Chapitre XVIII: Félicitations dramatiques
La sonnerie de son téléphone retentit quand Elsa marchait en direction du parking. Elle s'apprêtait à répondre quand quelqu'un l'interpella. C'était Wyatt.
E: Salut !
W: Ouais Salut ! Dis moi t'aurais pas vu Cycy par hasard aujourd'hui ?
E: Pas depuis ce midi, on a mangé ensemble pourquoi ?
W: D'accord et vous vous êtes pas fais de confidence ou même parler de moi d'une quelque manière si ?
E: Mais pou....Wyatt qu'est ce que t'as fait ? Lui dit elle munit d'un regard assassin.
W: Moi ?! Mais pourquoi on pense toute suite à ça !?
Elsa lui pris le bras et le tira derrière un muret ou elle le plaqua dessus. Les nerf à vif, Elsa voyait rouge et par le plus grand de tout les hasards elle ne s'était pas détaché du corps de son ex petit ami quand un certain jeune homme aux allures de mannequin passait l'escalier accompagné de deux pots de colle qui gloussaient à ces oreilles. Il vit ces deux amis au loin et l'iris de ses yeux changea de couleur et prirent une teinte sombre. Il continuait quand même sont chemin n'écoutant pas un seul mot de ses accompagnatrices, las.
E: Je te jure que si t'as parlé trop vite avec Cycy et que tu l'a blessé, Wyatt je vais te...-
W: Massacrer...je sais. Commence toute de suite alors.
Elsa fit les gros yeux, choqué.
E: Mais c'est pas vrai ! Qu'est ce que t'as fait !!! Criait elle en lui donnant des coups de poing aux bras.
W: Un truc trop cruel pour le répéter.
E: Toi. Il fallu que ce soit toi en plus, bravo ! Tu connais Cycy depuis la primaire, t'as toujours été avec elle et tu ose...Tu as OSE lui faire ça !? Je vais te tuer Wyatt !
W: Ça va ! ÇA VA ! Je me sens assez mal comme ça d'accord. Je culpabilise à mort et maintenant c'est sur qu'elle me pardonnera jamais... Comment je fais moi si elle m'adresse jamais plus la parole ? Hein ?
E: Moi j'ai peur de ce que ça va lui faire à...- Oh c'est elle ! Dit elle en montrant son téléphone.
E: Oui Cycy ? Ça va ? ....t'es sûr ?...Je sais pour ce qu'a fait Wyatt et je voudrais...C'est vrai ? Quand ça ? Et ça va mieux ? Je suis tellement contente...j'ai eu peur...et oui dis moi ? Un restau ? Ouais d'accord...je viendrais te chercher chez toi alors...bisoue...
W: Alors ?
E: Elle veut mourir...
W: Qu..quoi !? Mais ta dis "je suis contente"...et...et...
E: Elle a pas dit qu'elle allait se suicider, elle a juste dit qu'elle voulais mourir c'est pour ça que je vais aller chez elle après...mentit elle.
Elle vit le visage du grand brun se décomposer. Et sans perdre une seconde elle le vit courir comme une flèches.
E: Crétin va...
Il se dirigeait vers le lycée, dans la salle des professeurs, Cycy étant une délégué de classe elle était sûrement las bas. Il courrait si vite qu'il en oublia presque de respirer, il ouvrait chaque porte à la volé et arrivé devant la dites salle, Cycy sortie aussitôt.
Elle fut surprise de voir Wyatt, essoufflé devant elle et encore plus quand elle vit son ami s'écrouler sur un genoux. Par réflexe, elle eut très peur et se précipita à ces côtés.
C: Oh mon dieu...Wyatt ! Tu...tu fais une crise !? Oh c'est pas vrais, respire d'accord il faut que tu t'oblige à respirer je vais aller chercher de l'aide toute...toute...suite !
W: Nan...je...vais...bien...j'ai juste courue trop vite...
C: Ne parle pas ! Où...où est ton inhalateur !? Où il est !?
Elle se leva prête à courir à l'infirmerie mais Wyatt la retint par la main. Légèrement calmé mais toujours essoufflé.
W: J'ai pas eu de crise depuis mes douze ans Cycy... Ça va aller.
Il se leva et la métisse ne pût s'empêcher de l'aider.
C: Mais pourquoi t'es dans cet état ? Qu'est ce qui se passe ? Tu..-
W: Pardon.
C: ...
W: Pardon. Pardon. Mille pardon. Je suis un nul doublé d'un abrutis, je le sais. Et ce que j'ai dit si tu savais à qu'elle point je le pensais pas.
T'es paroles m'avait blessé et énerver alors...
Il se rapprocha d'elle est mis ses mains en coupe sur son visage. La regardant droit dans les yeux.
W: Je veux pas que notre amitié s'arrête. T'es ma meilleure amie et je supporterai pas que tu ne m'adresse jamais la parole ou que tu me laisse tomber. Surtout pas par ma faute. Je suis vraiment vraiment désole Cycy...
Il baissa la tête coupable et fronçant légèrement les sourcils en retirant ses main. Cycy sourit et lui releva la tête d'une main, la laissant sur sa joue. Il culpabilisait tellement qu'elle le trouvait mignon.
C: Ça va aller. Je sais tout ça. Après tout ce temps je te connais par coeur Wyatt.
W: Tu...Tu me veux plus alors ?
C: Nan, c'est passé.
Il sourit de toute ses dents et la pris dans ses bras. Décontenancé Cycy laissait les bras balant.
W: Tu sais que je t'aime toute façon, Cycy.
C: Oui et moi aussi Wyatt, Sourit elle avant de le serrer dans ses bras à son tour.
*********
Le bruit d'un couteau tapant à rythme régulier sur une planche de bois résonnait dans toute la cuisine des Arendt.
L'homme de la maison était concentré dans son travaille de chef étoilé tandis que sa nouvelle épouse apparût à pas de loup derrière lui pour l'enlacer. Délicieusement surpris, Fitz sourit tout en continuant sa préparation.
L: Te voir faire la cuisine a le don de me faire de l'effet, lui dit elle en enfouissant son visage au creux du dos de son maris.
F: Je fait cet effet à beaucoup de femmes.
Après cette remarque, bien calculé, sa femme se détacha de lui avec une mine amère. Et s'installa sur une des chaises.
L: T'es blague sont de mauvais goût.
F: Moi qui croyait que tu es tombé amoureuses de mon humour pourtant.
Il s'était rapproché et lui avait chuchoté ces quelques mots à l'oreille.
Après un petit rire remplie de sous entendue.
L: Ta sauce va brûler, Gusteau.
Il fila au fourneau et continua son travaille. Jusqu'à ce que Lyly se racla la gorge.
L: Elsa t'a parut malade ce matin ?
F: Elsa ? Nan pourquoi ?
L: T'es sûr ? Elle a pas passée plus de temps dans la salle de bain ?
F: Pas plus que d'habitude, elle s'est même dépêchée pourquoi ?
L: Tu l'a vue partir ?
F :Tu vas cracher le morceau oui !
L: Je vais te le dire pas la peine d'hausser le ton ! Hier soir elle m'a demande si une chute à la tête contre de la glace pouvait être grave.
F: Elle est tombée à l'entraînement !?
L: Nan, enfin elle m'a dit que c'était pas elle et qu'elle ne s'est rien fait du tout. Et depuis je surveille sa tête et c'est pour ça que je te demande si ce matin, elle était bizarre.
F: J'ai pas eu l'impression qu'elle allait mal aujourd'hui. Ça se voit quand quelqu'un à vomis quand même.
L: Bien sûr. Surtout que les vomissements sont les symptômes d'une éventuelle commotion.
F: Mais si ça dure plus longtemps...
A: Si ça dure plus de 6heures ou 24 au maximum la gravité de cette commotions est plus importante qu'on le pense.
Les deux adultes se tournèrent en direction de leur nièce qui venait d'arriver dans la pièce.
A: J'ai fait un exposé sur le cerveau au collège.
F: Ohh, je me disais aussi.
A: Mais qui est entrain de mourir.
F: Le petit Moor.
Anna en fit tomber la cuiller bois qui touillait la sauce. Elle leva les yeux vers on oncle qui lui donnait un regard perçant analysant sa réaction.
La jeune fille se leva précipitamment et se rua à l'étage.
F: Je t'ai appris à être plus forte que ça ! Hulait il, exaspéré.
L: Mais pourquoi tu lui a dit ça !? Tu es fou ! Elle ne vas pas bien et toi tu l'enfonce !
F: Moi je l'enfonce !? Avoir le coeur brisé n'est pas une dispense de cour à ce que je sache !
Si c'était le cas on aurai même plus d'avenir. C'est fou ça ! Ils sont à peine 15 ans et c'est limite s'ils tombent pas en dépression !
Je ne l'ai pas élevé comme ça ! A ce morfondre à la mort pour un môme !
L: C'est sur que Terminator veut des enfants à son effigie ! T'arrête tes discours de commandant tyrannique et tu vas lui parler !
F: Quoi !? Pourquoi moi !?
L: C'est ton éducation nan ? Tu vas réparer les problèmes qui te dérange ! Aller va, va je continue ici.
L'homme de maison souffla bruyamment pour montrer sont mécontentement. Et se dirigea à l'étage dans la chambre de sa plus jeune nièce.
Il toqua mais la propriétaire de la chambre ne répondit pas. Il souffla encore une fois.
F: Tu sais très biens que je n'entre pas dans vos chambres tant que vous ne m'autorisez pas.
A: Va t'en !
F: Ah, là je peux entrer.
Il s'engouffra dans la petite chambre et s'installa sur le lit de la rouquine.
A: Si c'est pour encore se moquer de moi ou me balancer des choses méchantes tu peux repasser, j'ai déjà eu mon quotas.
F: Je suis juste déçu.
A: ...
F: Je croyais que tu étais beaucoup plus forte que ça. Tu ne vas pas en cour pour une dispute !? Mais c'est quoi ça !? Depuis quand ma Anna est devenue une pleurnicharde ?
A: Je ne suis pas Elsa. Je ne peux pas oublié en une fois.
F: Bien sûr que tu n'est pas ta soeur. Elsa est plus dur avec elle même, elle encaisse tout d'un coup, s'extériorise un bonne fois et continue malgré les difficultés. Toi tu es différente...regarde Dame Ajisai...
A: Tout ça c'est de sa faute. Elle me gâché continuellement la vie.
F: Elle te protège. Elle t'a toujours protégée.
A: Mais j'en ai plus besoin ! Il faut que j'arrête !
F: Tu es la seule à la faire partir. Tu veux mon avis ? Je crois que tu as toujours besoin de ta Dame Ajisai, ma puce. Si elle apparait, c'est que inconsciemment tu as peur et elle vient te sauver comme elle l'a toujours fait.
A: Mais pourquoi j'ai peur de Kris ? C'est pas logique.
F: Si ça ne tenait qu'à moi je laisserai ce côté de toi écarter toute menace masculine. Je vois pas pourquoi ça te gène, une vie sans copain c'est géniale ! Laisse la faire son boulot !
A: Tonton Fitz ! Crit elle en lui donnant un coup à l'épaule.
F: N'en veux pas à ce côté de toi- même qui te protège...Ne te déteste pas. Au contraire travaille sur ce problème Anna, si tu tiens vraiment à quelque chose, tu dois te battre pour elle, c'est ça la vie.
Rien ne t'arrivera emballé dans un jolie cadeau. Compris ?
A: ...Oui , plus que comprit.
F: Tonton Fitz à droit à un câlin pour dormir sur ces deux oreilles ?
A: Hummm...oui.
Elle se rapprocha et Fitz l'a pris dans ces bras, il lui fit un bisou sur le crâne.
F: Faudra qu'il se battent avec l'intention de me tuer pour t'arracher à moi.
Dire que dans 30 ans ces câlins seront à un autre...
Anna essaya de se décoller pour rectifier quelque chose.
A: 30 ans c'est un peu trop quand même...-
Il ne la laissa pas continuer et la serra plus fort.
F: Nan 30 ans c'est parfait ! Tais-toi.
Anna rit dans les bras de son oncle et elle se sentit beaucoup mieux. Elle allait se battre, elle allait suivre les conseil du seul homme de sa vie pour un autre.
************
Mv: Bon tout le monde est là ?
Ch: L'invité principale est là, c'est déjà pas mal.
Kg: Ouais, je suis là !
Mv: Bon, qui manque ? soyons sérieux !
A: Kris, Jack, Elsa et Cycy. Est ce qu'Anna vient ?
S: Les filles sont là ! Dit elle en pointant Elsa et Cycy qui venait de descendre de la voiture de la blonde.
Elles rejoignirent le petit groupe devant un restaurant indien.
Le groupe s'était réuni au complet pour fêter l'entrée de Mickey dans l'équipe d'État de football américain.
Ce qui était une évolution importante dans le parcours sportif du jeune homme qui voulait en faire une carrière.
Jack avait prévenu tout leurs amis même si quelques un n'avait pas encore bien fait connaissance.
L'italien avait convaincu son cousin de venir pour son meilleur ami, Marvin, Luk, Charles et Wyatt avait répondu présent sans hésiter. Ensuite il avait confier à Marvin la tache de prévenir Alice et Samantha. Puis il s'était chargé de Cycy pour ensuite prévenir Elsa. Sournois qu'il était, il avait demandé à Cycy d'emmener Anna pour lui changer les idées.
Il était maintenant 19 heures du soir et tout le groupe s'était réunie à part Kris, Jack et Anna qui était en retard.
C: Anna arrive dans quelques minutes en voiture.
E: Et pour ce qui est des garçons ?
Tout le monde haussa les épaules, ignorant.
W: Je vais appelé le blondinet.
...
...
...
Il répond pas, c'est bizarre.
Je réessaie.
...
...
...
Encore messagerie.
C: Essayez Kris.
Kg: Ok.
...
...
Ouais Kris ? T'es où là ? T'es encore chez toi ? Mais qu'est ce que vous faites !? On est tous devant le restau !
...mais il est pas avec nous...t'es entrain de l'attendre ? .......il est pas arrive ici non plus et il répond pas au téléphone non plus....Bah on sait pas...a pied jusqu'à ici ? T'es fou c'est loin ! A..attend Charlie dit qui peut venir te prendre...ouais...il sera devant chez toi dans 10 minutes...Ok à toute suite.
Kg: Il a dit qu'il attendait Jack depuis un bon quart d'heure. Il a essayer de l'appeler aussi mais il a pas réussi à l'avoir.
E: Mais où est ce qu'il est !?
W: C'est lui qui organise et il nous plante, c'est pas normal.
Ch: Bon, moi je vais chercher Kris. Vous me tenez au courant ! Dit il en se dirigeants vers sa voiture et sortir du parking.
A: Qu'est ce qu'on fait nous ?
E: On attend tout le monde, on a pas trop le choix.
S: Faisons ça ! Elle s'essaya sur le trottoir devant le restaurants et tout le reste du groupe l'imita, sauf Elsa qui resta debout, trop anxieuses pour s'assoir. Elle jeta de rapide coup d'œil vers l'entrée du parking espérant voir la voiture de celui dont avait pas de nouvelle.
*********
Après avoir largué les deux sangsues qui le collait depuis 10 bonnes minutes, Jack Frost s'était installé dans sa voiture. Et resta sans bouger sur son siège. Il souffla un bon coup et s'apprêta à mettre le contact quand il se sentie bizarre. Il entendit des bourdonnements incessants dans ces oreilles, ce qui le gêna atrocement. Toute la journée il avait eu des étourdissements et des maux de têtes persistants. Mais là, la gène était insupportable, on aurait dis qu'un concert d'heavy métal prenait tout l'espèce de sa boite crânienne. Il grimaça et essaya de se boucher les oreilles ou de respirer profondément mais rien y fait.
A bout, il sortie de la voiture et se dirigea vers la bibliothèque qui était plus près du parking pour aller aux toilettes. Chancelant et désorienté, il essayait tant bien que mal de se conduire jusqu'au bâtiment.
Les violents vertiges l'assaillaient à chacun de ses pas, les bourdonnements continuaient encore et toujours leur vacarme. Et le jeune homme avait de plus en plus de mal à respirer. Il arriva juste devant la porte des toilettes et la poussa de son corps. Arrivé dans la petite pièce, il vit son reflet et son l'allure cadavérique. On aurai pu le confondre à un zombie. Son front était recouvert de grosses gouttes de sueurs après l'effort colossale qu'il venait de fournir. Il s'avachi sans retenue au robinet et tena à peine sur ses jambes qui tremblaient de spasmes si violent qu'ils en étaient douloureux.
Jack perdait totalement pied, il se remémora sa chute à la patinoire quand il avait vu Elsa basculer en arrière, lui était à quelque pas d'elle, il savait qu'il l'aurai rattrapé sans problème mais il n'avait pas calculé son manque d'expérience sur une piste glissante et s'était écrasé sur le sol gelé. Le choc avait été doublement violent de par son poids mais aussi de celui d'Elsa. La douleur du choque s'était faite sentir à peine quelques secondes et était partie. Il ne pensait pas que cela prendrai une telle ampleur. Il ne voulait pas inquiété tout le monde, il détestait ça, qu'on s'inquiète, qu'on est peur pour lui. Il avait l'impression d'être un poids, d'être aussi fragile que du cristal et il n'aurait pas supporter voir cette expression dans les yeux d'Elsa, il ne voulais pas qu'elle se sente coupable et se déteste pour lui, c'était lui qui s'était mis dans cette situation, il l'avais empêcher de se blesser. Il s'était montrer impulsif et son corps avait bouger tout seul pour la protéger.
Quand sa vu se troubla dangereusement, il prit son téléphone et d'une main tremblante ne pût actionner les touches tactiles. Alors il essaya l'application vocal, tant qu'a faire autant tenter, se dit il à demi conscient.
J: A...Appel les pompiers...
...
...
La voie féminine du téléphone répondit toute suite :
"Je ne comprend pas votre demande"
Le garçon souffla, à bout. Son corps était pris d'une fatigue insoutenable. Sa vu était de plus en plus voilée.
Il réunissait ses dernières forces et réessaya.
J: ...Appel...les urgences...
" Contact des urgences effectué "
...
...
...
"Service des urgences j'écoute ? "
"Allô ? "
J: Aidez moi...
"Monsieur ? Monsieur ? Pouvez vous me dire votre nom ? Que se passe t-il ? Allô ?
Prononcer ces deux mots avait pris le dessus sur le bel italien qui s'écroula à même le sol. Il tomba si violemment que la femme derrière le combiné entendue la chute.
" Monsieur vous m'entendez ? Monsieur !"...
************
To be continued....
Ohhhhh que je suis cruelle, je suis abominable...XD XD XD (oui ça fait longtemps que je me suis pas montré)
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