yeux, je n'ai pas besoin de cette illusion, il se fiche de ma vie. Pas la peine de me montrer autant d'illusion de gentillesse.
- Salomé, que ce passe t'il, pourquoi tu pleures?
- Tu le sais très bien... tu le sais.
- Salomé dit moi, calme toi.
- Pourquoi je te le dirais après tout j... je ne suis qu'un jouet que tu utilise.
- Salomé, c'est faux.
Il m'arracha plusieurs larmes avec sa main. Faux... non je ne suis qu'un jouet, je pleurais encore et encore. Il me pris dans ces bras.
- Salomé laisse moi tout t'expliquer. Salomé tu n'est pas un jouet qui t'a dit ça, qui t'a fait croire ça ?
- T... toi, j'ai découvert que c'était grâce à ta formule que misaki m'avaient rendu malade... tu te servais de m...
- ... C'est faux, salomé, oui c'est moi qui est créer la formule, mais je te le jure. Que je ne savais pas ce que ça engendrerait tu devais juste dormir. Salomé tu n'est pas un jouet et tu ne le seras jamais. Je t'aime Salomé.
Avant que je n'ai pu répondre quelque chose il m'embrassa. Il m'aime... Je répondis a son baiser. Mes larmes saissérent de couler
- Je t'aime aussi.
- Chut calme, toi je t'apporte à manger et après je vais tout t'expliquer.
*** Loane
Je marchais à travers les couloirs. J'était parti voir Vladimir pour lui parler d'hier. Il voulait si j'acceptai bien sur, lui parler de la réception, j'était reparti dans ma chambre quelque instant pour lui montrer un livre, je me stoppa. Un bruit de pas, deux pas, je me retournais et vit Victor. Déjà que je n'avais pas envie de le voir. Il arborait un regard qui ferait peur à n'importe qui, mais pas à moi.
- Bonjour Victor. Comment vas tu ?
- Je suis venue te parler Loane.
- A propos de quoi ?
Sur ça j'en n'avait aucune, aurais je était trop fuyante à la cérémonie, ou un autre truc du genre?
- A propos de qui tu veux dire, ne joue pas les innocentes. Arion t'a vu à la bibliothèque avec Vladimir. Depuis quand l'as tu rencontré , depuis quand tu le vois ?
- Depuis une semaine. Et qu'est ce que cela peut te faire.
- Ça peut faire beaucoup de choses. Je ne veux plus que tu l'approche.
- Et pourquoi ?
- C'est un monstre, un sale handicapé, un jouet sans intérêt, un...
Un bruit, la claque que je lui ai mise, je sentis la colère montait en moi. Pire que de la colère, de la haine, du dégoût.
- Comment peux tu dire ça de ton frère ? Comment peux tu dire des connerie pareil ?
- Mais c'est pourtant ce que tu pense. C'est pour ça que tu lui parle, pour le faire jouer, pour l'utiliser.
- Assez, Vladimir est quelqu'un de formidable, je t'interdis de parler de lui comme ça, je m'intéresse à lui car il est très gentil, pas comme son frère qui ne pense qu'a une personne, pas à son frère qui l'a enfermé pendant toute ces années !
Encore ce même bruit sauf que cette fois ci ce n'était pas moi qui fit ce bruit, mais la main de Victor sur ma joue. Il me regarda, il me défiait.
- N'approche plus mon frère sinon je te tuerai hors de question que tu lui fasse du mal!
Il parti, des larmes commençait à perler sur mes joue, je parti dans ma chambre, je pris mon téléphone et envoya un message à Vladimir disant que je ne me sentai pas bien et que j'allai me reposer. Je laisser mes larmes couler, pourquoi je pleure, je n'en sait rien, la seule chose que je sais ...
C'est que le masque de la fiancée parfaite est brisée en mille morceaux
Des larmes tombent et ce n'est hélas que le début ce jugement leur fera tourner la tête, les liens sont de plus en plus complexe, trahison et vérité, qu'est ce qui les sauvera de ce jugement trop cruel ? Personne, à part eux.
(Alors ce chapitre centré sur Loane et Salomé, j'avoue en écrivant la partie sur Salomé j'ai failli pleuré, beaucoup moins que lors ce que j'ai écris les deux avants derniers chapitre "Le vampire de la lune d'argent", mais j'ai failli, j'adore la musique d'Hoshi qui vas parfaitement avec le chapitre)
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