Chapitre IX: Le sauveur d'une heure...
La sonnerie retentit pour la pause de l'après midi.
Tout les élèves sortirent de leurs classes respectives.
Une jeune femme au cheveux d'or blanc ne participait pas à la conversation avec ses camarades de classe, trop concentré sur ces pensées. Elle bouscula quelqu'un de plein fouet, il l'attrapa in extrémis pour l'empêcher de tomber. Elle releva les yeux pour s'excuser et le remercier mais les mots restèrent bloqué au fond de sa gorge, et furent remplacés par l'arrivée imminente de larmes.
- Excuse moi Elsa, je ne t'avais pas vus, ça va ? Souriait tendrement le jeune homme.
Elle ne pu que hocher la tête et aussi vite qu'elle pu, elle le contourna pour s'en aller loin de lui. Elle couru en direction du placard du concierge et s'y enferma. Assise sur une boite de détergent anti tâche XXL. Elle pleura de tout son soûl, laissant les larmes couler d'elles mêmes, les sanglots sortirent d'eux même, sans retenue aucune. Elle resta un moment dans cet état en repensant à cette scène. Le gentil garçon qui l'avait bousculé n'était autre que Wyatt. Cela faisait deux semaines qu'elle ne l'avait pas vu, pour cause depuis leur rupture elle ne mangeait plus avec Anna et Cycy car celle ci restait encore très proche de son ex petit ami. Pour elle, c'était encore trop dur et trop tôt de le revoir comme avant.
Ils étaient définitivement séparé, après que Jack leur avait révélé le fin mot de l'histoire, elle s'était sentie honteuse et gêné. Elle n'avait pas cru Wyatt et l'avais traité de la pire sorte mais elle pensait qu'il la comprendrait et qu'il oublierai cette mauvaise aventure, mais non. Wyatt avait remercié Jack de l'avoir cru puis il lui avait demander de les laisser seuls tout les deux.
Le jeune homme au cheveux de jais n'était pas en colère, ni méprisant, ni rien du tout. Il était calme et même soulagé comme fut Dreffus lors de la proclamation de son innocence.
Il lui avait dit simplement qu'il était content qu'elle connaisse enfin la vérité et que ce n'était pas grave si elle ne l'avait pas cru. Alors Elsa a essayée d'aborder le sujet d'une réconciliation mais l'ancien petit ami la coupa net dans son élan.
Lui disant : "Desolé mais ça, je ne peux pas...Au revoir Elsa " avant de l'embrasser délicatement sur la joue une dernière fois, puis il partit en fermant doucement la porte.
Depuis Elsa n'était plus la même, elle avait mal et elle ressassait tout le temps ses regrets, inlassablement. Le regard perdu et vide, elle déprimait tout naturellement.
Quand elle sortit de son antre la sonnerie retentit mais quelque chose clochait. La sonnerie était un bruit de fond qui était étouffé par des cris, des haussements de voies soudain, des insultes et même des pleurs. Elsa ne comprenait pas ce qui se passait. Elle eu le temps de voir des garçons se battre devant elle, il devait être 5 et elle, elle était pile au milieu de cette bagarre. Elle devait vite sortir de là avant de se prendre un coup mal placé. Une règle que son oncle lui avait apprise : "n'essaie jamais de séparer une bagarre car la victime ne va être que toi." Tout se passait en quelques secondes à peine, elle vit ce coude se diriger vers elle, sa trajectoire tracé sur son abdomen. Elle voulue reculer mais ses réflexes étant limités, elle ferma les yeux se préparant à recevoir l'impact douloureux. Quand elle sentit une présence devant elle, elle ouvrit alors ses paupières et vit un dos immense qu'elle reconnu aussitôt avec ses cheveux peroxydé. Il poussa le bagarreur qui allait lui faire du mal avant de se retourner vers elle.
J: Qu'est ce que tu fait !? Sort de là ! Dépêche !
Et sans demander son reste elle se dirgea vite vers le cercle d'élève. Et ce qu'elle vit la scotcha.
Jack dépassait tout les garçons d'au moins deux têtes et demi. Il en attrapa deux par la tête et les sépara aussi facilement que des enfants de 3 ans. Il en pris un par sa veste qui était entrain de frapper un autre à terre. Il était presque entrain de le porter pour le poser sans délicatesse de l'autre côté. Les autres fauteurs de trouble s' arrêtèrent et le regardait d'un mauvais œil mais effrayés quand même.
J: C'est quoi ces conneries ? Vous vous prenez pour des hommes ? Si vous l'êtes c'est dehors qu'on fait ça et pas devant tout le monde bande de ....Pezzo di merda !
Et toi l'abruti de première, dit il en désignant celui qui allait frapper Elsa. T'a failli tuer une fille, tu vas aller t'excuser et vite.
Le garçon campas alors sur ces positions ce qui fit sourire Jack.
J: Je vais pas le répéter, tu m'as déjà mis en rogne en ayant rien fait mais imagine ce que je peut te faire si volontairement tu ne bouge pas ? En plus tu me tiens tête tu vas passer un sale quart d'heure, aller...
Il vit le gamin tressaillir.
-Desolé...
J: Attend je vais t'aider. Dit il en se dirigeant vers lui et il l'attrapa par la nuque pour l'emmener devant Elsa.
C'est comme ça qu'on présente des excuses à une femme, Aller.
E: Jack c'est....
-: Excuse moi d'avoir faillit te frapper, vraiment.
L'italien le relâcha un sourire aux lèvres.
J: Et bha voilà ! Ta vu ? Tu comporte en homme, lui dit il en lui ébouriffant les cheveux.
Le garçon le regardait admiratif et impressionné en se demandant qui était ce gars.
Un professeur arriva enfin et prit les 5 garçons en leur criant dessus .
Le reste des élèves s'en allèrent aussi. Jack et Elsa eux se regardaient dans les blanc des yeux.
E: Alors monsieur se prend pour un sauveur de princesse en détresse.
J: Ahahhah pas du tout ! Faudrait d'abord avoir une, de princesse, Elsa.
Elsa fut outré ce qui fit rire le blond.
E: Toi ! Tu es vraiment un sale type !
J: Moi !? Ça t'écorcherai la bouche de dire : " Merci oh mon beau Jack de m'avoir sauvé de ces bandits " ?? J'ai risqué ma vie !
E: Oh arrêté ton char ! A toi tout seul tu les à maîtrisés, tu n'avait rien à craindre ! Et puis je ne dirait jamais ça, Jamais !
Il avança et elle recula jusqu'à se coller à une porte. Il lui sourit.
J: Même pas un merci hein ?
E: Merci.
J: C'est pas un merci de reconnaissance ça...
E: Alors quoi ? Tu vas m'apprendre à être "une femme" ?
J: Pas la peine nan...dit il dans un souffle.
N'empêche que j'aurai pu être blessé qui sait ? Et toi tu ne t'ai même inquiété un tout petit peu...
E: Pourquoi je me serai inquiété pour un fou pareille ?
Et je te l'ai dit, qu'est ce qu'il aurait pu faire contre toi sérieusement ? C'est à peine si il arrive à toucher ton visage, tu es si grand, si on est pas ébloui, on est effrayé par ta présence...
J: Tu es toute petite comparé à moi c'est fou...c'est presque si tu ne te casserai pas si je t'effleure...
Elle sourit faiblement.
E: Mais n'oublie pas que je suis un dragon...je suis plus résistante que tu ne le crois..
Elle glissa de côté et s'en alla dans un couloir. Jack la regardait partir un petit sourire espiègle aux lèvres.
J: Une diablesse....
*************
La cafétéria était presque déserte alors quand Cycy entra elle ne trouva ni Elsa ni Anna ni personne à part Wyatt mais il était avec des amis à lui, des garçons et il n'était pas question qu'elle y aille, alors elle tourna les talons et s' apprêtait à s'en aller. Jusqu'à ce qu'elle entende son prénom, elle jura dans sa tête et continua d'avancer avant d'être de nouveau interpellé.
Elle se retourna et vit Wyatt, agiter la main pour lui faire savoir de le rejoindre.
Piétinant des pieds elle hésita à y aller, mais sous l'insistance de son ami et tout les paires d'yeux qui la scrutaient elle se dirigea vers la tablé.
Ils étaient huit assis en cercle autour de la table. Elle ne put s'empêcher de les comparer aux chevalier de la table ronde -elle avait eu cours de littérature -
A les regarder, Wyatt aurait été le roi Arthur sans hésitation.
Le jeune homme lui fit une place à ses côtés. Et ne put faire autrement que baisser la tête gêné et mal à l'aise.
W: Les gars je vous présente ma meilleure ami Cycy, elle est géniale vous allez voir, vous allez l'adorer !
Elle s' installa à la place de "Guenièvre"
Elle leva les yeux pour voir l'assemblé et elle reconnut Jack et Kris directement mais les autres ne lui disait rien du tout.
A la gauche de l'amour caché d'Anna il y avait un grand métisse au yeux noir qui la regardait avec un drôle d'aire. Il portait un tee-shirt de foot et croisait ses bras sur la table. Il était impressionnant, grand et baraqué, une vrai armoire à glace.
Elle se dandina sur sa chaise mal à l'aise par ce regard.
W: Donc Cycy, je te présente Marvin, Luk, Charlie, King, Kris, Jack et Logan. Il la saluèrent soit d'une main soit d'un hochement de tête. Elle vit Jack lui sourire de toute ses dents, elle l'aimait bien, il n'avait plus jamais parlé de la mésaventure de la dernière fois alors que d'autre ne se serait pas gêné, elle lui sourit en retour.
- Bon maintenant qu'il y a une fille on pourra plus parler de truc de mec ! Dit Marvin.
C: Tu avais prévus de parler de choses bien salaces hein ? Tous les mêmes on dirait.
Il se mirent tous à rire ne pensant pas qu'elle répondrait.
M: Pfff t'aurai pas pu nous emmener une fille un plus bête bête, elle est trop perspicace elle ! Et je tiens à ajouter belle demoiselle que nous ne somme pas des goujats autour de cette table !
Ch: Exact...c'est même les femmes qui nous font le plus de mal...dit Charlie
J: Avec nos pauvres cœurs meurtris !
C: Arrêtez donc, combien de filles ont pleurée à cause de vous hein ? A vous huit on doit avoir la population de Sao Paulo facile ! Bande de menteur...
{}: Eh !!! Disent ils à l'unisson.
Mais rigolèrent la seconde suivante.
M: Cette nana est génial !
K: Carrément,dit Kris.
W: Eh eh calmez vous, c'est ma pote commencez pas à prendre vos aises.
Un portable sonna soudainement, obligeant chacun à vérifier leur écrans mais c'est celui de Jack qui confirma l'appel. Il décrocha au numéro connu, après quelques secondes son sourire se figea et se décomposa. La tablé perplexe regardait tous l'italien, le silence était si intense qu'ils purent entendre une voie appeler le blond depuis le combiné.
Par la fenêtre une déferlante de véhicules de secours passaient par la l'avenue principale, se dirigeant vers l'autoroute. Pompiers, ambulances, polices tous passaient, alarmes et sirènes déclenchés.
Jack bondit de sa chaise jeta le téléphone sur la table et couru hors de la cafétéria à toute allure.
Kris récupéra le portable pour comprendre la situation. De l'autre côté du fil ? Sa mère. Raison de l'appel ? Son inquiétude pour ses garçons qui devaient rentrer plus tôt cet après midi.
Il avait eu un grave et important carambolage sur la route principale...
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Voilaaaaaaaa !!!
Alors votre avie ? Bon le suspens est un peu méchant mais eh avez vous déjà des hypothèses sur cette catastrophe ?
Allez y exprimez vous je suis toute ouïïïï !!!!!!!!
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