5 ans après les jeux de Finnick

Je cours vers la plage. Après deux semaines d'absence j'avais hâte d'arriver à notre endroit. J'avais maintenant dix-neuf ans, Alya en avait dix-huit. J'arrive à l'entrer de notre plage. Elle était assise au bord de l'eau. Je m'assois à côté d'elle. Mais elle tourne la tête à l'opposé de moi. Je soupire.

"Je suis rentré.

- C'est bien."

Elle ne se retourne toujours pas vers moi. Ces cheveux étaient tresser dans une longue tresse qui lui descendait jusqu'au milieu du dos.

"Tu repars quand ?

- Alya.

- Dans deux jours ? Une semaine ? Demain ?

- Pour l'instant je reste ici.

- Pour l'instant.

- J'ai pas le choix.

- Tu dois être content. Toute les capitolienne se jette dans tes bras."

Je frissonne de dégoût. Rien que de penser à. Alya si tu savais pourquoi je dois aller au Capitol. Elle se relève, je suis le mouvement et lui attrape le bras.

"Alya.

- Lâche moi Finnick."

Elle me regarde droit dans les yeux. Ses iris émeraudes fait chavirer mon cœur. La voir en colère contre moi c'est pas la situation que je préfère.

"Je leur dirais.

- De quoi ?

- Je leur dirais que je préfère rester là."

Elle me juge du regard. Ses muscles se relâchèrent mais elle n'enleva pas sa main.

"J'ai dis ça sur un coup de colère.

- Je sais. Mais tu as raison. Je leur dirais que je ne voudrais pas y aller.

- Que vont ils faire ?

- Sûrement rien."

Je lui fais un sourire qui se veut rassurant. Je suis bien plus grand qu'elle maintenant, mais son caractère doit bien dépasser ma taille de plusieurs mètres. Nous avons passer notre après midi sur la plage. Je lui parlais du Capital, en lui cachant beaucoup de chose. Elle me racontait ses journées à aider ma famille, la sienne, finir les cours et pécher. Quand le soleil commença à se coucher, elle avait poser sa tête sur mon épaule.

"Elles sont belles les femmes du Capitol ?"

Largement moins que toi. Il n'y a pas photo.

"Non. Elles ont toute soixante ans et esses essayent dans faire vingt. Horrible.

- En effet."

Comme l'heure du couvre feu se rapprocher énormément. Nous sommes rentrer chez nous. Je l'ai raccompagné puis je suis rentrer chez moi. Au village des vainqueurs. A peine ai je eu le temps de poser mes chaussures que le téléphone sonna. Je le regardais sonné pendant quelque minute, puis décroche.

"Allo ?

- Tu dois être au Capitol dans deux semaines. Une nouvelle cliente."

Je soupire, relève la tête.

"Je ne viendrais pas."

Silence.

"Je préfère rester un peu plus longtemps.

- En es tu sûr ?

- Oui.

- Bien. Tu le regrettera."

Et il raccrocha. Je me laissa tomber sur le canapé. Le mois suivant fût paisible, je rejoignais Alya tout les jours. Je lui ai parlais des derniers mots de l'appel, nous avions conclu qu'il fallait que nous restions prudent. Je passais aussi pas mal de temps avec ma famille. Je nageais énormément, pêcher.

C'est la moisson. La dernière d'Alya, ça fait cinq ans où je stresse à chaque fois que la dame plonge sa main dans l'urne. Pour cette fois nous nous rejoignions pas à la plage. Je marche direction la place publique, il y avait des nuages dans le ciel annonciateur d'une tempête. Je me mis au fond de la place. Ici tout les anciens vainqueurs était placer par ordre de ancienneté. ça fait cinq ans que je suis mentor, et je n'ai pu ramener aucun enfant en vie et j'espère que cette année ça ne sois pas non plus le cas.

Tout le monde était réunis. La même dame arriva, toujours la même avec son maquillage extrapolé au maximum, ses cheveux aussi grand qu'un immeuble. Elle claironna de sa voix aigüe la même rengaine depuis l'âge de mes sept ans. 

"Les dames d'abord."

Elle s'approcha de l'urne et retira vite un papier. Ce qui étais étrange puisque d'habitude elle trainait en longueur, mais je n'y fis pas très attention. Elle se rapprocha du micro.

"Et la tribut femelle pour le District 4 est."

Je regarde le côté gauche de la place, toute les jeunes filles éligible étaient là, stressée. 

"Alya Johnes !"

Tu le regretteras.... Qu'est ce que j'ai fais ?!

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Merci d'avoir lu !

Hehe là ça vas devenir inintéressant.

J'espère que vous aimez toujours cette histoire.