001 | He moves with such sensuality
Le 12 Août 2020 à 11 H | Los Angeles
Ce type est réglé comme une horloge, il fait la même chose tous les matins. Il quitte sa chambre à 8 heures du matin, il va dans sa cuisine, il se prépare une omelette avant de s'installer sur le plan de travail de sa cuisine. Tablette en main, je suppose qu'il consulte l'actualité ? Même après avoir fini de manger, il reste un moment concentré sur sa tablette et moi de chez moi je vois tout. De mon appartement plongé dans l'obscurité, je l'observe tout. Il ne se doute de rien. Il vit sa vie comme si tout était normal, comme si nous n'étions jamais sortis ensemble.
Il n'est pas triste, il n'est pas en colère, il arbore une attitude détachée. Je ne comprendrais jamais sa capacité à faire comme s'il ne s'était rien passé, parce qu'à en croire mes souvenirs, il était fou de moi. J'occupais ses pensées. Je le rendais fou, il se posait des tonnes de question à mon sujet et là, il a l'air d'avoir tourné la page. Il a l'air d'aller bien. Ben moi, je ne vais pas bien, je suis remontée et à la recherche d'un plan. Dire que les choses avaient si bien commencer entre nous.
Je l'ai rencontré à un cours d'écriture créative. J'aime beaucoup écrire, dessiner, tout ce qui se rapporte à l'art et découvrir de nouvelles choses. Lui ce n'était qu'un élève médiocre qui faisait de la peine à tout le monde et surtout à moi. Je n'avais jamais lu des nouvelles aussi plates et sans saveur. Il a sollicité mon aide et j'avoue que ça ne me disait rien de l'aider parce que ça me plaisait de me moquer intérieurement de lui. Je n'avais pas d'ami et je m'en fichais bien de ne pas en avoir. On ne peut pas dire que j'étais sociable en ce temps-là et je ne le suis toujours pas.
Je ne voulais pas l'aider, mais il a réussi à me convaincre d'accepter. Il n'arrêtait pas de me supplier et ça avait le don de me rendre dingue donc oui, j'ai décidé de l'aider. J'ai accepté de lui apprendre à mieux écrire et pour ça. Il fallait d'abord que je lui apprenne à vivre. Comme on dit écrit ce que tu connais. Il fallait donc que j'élargisse sa façon de voir la vie. Que je lui fasse vivre de nouvelles expériences. Nous sommes sortis, nous avons exploré des endroits, examiner des lieux, qu'il soit vivable ou invivable. Nous avons testé beaucoup d'activité, beaucoup de nourriture. Je l'ai sorti de sa zone de confort. Et à la fin de chaque expédition, je lui demandais, de me décrire son ressenti. Mais, un jour, les choses ont dérapé.
Le 15 Décembre 2019 à 20H50 | Los Angeles
— J'espère que tu es prêt, parce qu'il faut qu'on y aille, crié-je derrière sa porte après avoir frappé.
— Je suis prêt, me dit-il en m'ouvrant la porte. Mais, en quoi aller en boite va m'aider à écrire ? me questionne-t-il.
Mon partenaire sur le pas de sa porte termine de mettre ses chaussures. J'ai une méthode assez particulière pour le faire écrire. J'ai l'impression qu'il ne connaît pas grand-chose à la vie, donc je l'apprends à vivre. Je lui fais découvrir de nouvelles choses, j'élargis son champ de connaissance en matière d'émotion par la visite de lieu ou la pratique d'activité. Ce soir, on va à une soirée, on va faire l'expérience de l'alcool, dans toute œuvre qui se respecte cet élément y figure. Je ne doute pas qu'il ait déjà bu dans sa vie, mais cette fois, je veux qu'il concentre toute son attention sur ce qu'il ressent. Quel effet lui procure l'alcool. C'est quand même mieux que de chercher toutes ses informations dans les livres vous ne trouvez pas ? Il faut vivre certaines expériences.
— Tu vas savoir ce qu'on est censé ressentir quand on boit et qu'on fait les fous, on va expérimenter la consommation excessive d'alcool, lui informé-je.
— Qui va nous ramener si on se bourre la gueule ? Me questionne-t-il.
— On y va à pied, lui répondis-je. Il y a un entrepôt pas loin et un DJ très en vogue qui prend le lieu pour faire une soirée déjantée, ajouté-je.
— Dans ce cas allons-y, me dit-il en souriant doucement.
Mon camarade sort de son appartement et ferme la porte derrière lui. Sans attendre, je l'entraîne hors de son immeuble. Ensemble nous prenons la destination du local où se trouve la soirée. On pourrait aller en boite tout bêtement, mais je ne suis pas d'accord avec cette idée. Les boites de nuit, c'est rasoir et tellement commun. Se rendre dans un coin inconnu et faire la fête ça s'est cool.
Arrivés devant l'entrepôt une longue file se présente à nous. Une des choses que je déteste le plus au monde, mais je décide de me plier à la règle. À ce genre de soirée, généralement, il n'y a pas de garde armé devant, mais là, c'est un DJ assez connu qui se produit et il veut avoir la soirée sous contrôle. C'est quoi son nom ? Aucune idée, je ne vais pas vous mentir. J'ai entendu parler de la soirée et je me suis dit, je vais me pointer. Tout ce que je sais de lui c'est qu'il ne fait pas partie de mes Dj préférés, mais de toute façon tout ce qui importe ce n'est pas la musique, ce sont les activités de personnes bourrées, c'est ça qu'on va expérimenter aujourd'hui.
Une fois notre tour arrivé, Kurt et moi, nous faisons fouiller de la tête aux pieds. Ça a l'air de le gêner ce qui n'est pas mon cas. Étant en règle, je lui attrape la main et l'entraîne à l'intérieur. Cet entrepôt est extrêmement grand. Déjà, quand on rentre, on est dirigé vers une rambarde en métal ou chacun de nos pas raisonne. Il y a des faisceaux lumineux de couleur violet qui virevolte nt dans toute la pièce et en bas se trouve une foule de monde qui se déhanche comme des malades. Voyant les escaliers, je tire sur le bras de Kurt et l'y entraîne. Nous descendons ensemble avant de nous frayer un chemin parmi les corps à moitié vêtus et en sueur.
Je ne comprendrais jamais cette manie de se mettre à moitié à poil pour aller en soirée. Personnellement, je suis habillé e, d'un jean noir, d'un débardeur marron, d'un perfecto et d'une paire de bottes à talon de la même couleur. Okey sur les côtés de mon t-shirt, on peut voir que je n'ai pas de soutien, mais tout est caché par ma veste. Une fois arrivée au comptoir, je commande une tournée de shot avant de me tourner vers mon invité.
— Donc le programme, c'est de se soûler à mort ? me questionne-t-il. Est-ce qu'on a une limite ? Me demande-t-il.
— Je n'en sais rien, lui répondis-je. Mais, ce serait bien qu'on conserve assez de lucidité pour pouvoir retourner chez nous, ajouté-je.
— Ouais, j'avoue que ce serait cool, me dit-il.
Dans ce genre de situation, c'est bien d'avoir quelqu'un pour veiller sur tes actions quand tu es bourré, mais est-ce que tu peux toujours compter sur ton co-pilote ? Non, j'ai fait cette erreur une fois... Il a abusé de ma confiance... Je n'aurais jamais imaginé qu'il puisse s'en prendre à moi. Me salir de cette façon. J'étais torché e, il l'était aussi, mais il l'était moins que moi et il en a profité. Je lui ai fait payer ce qu'il m'a fait. Qu'est-ce que je lui ai fait ? Est-ce que je l'ai tué ?
Oui. Je me suis débarrassée de lui après avoir trouvé le moyen de faire taire ma détresse intérieure. Je lui ai fait croire que tout allait bien. Je lui ai fait croire que j'en voulais encore et là... je l'ai dépossédé de son engin qu'il a osé introduire en moi. Il était terrifié et surtout paniqué. Il était dans tous ses états. Je me souviens de ce moment parce que j'avais tellement ri. Je n'avais pas pu m'arrêter. Est-ce que je me suis arrêté e là ? Bien sûr que non. Je l'ai introduit dans sa bouche puis, je lui ai tranché la gorge. Je me suis sentie tellement bien et en vie.
Je l'ai tué et je ne regrette rien, ils n'ont jamais trouvé l'auteur de son meurtre. J'ai été prudente, très prudente, mais gardez ça pour vous. Une fois nos shots arrivés, nous prenons chacun un verre. Nous trinquons ensemble avant de descendre le liquide le long de notre gorge. 2 puis... 3 puis... 4 puis... puis j'ai oublié le compte.
L'alcool pulse dans nos veines. Je me sens différente, je le sens différent, il rigole à la moindre de mes paroles. Je ne comprends pas la moitié de ce qu'il raconte ou de ce que je raconte. Ayant une envie folle de me défouler, je lui attrape le bras et l'entraîne sur la piste de danse. Je commence à me déhancher sur la musique assourdissante qui retentit autour de nous. Mon partenaire ne semble pas sûr que ce soit une bonne idée de danser. Lui attrapant les mains, je le pousse à se bouger. Il rigole avant de suivre le mouvement.
Il est ridicule, mais ça n'a pas d'importance, les gens nous jugent sûrement, mais je m'en fiche. Le regard des gens n'a plus aucun effet sur ma personne. J'aime être différente, j'aime paraître flippante comme ça au moins, les gens me fichent la paix et ne prennent pas pour habitude de me chercher. Me chercher, c'est une très mauvaise idée.
Un peu plus tard.
Je ne sais pas quelle heure, il est, mais en tout cas, il est l'heure de rentrer. Mon partenaire et moi quittons l'entrepôt main dans la main sautillant comme des demeurés ou comme un couple bourré ? Ouais, je dirais plutôt comme un couple bourré. Je ne suis pas sûre de savoir si on suit bien la direction de chez lui, mais il semble savoir mieux que personne où on va.
Je le suis sans problème avant de lâcher sa main. Je saute sur son dos, ce qu'il le fait doucement rire. Ce dernier attrape mes jambes et continue sa marche jusqu'à son bâtiment. Je me sens toujours... Je ne sais pas, mais je suis consciente, je dirais un peu. Je me sens fatigué e, on a un peu trop fait les fous ce soir. Je devrais faire ça plus souvent. Arrivé devant son immeuble, il entre à l'intérieur et se glisse dans la cage d'ascenseur.
Une fois à son étage, il emprunte son couloir et s'arrête devant sa porte. Ayant besoin de prendre ses clés, il me pose au sol. Je sens que je ne peux plus porter mon propre corps. Je me sens tellement épuisée. M'adossant contre le mur à côté de sa porte, je me laisse tomber contre ce dernier tandis qu'il glisse avec difficulté ses clés dans la serrure. Pour une raison que j'ignore, il s'assoit en face de moi.
— Je ne me souviens pas de la dernière fois où je me suis amusé de cette façon, me dit-il en riant doucement.
— Moi, non plus, lui dis-je en riant de bon coeur avant de me débarrasser de ma veste.
— A quoi ça va me servir pour écrire ? me questionne-t-il en se rapprochant de moi.
— Tu verras bien quand tu seras devant la feuille toutes les idées vont jaillir d'un coup, lui réponds-je en souriant.
Mon étudiant, se rapproche un peu plus de moi. Ses mains, se retrouvent de chaque côté de mes hanches tandis que son visage se rapproche du mien. Ses lèvres cherchent les miennes. Il ne sait pas si c'est une bonne idée, il cherche un signe. Il veut m'embrasser, il en a envie. J'attends, j'attends qu'il se jette à l'eau. Je sens son souffle s'écraser sur mes lèvres, mes yeux se ferment, je le sens se rapprocher de plus en plus. Ma main droite se pose sur sa joue. Elle effleure sa barbe de 3 jours avant de se glisser dans sa chevelure et d'un coup, je les sens. Je sens ses lèvres caresser les miennes avec douceur. A-t-il peur qu'elles tombent en poussière ?
Il s'écarte un peu, mais j'en veux encore, je saisis sa mâchoire et plaque mes lèvres contre les siennes. Cet échange est tellement doux que j'ai l'impression que le monde autour de nous a été mis sur pause. Il n'y a que lui et moi qui soyons en mouvement. Sans se détacher de mes lèvres, Kurt s'assoit en tailleur sur la moquette du couloir. Il saisit avec douceur mes jambes qu'il pose de part et d'autre de son corps avant d'attrape mon fessier de ses mains pour que je prenne place sur ses cuisses.
Je me laisse faire, parce que j'en ai envie. Oui, j'en ai vraiment envie. Glissant mes deux mains dans sa chevelure, je me mets à dévorer ses lèvres avec passion, je les savoure sous toutes leurs coutures alors, qu'il serre mon corps contre le sien. Il me laisse jouer avec ses lèvres. Il me donne l'accès à sa langue et je saisis cette occasion pour lui présenter la mienne... du moins avant qu'on ne vacille en arrière.
Un rire s'échappe de nos lèvres. Monsieur est trop bourré pour se tenir assis. Posant ma main gauche à côté de sa tête, j'envoie valser ma chevelure en arrière de l'autre main, je plonge ensuite mon regard le sien. Ses mains se trouvent sur mes hanches, il ne sait pas où se mettre, il ne sait pas si on doit reprendre ou pas. Je sais qu'il voudrait qu'on reprenne, je le sens contre moi sa bosse.
— On devrait peut-être entrer ? lui proposé-je.
— Ouais, tu as sûrement raison, me dit-il en souriant doucement.
Mon partenaire me fait basculer avant de se redresser sur ses pieds, il me tend ensuite sa main que je prends pour me lever. Je récupère ensuite ma veste tandis que ce dernier ouvre sa porte d'entrée.
Un peu plus tard ou plus tôt.
Je suis en train de lire son nouveau texte sous son regard inquiet. Je ne vois pas pourquoi il est inquiet. À chaque sortie, il s'améliore et le résumé qu'il a fait de notre soirée, est magnifique. Surtout le moment dans le couloir. On sent bien toute la tension sexuelle que j'ai ressenti à ce moment-là. Il est devenu super doué. Il réussit à provoquer une nouvelle sensation de chaleur dans mon bas-ventre. Levant mon regard de son carnet, je tombe sur lui.
— Alors ? me questionne-t-il.
— Parfait, je n'ai rien à ajouter de plus, lui réponds-je en posant son carnet avant de croiser mes bras.
— Tout ça, c'est grâce à toi, me dit-il en souriant doucement. Tu es un très bon professeur, ajoute-t-il en se rapprochant de moi.
Ses bras reprennent place de part et d'autre de mon corps, ses lèvres recommencent à chercher les miennes. Est-ce que c'est une bonne idée, de se laisser aller, à ce genre de plaisir. Je ne sais pas, mais en tout, je ne suis pas indifférente à son charme. Ses lèvres frôlent doucement les miennes, il veut être doux. Est-ce qu'il se peut qu'il ait attendu ce moment toute sa vie ? Je dirais que c'est possible.
Attrapant mes jambes, il me ramène doucement vers lui. Je le laisse faire. J'attends de voir ce qu'il compte faire. Posant mes mains dernière ma tête, je le regarde s'éloigner de moi. Je l'observe me débarrasser de mes chaussures, mes chaussettes avant de revenir au niveau de mon pantalon. Il défait ma ceinture, puis le bouton avant de baisser la fermeture éclair et de me l'enlever. Toujours en prenant son temps.
Il veut être sûr que je suis partante et j'avoue que je l'admire pour ça. Il n'est pas comme l'autre chien. Écartant doucement mes jambes, il prend place entre elles et pose de nouveau ses lèvres contre les miennes. Je réponds à son baiser en glissant mes fins doigts dans sa chevelure. Je dévore sa bouche une nouvelle fois ou s'est lui qui bouffe la mienne. Ses mains caressent la peau nue de mes jambes tandis que son bassin remue contre le mien. Je sens son entrejambe prisonnier se frotter contre mon sous-vêtement. Il bouge avec une telle sensualité. J'adore, l'énergie qu'il dégage. Le trouvant trop habillé, je libère sa chevelure pour attraper son haut.
Je le remonte le long de son torse avant de le lui enlever. Je ne l'aurais jamais imaginé, mais de ce que je peux voir, il fait du sport. On n'obtient pas un pack de 6 en soulevant des livres. Est-ce qu'il se peut qu'il ait un côté sportif ? Au lieu de reprendre possession de mes lèvres, il me regarde. Sous son regard, je pose mes mains sur son torse parfaitement bien sculpté. Pas de poil sur le torse. Je suppose qu'il se le rase. Regardez-moi ça un peu. Mes mains remontent dans sa chevelure et mes lèvres rejoignent de nouveau les siennes. C'est fou ce que je peux avoir envie de lui là tout de suite.
Ce dernier étant à la recherche de confort, il agrippe mes jambes avant de s'asseoir comme une personne normale sur le canapé. Nos lèvres continuent leur échange et là, c'est moi qui me bouge contre son bassin. Il presse mon corps contre le sien. Ses doigts froids se glissent sous mon haut et rencontre ma peau brûlante. C'est fou ce qu'il est doué ce mec pour me retourner le cerveau.
Il veut m'enlever mon t-shirt, mais je lui fais comprendre que ce n'est pas le moment en me décollant de lui. Je déboutonne son bas et commence à le baisser. Il a envie de moi donc, il m'aide, le laissant rejoindre ses genoux. Saisissant son menton, je recommence mes mouvements de bassin, je veux jouer avec lui encore un peu. Il veut m'embrasser, mais je ne le laisse pas faire, je laisse mes lèvres provoquer les siennes. Sa mâchoire étant prisonnière de ma main gauche, il ne peut pas faire grand-chose mis à part supporter.
Je le sens prendre du volume de plus en plus, il n'en peut plus. Il veut reprendre les choses en mains. Sans prévenir, il m'attrape par les cuisses et quitte son canapé. Il prend la direction de sa chambre. Ouvrant sa porte, il la referme derrière lui avant de venir me poser sur son lit bien rangé. Il se débarrasse de son pantalon avant de revenir au-dessus de moi. Il vient caresser mes lèvres de petite baiser innocent et saisit par la même occasion le bas de mon t-shirt qu'il remonte sur ma poitrine.
En un rien de temps, il rejoint le sol. Mon partenaire me regarde, comme si j'étais une œuvre d'art. Il admire ma poitrine puis, pose son regard sur moi. Il me demande la permission. La permission de quoi ? Posant ses mains dans mon dos, il commence par poser des bisous mouillés sur mon épaule gauche. Il descend en douceur sur ma poitrine. J'ai l'impression que mon corps a été pris d'assaut par une horde de papillons. Je sens des tonnes de picotement s à chaque fois que ses lèvres entrent en contact avec ma peau.
Il rejoint ma poitrine, il titille mes seins, avec ses mains, avec sa langue, avec sa bouche. C'est tellement bon qu'une cambrure née au niveau de mon dos. Il caresse chaque parcelle de peau nu e qui se dresse devant lui jusqu'à arriver à mon dernier sous-vêtement. Saisissant l'élastique de ma culotte noire, il l'a fait glisser le long de mes jambes.
Je suis nue devant sa personne. Ma redressant sur mes coudes, je le regarde, il me regarde. Il se rapproche, il récupère mes lèvres avec les siennes. Posant mes mains sur ses hanches, je le fais basculer. C'est mon tour. Il s'étale en douceur à côté de moi, ce qui me donne l'occasion de me dresser au-dessus de lui. Rompant notre baiser, je le dépossède de son sous-vêtement. Il est nu devant moi.
Je le regarde, il me regarde. Personne ne fait rien. Je lui montre, rien qu'avec mon regard à quel point j'ai envie de lui. Il me répond avec son regard plein de désir. Il attend que je fasse quelque chose. Qu'est-ce que je dois faire ? Est-ce que je dois faire quelque chose ? Rampant vers mon partenaire, je m'installe en califourchon sur lui. Je prends possession de son visage tandis, qu'il me positionne comme il se doit au-dessus de lui après avoir pris possession de mes hanches.
D'un coup, je le sens en moi, il s'est introduit et il me fait glisser sur son membre. Je le regarde, il me regarde, tout ce qui s'échappe de nos lèvres sont des gémissements. Je décide de prendre les choses en main. Je commence une série de mouvements de bassin. Ce dernier s'accroche à moi. Mon corps se retrouve plaqué contre le sien, mes hanches sont prisonnières de son bras, tandis que son autre main se retrouve sur mon épaule gauche. Ma poitrine se frotte contre la sienne, je sens ma respiration tout comme la sienne s'accélérer.
Je n'aurais jamais cru que ça arriverait un jour. C'est vrai qu'il est sympa, mais quand même coucher avec lui, c'est autre chose, mais c'est tellement bon. Il sait ce qu'il fait, il n'est pas brutal, il est passionné et j'aime ça. Saisissant sa mâchoire, je prends possession de ses lèvres, elles me manquent tellement, elles sont si douces, elles épousent à merveille les miennes. Est-ce qu'il y avait une meilleure façon de terminer la journée ? Je n'en suis pas sûr e.
Mon partenaire voulant reprendre le contrôle, il me fait basculer, il prend appui sur ses avant-bras tandis que j'enroule mes jambes autour de son bassin et que mes mains rejoignent son dos. Il bute en moi, encore et toujours. Mes gémissements se fondent de plus en plus fort, mon partenaire étouffe les siens en se mordillant la lèvre inférieure. Il veut m'envoyer au 7e ciel, il veut prendre son pied. Je prends mon pied et j'y suis proche. Continue... Plus, il continue, plus, je sens que je vais lâcher prise, il me rend folle ça lui fait plaisir, je le rends fou, je le sens, je le vois. J'arrive, j'arrive ne lâche rien.
Je lâche tout, il lâche tout.
À bout de souffle, mon partenaire, se laisse tomber sur ma personne en prenant le soin de ne pas m'écraser. Nous reprenons notre respiration, tout en nous regardant. Ce moment, je ne dirais pas qu'il est magique, ce mot ne fait pas partie de mon vocabulaire, mais je dirais qu'il était intense, je n'ai pas de mot plus puissant pour le décrire.
— Tu me fais, flipper par moment, mais j'aime ça, me dit-il en riant doucement.
Pour seule réponse, je me contente de prendre possession de son visage et lui voler un baiser. Un baiser auquel il prend la peine de répondre.
Le lendemain matin
Quand, je me réveille, je sens un immonde mal de crâne prendre possession de ma tête. Combien de verre j'ai bu ? Je ne m'en souviens plus, mais, en tout cas, je sens que je ne me suis pas arrêté à un. Me tournant sur ma droite, je constate que la pièce est plongée dans l'obscurité et que je suis toute seule. C'est en grinçant des dents que je me redresse, je m'assois en tailleur et commence à frotter mon visage pour bien me réveiller.
Je quitte ensuite le lit, mais à peine debout, je sens quelque chose de différent. Posant mes mains, sur chaque parcelle de mon corps, je constate que je suis complètement nue. Ah oui, c'est vrai, j'ai couché avec mon élève. Je me jette sur le lit et me mets à fouiller parmi les draps divers. Je recherche mon t-shirt et mon sous-vêtement. Si mes souvenirs sont bons, c'est avec eux que je suis entrée dans cette pièce.
Malheureusement, il fait noir donc on peut dire que ça me complique un peu la vie. Me redressant, je me mets à quatre pattes et commencé à tâter le sol à la recherche de quelque chose. Il n'y a pas grand-chose sur le sol, vous pouvez me donner mes vêtements qu'on en finisse, je n'ai pas envie qu'il me voie me balader de cette façon dans sa chambre. Je finis par trouver mon t-shirt. Sans perdre de temps, je me redresse et l'enfile.
Passant une main dans ma chevelure, je dévisage la pièce à la recherche de mon sous-vêtement, mais il fait beaucoup trop noir et je ne peux pas quitter la pièce comme ça. Mon t-shirt n'est pas assez long pour cacher, le reste de ma nudité. Je me jette donc sur l'interrupteur et d'un seul coup la pièce s'éclaire. Je regarde par terre, je secoue les draps, je ne vois pas ma culotte. Non mais c'est une blague, elle n'a pas pu se volatiliser comme ça ? Vous savez quoi on s'en fout.
M'approchant de la commode de mon hôte, j'ouvre un tiroir et en sort un caleçon que je me force à enfiler. Je quitte ensuite la chambre. L'appartement est plongé dans le calme. Le salon semble propre. Me rapprochant du canapé, je constate que le reste de mes affaires sont pliées et que mes bottes sont posées dessus.
— Enfin, tu es réveillée, me dit une voix.
Me retournant, je tombe nez à nez avec Kurt, il porte un bas de jogging et un t-shirt, ses cheveux sont ébouriffés. Je le soupçonne d'avoir pris une douche. À la main, il tient un cachet et un verre d'eau. Supposant qu'ils sont pour moi, je les prends. J'introduis le cachet dans ma bouche et le fait descendre avec une longue gorgée d'eau.
— Merci, le remercié-je. Et sinon je t'ai emprunté un boxer parce que je ne trouve pas ma culotte, lui informé-je.
— Ce n'est pas grave, j'en ai encore plein, ajoute-t-il. Tu veux que je t'aide à la trouver ? Me demande-t-il.
— Non, laisse tomber, lui dis-je en attrapant mon jean. Il faut que je rentre, ajouté-je avant de me glisser dans mon jean.
Il est bien gentil, mais il est hors de question que je reste ici plus longtemps. Il l'a dit lui-même des sous-vêtements, il en a encore plein ben moi aussi, j'en ai encore plein. Donc, je vais rentrer chez moi, je vais me doucher, je vais lire un bon livre, je vais me détendre quoi. Déjà je suis restée ici cette nuit alors, que je n'aurais pas dû. J'aurais dû m'enfuir, mais j'étais trop torché e pour.
— Tu ne veux pas petit déjeuner avant ? me questionne-t-il.
— Non, je n'ai pas le temps pour ça, lui réponds-je en terminant d'enfiler mon jean.
— Je pensais...
— Non, tu ne pensais à rien du tout, le coupé-je. Tout ce qui s'est passé hier soir est dû à l'alcool et ça s'arrête là, ajouté-je.
Ce dernier, sous le choc, ne sait pas quoi ajouter de plus. J'enfile mes bottes à talon et récupère ma veste avant de quitter son appartement.
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