Chapitre V: Un sms vengeur
(Img media: C'est notre petit Wyatt ! BONNE LECTURE ! ^^)
- Nous pouvons donc remarquer que l'auteur décrit son personnage comme quelqu'un de pathétique et ainsi nous éprouvons une certaine compassion et de la pitié pour lui, dit le professeur.
La sonnerie retentit.
-Bien nous terminons sur cela. N'oubliez pas votre bouquin pour la prochaine fois. Bonne journée à vous ! dit le professeur de littérature en regardant ces élèves quitter sa salle de classe.
-Mr Frost ! J'ai à vous parler jeune homme.
Le garçon se retourna vers son professeur et se dirigea vers son bureau.
J: Oui, monsieur Anderson ?
Prof: Jack, suivez-vous bien mon cours ?
J: ....J'essaye, enfin comme tout le monde.
Prof: Bien, comprenez-vous mon cours alors ?
J:...
Prof: Jack vous pouvez me répondre sans gêne, je ne suis pas là pour vous humilier ou me moquer, simplement comprendre.
J: Vous utilisez des mots vraiment compliqués...et je n'arrive pas toujours à suivre...
Prof :C'est bien ce que je me disais...avez-vous ce problème dans d'autre cours ?
J: Non, juste pour celui-là. Enfin peut être aussi pour l'histoire /géo.
Le professeur feuilleta alors ses fiches avant d'ajouter.
Prof: Vos lacune se présente seulement dans les matières purement littéraires, quant aux matières scientifiques vous n'avez aucun problème, vous êtes même très bon. Le problème est donc dans l'apprentissage de notre langue.
J: J'ai appris à parler votre langue toute ma vie en Italie, que ce soit à l'école ou avec ma famille. Mais étant donné que je suis ici que depuis 4 mois, je n'ai pas encore l'habitude de votre langage.
Prof: Oui je comprends tout à fait, mais vous êtes intelligent Jack, vous arrivez quand même à très bien vous exprimez et c'est pour cela que certains professeurs et moi-même n'allons pas vous laissez dans cette situation.
J: Qu'est-ce que ça veut dire ?
Prof: Cela veut dire Jack que si vous acceptez, vous allez bénéficier de deux heures par semaine de soutiens pour vous aider dans ces matières et en même temps endurcir l'apprentissage de notre langue.
J:...Vous...Vous sacrifierez votre temps pour moi ?
Prof: C'est ça être prof ! Vous croyez qu'on est là juste pour vous faire écrire sur une feuille et noté des contrôles ? Un ordinateur est capable de faire ça mais être professeur est avant tout une passion, on aime notre travaille ainsi que la matière qu'on enseigne car apprendre à vos petites têtes d'étudiants sans rêves c'est pour ça que je travaille. Alors acceptez-vous la proposition ?
J: Bien sûr !
Prof: Bien ! Je prendrais rendez-vous avec votre tante alors.
*****
K: Qu'est-ce que tu foutais !?
J: Mon prof me retenait !
K: Ta fait quelque chose ? Dit-il en ouvrant la portière du côté passager.
J: Je tien trop à la vie pour faire des conneries de ce genre-là, répondit-il en fermant sa portière et actionnant le moteur de son bolide.
K: Un jour j'aimerai trouver quelqu'un dans ce bas monde qui ferai face à ma mère...
J: Cherche pas...il existe que dans les livres.
K: Ouais, c'est fou cette peur qu'elle a de Voldemort, dit-il.
J: "Je n'ai pas peur de Voldemort, il me fait froid dans le dos c'est tout", dit-il en imitant sa tante. Moi ce que je crois fou c'est qu'elle lise encore Harry Potter à son âge !
K: Bon ! Sinon on fait quoi ce Week end ?
J: Y'a un truc à faire ?
K: Peut-être, un gars de dernière année fait une fête chez lui, samedi. Ça te dit ?
J: Hmmmmm...ouais n'aller pourquoi pas.
K: Génial ! Attend avant de tourner, faut que je passe chez les Arendt.
J: Arendt ? Pourquoi faire ?
K: Je dois demander des cours à Anna et maman prévoit de les inviter dimanche, alors on doit leur demander.
J: Hum...des devoir hein ?
K: Quoi !? Je n'arrive pas à suivre en physique !
J: Depuis quand tu suis en physique ?T'en a pas besoin !
K: Bien sûr que si ! Bredouilla le brun. Les cours d'Anna sont super bien pris et...
J:Et ta trouvé l'excuse des devoirs pour aller dans sa chambre. Qu'est-ce que tu comptes lui voler ? Un peigne ? Un soutien gorges ? Taquina l'italien.
K: Met t'es complètement malade ! T'es un obsédé ! Hurla l'adolescent offusqué.
Le blond quant à lui, riait à l'éclat face à l'expression scandalisé de son cousin. Il avait bien fait de faire cette petite blague qui a complètement chamboulé Kris.
Il sortit en trombe de la voiture qui venait tout juste de se garer dans l'aller.
Il sonna à la porte et tomba nez à nez avec la femme de Fitz dont le prénom lui avait échappé.
K:...Bonsoir madame Arendt. Est-ce que votre mari est là ?
L: Oh bonsoir hum. Kris c'est ça ? Fitz n'est pas encore rentré mais je peux prendre un message peut être ? Entre voyons ne soit pas gêné, lui dit-elle tout sourire.
-Lyly !? Qui c'est ?
Dit une voie qui descendait les escaliers qui menait à l'étage. C'était Elsa. Habillé d'un short de sport violet avec un tee-shirt ample de danse court délavé. Les cheveux éparpillés autour de sa tête totalement libre, elle se tenait devant l'escalier et lui souriait gentiment.
E: Eh bien Kris ? Que nous vaut se plaisir.
Kris encore en léthargie cligna plusieurs fois des yeux pour reprendre contenance et ravaler la salive qui s'était agglutinée dans sa bouche.
K:Je...enfin...je...vous...balbutat-il perdu, jusqu'à ce que Lyly lui prête main forte.
L: Il est venu pour Fitz je crois...
K:Euhh oui oui c'est ça, en fait ma mère vous invite à déjeuner dimanche...euh donc je suis venu vous proposer l'invitation de sa part.
L: Oh c'est très gentil de sa part ! Et bien nous allons nous arranger ! J'appellerai ta mère demain.
K: D'ac-D'accord. Bon je vais vous laissez. Jack m'attend dehors alors. Bonne soirée à..-
E: Jack est dehors ?! Elle se précipita vers l'adolescent avant qu'ils ne franchissent la porte.
Tu pourrais lui dire...nan laisse tomber je lui dirai dimanche, lui dit-elle en souriant.
Il sortit pantois et se dirigea vers la voiture.
J: Et bah ? Ou ils sont tes devoirs ?
K: Mes quoi ? Ah ! Oh la ferme tu veux.
J: Tout doux, je plaisantais !
K : Ce n'est pas ça...désolé...c'est juste que je...
J: Que tu quoi ?
K: Je n'ai jamais vu une fille aussi belle que Elsa Arendt mon vieux...
La voiture se stoppa nette. Jack avait appuyé involontairement sur le frein.
J: Merde. Dit-il avant de redémarrer le bolide.
Qu' est-ce que tu racontes comme connerie toi ?
K: Je ne sais pas ! C'est juste...avec ses cheveux, son sourire et ses vielles fringues qui lui sert de pyjama...Ahah ! Quel veinard ce Wyatt je te jure !
L'italien esquissa un petit sourire face à sa remarque mais ne fit aucun commentaire et se concentra sur la route.
*********
Samedi...
La soirée battait son plein. La music assourdissante remplissait toute la maison ainsi que le jardin.
Les adolescents dansaient, criaient, riaient et surtout buvaient énormément. Et pas seulement des verres de Coca.
Jake et Kris étaient arrivés il y a maintenant 2 heures et c'étaient complètement intégrés à la petite fête.
Le brun c'était installé avec des amis autour d'une table de bouteille en tout genre. Riant avec son groupe il vit du coin de l'œil son cousin se faire traîner par une jolie brune au fond d'un couloir. Les fêtes de Jack rimait souvent avec fille à volonté et ça Kris le savait, aucune fille de ce monde ne pourrait résister longtemps son cousin. Le garçon était tellement plongé dans ces pensées qu'il ne remarquait pas la jeune fille qui s'était assise à côté de lui sur son fauteuil. Une jolie blonde vénitienne aux yeux bleu ,croisant ses jambes pour relever légèrement sa robe de soirée et ainsi révéler des jambes à brûler une rétine, elle le regardait avec insistance.
Elle murmura au creux de son oreille et le beau brun fit un sourire narquois.
Il l'a bousculé et elle tomba sur ces genoux. Il lui prit la tête et l'embrassa à pleine bouche sous les acclamations de tous ces amis autour de lui.
Sa partenaire de soirée encore installé sur ces cuisses, lui dévorant avidement le cou. Le jeune Moor se permettait de jeter un coup d'œil la fête. Les couples d'une soirée s'embrassaient, se bécotaient sans arrêt, d'autres se déhanchaient au rythme endiablé de la music. C'était une fête comme toute les autres accompagné de tous les excès, une soirée digne des années lycée enfin presque...petit bémol...Kris s'ennuyait à en mourir. Non...la mort aura au moins quelques secondes d'excitation mais là l'ennuie était une vraie torture. Même la jeune fille à l'air de top model ne l'amusait pas, il lui murmura quelques mots à l'oreille et il l'a décalé sur les genoux d'un ami à côté de lui. L'adolescente choqué protestât avant que le garçon lui chuchote des paroles, après quoi elle l'embrassa.**(n.A : pff aucune dignité je vous jure)
Kris s' éloigna avant de lui avoir jeter un regard méprisant. Il haïssait ce genre de fille mais il fallait dire que quand tout allait mal elles servaient pas mal. Et c'est pour cela qu'ils les méprisaient, deux trois paroles en l'air et c'était dans la poche, elle vous sauta dans les bras et c'était un million de fois plus facile quand la nature t'avait doté d'une belle gueule.
Ces fille sont des idiotes démunies de tout respect de soi ou de dignité. Elle ne pense qu'à la popularité, aux beaux mecs avec qui faire rêver toutes les autres, en clair des filles sans intérêt qui ne méritent rien d'autre que de l'ignorance.
Ce discours, c'était sa mère qui l'avait tenu quelques années auparavant. Bien sûr le brun n'avait écouté que d'une oreille en sachant que sa mère voulait juste que son bébé ne se fassent entraîner par la gente féminine enfin jusqu'à ce qu'il s'en rend compte. Sa mère avait raison, le soir ou un ami de son collège avait organiser une petite soirée pour fêter la fin d'année. Kris était y allé et au moment où il avait franchi le pas de la porte de la maison, toutes les filles de l'entrée l'avais regardé de haut en bas. Littéralement. Certaine avait même abandonné leurs compagnons pour se diriger vers le salon principal où elles étaient certaines qu'il allait se rendre.
Il continua son chemin jusqu'à trouver son cousin assis sur un fauteuil deux place où il s'installa lui-même.
K: Alors la brunette ?
L'italien fonçait les sourcils
K: Y'en avait plusieurs c'est ça ?
J: Ouais...la première pourrait être ma petite sœur ! Elle avait 14 ans vieux ! Nan mais je rêve !
K: Comment t'as su qu'elle avait 14 piges ? Elle n'a pas pu te le dire.
J:Son poignet, y'avait un dessin de course fait en feutre et Sam m'avait dit que des collégiens faisaient une compète et qu'ils avaient tous ce signe débile, alors j'ai cramé la gamine quand elle a essayé de m'embrasser.
K: Ah ouais...mais 14 ans ça se remarque ! T'aurai pu faire gaffe à sa taille !
J: Hein !? Et comment je suis censé faire la différence entre une fille 17 ans et une de 14 ans si elles ont la même taille !? Je ne peux pas comparer tout le monde est plus petit que moi ! Et les femmes petites ça existe Kris !
K: Ça va je plaisantais ! Et la deuxième ?
J:Bha me dire que j'allais tripoter une gamine m'a asse refroidie et même je ne sais pas pourquoi mais avec sa voie mielleuse elle m'a énervé et je les laissé en plan.
Et tu sais ce qu'elle m'a dit avant que je parte ?
" Tu peux m'appeler quand tu veux chérie ! Je m'appelle Laura !
"
Tu m'explique pourquoi elle m'a dit son prénom sans numéro ?
K: Je crois que c'est parce qu'elle est asse connue donc si tu demandes un mec son numéro il l'aura alors elle te précise son nom.
Les yeux du blond s'écarquillèrent et fut bouche bée.
J: On se casse. De suite !
K: Je te suis !
Les deux garçons marchaient désormais dans la rue pour se diriger vers leurs voitures.
Installer sur leurs sièges respectif et Jack démarra le véhicule.
J: C'était une soirée bien pourrie.
K: Je crevais d'ennui ! Je ne me suis jamais autant fais chier de toute ma vie je te ju...eh ! Mais c'est Wyatt las bas nan ?
L'Appolon aux cheveux de neige plissa les yeux et constata à son tour la silhouette de son camarade de classe. Marchant les mains dans les poches, le dos courbé il s'arrêta en apercevant la voiture des deux cousins.
Jack se gara sur le côté et sortie.
J: Eh ! Viens vieux !
Wyatt monta dans le bolide et se mit entre les deux sièges pour saluer les deux garçons.
Voyant sa tête de déterrée l'italien proposa un petit verre dans un bar du coin.
**
W: On s'est séparés....
K&J: Oh...
Wyatt soupira bruyamment et se passa les mains sur le visage.
J: Qu'est ce qui s'est passé ?
W: On s'est pris la tête. Elle était cher moi et on s'est hurlé dessus après elle a pris ces affaires et elle est partie. Après j'ai essayé de la retrouver, je flippais comme un fou jusqu'au message de Cycy où elle me disait qu'elle était chez elle et qui ne fallait pas que je m'inquiète...Déjà vous voyez que si Cycy envoie un sms de ce genre c'est pas normal. Elle aurait dû m'envoyer des répliques cinglantes bien méchantes pour que je m'écrase ,mais là nan.
K: C'est la merde mec.
W: Il essaie de me pousser au suicide ou quoi ? Dit-il en
s'adressant à Jack.
J: Il n'est pas connu pour sa délicatesse. Mais cette dispute elle est venu de quoi ?
W: D'un foutu message.
Je jouai tranquille à la Play et elle, elle lisait. Quand j'ai reçu ce sms. J'étais tellement dans mon jeu que je n'avais même pas remarqué. Alors elle a regardé et c'est parti en guérilla.
Il sortit son téléphone et montra le message.
《 Bébé tu me rejoins cher moi après la petite visite cher ta "copine" ?
J'ai envie de toi Wyatt !
Je t'attend !》
Jack écarquilla les yeux et jeta un regard étrange au brun.
W: Nan ! Nan nan nan ! Je l'ai jamais trompé ! Je suis fou de cette fille, j'en suis dingue ! Je n'aurai jamais pu lui faire ça.
C'est un piège je ne connais même pas ce numéro. Et elle ne m'a pas cru. Elle m'a hurlé que j'étais un salaud, un gars répugnant, qu'elle était complètement amoureuse de moi et qu'est ce qu'elle avait fait pour que je l'humilis et la blesse autant.
Il prit son visage entre ses mains et senti ses yeux le picoter.
Quand il releva la tête de ses mains, ses yeux brillait.
W: Je n'ai rien fait. Je n'ai rien fait et je l'ai perdu putain. Qu'est-ce que je vais faire ?
Kris le regardait essayant de trouver des paroles encourageantes mais il fut trop décontenancé par le désespoir du jeune homme.
Quant à Jack il n'avait toujours pas levé les yeux du portable. Ses yeux étaient rivés sur l'écran plus précisément le numéro du destinataire. Il ne lui était pas inconnu.
Ce numéro, il l'avait déjà vu, déjà récité mais où ? Quand ? Avec qui ?
Il se fit alors la promesse de découvrir qui avait fait ça qui avait détruit le couple de Wyatt...
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