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Chapitre XVIII: J'ai froid...

Salut les terreurs ! J'en profite pour vous dire quelques mots ! Parce que j'ai des nouvelles !
D'abord sachez que j'ai en ma possession un petit être magique et sensationnelle qui me corrige de bon coeur mes chapitres ! La moi je tape sur mon ordi ou téléphone un texte abdominal jonché de fautes d'orthographes, de grammaire, de conjugaison atroce. Elle de son incroyable don et amour pour l'écriture et sauve vos yeux d'une hémorragie mortelle ! C'est une coéquipière du tonnerres ! Oui je parle de toi las bas qui se cache au fond ! Et oui cathousoccer te voilà sur le devant de la scène ! (Vous inquiétez pas elle fera un petit coucou dans les prochains chapitres )
Ensuite je vais le confirmer mais je pense que vous vous en êtes rendu compte. Les chapitres seront généralement publié le vendredi soir ou samedi soir au plus tard. Je vous donne une fourchette max mais je veillerais au vendredi soir. Si il en vient un retard important cela voudrais dire que je suis morte ou moins dramatique que mon Bac me rappel à l'ordre. Et oui, cette année c'est à moi de passer par cette torture psychologique. Donc voilà la principal raison d'un possible retard de publication...j'ai un Papa et une Maman qui veulent une mention alors pas le choix les amis !
Enfin trêve de blabla je vous laisse sur le chapitre en dessous et n'oublier pas les votes et les com sont mes plats préféré j'en veux plein et qu'il soit bien gras !! :D

**************

-: Mr. Hallen, les absents ? 


-: Elsa Arrend, monsieur 

-: Encore...chuchotait-il songeur. 

*******************

La cafétéria se remplissait à vue d'œil après la sonnerie du déjeuné. Wyatt était assis tout seul à une table, le nez dans son téléphone. Il le verrouilla aussitôt à l'arrivée de Jack qui s'installa.

JÇa fait des coups en douce ?

WOn peut dire ça...

JAh d'accord...je vois... Tu me trompes! Dis moi qui c'est ! Il est plus jeune hein, c'est ça !?

WMais y'a que toi ! Arrêtes de te faire des films ! 

MVOulaaa dispute de couple, j'aime pas ça. Qui a trempé son biscuit chez quelqu'un d'autre ?!

Jack explosa de rire, en attirant tous les regards à lui. Les filles fondaient comme neige au soleil à la vue de leur fantasme rire de bon coeur. Elles le trouvèrent si beau qu'on pouvait voir quelques unes enregistrer ce moment pour qu'il devienne inoubliable.

Il fallait dire qu'à cette table, certains  avaient leur fan club. Malgré les non-dit, Wyatt plaisait énormément à la gente féminine. D'un naturel joueur et comique, son physique un peu svelte mais très bien bâti rendait certaines rouge de plaisir. Il avait sans exagérer un physique bien au dessus de la moyenne, le rendant ainsi irrésistible. De plus, ses cheveux brun nuançant avec ses yeux ressemblant à des perles d'émeraude ne confirmaient que la simple évidence : Wyatt était tout bonnement beau à s'en damner. 

Wyatt et Jack étaient des oppositions, des contraires et pourtant on ne pouvait ne pas créer une guerre en débattant sur une question. En considérant tous leurs caractères aussi bien physique que moraux, qui était le plus beau ? 
Les filles s'en tireraient les cheveux. 

Les trois adolescents continuèrent de plaisanter jusqu'à l'arrivée de Charlie. La mine cadavérique, il salua à peine ses amis.

WTu reviens du monde des morts ou quoi ? 

ChJe te le fais pas dire...

MvQu'est ce qui t'arrive ? 

ChLa fatigue, je pense...

Wyatt se leva juste après ces mots. Il prit son sac le calla à son épaule et se prépara à s'en aller.

WJe dois y aller. Salut les gars. 

Les garçons le virent prendre la sortie. Après un petit moment de silence intense. Jack le rompit.

JIl a une meuf ou un plan. J'hésite...

Mv : 20 billets que c'est une nana. 

JParie tenue.

MvEh mais c'est Kris là-bas...Eh Kris ! Viens ! 

KSalut...qu'est-ce qu'il y a ? 

MvQu'est-ce que tu deviens ? Ça fait une éternité qu'on t'a pas vu!

KOuais, j'avais des trucs à faire. 

MvTa nana, hein ? 

KT'as tout compris...

Il lui tapa dans le dos d'une tape amicale en ajoutant: 

KJe dois y aller, salut les mecs, dit-il précipitamment avant de filer

Mv: Wouaaaaah, alors ça c'est d'une tristesse. On est seul, sans potes, sans femmes...y'a plus que la voie du suicide...

JJe peux te faire venir des filles quand tu veux. 

ChOn est pas dans un bordel...

JJe peux t'en faire apparaître une...

MvL'écoutes pas, fais moi rêver Jack !

JPrends en de la graine. Eh les filles ! Venez donc manger avec nous, on se sent seul !

Il s'adressa à une tablé constituée uniquement de dernière année, âgée d'une année elles auraient sans doute refusez mais le détail non négligeable était l'individu qui les avait invité. Jack Frost. De ce fait, elles ont littéralement sauté de leurs chaises pour s'installer aux côtés des garçons. 

Charlie soupira à la mort alors que Marvin bénissait sa rencontre avec Jack, deux brunettes aux décoltés ravageurs étaient assises à ses côtés, en lui offrant des sourires aguicheurs.

JAlors heureux ? 

MvJe vais t'appeller Obi-Wan...

JPas de ça entre nous mon chère padawan...

Le groupe de fille gloussa à la blague de l'italien même si la majorité ne l'avait pas compris. Jack pensa que celle qui ne connaissait pas cette référence d'un classique pareil ne mériterait même pas l'existence.
Le temps passa jusqu'à la sonnerie qui indiquait la reprise des cours. 

Wyatt sortit discrètement la tête de la porte et analysait le couloir. La voie était libre, il sortit et regarda derrière lui. 
Alice était entrain de refaire sa natte qui était dans un état déplorable. 

WJ'y vais le premier, Ok ? 

AlD'accord. 

Wyatt s'apprêta à sortir entièrement de la petite pièce, quand il fut violemment attiré à l'intérieur par son tee-shirt. Alice l'embrassa langoureusement, sans donner le choix au garçon.

AlQu'est ce que t'es ? Une drogue...? 

WJe te rends folle à ce que je vois...

**************
Quelqu'un frappa à la porte. 

Mais rien ne réagissait. Elsa était enfermée dans sa chambre depuis des jours. Emmitouflée dans sa couette, elle se disait que si cette fièvre de cheval ne la tuait pas c'était sa meilleure amie la culpabilité qui s'en chargerait.
Et les deux comparses menaient une bataille acharnée pour avoir l'honneur d'achever la jeune femme.

Puis la porte s'ouvrit sur une Lily des plus inquiète. 
Elle s'installa au côté de sa nièce et vérifia une nouvelle fois sa température. 

L40.3...Elle ne daigne pas baisser, c'est dingue ! Là c'est trop, j'appelle le médecin et ne geint pas jeune fille, on ne discute pas.

La femme prit la porte et se dirigea dans la salle de bain. 

ELaisse là me tuer ! Je le mérite de toute façon...dit-elle tout bas.

LTes amis n'arrêtent pas d'appeler, vue que mademoiselle ne leur répond pas. Tu devrais leur donner des nouvelles, ça ne m'étonnerait pas de les voir tous derrières la porte...

Elle revint avec un grand verre d'eau et des cachets qu'elle tendit à la malade. Celle-ci se mit en position assise et les avala d'une traite.

LJe dois aller au boulot, donc tu fais attention d'accord ? 

EOui, t'inquiètes pas. 

LA tout à l'heure, chérie.

ELily...Est-ce que tu m'aimerais toujours si j'étais un monstre ?

LMême si tu crois l'être un jour, je croirais dur comme faire que tu ne l'es pas...je t'aimerai toujours ma puce.

Les minutes suivantes, la porte d'entré claqua et se verrouilla. 
Elsa était de nouveau seule et ce qu'elle craignait le plus arriva, ses souvenirs remontèrent à la surface. Les souvenirs de cette nuit, où Elsa Arrend avait tué un homme.

Elle allait de nouveaux se faire torturer par sa culpabilité, quand son téléphone vibra. Un message de son oncle Fitz était arrivé. 
Et comme si celui-ci avait lu dans ses pensées, avait senti la détresse de sa petite nièce, le message disait :

<<Peint pour te sentir mieuxma grande>>

<<Peindre quoi ? Tout est noir...>>

<<Quelque chose qui t'apaisequi te fais du bien>>

Elsa resta quelques minutes à regarder le vide. Elle tourna les paroles de son oncle encore et encore dans sa tête. 
Et elle se leva. Ouvrit la porte de son placard, sortit une toile et une panoplie de peinture d'une mallette. Ne se préoccupant pas de tous les autres attirails qui reposaient au fond de la pièce, elle mit la toile sur le sol.

A genoux devant le support, elle commença son travaille. 
Si vous lui demandiez ce qu'elle était entrain de peindre, Elsa n'aurait pas pu vous répondre. En fait, elle ne le savait pas elle même. Elle se laissait porter par ses instincts. Mélangeant les couleurs, les teintes, les contrastes, les effets de lumières, les perspectives, les formes, les traits. Tout en elle respirait la spontanéité, le vivant, en peignant Elsa pouvait de nouveau respirer, revivre. 
Des goutes salées s'écrasait sur la peinture. La jeune femme, en peignant sa renaissance, pleurait. Les larmes glissaient sur ses joues comme une libération, la culpabilité se faisait moins cruelle, toujours présente oui, toujours armée cependant moins violente, moins virulente, moins oppressante. 

Après deux heures de travail acharné, Elsa avait finit le tableau. Elle se leva pour le contempler et son souffle se bloqua. 
Ses yeux étaient à deux doigts de sortir de leurs orbites. Elle lâcha ses pinceaux sous le choque. 
La blonde était tellement absorbé par la peinture devant elle qu'elle n'entendit pas sa soeur rentrer, ni monter les escaliers, ni même ouvrir la porte et l'appeler.

AElsa ? Qu'est ce que tu...Wouah ! 

E:...

AC'est toi qui a fais ça !? Elsa c'est...mon dieu ! C'est magnifique ! 
Wouahhh qu'est ce qu'il est beau...
C'est la première fois que tu peins en noir et gris, tu disais que t'aimais pas ça...

EJe trouvais ça trop dure...

ATu l'as pas raté pourtant, la vache on dirait qu'il va sortir de la toile. Faut le montrer !

ENan ! 

AMais pourquoi !? Il est magnifique ! 

EIl est à moi...c'est mon tableau ! C'est le mien d'accord !? Promets moi que t'en parleras à personne, personne Anna...

AD'accord, d'accord, je te le promets. Mais c'est quand même du gâchis, c'est la plus belle chose que j'ai jamais vu...

*****************
Le jour suivant, l'établissement était en effervescence. Oui, la grande soirée Halloween approchait, le conseil étudiant était en plein préparatif. Le thème d'Halloween : "les créatures obscures". 
La majorité des élèves attendaient cette soirée avec une impatience non dissimulée, car en plus de cela, cette soirée sonnait le début des vacances
d'automne. 

Elsa rangeait lentement ses livres dans son casier, la tête ailleurs. Tellement dans le brouillard qu'elle ne remarquait pas la présence de l'italien juste à côté, attendant que celle-ci ferme la petite porte pour la surprendre. 
Et quand elle le fit, elle ne sursauta qu'a moitié. 

JSalut ! Enfin des nôtres ! 

EComme on peut le voir. 

JComment tu vas ? 

EAussi bien que toi. 

JAh ouais ? Et c'est avec cette tête là que tu le montres ? 

E:...

Elsa le contourna et marcha dans le couloir, suivit du blond qui n'avait pas l'intention de la lâcher.

JTu vas en quoi ? 

EMaths. 

JGénial, je suis dans le même étage. 

EGénial, comme tu dis. 

Jack se sentit de plus en plus agacé par la situation, et dieu sait que Jack Frost n'avait aucune patience. 
Il saisie le bras de la blonde sans grande force et entra dans la salle de musique qui restait le plus souvent ouverte. 
La classe était vide, seul les instruments brillaient de leur présence. 

JJe veux bien être gentils mais faut pas me prendre pour un con. Tu as un problème avec moi ?

EJ'ai rien du tout, laisse moi aller en cour. 

Elle regardait obstinément la porte. Et Jack tiqua, elle ne l'avait pas regardé dans les yeux une seule fois. Elsa détournait constamment le regard, ce qu'elle fit encore maintenant. 
Le blond ne supportait pas cela, l'ignorance était proscrite à ses yeux.

JRegarde moi. 

E:...

J: Regarde moi putain ! 

Elle fit exprès de tourner la tête. Elle le provoquait, il le sentait et il se demandait pourquoi.

JQuoi ? Tu m'en veux pour quelque chose ? Qu'est ce que je t'ai fais ?

ELaisse moi passer Jack,
sa voix était tremblante. 

JQu'est ce que t'a ? Je te dégoûte ? A cause de cette nuit ? 

Elle leva les yeux aussitôt vers lui. Le regard froid, de marbre, il attendait la réponse.

EJe veux aller en cour. 

JTu le nies même pas ! 

E...

JTout ce que j'ai fait c'était pour te protéger...et maintenant tu te retourne contre moi ?

EJe ne t'ai jamais demandé de m'aider...jamais je ne t'ai dit que j'avais besoin de toi...

JAlors quoi, j'aurai dû te laisser croupir dans ces WC à côté du mec que t'as massacré ?

Elsa ferma difficilement les yeux en se mordant l'intérieur de la joue pour  empêcher les larmes de faire leur entrée. 
Sous le silence pesant, la porte claqua. Elsa était partie. 
Le jeune homme resta au milieux de la pièce les poings serrés, il eut une envie irrésistible d'exploser les instruments innocents entreposés là. 
Et là. Plus rien, la haine disparût. La colère s'évanouit, mourût pour laisser place à l'apaisement et le réconfort. La porte s'était ouverte, et un petit corps s'était écrasé sur son dos. Deux bras tout frêles entouraient sa taille. Il sentait au creux de sa colonne une minuscule tête s'enfouir. L'une des mains s'était retrouvée au milieu de son torse, à quelques centimètres en dessous de son coeur. 
Le blond était resté paralysé, pensant qu'au moindre geste il lui aurait fait peur, parce que évidement, il savait de qui il s'agissait. Alors il ne bougeait plus, profitant de cet élan d'affection venant d'Elsa Arrend.

EPardon...

Puis Jack eut soudainement froid. Elle était partie, lui laissant une frustrante sensation d'abandon, même de manque qui sait ?
Il sortit de la salle et prit le chemin de son prochain cour, il ignora royalement le groupe de ses conquêtes "passe temps". Et monta les marches d'escaliers quatre à quatre. 
Il retrouva sa classe, il se mit à côté de Luk et écoutait le cours qu'à moitié. 

LY'a un problème ?

JJe sais pas. Tu penses quoi des filles ? 

LQuelles filles ? 

JLes filles en général.

LRien. Elles m'intéressent pas, elles me gavent. 

JJe vois. 

LPourquoi tu demandes ça ? 

JUn truc me gêne et j'arrive pas à mettre le doigt dessus. 

LArrête de chercher alors, te tracasse pas et laisse couler...

JOuais...meilleure idée....mais j'ai froid...

LT'as froid ? 

JJ'ai froid, soupira t-il.

*************

La fin de journée arriva, Cycy attendait Elsa devant son casier. Elle vit Anna s'approcher, souriante.

CEt bah alors ? Qu'est ce qui t'arrive ? 

AJe me suis fait inviter. 

CInviter ? À quoi ? Par qui ? 

ABah à la soirée d'Halloween ! Par un gars de l'équipe de foot...tu vois le genre...beau gosse et tout et tout...

CUn ami de Kris ? 

Anna se renferma à l'appellation de ce nom, elle en voulut aussitôt à son amie. Voilà plusieurs semaines que la rouquine faisait tout pour laisser Kris dernière elle et ne plus jamais y repenser.

CJe suis désolée... C'est juste qu'on ne le voit même plus...Je crois qu'il s'est passé quelque chose avec Jack. Elsa et Mickey font comme si je me faisais des idées, mais je ne suis pas dupe... Y'a une guerre froide qui se trame depuis longtemps. 

AEt bah je ne suis pas au courant et je veux pas y penser, c'est plus mon problème.

CJe trouve ça quand même triste. 

Les deux jeunes filles attendait leurs aînée qui se planta devant elles, épuisée. Elle prit quelques affaires dans son casiers et toutes les trois sortirent du bâtiment pour rentrer.

En sortant elle passèrent devant un groupe de mec inconnu. Ils ne venaient sans doute pas du lycée, ils sifflaient et interpellaient la plus âgée du groupe. Déjà à bout, elle perdit très vite patience et ne pût s'empêcher d'entrer dans leur jeu.

EY'a un problème les tocards ? 

La bande commença à s'agiter en criant et sifflant. 
L'un d'eux s'avança vers Elsa, type européen de l'est, il la dépassait d'une bonne tête. Habillé exclusivement de noir, il la toisa avec un regard de défi et amusé. 
Il pouffa de rire et entendit ses amis lui faire différentes plaisanteries auxquelles Elsa ne prêta pas attention.

-: Belle et courageuse, tout ce que j'aime...

EGrand bien t'en fasse. 

Elle s'apprêta à repartir mais l'inconnu la retint fermement par le bras. 

ELâche moi.

-: Pas avant d'avoir fait connaissance. 

ESans façon, j'ai un copain, lâche moi. 

-: Comme si il te méritait, il fera pas le poids tu verras...

??: Tu crois ça ? Dit une voie derrière eux, d'une froideur à en faire pâlir un mort.

E:..Jack ?...

JM'oblige pas à te faire devenir manchot, mon vieux. Lâche ma copine, ou je te brise le poignet.

Inconsciemment, le garçon lâcha le bras de la jeune femme. Le blond se mit alors devant elle, il faisait bien une demi têtes de plus que son interlocuteur.

-Ça fait le mec virile devant sa nana hein...

JSi je te montre ce que c'est d'être un vrai homme tu survivrai pas. Évite le coma, repose plus jamais les yeux sur ce qui est à moi ? T'as compris ? 

L'inconnue s'humecta les lèvres en proie à un combat intérieur, puis il décida de se retirer. En rejoignant sa bande Jack arborait encore ses yeux sombre, anthracite. Mais cela ne dura guère longtemps quand son regard se tourna vers la blonde, il fut plus doux et beaucoup plus clair. 

J:  Toujours dans le pétrin à ce que je vois. 

EToujours à te mêler de mes affaires.

JQu'est ce que tu veux, j'ai un faible pour les demoiselles en détresse.

EJe me debrouillais très bien toute seule. 

JC'est ce que j'ai vu. Mais ça me  plaisait pas qu'il te touche. J'aime pas partager...

EPartager quoi au juste ? 

J: Toi. Ma copine. 

EQui a dit que je parlais de toi à ce moment là ?!

JJe lis en toi comme un livre ouvert, tu ne pensais qu'a moi. Je le sais, je l'ai senti.

EFatiguant...

JTu m'adore ! 

EC'est ça ! 

Il la vit rejoindre sa soeur et sa meilleure amie. Il continuait à les regarder jusqu'à ce que leur voiture sortent bel et bien du parking. Puis il s'assit sur une balustrade et attendit Wyatt. Pendant cette attente, il leva les yeux aux ciel à la venu de sa dernière cruche. Luna. Elle se planta devant lui, l'air boudeur. 
Jack s'en fichait éperdument. En fait cette fille ne lui servait que pour faire de l'exercice, qu'une paire de jambes pour assouvir ses caprices. Il ne la considérait même pas un peu, elle l'ennuyait d'une force magistrale.

JPousse toi tu me gêne, lui dit-il glaciale. 

-: Pourquoi tu me parle comme ça. Ai un peu de respect pour ta copine.

Jack pouffa de rire. 

JMa copine ? Où ça ? Toi ? La bonne blague. Une partie de jambes en l'air certes, mais surtout pas ma copine. 

Elle faillit lui mettre une gifle, mais c'était sans compte sur les réflexes de l'italien. Il afficha un regard transperçant, elle tressaillit face à des yeux si terrifiant. 
Le poignet dans sa paume, il avait la délicieuse envie de lui faire mal. 

JTu ne lève jamais la main sur moi. Je te l'interdit.

-: Mais qu'est ce qui t'arrive ? Pourquoi tu nous traite toutes comme ça ? C'est cette fille ? Cette blonde ? Cette Elsa ? Tu te fous de moi ? Tu l'as regardée !?

Le jeune homme la sonda, ses yeux orageux envoyait un message  menaçant voulant clairement dire : <<Continue qu'on rigole>>
La fille en eut des sueurs froides, il lui faisait extrêmement peur et paradoxalement, elle le trouvait tellement attirant. Elle se tut et regarda le sol, elle était si frustrée qu'il l'oublie comme cela, tout ça pour cette pimbêche pensa t-elle. Elle ne voulait aucunement le perdre, il était si beau, si érotique, il lui apportait tellement qu'aucun ne pouvait l'égaler. Nan, c'était impossible, elle devait le reprendre. Coûte que coûte. Et pour cela, une idée germa, une répugnante et catastrophique idée.
Elle regarda le visage de Jack Frost qui fixait l'entrée du lycée attendant désespérément son ami, et elle se promit que cet homme serait à elle.

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