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critique n°2

La famille Roseau de Kalyana_934

Petit disclaimer : il y aura des spoilers sur le livre dont je vais vous parler. Si vous voulez aller le lire avant de continuer la critique il est dans ma liste de lecture « critique » sur mon profil. Je vais être très objective sur ce que j'ai pu lire donc si je suis blessante, je m'excuse d'avance.

Comme d'habitude, je vais commencer tout de suite par la note que je peux donner à l'histoire pour venir développer mon propos après. Pour moi, le récit que je viens de lire vaut un B+.

Vu qu'on a affaire à un récit qui se compose que d'un seul chapitre, je vais me permettre de repérer les fautes que j'ai pu y voir et bien sur les justifier (sinon la critique ne servirait à rien, ça serait de la correction pure et dure). Cette critique se fera donc un peu comme une analyse linéaire ! Certaines phrases en gras peuvent venir du récit ou alors sont des suggestions de ma part.

Dès le premier paragraphe, il y a quelque chose qui me fait tiquer : il manque un « s » à « ils leur plaisaient » : surtout que tu as conjugué ton verbe à la troisième personne du pluriel mais tu n'as pas mis le pronom personnel qui va avec.

On a une répétition assez lourde à la fin du premier paragraphe : « La culpabilisation était sa première occupation familiale lors des repas de famille ». Tu peux essayer de trouver une tournure moins pesante en changeant les propositions de place (rendre la principale, subordonnée) ou alors trouver un synonyme.

Dans le deuxième paragraphe, la première virgule avant le « avec un chiot dans les bras » n'est pas nécessaire car elle force le lecteur à s'arrêter alors que la conjonction est déjà là pour marquer la liaison facile. En revanche, ta phrase est trop longue ; tu peux couper ce passage à partir de « Nathan, son mari » (j'ai même rajouté ta virgule que j'ai enlevé en début de paragraphe).

Il y a un mot que je n'ai peut-être pas compris, mais pourquoi mettre « Ami » (qui plus est avec une majuscule, ce qui ne doit pas être mis au hasard) pour désigner le mari d'Elisa ? Tu peux me répondre en commentaire sur ce paragraphe parce que je n'ai toujours pas trouvé de sens pour justifier ça.

On a une petite faute d'accord après le dialogue : « la jeune vénitienne nommée Marion ». D'ailleurs, le fait que l'on ne connaisse pas la maladie de Marion est vraiment volontaire à garder une part de mystère dans le récit ? Si c'est le cas, je ne trouve pas ça vraiment utile de le cacher car on est déjà assez dans le flou concernant cette famille : savoir de quoi souffre la jeune fille m'intéresse beaucoup.

Le verbe « maigrit » est mal utilisé : dans ce cas de figure, on dira plutôt « amaigrit » car ce n'est pas un verbe d'action mais un verbe de description. La phrase de dialogue qui suit ne va pas je trouve : trop de points d'exclamation, ça casse rapidement le rythme de la lecture. Les points d'exclamation sont là pour accentuer sur une partie de la phrase, un mot ou même une proposition. Si tu l'utilises sans cesse, il va vite perdre de sa valeur et donc il n'aura plus aucune fonction dans la phrase – ce qui est dommage car il sert à une chose en particulier. La phrase ensuite à partir de « Malgré son apparence cadavérique [...] » est assez difficile à lire car les propositions subordonnées et les virgules s'enchainent donc on s'y perd un peu : essaye de la retravailler en enlevant les conjonctions de coordination « mais » et « car » et de moins utiliser de virgule. Le point-virgule et de vigueur pour ce genre de phrase !

Je trouve que le récit est assez pauvre en description : quelle soit du physique des personnages comme du décor qui nous entoure, on a du mal à vraiment se situer cette famille. Tout ce qu'on sait c'est qu'ils sont riches, que le père aime faire culpabiliser les gens et que la cadette est brune aux yeux verts. Tu peux largement enrichir ton univers ! Puis, la réplique du père n'a pas trop de sens : pourquoi est-ce qu'elle devrait lui dire bonjour ? Je vois plutôt une phrase dans le genre : « tu veux venir le voir ? » ou alors « tu veux lui souhaiter la bienvenue dans sa nouvelle famille » . Apporte de l'émotion et de la singularité à ton récit, il en a grandement besoin !

À la suite du petit dialogue entre le père et la cadette, on a une description de la maladie mentale de Mélanie. Voici les quelques suggestions que je peux te faire : tout d'abord, si elle a des crises de folie, elle devient forcément « violente » mais tu peux ajouter qu'elle a tendance à s'en prendre à sa famille par des coups de pieds/poings ou alors qu'elle est violente verbalement. Ensuite il y a une petite erreur d'accord avec le pronom possessif : « sa chambre »

L'expression « hurler de souffrance » est un peu maladroite : ça serait mieux de dire « hurler de douleur ». Ensuite, dans le paragraphe suivant, tu as oublié d'enlever « à » dans la phrase « suspendit une à sous son porche » et je ne vois pas l'intérêt de l'ajout de « d'or » dans la suite de la phrase ? J'aurais aussi une petite question par rapport à la chanson que la mère conte dans le quartier : cette histoire de Roseau a vraiment un lien avec la plante ou alors juste avec la famille ? Je pense qu'il serait très intéressant de te renseigner sur les plantes car il me semble que ce sont des végétaux qui prolifèrent beaucoup et dont il est très difficile à se débarrasser.

La première phrase après l'annonce de la mort de la mère est problématique niveau syntaxe ; il n'y a pas de proposition principale, aucun sujet ni de verbe conjugué. On ne sait pas qui attend le feu vert de qui ? A retravailler ! La mort de Mélanie est très bien décrite mais il y a certaines phrases qui sont mal formulées. Je pense par exemple à « elle se laissait tombée » : tout d'abord, le verbe « tomber » doit être à l'infinitif et ensuite, pourquoi utiliser de l'imparfait de description ? Je trouve que du passé simple serait plus de rigueur pour cette situation, on arriverait mieux à entrer dans l'action. Et puis, « son visage se noyait » pourquoi « son visage » ?

Dans la partie de Nathan, tu as oublié un pronominal « il les laissa se décomposer ». Et l'expression « êtres vivants » me dérange un peu, je n'arrive pas trop à m'imaginer ce qu'il veut faire des corps : je trouve « poupées vivantes » plus approprié. Le paragraphe sur les chiens est très bien trouvé ! Juste une petite rectification par rapport à une ponctuation mal placée : « Le reste de la semaine, délirant par la faim, le gros chien tua le petit et s'en nourrit. » Et ensuite, un problème de choix de mot : « les chiens [...] prirent la décision » ? Je ne pense pas que l'on peut parler de prise de décision pour les animaux, tu peux changer par un verbe d'action « commencèrent », « en viennent à ».

Dernier petit changement (après je te laisse tranquille ahah), l'avant dernière phrase est mal formulée et les ponctuations trop présentes mais pour celle-ci, je te laisse la modifier comme tu le souhaites ! La dernière petite apostrophe ouverte au lecteur est super sympa et donne un clin d'œil à plein de fable ou conte qui attendent qu'on imagine la suite de l'histoire nous-mêmes : bref, j'adore !

Conclusion, ta petite histoire me fait penser à une légende urbaine ou alors un vieux conte et ça me plait beaucoup. Tu peux la peaufiner au maximum pour qu'elle soit vraiment cohérente et entrainer ton lecteur dans ton univers. 

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