Une semaine était passer depuis que j'avais proposé à Alya de venir me parler, mais elle n'est toujours pas venue. Aujourd'hui c'était un jour sans école. J'ai décidé d'aller voir la plage et me suis donc allongé sur le sable, il était chaud et l'océan me léchait les pieds. Je profitais du soleil, sauf que quelqu'un me le cacha. J'ouvris les yeux pour tomber sur des émeraudes. Je souris.

"Tu veux quoi Jones ?

- Te cacher le soleil.

- Bah c'est réussis."

J'attrape ses bras et arrive à la faire tomber gentiment à côté de moi. Elle commence à pester.

"Calme toi Jones. Profite.

- Profite de quoi ? Le sable ça gratte, après tu en as partout dans les vêtements.

- Tu sais faire autre chose que râler ?

- Je ne râle pas, je m'exprime."

Elle ferme délicatement les yeux, elle avait encore un pull sur elle, certaine mèches de ses cheveux étaient entrain de s'enfuir de ses nattes.

"Tu n'as pas chaud habiller comme ça ?

- Pas du tout."

Je sais qu'elle ment, à force de la voir mentir on arrive à voir les signes. Je me relève un peu et elle fit pareille.

"Tu veux pas l'enlever ?

- Non.

- T'as peur de montrer quelque chose ?

- Non."

Son ton était mal assurer, sa respiration devenait compliquer.

"Bah enlève le.

- Arrête.

- Je sais que tu cache quelque chose.

- Tu te fais des films mon pauvre."

Elle croise les bras et pose sa tête sur ses genoux. Je prends une poignet de sable et la lui envoie dans ses cheveux.

"EH !

- Enlève ton pull !

- J'ai dis non !"

Elle se relève et commence à défaire ses nattes pour enlever le sables.

"Enlève le où si non c'est moi qui le fait.

- Pff... T'en es pas capable.

- T'es sûr ?"

Je m'approche d'elle, elle se recule et tombe dans l'eau. Je ne peux m'empêcher d'éclater de rire. Elle me lance un regard noir.

"T'es nul Odair !"

Je lui tends ma main pour l'aider à se relever, elle l'attrape, sauf qu'elle me tire et je tombe aussi dans l'eau. Maintenant c'est elle qui éclate de rire. On sort de l'eau. Puis une idée me vient en tête, eau + sable. Je la fait rouler dans le sable. Elle me traite de tout les noms d'oiseaux possible et imaginable.  Elle se relève et enlève son pull.

Je m'attendais à tout sauf à ça.

"Alya, qu'es ce que."

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Merci d'avoir lu.

Désolée pour les fautes d'orthographes.