Quand Wyatt ouvrit sa porte d'entrée, c'était un Jack éreinté qui se présenta devant lui.

W: Bah qu'est ce qui se passe ? T'es pas déguisé !?

J: Je peux me changer ici ?

W: Euhh..ouais pas de problème, entre.
MAMAN ! J'ai un pote qui se change ici, libère la salle de bain !

-: Un pote ? Qui ça ?!...Oh mon dieux...

J: Bonsoir madame, excusez moi de vous dérangez...

-: Ah mais y'a pas de mal, fait comme chez toi la salle de bain est juste au fond du couloir...

J: Merci, sourit il poliment.

W: Maman, il a mon âge le regarde pas comme ça.

-: Doux Jésus ! Mais qui c'est ?! Comment il s'appelle ?! Pourquoi tu l'a jamais invite à la maison ?!

W: Parce que en te regardant maintenant, je vais l'inviter ?

-: Sale gosse ! Je suis ta mère tu m'obéis, dis moi comment il s'appelle.

W: Jack maman, son nom c'est Jack.

-: Qu'est ce qu'il est beau...on dirait un mannequin...

W: Il fait cet effet là à tout le monde.

Jack sortit de la salle de bain, son déguisement sur le dos. Wyatt tout comme sa chère maman étaient bouche bée.

W: Maman je suis gay.

-: Je te pardonne, chérie, dit elle ébahie. Tu es magnifique...il te vas superbement bien...

W: Marvin va péter un câble. On a plus aucune chances maintenant. Tu fais chier Jack !

-: Laisse le tranquille et va te changer ! Tu veux manger quelque chose mon grand ?

J: Je refuserez pas un truc à manger, merci.

Wyatt gravit les escaliers jusqu'à sa chambre pour se préparer. Quant à Jack, il s'était installé à la table de la cuisine regardant la maitresse de maison lui préparer un en cas.

-: Alors Jack, d'où tu viens ?

J: D'Italie. En Sicile.

-: C'est un pays magnifique. J'ai emmener Wyatt une fois, il etait trop petit pour s'en souvenir mais moi j'en garde un souvenir merveilleux.

J: Vous avez voyagez souvent ?

-: Avant oui. Mon ex maris, le père de Wyatt vivait dans les avions. Je le suivait dans ces voyages d'affaires, puis mon fils est né et je ne pouvais plus avoir ce train de vie. J'ai fais presque le tour du monde tu sais. Je suis allé dans les plus belles ville du monde, j'adorais ça, les voyages. J'ai rencontré énormément de gens. Mais c'est du passé tout ça.

J: Vous le recomencerez ce voyage. Je garderais Wyatt si vous voulez.

La femme ne pût se retenir de rire et celui ci continua quand elle déposa une assiette devant l'adolescent.

-: Je vous ai fait quelques chose de léger pour pas vous salir !

J: Merci.

Elle sortit de la cuisine laissant Jack seul dans la pièce. Ses yeux étaient concentrer à analyser toute les photos, dessins, stickers sur le frigo. Il y avait des photos de Wyatt petit avec sa mère et d'autre adultes. Il y avait des dessins de camion de pompier, de dinosaure et d'ogres. Au dessus de levier il y était accrocher une plaque ovale en patte à sel, décoré de couleur et de paillette où était inscrit <<Je t'aime beaucoup maman>> La place choisit était assez pratique, elle pouvait le voir au moins une fois dans la journée. Jack eut l'ombre d'un sourire qui s'effaça aussitôt.

W: En fait je t'ai pas demandé qui tu représentais ?

J: Et toi qu'est ce que t'ai ? Un croque-mort ?

W: Un croque..?! Dis moi que tu blague !

Jack se moqua de lui avant de répondre.

J: Tu devrais être accompagne d'une gamine ?

W: Bingo ! je savais que tu blaguais. Et toi alors ?

J: Bah devine...

W: Mais c'est impossible, tu peux être n'importe quoi !

J: Si tu trouve, je te fille 50 billets. T'a jusqu'à minuit.

****************

W: Prend la troisième. J'ai ma cavalière

J: De quoi ?! mais on aura jamais la place si tu la prend !

W: Elle vas se mettre sur mes genoux. Et surtout fais pas une crise quand tu va la voir.

J: Pourquoi ? C'est qu'Alice.

Wyatt s'étrangla, il avait sortit ça si naturellement. Il vit l'italien arborer un sourire déplaisant, la moquerie et la malice se mélangeaient sur ces lèvres.

J: T'est un sale petit enfoiré n'empêche ! Ça dure depuis combien de temps votre histoire ? Vous couchez ensemble ou vous prenez le temps de vous connaitre et de construire une relation solide et tout le tralala ?

W: C'est que du sexe.

J: PLAIT IL ?! hurla t-il, sautant presque sur son siège.

W: Ça va redescend sur terre ! T'a qu'elle âge ?!

J: Alors c'est sans sentiment. Juste des parties de jambes en l'air ?

W: Rien que ça. Pas d'amourette, pas d'avenir de couple, riens que du sexe. Et c'est très bien comme ça.

J: Petit veinard...Tu vois, ça c'est la belle vie.

W: Si tu le dis. Et en fait comment tu le sais ?

J: Je vous ai pris sur le faite devant le bahut. Je te raconte pas ! Mon coeur a failli lâcher.

W: T'as balancé, je suppose.

J: De quoi ?! Moi ! Tu me prend pour qui ? Je suis un pote fidèle, je me serais saigné pour toi et tu me prend pour une balance. Ah mon coeur à mal...t'imagines pas la douleur que tu m'inflige, MONSTRE !!

W: J'y crois pas une seule seconde ! Arrête ton cinéma...

J: Luk m'en à empêcher. Il m'a coupé l'herbe sous le pied, le salopiaud.

W: Donc que Luk...Tu vois lui c'est un vrai pote. Un bon.

J: Je t'emmerde et lui aussi d'ailleurs, j'aurais pu m'éclater avec cette bombe entre les mains. Votre pays est pas marrant.

Il arrivèrent devant la gigantesque maison et Wyatt ouvrit la portière pour aller chercher sa cavalière. Une demi heure plus tard, la voiture se gara à une rue du cinéma. Les 6 adolescents sortirent du véhicule. Jack, Charlie et Marvin était en tête du groupe suivit de Luk plonger sur sont téléphone et Wyatt et Alice fermaient la marche. Les garçons retrouvèrent leurs compagne de soirée et ensemble il entrèrent dans le bâtiment.

Le cinéma avait prit ses couleurs de ses années de gloire, les étudiants avait aménagés le lieu dans une représentation des années 40, seul le DJ placée en haut du podium donnez une touche de modernité. La pièce était quasiment dans le noir, les seuls rayons lumineux était les flash incesent des lumières prévus à cet effet. Tout les participant de la fête étaient déguisée, il y avait toute sorte de créature, on pouvait en faire un bestiaire. Mais celui qui ressortait le plus dans cette masse de monstre en tout genre était Jack Frost. Il émanait de lui un pouvoir d'attraction qu'à son passage les yeux étaient rivé sur lui, la gente féminine en était hypnotisé.

Jack Frost n'a jamais était aussi beau qu'à cet instant et il l'était pourtant toujours.

La fille à son bras était sur un petit nuage et acceptait avec un sourire rayonnant les regards dégoûtés et méprisants des autres filles. Elle avait à ses côté le plus beau des hommes, elle devait saisir sa chance. Jack l'a fit danser quelques minutes avant de la perdre volontairement pour rejoindre son groupe.

Les garçons regardaient la piste de danse à la recherche de proie potentielle. L'italien ne participait pas au jeu et sillonnant le cinéma pour trouver une créature en particulier. L'exclamation de Marvin le tira de ses songes et il se tourna vers son ami pour comprendre la situation. Il suivit son regard et son coeur loupa un battement quand une femme était entrée attirant tout les regard sur elle, dont celui de Jack.

Elle portait des escarpins à talon aiguille vertigineux et la matière vernis donnais un effet dominant aux chaussures. Elle était habillée d'une robe bleu anthracite, moulante à en perdre la tête, prenant fin à mi cuisse. Le V de la robe ne montrait que la naissance de sa poitrine où reposait un collier avec un flocon comme pendentif. La robe n'avait pas de dessins, d'accessoires, de décorations seul la couleur sombre et arctique remplissait le tissu. L'habit était doté d'une fermeture placé au devant, de haut en bas, coupant la robe en deux laissant une marque particulièrement sensuelle. Cela s'accentuait par la femme qui l'a portait, on aurait dit qu'elle ne faisait qu'un avec le tissu, que cette robe n'était faite que pour elle, seulement pour ces formes, ses atouts féminins,

Mv: Mais c'est qui cette bombasse...soufflait il ahurie.

W: C'est Elsa.

Mv: Que...T'es sur ?!

W: Je connais ce corps, c'est Elsa...

Charlie resta pantois tout comme Marvin après cette révélation, Luk avait détourné le regard. Et Jack avait perdu tout usage de son corps. Son cerveau s'était comme déconnecté, seul ses yeux encore parfaitement éveillés détaillaient la jeune femme à l'entrée, puis son regard s'assombrit. Un homme s'était approché et elle l'enlaca, il pût voir son visage émerveillé par le physique de sa cavalière. Jack voyait automatiquement rouge, ce qui n'échappa pas à Wyatt.

W: Eh ça va ?

J: Géniale, pourquoi ça irait pas ?

W: Tu viens de tordre la louche à punch là...

Le blond n'avait même pas remarque qu'il avait cet ustensile entre les mains tout ce temps, le pauvre objet faisait maintenant un angle aigu douloureux.

Le reste de la soirée se déroulait dans les règles de l'art. Jack Frost lui, était installé sur une table du fond tout prés du bar et balayait la piste de danse de son regard polaire. La fille qu'il avait invité s'était résolu à l'attendre faire un geste et c'est ennuyer qu'elle lui demanda d'un petite voie de l'accompagner danser sur quoi il lui répondit avec tout la froideur du monde:

J: Si t'es pas contente, tu t'en vas. Me soûl pas.

Et la première année ne répondit rien et se terra sur son siège, attendant que son cavalier se calme pour réitérer sa demande.

***************

E: Je peux pas entrer comme ça ! Nan on rentre à la maison pour que je me change !

A: Quoi ?! Ah ça jamais de la vie !Tu rentre là dedans et plus vite que ça !

E: Je te déteste.

Elsa s'était sentit mal à l'aise à la seconde où ses talons hauts avait franchit les portes battantes de la salle. D'abord elle était sujette aux regards de tout les personnes autour d'elle. Elle avait vu certain garçons lancer des regards entendu d'autres faire des remarques assez flatteuse à son encontre. Puis quand Lucas arriva, elle s'était sentie plus à l'aise, sa soeur avait rejoint son cavalier et elle était seul avec le garçon. Au début tout allait bien, Lucas lui faisait de nombreux compliment sur sa beauté, il l'avait emmener danser et boire. Puis elle remarqua que la gêne qu'elle avait ressentit en début de soirée était encore présentes, elle se sentait observé, traqué. Elle endurait un regard lourd et oppressant peser sur elle comme si cette chose était derrière son oreille, soufflant sur sa nuque. Elle se tourna encore et encore, naviguant dans tout la salle, scannant de ses yeux chaque visage, chaque masque.

Puis elle croisa ses pupilles, des prunelles sombres parsemé d'éclat d'or, intense, transperçant. Elsa eut alors une vague de culpabilité l'envahir comme si sa simple présence en ces lieux était une faute. Il était assis à une table son regard pétrifié aux siens, comme seul au milieu de tous, la foule disparaissait pour ne laisser que les deux adolescentes se noyer dans les yeux de l'autre. La jeune femme sentit ses jambes faiblir par des yeux si brute de sentiment, elle voyait en eux une multitude d'émotions qui passait comme un film en accélérer. Il avait ce pouvoir de la rendre démunie, désarmé, complètement sans défense rien que par ses deux perles d'or. Le changement de couleurs si soudain de ces iris était surnaturelle, cette couleur n'apparaissait qu'à des moment précis, seulement au gré de ses humeurs.

Leurs yeux toujours ancrée l'un à l'autre, Jack se releva et elle ne pût empêcher son coeur d'entrée dans un affolement incontrôlé. Elle voyait pour la première fois la vrai beauté de Jack Frost. Elle avait comprit l'allusion de son déguisement, il venait de montrer de la plus explicite des manière qui il était en réalité et Elsa prit peur. Si elle avait résolut l'énigme de son costume alors c'était tout bonnement effrayant, ils avaient à leurs côté un être qui se qualifiait lui même de la créature obscure la plus effroyable. Lucifer. Et pourtant il était majestueux, rien n'y personne ne pouvait l'égaler il était tout simplement parfait. Son costume d'une blancheur immaculée, faisait tache au milieu de tout ce noir. Il avait pris la couleur des rois, des dieux. Empereurs des démons, des monstres, Le Diable. Il était sans doutes apparent, le rois de cette fête, d'une prestance de souverain, Jack Frost prenait les traits de la plus belle et vil des tentations, le plus beau et le plus démoniaque des personnages voilà qui il était.

Le contact visuel se brisa.

Elsa lança un regard torve au garçon qui lui obstruait la vue. Jack lui s'était fait attirer par une fille qui quand il tourna le visage vers elle, souffla de mécontentement. Luna.

J: Tu ne me touche pas comme ça. Tu ne pose pas tes maison sur moi, c'est la dernière fois que tu m'attire de la sorte.

-: Pourquoi tu me parle comme ça ? Je me suis fait belle que pour toi...

J: Je vois pas la différence, une salope reste une salope nan ? Dit il vipérin.

-: T'es dégueulasse ! Je te déteste !

J: C'est le but !

C: Tu crois pas que c'était légèrement excessif ?

Cycy fit son apparition derrière le blond en lui offrant un sourire de salutation.

J: Tu veux savoir la différence qu'il y a entre toi et cette fille Cycy ? Toi, t'es là à prendre son partie alors qu'elle elle se serait donné un malin plaisir à me soutenir. Apprend à lire en eux ou tu te feras énormément de mal Cycy...

C: C'est dur d'être méchant.

J: Ne sois pas méchante, n'essaie pas de leurs ressembler. Ils ne méritent pas tous d'être sauvé, c'est pour ça que tu doit être plus maligne et voir plus profond.

C: Comme ce déguisement ?

L'italien fit une mine interrogative.

C: Les garçons nous ont parler de l'énigme que tu leur à donné. Et figure toi qu'Elsa à trouvé, enfin elle croit. Mais je suis persuader qu'elle a juste en plus quand on regarde de plus près, on te connais pas tant que ça et c'est très perturbant de te regarder en face quant tu porte ce costume.

J: Elsa m'a percée à jour on dirait.

C: Elsa à déjà fait plus que ça...

La petite afro disparut en un clin d'œil avant même que le garçon ne réagissent à temps. Il fronça les sourcils par autant de sous entendu. Elle l'avait dites si vite, dans un souffle calme et posé comme si ce qu'elle pensée était pour elle une évidence, un fait avéré. Mais de quoi voulait parler la métisse ?

L'esprit retourner, il était urgent qu'il prenne un verre. Accoudé au bar improvisé, il attendait que la petite rousse au comptoir lui prépare sa commande. Il vit Luk discuter avec une Sam déguisée en goule. Et tout dégénéra, un mec complètement bourré criait derrière l'oreille de Luk pour se faire entendre de la serveuse.
Luk à bout, poussa le jeune homme en lui criant d'attendre son tour comme tout le monde.

-: Me touche pas le PD ! Je suis pas comme toi dégage ! Lui hurla t-il.

Il empoigna le col du brun pour lui montrer sa supériorité lorsque celui ci se fit violemment éjecter en arrière. Il se releva aussitôt déboussolé et vit un grand blond qui lui souriait d'un air sadique.

-: Qu'est ce que tu me veut Cendrillon !?

Il coura presque vers le nouveau venu et lui envoya son poing au visage. Ce qui lui fit seulement tourner la tête de côté. Il se tourna un sourire en coin sur les lèvres.

J: Aïe, dit il faussement amusé.
A mon tour ?

A peine avait il prononcé ses mots que l'italien lui fit une clé de bras en moins d'un centième de seconde. La mains à l'arrière de son crâne il l'écrasa son visage sur la face glacé du comptoir.
Le garçon rebondit comme une balle de tennis face à l'impact démentiel et il tomba raide sur le sol complètement sonné.

Il se retourna vers ses amis

J: Ça va ?

L: Pourquoi t'a fait ça ?

J: Je suis venue vous aider...

L: J'avais pas besoin de ton aide, je suis pas une princesse en détresse.

Il pris sa veste posé sur le bord et s'en alla furieux. Sam s'approcha du blond et prit son menton entre ses doigts.

S: Oula...il t'a pas raté, une de ses bague t'a griffé jusqu'au sang.

J: Ça va, ça va partir.

S: Viens, je crois que Cycy à des trucs pour les bobos. Eh Cycy !

Ils s'approchèrent de la métisse qui détailla le garçon d'un œil suspect.

S: Il s'est battue. Il est ouverts alors si tu pouvais t'en occuper parce que...je crois que mon verre est prêt ! Sois fort Jack !

Elle se précipita vers le bar chercher sa commande laissant ses deux amis.

J: Alors comme ça tu te promène avec une trousse de secours ?

C: Ouep. Mais je suis la pharmacie par l'infirmière ! Je supporte pas la vue du sang, même deux gouttes. Va devant le couloirs des coulisses je vais trouver quelqu'un pour t'arranger ça.

Il obéit et se dirigea vers l'endroit indiquée. Un couple dépravé était entrain de se rouler une pelle mémorable et dégoûtante à côté de lui. <<Aucune classe>> se dit il. Il attendit impatient et au moment où il allait partir lassé, une voie féminine l'interpella.

-: Jack !?

Elsa lui attrapa le bras pour l'empêcher de s'en aller. Il la regarda avec des yeux ronds mais reprit vite une mine impassible.

J: Si tu cherche ton Liam, il est pas avec moi...

E: Très mature vraiment...Je suis venue pour ton visage ! Cycy m'a dit qu'on t'avais blessé !

J: C'est juste une éraflure, c'est rien, retourne danser avec ton copain...

E: Mais quel gamin...aller vient avec moi.

Elle le prit par le bras et s'engouffra dans le couloir, elle trouva une salle de coulisse dont la porte était entre ouverte et elle y entra suivit du grand blond. Celui ci s'installa sur un vieux fauteuil regardant sa compagne se concentrer sur sa tâche.

Elle prépara un morceau de coton imbibé d'alcool, se mit à côté de Jack et tamponna sa blessure. Il restait de marbre ce qui mettait la blonde mal à l'aise.

E: Tu as le droit d'avoir mal...

J: J'ai pas mal.

E: Tu fais toujours ton cinéma d'habitude, là t'as une occasion en or.

J: Je suis pas d'humeur.

E: Excuse moi, monsieur je m'énerve pour tout et rien.

Jack resta muet et ne sourcilla pas aux soupirs exaspérées de la jeune femme à ses côté. Il fixait inlassablement la porte en face de lui et il eu un sourire en coin. Il prenait plaisir à l'entendre soupirer, alors il chercha à pousser le vice encore plus loin.

J: T'as fini ? On m'attend.

E: Des filles je présume.

J: Tout juste et je veux pas les faire attendre, si tu vois ce que je veux dire.

Il se délectait de son expression dégoûté et méprisante. Elle plissait le nez et tournait ses yeux de côté comme pour garder son calme. L'italien se rendit vite compte qu'il adorais la voir dans cet état, car cela signifiait qu'elle n'était pas indifférente à ses agissements. Qu'elle gardait un œil sur lui et que la jalousie n'était pas très loin de son coeur. Il sourit face à ce constat, ce sourire sonna pourtant différemment aux yeux de l'adolescente.

E: Tu imagine déjà tout ce que tu vas leur faire à ces filles ? Ça se voit sur ton visage, c'est répugnante.

J: T'es jalouse ? Tu veux te joindre à nous ?

E: On ne me partage pas moi...

Cette phrase l'étonna, elle avait dit ça si sechement que les mots resonnait encore dans sa tête. Ce qui lui fit perdre le file de ses pensées, ne fonctionant qu'en pilotage automatique il se leva du fauteuil et d'une enjambée enroula Elsa d'un bras. Il percuta son corps au sien et l'embrassa passionnément. La jeune femme répondit aussitôt et leurs lèvres commencèrent une danse ardente. Les mains d'Elsa se perdaient dans la chevelure peroxydé de l'italien, puis elle vinrent s'accrochent à sa nuque et toucher sa mâchoire. Ses bras s'enroulèrent autour de lui comme une étreinte possessive et approfondit le baiser. Leur langues rentrèrent en collision en même temps comme des aimants. Les mains du garcon ne tenait plus en place, il parcourait inlassablement le dos de la jeune femme cherchant toujours plus de proximité. Le baiser devenait de bestiale, passionnée, Elsa était complètement ailleurs ne savourant que ce désir grandissant électrisant son corps.

Parcourue de frisson intense elle décida de prendre les devants et se déplaça ne sachant pas du tout où elle allait puis Jack se chargea de reprendre les commandes. De plus il commençait à ressentir une légère gêne au dos du fait de leur différence de taille. Alors il glissa ses mains jusque sous les cuisses de la belle et d'une poigne ferme la souleva aussi facilement qu'une plume. Celle ci enroula ses jambes autour de sa taille et pris le visage masculin en coupe à son tour. Mise en hauteur, elle prenait plus de confiance à toucher le visage de son amant.

Le jeune homme chercha alors de mémoire le canapé malgré son attention porté uniquement aux délicieuses lèvre d'Elsa, il réussit à retrouver le sofa et s'y installa, Elsa sur ses genoux. Elle avait veiller à caler ses propre genoux de part et d'autres du corps de son amant, ils se détachèrent par rappel de leur poumons et leurs regards étaient volcanique, le désir se lisait dans les yeux mordoré du garçon. En proies à un désir animal, il saisie sa frêle nuque et la fit pencher en arrière pour dévorer son cou tel un prédateur. Sa bouche redoubla d'intensité au son des souffles d'aise qu'émettait celle ci, il se nourrissait avidement de tout ses bruits qui s'échappait de ses lèvres.

La jeune femme ne voulant pas être totalement passive insinua ses petites  mains sur les épaules de l'italien puis descendit jusqu'à ces avants bras, elle le toucha pour connaître la moindre parcelle de son corps, puis elle décida de lui enlever sa veste puis ce fut autour de sa chemise. Elle se battait avec les boutons, qu'elle déboutonna sans douceur .
Quand elle posa ses mains sur ces pectoraux elle senti le corps masculin frissonner, ses muscles en un mouvement commun s'était crispé à son contact. Elle était impressionné de lui faire ressentir ça, quand Jack colla ses lèvre aux siennes elle ne pût contrôler ses ongles qui s'enfoncèrent dans la peau de l'homme tel des serres, il échappa un grognements sourd. Puis elle parcourue de ses doigt tout son dos et pressa de toute ces force le corps massif contre elle. Plantant ses ongles avec férocité dans la chaire de l'Apollon, elle ne se doutait pas qu'en faite elle était en train de déchirer, érafler, griffer le dos athlétique de son partenaires.
Quand Jack abandonna ces lèvres sucré il fit délicatement glisser la fermeture de la robe de sa partenaires, robe qu'il avait tant de fois retirer sauvagement tout au long de la soirée dans sa tête. Robe qu'il avait rendu fou et exécrable en même temps. Il l'arrêta jusqu'au milieu de son ventre pour découvrir sa poitrine se soulevant dans des mouvements éreintant. Elle avait opté pour un soutien gorge bleu nuit en dentelle, qui hypnotisa le garçon. Aussi lentement qu'un bourreau face à sa victime il déposa ses lèvres sur ses clavicule puis descendit tranquillement vers le bas. Quand il arriva de sa poitrine, la jeune femme échappa un gémissements incontrôlé qui fit sourire Jack. Il continuait sa délicieuse torture jusqu'à ce que la porte s'ouvrit soudainement.

Brisant ainsi la tension intense entre les deux adolescents. La personne s'excusa et déguerpit aussitôt. Elsa comme réveillé en sursaut se releva et recule d'un pas. Le souffle court, on aurait dit qu'elle venait de se réveiller un rêve dont elle n'avait plus de souvenirs.
Elle croisa le regard lourd de reproche du garçon, les doigt devant la bouche, l'avant bras accoudée à l'accoudoir, ses yeux étaient vissé sur la porte d'entrée. Elsa eu l'impression de lire la violence pur dans ces pupilles. Et elle avait vu juste, si Jack Frost retrouvait l'insecte qui avait ruiné sa nuit il le briserait êntre ses doigt et lui ferait vivre les sept enfers.

Il vit la belle blonde se rhabiller et eu un goût amer dans la bouche. Et dire qu'il aurait pu l'avoir, il bouillonnait. Elle remonta la fermeture de sa robe et Jack choisit de se lever au même moment. Il remit sa chemise en place sous l'œil attentif de la jeune femme. Elle prit alors son sac et avant de prendre la porte elle se retourna et sur la points des pieds elle déposa un chaste baiser remplit de tendresse sur les lèvres du blond. Elle lui carressa aussi tendrement que possible la joue puis descendit le long de sa mâchoire carré pour enfin rester sur son torse. Au creux de sa poitrine aussi dur que du béton armé. Jack Frost avait une musculature de boxeur et elle se mordit la joue frustré.

E: Désolé...

Quand elle referma la porte, elle maudissait à son tour la personne qui avait ouvert cette satanée porte.
Elle s'apprêtait à aller aux toilettes se rafraîchir quand une main sortit du noir la saisit par le bras.

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Hum...hum...hum...respirez on en discute dans les com' !!