Chapitre XVII : L'air de rien...
Bonne fête en retard à Kiwiledoublefruit07 !!! Petit cadeau rien que pour toi !!!
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A: Elsa ton lacet !
La jeune femme eu à peine le temps de se tourner en direction d'Alice. Un des lacets c'était défait et s'était enroulé sur le patin opposé. Le mouvement d'Elsa resserra le lacet et le pire arriva, Elsa se sentait tomber en arrière et ne pouvait pas se rattraper à quelque chose. Elle pensa déjà à la douleur atroce qu'elle ressentira quand sa tête percutera le sol. Pourtant la douleur ne fit pas son apparition, elle était tombée mais à la place de sentir la froideur de la glace c'était un corps qui avait amorti sa chute.
Elle entendit une plainte et des patins se précipiter à sa rencontre.
J: Aïe...
A: Oh mon Dieu ! Est ce que vous allez bien !? Vous êtes blessés !?
E: Nan je ...Anw ! Jack ! Mais qu'est ce que...
J: Ça va. Ne paniquez pas, calmez-vous...
Alice aida Elsa à se relever et toute les deux aidèrent Jack. Avant cela il grimaça et se leva.
Il se frotta vigoureusement la tête et cela n'échappa pas à Elsa qui ne l'avait pas quittée des yeux.
E: Est ce que tu est sur que ça va Jack ? Dit elle inquiète.
J: Mais oui ! C'est rien.
Pourtant il avait toujours la main sur sa tête jusqu'à ce qu'Alice cria, faisant sursauter les deux autres adolescents qui n'avait pas détacher le regard l'un de l'autre.
A: C'est ça que tu appelles rien du tout ? Dit elle en montrant des tâches de sang sur la parois glacée.
Jack roulait des yeux pendant qu'Elsa étouffait une exclamation. Elle se retourna vivement vers Jack le regard assassin. Une sortie était à proximité et tout les trois sortirent de la piste. Jack s'assit sur un banc et Elsa se planta juste devant lui.
E: Montre moi ta tête ! De suite !
J: Quoi ?! Mais nan ! Y'a rien du tout, je te dis que ça va.
A: T'as les cheveux tellement claire Jack, que la moindre saleté se voit. Malgré ton effort à la cacher j'ai vue des mèches de cheveux rouges.
J: Je me suis fait des mèches. Je suis dans une période rebelle de ma vie.
E: Ça suffit ! J'appelle les secours, tu pourrais avoir un truc plus grave à l'intérieur, on peut pas savoir.
J: Les urgences ?! Arrête.
Il se leva et la domina de toute sa hauteur alors qu'elle amenait son téléphone à son oreille. Maid avant qu'elle ne puisse répondre Jack fit projeter son portable en l'air alors qu'elle l'avait fermement dans ses mains. Elsa vit son appareil voler en avant que le garçon ne l'attrape.
E: Qu'est ce que...Mais t'es malade ou quoi ?! C'était pour toi !
J: J'ai dit que j'allais bien, je pensais pouvoir te rattraper sans problème mais j'avais oublier qu'on était sur de la glace donc on est tomber ensemble. Tu t'es cogné contre moi et je me suis cogné contre la glace, fin de la discussion. Tu pèses pas 8 tonnes arrête de paniquer. Et toi t'as pas intérêt à prendre ton portable, dit il en pointant Alice.
A: Mais...
E: Jack...
J: Mais c'est pas vrai...tu veux vérifier ? Vérifie ! Tu verras que y'a rien de grave, on ne voit pas ma cervelle.
Il se rassit sur le banc derrière lui et baissa la tête pour Elsa. Elle s'approcha de lui, même assis Jack lui arrivait à la poitrine. Tremblante, elle mis ses mains sur la tête du jeune homme et commençai à chercher une blessure aux milieux de toute ces mèches. Elle sentie le corps de Jack se tendre à chaque mouvement de ses doigts dans sa chevelure peroxydé. Puis elle trouva, à deux ou trois centimètres à la base de sa nuque, où les cheveux aux alentours avec pris une couleur de sang. Elle les souleva et vit une légère entaille, un petit trou qui se résorberait facilement après un traitement.
A: Alors ?
E: Peut être qu'il faut des points de suture. Je sais pas vraiment.
J: T'a vus, rien de grave !
E: Mais on doit au moins nettoyer !
J: Je le ferais moi même chez moi. Aller c'est fini ? Dit il en se levant mais Elsa le stoppa.
E: Je ne te fais pas confiance...s'il te plait laisse nous au moins faire ça, ça ne vas pas être long, je te promet...
Ils se regardèrent intensément sans même cligne des yeux, chacun se battait contre le regard de l'autre. C'est alors qu' Elsa sortie la carte des yeux larmoyants et ainsi perturba Jack quelques secondes.
L'italien soupira en signe d'approbation.
Alors Alice se précipita dans les vestiaires pour aller chercher une trousse de secours, laissant les deux autres ensembles.
E: Peut être que c'est plus grave que tu ne le pense...tu devrais vraiment aller à l'hôpital au moins pour vérifier...
J: T'es ennuyeuses là.
E: Je m'inquiète ! T'aurais jamais du faire ça !
J: Et qu'est ce que j'aurai du faire !? Te regarder tomber et te blesser à ma place !?
E: C'était moi qui devait tomber ! Pas toi et maintenant tu as le crâne ouvert et c'est ma faute ! Et..
J: Et rien du tout. Tu te plains que je suis horrible...J'ai juste voulu être galant et t'empêcher de te faire atrocement mal...c'est tout. Ne le prend pas pour toi, je ne vais pas faire un malaise ou mourir subitement, rit il. Alors respire, je ne suis pas fait en papier mâcher...dit il dans un sourire éblouissant.
Alice arriva avec la trousse de secours. Et sans demander à Elsa elle se plaça derrière Jack qui la laissa le soigner. Elsa regardait son ancienne amie faire et elle ressentit une certaine gêne à être à côté d'eux. Elle se dit même que quelque chose c'était peut être formé entre les deux et involontairement cela l'attristait légèrement. Quand elle vit Jack du coin de l'œil relever la tête elle reprit toute suite un peu de prestance et lui sourit.
A: Voilà. C'est fini.
J: Géniale. Et maintenant on fait quoi ?
E: On va rentrer. J'ai eu mon quotas de rebondissements pour aujourd'hui.
A: Je vais rester finir ce que j'avais prévu de faire. Rentrer bien, dit elle en s'éloignant vers une entré de la piste.
J: Elsa ? On y vas ?
E: Hein ? Oui oui allons y.
Arrivé à la voiture Elsa se stoppa net.
E: C'est moi qui conduit. C'est pas bon que tu le fasse toute suite.
J: C'est ça. C'est ma voiture...MA voiture à moi et personne d'autre la conduit.
E: Et si il se passe quelque chose ! Pas question qu'on est un accident à cause de ton instinct primitif pour ta voiture !
J: Rooo, je te protégerai de mon corps. Celui qui crèvera dans l'histoire c'est moi, alors monte !
E: Et tu crois qu'en me distant ça c'est rassurant !? Et rigole pas sur ces choses là, cet humour me fait vraiment pas rire, dit elle sèchement.
J:...Je préfère mourir pour toi que de te voir mourir, c'est tout...
E: Je vais t'envoyer mon poing dans ta jolie mâchoire de jolie coeur.
Jack se mit à rire en démarrant le véhicules.
J: J'adore c'est phrases sortie de film. Ça met les fille dans un de ces état. C'est assez marrants.
E: Pfff...qu'est ce se tu peux bien m'énerver quand tu t'y met...
J: Ouais je commence à le comprendre aussi...
Après dix minutes de route, la voiture arriva devant la maison des Arrendt. La jeune femme détacha sa ceinture et s'apprêta à ouvrir la portière mais elle se retourna vers Jack.
E: Je suis désolé de t'avoir emmené à la patinoire et que tu t'ai blessé à cause de ça, vraiment pardon.
J: Moi j'ai à te dire merci. L'air de rien cette petite escapade m'a fait du bien et m'a changée les idées. Ne t'en veux pas d'accord ? Ça va aller.
La blonde lui sourit avant de sortir et de se diriger vers son porche. Elle vit la voiture s'éloigner et rentra chez elle.
On était en fin d'après midi et Elsa décida d'aller prendre un bon bain. Mais avant ça elle vérifia son téléphone et si sa soeur était rentrée. En montant les escaliers pour aller voir la chambre d'Anna elle vit que sa soeur l'avait appelée plusieurs fois.
Arrivé devant la porte elle l'ouvrit légèrement.
Le lit était vide, le bureau aussi, elle regarda derrière la porte et vit une masse enroulée dans une grosse couverture et installée sur un des poufs de la chambre.
Elsa s'approcha et posa une main sur ce qui devait être normalement l'épaule d'Anna. La petite rousse sortie sa tête et regardait sa sœur démuni. Les yeux bouffis au possible, le visage rouge et strié, vestiges de ses larmes, Anna avait l'air détruite. Sa grande sœur se jeta toute suite sur elle, ne comprenant pas la situation, elle ne pouvait pas laissé sa cadette plongée dans un désespoir pareille.
A: Je...je ...suis un monstre...un monstre Elsa...je suis horrible...
E: Calme toi...calme toi....
A: Pourquoi j'ai dis ça...pourquoi j'ai fait ça...je suis nulle...tellement nulle...pourquoi je suis comme ça...pourquoi..., continuait elle à dire en pleurant sans s'arrêtait.
Depuis qu'elle était rentré ce midi elle n'avait fait que de pleurer encore et encore. Elle regrettait tellement ce qu'elle avait fait, qu'elle ne faisait que s'insulter encore et encore et encore. Elle avait dépassée le palier de la tristesse et à ce stade elle se dit que rien ne faisait aussi mal que le regard de Kris. Ce regard de déception, de colère et même de tristesse. Jamais Anna n'oubliera ces yeux.
A: C'est moi qui lui a fait ça...c'est ma faute...
Elle se sentait tellement coupable de l'avoir blessé. Elle lui avait dit sans détour qu'ils n'était rien.
A: J'ai ose lui dire qu'il n'était rien...LUI ! j'ai dit...que...lui...lui...je suis folle, je suis malade... Hein Elsa ? Je suis complètement malade !
J'ai dis au garçon que j'aime...à celui que j'aime...lui...mais...mais...
E: Chuuuut Anna....calme toi...
Après cela Anna explosa en sanglots. Ils étaient beaucoup plus violent. Ce qui interpella Lyly qui venait tout juste de rentrer. Elle monta les escaliers en vitesse et entra dans la chambre désemparé par ces deux nièces dont une était dans un état catastrophique.
L: Oh mon dieu...quest ce qu'elle a ? Dit elle en s'avançant vers le lit où les deux filles s'étaient installées une heure plus tôt.
Elsa mima le prénom de Kris Moor ce qui attrista Lyly. Elle s'installa auprès de ces nièces et consola la plus jeune.
Après une bonne heure la cadette s'endormie épuisée.
Lyly et Elsa se retirèrent de la chambre et s'installèrent sur la table centrale de la cuisine pour boire un petit remontant.
Elsa vota pour un café au lait et c'était un thé pour sa tante.
L: Il lui a dit quelque chose ?
E: Plus ou moins. A ce que j'ai compris elle est devenu "Ajisai"...et ils se sont disputé...
L: Elle a recommencée...Je croyais qu'en ce moment ça c'était atténuer.
E: Oui pour tout le monde....sauf Kris Moor.
L: Alors cela doit être le sujet de leur dispute. Il a du lui demander pourquoi elle se comportait comme ça avec lui mais pas avec les autres.
E: Et là, le stresse étant trop grand, Dame Ajisai est apparue. Ne comprenant pas son état Kris a du lui dire des choses blessantes.
L: On ne peut quand même pas lui jeter la pierre. Il ne comprend pas la situation. Tout ce qu'on peut faire c'est de la consoler.
E: Bonne idée. Je vais lui proposé un petit ciné avec Cycy. Une après midi entre fille qu'est ce que t'en pense ?
L: Ça serai génial ! Je vais préparer le dîne. C'est mon tour aujourd'hui, va prendre une bonne douche.
E: Dit...Si on se cogne la tête violemment sur la glace, ça peut être grave ?
L: Quoi tu est tombe à ton entraînement !? Montre moi ça !
E: Pourquoi tu réagis comme ça, ça peut être grave !?
L: Si le choque est violent Elsa oui ! Tu t'es fait mal ?
E: Nan nan pas moi, mais si la personne s'est relevé, parler, rit et même pris le volant.
L: Et bien à ce moment oui il y a des chances pour qu'il n'y est rien en fin de compte. Mais je te les dit tout dépend du choque et de l'individue en lui même, on a beau dire la tête est fragile et il faut faire attention.
Mais tu est sur que c'est ne pas de toi dont tu parles ?
E: Nan nan je t'assure, je vais très bien. Je vais monter.
Elle afficha une mine inquiète et se noya dans ces pensées.
Le lendemain matin, Jack s'est levé avec beaucoup de mal. En rentrant, il avait totalement ignoré sa tante et est directement monter dans sa chambre. A l'heure du dîne il n'était pas descendu et avait même remarqué que Kris l'avait imité. Il avait alors décidé de passer la soirée à jouer à la console avec son cousin.
Aucun n'avait ouvert la bouche à part pour parler de la partie de jeu. Et cela dura jusqu'à ce que les adolescents décident d'aller se coucher.
Donc ce matin, le blond traîna à ce préparer pour les cours. Il avait vaguement vérifier sa blessure à la tête mais il pensa qu'Alice avait fait du bon boulot et s'en inquiéta pas.
Quant il descendit, il retrouva Kris pendu devant son bol et regardait le vague. Jack le salua mais le garçon ne réagissait pas.
J: Kris ?
K:...
J: Quest ce qui t'arrive ?
K: Et toi ? Dit il d'une rauque.
J: ...
K: Arrête de comporter comme ça avec maman.
J: Arrête de penser à Anna.
Kris releva la tête toute de suite avec un regard décontenancé. Et il vit l'italien afficher un sourire espiègle.
J: En plein dans le mille. J'avoue, j'ai dis ça au hasard.
K: Va te faire voir, dit il sèchement avant de quitter la cuisine.
J: Oula. Et bah, qu'est ce qu'elle lui a fait ?
*******
La cafétéria était bondée comme à son habitude à cette heure là de la journée. Il était midi.
Au fond du réfectoire, Wyatt était seul à une table, avachi, la tête posée sur la table, il ne bougeait pas.
Il se remémora les événements de ce matin.
Wyatt était en cours d'histoire, à cet classe, il n'est qu'avec Cycy et de ce faite son bureau est juste devant.
Au milieux du cours son téléphone vibra et sans gêne, il vérifia. Cycy ayant entendu le vibreur se retourna discrètement.
C: Qu'est ce que tu fais ?
W: De quoi je me mêle ?
C: T'as qu'elle âge ?
W: C'est encore cette fille. Celle qui est avec moi en cour d'anglais.
C: La rouquine ?
W: Nan, celle avec les mèches rouges.
C: Je les mélange !
W: C'est ça être désiré. Que veux tu ?
C: Elles sont juste vue de la chaire fraîche. Maintenant qu'il n'y a plus Elsa elle te tourne autour comme des vautours et toi en abrutis de première classe t'ouvre grand les bras.
Wyatt fut piqué au vif. Et inexplicablement les paroles de Cycy l'avait blessé et énervé. Et les mots qu'il s'apprêtait à dire ont été plus rapide que ses pensées et il le regretta la seconde suivante.
W: Comme si tu pouvais le comprendre.
Il vit Cycy détourné le regard de lui et fixa le vide. Et avant de se retourner, reprendre ses notes, les yeux remplie de larme elle chuchota :
C: Même toi...
W: Nan Cycy, s'il te plait c'est pas ce que je voulais dire...pardonne-
Il s'arrêta après le mouvement de table de la métisse, qui avança brutalement son bureau. Le brun avait posé violemment sa tête sur la table et l'avait recouvert de ses bras pendant tout le reste du cours en se maudissant lui et son orgueil.
Toujours dans la même position Wyatt soupira et s'insulta à voie haute ce qui interpella des étudiants qui venait de se lever de leur table. La cafétéria commençai à se vider peu à peu. Quand Jack Frost apparue, la pièce fut plus calme, les filles d'une certaine table avaient arrêté de parler, crier, et rire à gorge déployé pour se rendre plus intéressante. Elles avaient arrêtées leur piaillement insupportable pour contempler le nouvel arrivant. Elles en étaient complètement folle, Jack Frost était à lui seul leur fantasme masculin.
L'italien leur avait jeter un simple regard en coin et avait soufflé un "pathétique" avant de rejoindre le cadavre de Wyatt qui reconnut au loin.
J: Tu astique la table avec les dents ?
W: Jack, je suis le pire de tout les abrutis de la Terre.
J: Comme nous tous, dit il rêveur.
W: Nan moi je suis le pire. Je devrais même pas continuer à vivre....
J: C'est Cycy ?
Il vit Wyatt se relever si brutalement qu'il recula par réflexe. Et il se dit que le garçon avait exactement la même expression que son cousin quelques heure plus tôt.
J: Je devient trop fort à ce jeu, c'est impressionnant.
W: Comment...qu'est ce que...je suis méprisable...se plaint il avant de s'affaler sur la table.
J: Quest ce que t'as fait ?
W: J'ai blessé Cycy .
J: Tu l'as frappée ? Dit il le regard noir et sur un ton agressif.
W: Qu...Quoi !? Mais t'es malade jamais de la vie !
J: Ah. Tant mieux. L'aire de rien je l'aime beaucoup Cycy.
W: Tout le monde l'aime. Tu peux pas ne pas aimer cette fille, c'est impossible, elle est géniale. Et moi je lui est dit un truc horrible et cruel.
Il se releva un deuxième fois et fixa Jack le plus sérieusement possible.
W: Tue moi.
J: Pourquoi faire ?
W: Quand Elsa apprendra la nouvelle, elle va me massacrer. Et je préfère une mort rapide plutôt que de subir ça.
J: Je préfère voir comment elle se débrouille. Si j'aime quelque chose chez les femmes c'est quand elle se battent. Sers les dents mon pote, tu vas me divertir.
W: Je te hanterai toute ta vie et à la fin tu te suicidera.
J: Amen !
Jack éclata de rire avant de faire une grimace de douleur. Ce qui n'échappa à l'autre adolescent.
W: Eh, ça va ? T'as fait une drôle de tête là.
J: Ouais t'inquiète c'est rien. Je dois juste être fatigué, lui répondit-il en se massant la tête.
W: Hum. Bon faut retourner en cour. Ça va être que de l'éclate.
J: Wyatt essaie de parler à Cycy. Je connais pas son histoire passé mais j'ai des hypothèses alors ne la laisse pas comme ça.
W: Tu crois vraiment que je l'a lâcherait comme ça.
J: Eh Wyatt, après les cours on va au centre manger un truc pour fêter la sélection de King dans l'équipe de l'État ! Préviens les autres aussi.
W: Ok !
*******
La sonnerie sonna la dernière heure de cours de la journée. Les élèves sortirent en trombe pour rejoindre leur voiture, les bus ou juste leur parent.
Tout nos protagonistes avaient fini cette après midi à la même heure. Jack était en cour avec Cycy, Wyatt était avec Charlie, Luk et Marvin quant à Elsa elle était toute seul dans son option tandis qu'Alice et Sam partageait la même classe cette heure ci.
Anna n'était pas venu alors que Kris était présent les deux premières du matin puis avait sécher le reste juste avant de revenir pour les deux dernières matière de l'après midi.
Tout le monde à été prévenu de la petite réunion au centre ville sauf Elsa et Cycy. En le sachant Jack avait décidé de les prévenir lui même étant avec Cycy en Maths, il l'aurait fait sans problème.
Alors quand le professeur arriva pour ouvrir la porte, les élèves commencèrent à s'installer. Il regarda attentivement la place que prendrait la brunette pour se mettre près d'elle. Quand il l'a vit, il fut agacé de voir que la place qu'il convoitait était occupé.
Prof: Vous avez besoins d'aide pour vous installer M.Frost ?
J: Nan pas le moins du monde, monsieur.
Il se pencha alors sur l'élève qui était installer à la dites place. Et par un jeu de regard et un sourire éblouissant il lui demanda de changer de place. La jeune fille désemparée et sous le charme accepta timidement. Il lui chuchota ensuite à l'oreille quand elle se leva et elle devînt rouge pivoine.
L'instant suivant il était installer à la table devant Cycy et la regarda prendre le cours en note depuis qu'il avait commencé.
C: Ce que tu viens de faire est débile.
Tu te sers de ton physique pour avoir ce que tu veux.
J: Tout le monde le fait Cycy. Faut bien profiter de ses atouts nan ? Regarde les femmes qui pavanes leur capot avant sans retenue. Elles font pareille.
C: Elle mérite même d'être regardé. Je l'ai trouve répugnantes.
L'italien ne détacha pas son regard de ses boucles brunes et sourit.
J: T'as raison.
C: Alors pourquoi tu le fait ?
J: Parce que je suis répugnant. Qu'elle question.
Elle lèva rapidement les yeux vers le beau blond. Son expression avait changé, il avait le regard vide et était proie à une grande réflexion.
C: Jack ?
J: Cycy ?
C: Comment tu fais pour être aussi beau aux yeux de tout le monde ?
J: Ne pense pas ça de moi. C'est de la poudre aux yeux ça Cycy. En réalité je suis extrêmement laid. Je suis un monstre dans le corps d'un homme.
Tu est bien plus belle que moi.
C: Ah oui ? Alors pourquoi tout le monde ne le pense pas ? Pourquoi tout le monde me jettent des choses blessantes ?
Jack vit des larme tomber sur le cahier de Cycy et cela l'attrista de la voir dans cet état.
J: C'est parce qu'ils sont affreux. Hideux et détestable au possible. Tu ne dois pas t'abaisser à écouté les bassesses de gens laid parce que tu vise quelque chose de beaucoup plus haut, beaucoup plus grand comme toi.
Cycy écoutait d'une attention toute particulière et ne détacha pas ses yeux de ceux de Jack.
Prof: M.Frost voulez vous nous donnez l'honneur d'écouter mon cour.
J: Je suis entrain de lui faire une déclaration d'amour et elle m'ignore monsieur !
Prof: Vous savez Jack il faut savoir lâchez prise.
J: Oui, mais je l'a voulais pour moi tout seul mais elle ne veut pas de moi ! C'est pas juste !
Prof: Arrêtez d'embarrasser ma meilleur éleve Jack, Rit il avec le reste de la classe.
Jack fit une mine outrée et se tourna vers Cycy.
J: Tu sais pas ce que tu perd, on aurait été heureux ensemble ! Dit il avant de lui faire un clin d'œil complice ce qui fit sourire la jeune femme.
Ah ! Et tu viens avec nous après les cour, on va au restau on a un truc à fêter ce soir. Je compte sur toi pour prévenir Elsa, lui dit il tout bas.
Puis le cour se termina normalement mais avec une Cycy de meilleur humeur. Elle remercia silencieusement Jack qui était entrain de sortir de la classe riant avec un autre garçon sous le bras. Elle sentit ses yeux lui piqué en repensant à tout ce que Jack lui avait dit et ce qu'il avait fait. Elle ne savait pas si c'était le but rechercher par le blond mais elle prit ça pour une consolation et un encouragement de sa part, ce qui l'a réconforta grandement.
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