L'horloge indiquait 20 heures du soir.
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...Adolescent retrouvé inconscient !
...Possible commotion...
...On l'a....hypertension intracrânienne...pas de signe de traumatisme...
...On l'emmène toute suite au scan !
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On connait son identité ?
Trouvez là et prévenez toutes suite ses parents !

Le brancard roula tel une flèche dans les couloirs. Entouré d'un ambulancier, deux infirmiers et le médecin en charge, tous couraient aux côté du jeune patient admis quelques minutes plus tôt.

- Stop ! Stop ! Pas le temps pour le scan ! Il convulse ! Cédez le passage !

Il placèrent le brancard dans un emplacement des urgences et le médecin cria des ordres à un des infirmiers.
Le corps du jeune homme se crispa frénétiquement. Son corps totalement incontrôlable interagissait avec les réactions déboussolé de son cerveau.
L'ambulancier aidé d'une infirmière retenait le corps meurtri de violente convulsions.

- Sa pupille droite est dilatée. Il doit avoir un hématome cérébrale compressif.
Donnez moi un scalpel, on doit percer pour drainé le surplus !

L'infirmier à ces côté lui donna le scalpel puis une scie pour percer le crâne du patient. Juste assez pour laisser l'excès de sang affluer.

- Ça doit suffire pour l'instant ! On l'emmène toute suite au bloc !

L'horloge indiquait 22 heures du soir.

C: On aurait pas du manger sans Jack.

K: Il va pas nous en vouloir pour ça. Et puis on a juste manger, rien de spéciale en fin de compte.

E: Elle a raison. Qui sait ce qui s'est passé !

K: Il va bien. Qu'est ce qui peut lui arriver ? Il a du rencontrer une nana et puis voilà.

Après avoir dîner le groupe d'amis s'était décidé à rentrer. Tous étaient rentré dans l'une des quatre voitures. Et chaque voiture se suivait pour rentré chez eux. Quant il quittèrent le parking du restaurant tous devait passé dans le quartier résidentiel où était la maison Moor pour aller chacun dans leur quartier respectifs.

Ils passèrent la première demeure de la grande rue. Puis la deuxième. Puis la troisième. Puis la quatrième. Puis une maison mitoyenne. Puis une autre et encore une autre. Puis Kris se dit que trois maisons plus loin, il serai devant chez lui. Il pourrait sortir de cette voiture, étouffante, par la présence d'Anna Arrendt. Cette même Anna qu'il avait royalement ignoré pour le confort personnel de la belle.
Le regard perdu, il vit du coin de l'œil des lumières étranges. Bleu. Rouge. Blanc. Bleu. Rouge. Blanc.
Ces couleurs s'écrasait sur la façade de la maison de son voisin. L'imposant Mr.Nord.
Pourtant les lumière se firent plus vive un peu plus loin. Il se redressa sur son siège près à bondir hors de la voiture en marche. Puis le choque. L'incompréhension. L'angoisse. La voiture, les lumières. Bleu, rouge blanc.
Une voiture de police.
Tout les muscles de son corps se tendirent et ses yeux ne détachait pas sa maison. Il vit alors deux hommes sonné à sa porte. Elsa se gara à la hâte quelque mètre avant son hâlé. La porte laissa sortir sa tante. Il sortit comme un démon de la voiture. Elsa à sa suite.
Les autres voitures qui les suivait derrière s'arrêtèrent inquiète.

Ils virent Kris et Elsa courir comme des dératés vers la maison de celui ci.
Ils virent aussi la mère de leur ami entré puis ressortir en courant vers sa voiture en chemise de nuit et pieds nu.
Kris la suivit de près complètement désemparé. Puis Elsa revint, essoufflé, les yeux brillant d'effroi. Elle courrait vers sa voiture pour ouvrir sa portière à la volé avant de crier à tous.

E: Jack est l'hôpital ! Il est l'hôpital ! On se rejoint tous las bas !

Les esprits en alerte, sans se poser de question les quatre conducteurs allumèrent leurs contact et se hâtèrent tous à l'hôpital de la ville.

******

L'horloge sonnait 23 heures du soir.

L'attente. Les secondes défilaient à une lenteurs presque comique. Les minutes s'étendait sur des millénaires. L'angoisse et la peur dominait les cœurs. Mais certains ressentait une douleur sourde, envahissante et cruel. La culpabilité.

Tous les adolescents était présent, certain était assis les mains croisé, les jambes tremblantes ou les mains sur le visage. D'autre était debout soit immobile appuyé sur un mur soit tanguant, un pied sur l'autre ou encore faisant les cent pas.

Ad: Arrête de t'agiter comme un tigre dans sa cage !

K: Et qu'est ce que je dois faire d'autre !? Je sais même pas ce qui se passe !

W: C'est vrai madame Moor, qu'est ce qui se passe ?

Ad: Ils ont dit qu'on devait attendre le médecin...on va attendre le médecin...

K: MAMAN !

Kris fit sursauter sa mère ainsi qu'Elsa qui tremblait toute seul dans son coin. Elle murmurait des parole inaudible, alors quand Kris explosa elle fut sortit de ses songes si brutalement qu'elle ne savais même plus où elle était.

Ad: Il est tombé. Il était dans les toilettes de la bibliothèque du lycée. Il a réussi à appelé les secours avant de s'écrouler par terre...Il l'on retrouvé inconscient sur ce sol...tout seul...il était...

Elle explosa en sanglots silencieux. Les mains tremblantes, elle serra la veste de son petit neveux contre elle.
Et elle répétait inlassablement que Jack était tout seul dans cette pièce glacé et noir de ce bâtiment. Il avait souffert seul.

K: ...Maman...

Ad: Tais toi. Tu ne prononce plus un mot jusqu'à ce qu'il reviennent.

Elle se leva, droit comme un i. D'un regard sévère envers son fils, elle le toisait droit dans les yeux. Addison était une femme très grande, même si ces garçons la dépassait avec l'âge elle avait toujours inspiré la grandeur. D'une beauté froide, d'un corps svelte, élancé et de sa taille renversante, on ne pouvait faire autrement que de lui obéir.

Elle détourna le regard et se dirigea vers les toilettes pour femme de l'hôpital avant d'interpeller Elsa.

Ad: Elsa, viens avec moi ma chérie.

Elsa comprît à peine les dires de la mère de famille qu'elle se leva gauchement et l'a suivie sans un mot.
Arrivée aux toilettes, elle observa cette femme si impressionnante s'appuyer sur les plans de lavabo et soupirer. Elle actionna l'un des robinets et se rafraichit le visage. Quand elle releva la tête et croisa le regard de la belle blonde dans le miroir, celle ci détourna les yeux immédiatement.
Ce qui inquiéta l'aîné.

Ad: C'est un petit gars très fort. Ça va aller, ne tremble pas comme ça, chérie.

Elsa acquiesça vigoureusement, toujours tremblante et le regard baissé.

Ad: J'en veux à mon fils alors que c'est moi qui est fautive. Mon travaille est de veiller sur lui et j'en suis incapable. Je suis une incapable...

Elsa releva vivement la tête, le regard douloureux.
Et d'une voie tremblante et mal assuré, elle répondit.

E: C'est ma faute Addison... Si il se retrouve à l'hôpital, si il a eu si mal tout ce temps, si il s'est retrouvé tout seul dans ces toilettes...c'est à cause de moi...sanglota t-elle.

Ad: Mais non Elsa, rien n'est de ta faute...

E: Si...Si...vous ne comprenez pas ! Si il est dans cet état c'est à cause de moi !
Il...il..m'a aidé et il...il...

Ad: Quoi ? Il a quoi ?! Qu'est ce qu'il a fait ?

E: Je les ramené à la patinoire pour lui changer les idées. Et j'ai failli tomber mais il ma rattrapé juste à temps et à cause de ça il est tombé violemment sur la tête...Je lui avait dis qu'il fallait aller à l'hôpital mais il n'a rien voulu entendre et il répétait qu'il n'avait rien. J'aurais du l'obliger, j'aurai du insister...pourquoi je n'ai rien fait...pourquoi, craqua t-elle.

Désormais Elsa pleurait de tout son soûl, devant une Addison désemparé. Elle ne savais plus quoi penser. Devait elle en vouloir à Elsa et Jack de n'avoir rien dit de cet incident ? Ou devait elle consoler cette pauvre petite qui se sentait tellement coupables et se poser toute sorte de question sur le comportement inhabituel de son neveu ?
Elle s'avança alors et enlaça tendrement le petit corps tremblant de l'adolescente.

Ad: Ne pense pas à des choses négatives d'accord ? Pas maintenant. Tout ce qu'on doit faire c'est croire en lui, c'est le bonhomme le plus résistant que je connaisse. Tu lui en voudra plus tard d'accord.
Et ce n'est pas ta faute, Jack n'écoute personnes dans ce bas monde, à une exception près, alors respire et calme toi car tu auras tout le temps de lui faire passer un sale quart d'heures.

Elle sentit la petite tête d'Elsa acquiescer et elle se détacha d'elle pour retourner dans la salle d'attente.

L'attente fut longue. La venue du médecin en charge se fit tellement attendre que Kris s'imagina sa venus. Il se demanda comment allait il arriver. D'une marche lente, mal assuré, près à lancé une bombe qui ravagera tout sur son passage ? Allait il porter le coup de grâce de leur vie ? Allait il annoncé d'une voie respectueuse, calme et compatissante que plus rien ne serai jamais pareille ? Kris pensa alors que les seuls pensée qu'il avait eu pour Jack était qu'il était égoïste et qu'il devait sans doute s'amuser avec une fille. Il avait proposé au groupe de rentrer au restaurant sans lui, croyant qu'il leur avait fait faux bon. Alors que tout ce temps son cousin était entrain de lentement agonisé sur ce carrelage froid, seul et abandonné.
Le brun sentit son coeur se tordre, rien qu'à cette pensée. Il était tellement en colère contre le monde entier à cause de sa dispute avec Anna qu'il avait à peine parler à Jack. Il se dit qu'il n'avait pas remarquer que Jack allait mal, avait il changer de comportement ? Jack semblait malade ? Il ne saurait le dire. Il n'avait fait attention à rien et à personne.
Kris se dégoûta. Tout ces sentiments d'horreur qui l'assaillaient, il n'en pouvait plus. Il se leva prestement, passa l'accueil et sortir du bâtiment des urgences où il attendait une nouvelle. Il pris une grande respiration en fermant les yeux. Il se posa sur le bas du capots de la voiture d'Elsa et resta là. Dehors, contemplant les étoiles, il ne pensait plus à rien.

Ad: Où est mon fils ?

W: Il est partit prendre l'air madame.

Ad: Je vois. Vous êtes tous des amis de Jack ? Dit elle à ceux qu'elle n'avait jamais vue.

Marvin: On est tous des amis, madame.

Addison sourit légèrement en hochant la tête et elle se rassit côté de Mickey qu'elle connaissait depuis bien longtemps.

Kg: On sait tous que Jack est un rock.

Ad: Exactement...

******

Exténués les enfants commençaient doucement à tomber de sommeil certains s'était légèrement assoupis sous l'effet fatiguant de l'attente. Marvin courbé en deux avait la tête appuyé sur l'épaule d'Alice. Wyatt somnolait et il eu de plus en plus de mal à soutenir sa tête. En fin de compte Elsa lui proposa de s'appuyer contre elle pour ne pas se faire mal, il accepta sans hésiter.

Quant à Anna et Cycy elle discutait discrètement les bras appuyé sur le haut des sièges et leur mains soutenant leur tête. À la différence de Samantha qui s'était sans gène affaler sur le pauvre Mickey. La jeune fille au cheveux de jais avait pose sa tête ainsi que tout le poids de son corps sur le bras et l'épaule du grand gaillards qui n'était pas gêné plus que cela.

Il commençai à se faire de plus en plus tard. Jusqu'à ce qu'un homme assez bel homme s'approcha de la salle.

- Quelqu'un pour Jack Frost ?

Au son du prénom tous ceux qui avait les yeux encore ouvert se levèrent d'un seul, faisant sursauter les autres.
Addison s'avança suivit de Mickey et Elsa.

- Veuillez nous excuser l'attente, nous avons voulu être sur de l'état de votre fils pour vous prévenir.

Ad: Il...il...va...

- Il va très bien. Il a du subir une petite opération à la tête, on a fini il y une heure et demi et on la garder au soins intensif pour le surveiller.

Il a montre de bon signe en se réveillant. Sa blessure n'a rien endommagé. C'est un dur, rit il.
Néanmoins, il faudrait le surveiller, il doit rester calme, je conseil un repos total.

Elsa hocha instinctivement la tête, en même temps que la tante de son ami.

-Il dort encore mais vous pouvez venir le voir, dit il en s'adressant à la mère Moor.
Malheureusement vous ne pouvait pas tous venir, c'est assez impressionnant de voir tous ce beau monde pour un patient mais vous êtes très nombreux.

Kg: Oui, on comprend. On voulait juste avoir de ses nouvelles, fit il en un demi sourire.

-Bien, seulement deux personnes peuvent venir...(il regarda Addison)

Ad: Oui, Elsa viens avec moi !
Et que quelqu'un aille prévenir Kris s'il vous plait.

La minute suivante Addison et Elsa suivirent le médecin en écoutant attentivement ces dires concernant la blessure de Jack ainsi que le déroulement de l'opération.

-Il est là. Je vous laisse, dit il poliment avant de repartir.

Addison le vit quelques secondes par la fenêtres et se décida aussitôt à ouvrir la porte. Elsa, elle resta figé à quelques pas de la porte.

Ad: Elsa ? Qu'est ce qui se passe ?

E: Et si il me reprochait son état. Il aurait raison de le faire. Je suis sur la glace depuis l'âge de 6 ans, ce genre d'accident ne doit jamais m'arriver.
Et pourtant...ça me ferait tellement mal qu'il m'en veuille, qu'il me déteste...

Ad: Nan nan nan, écoute moi bien jeune fille. Mon neveux à bien des défaut mais il n'est pas comme ça. Il ne rejette jamais son malheur sur autrui, jamais. Il a même la sale habitude de le prendre pour lui. Alors ma grande, tu respires et tu viens le voir.

E:...Ou...oui.

Quand elle entra après la femme devant elle, elle retenu son souffle sans s'en rendre compte.
La chambre brillait d'une lumière assez forte malgré le patient endormie. Elle vit Addison s'approcher de son neveu, doucement, sans geste brusque. Sa main tremblait légèrement quand elle caressa délicatement le visage du beau blond.
Elle lui murmura de douce parole tout en lui caressant la joue.
Elle resta comme ça une bonne dizaine de minutes avant de se tourner vers la jeune fille qui n'avait pas bougé d'un poil. Elle se leva de la chaise où elle s'était posé à côté du lit de Jack et regarda la petite blonde.

Ad: Tu peux rester avec lui ? Juste le temps que je préviennent mon maris que tout va bien.

E: Oui, bien-sûr...

Ad: Merci ma grande.

Elsa s'approcha du lit du blond et le regarda intensément. Il était allongé sur le lit, endormie, quelques mèches de cheveux lui tombant sur les yeux. Le teint pâle et sa respiration régulière montrait qu'il était bien dans un sommeil profond.
Les cheveux si blanc, les trait fin et apaisé, il était incroyablement beau. On aurait dit un ange mais connaissant Jack, Elsa ne pût s'empêcher à penser à un ange déchu. Ce qui ne le rendait pas moins beau, même plus.

Elle sortie de sa torpeur en voyant Jack s'agiter. Le visage grimaçant, il s'agita dans ses draps. La jeune fille se rapprocha plus encore et se mit à côté du lit, elle lui prit la main sans vraiment comprendre ce qu'elle faisait.
Elle se dit que Jack devait certainement faire un rêve pas très agréable et elle ne voulais pas le laisser comme ça.
Alors de sa petite main, elle prit plus fermement celle du garçon et dans un mouvement doux et régulier elle dessina des cercles sur le dos de la main de Jack.
Elle continua en voyant l'expression du beau blond s'adoucir. Il ouvrit légèrement les lèvres, rassuré.
Dans son sommeil Jack avait laissé sa tête tomber du côté de la jeune fille et ainsi celle ci pu le contempler de bien plus près. Il vit alors tout les petits détails, banale soit il de la figure de l'italien.
Ses yeux ne pouvait détacher leur regard des lèvres entrouverte du patient. Elles étaient si désirables qu'Elsa se détesta de penser à de tel chose en ce moment. Pourtant l'attraction était trop forte et elle se dit que ce n'était pas l'envie qui lui manquait pour y gouter.
Elle avait toujours la main de Jack dans la sienne et continuait ses petits cercle pour le calmer dans ses songes, quand elle vit Jack sourire furtivement. Ses lèvres avaient légèrement bougée et ce pour un peu moins d'une fraction de seconde.

C'est alors que la jeune femme se leva, sans desserrer sa mains.
Elle se pencha.
Écarta des mèche peroxydé rebelles.
Déposa un baiser sur le coin des lèvres de l'endormit.
Elle vola un chaste baiser sous le coup l'impulsion.
Elle venait d'embrasser Jack Frost sous le coups d'une attraction incontrôlée.

Quand elle se releva, elle était choqué par son geste. Elle n'avait pas comprit le pourquoi du comment, elle avait agit sur le coups, comme ça.
Elle lâcha violemment la mains du garçon et s'apprêta à partir en courant. Quand elle failli percuter Addison qui revenait à peine.
Elle était toute rouge, perdu et honteuse.

Ad: Et bien ? Elsa qu'est ce qui se passe ?

E: Je...je dois y aller...je..pardon pour tout ça. Au-revoir Addison.

Ad: ...??

Elle vit la jeune fille marcher à vive allure en direction de la salle d'attente.
Perplexe elle se rassis au côté de son neveux. Qui perdu dans les bras de morphée, souriait.

Ad: Et bah alors mon grand ? Tu fais un si beau rêve que ça ?
Chuchota-t-elle en lui prenant la main à son tour.