Dans quelques jours nous seront le 14 février, la fête de saint valentin.

Un jour spécial pour célébrer l'amour du côté des chanceux qui sont en couple.

Un jour spécial pour s'enfermer chez soi, devant Netflix et avec de la glace, du coté des malchanceux qui sont célibataires.

Moi, je fais partie des chanceux.

Je suis en couple avec un homme merveilleux, qui me comble de bonheur. D'ailleurs j'ai un rendez-vous avec lui au restaurant.

Le serveur me propose une table où je pourrai massoir pour patienter.

Quelques minutes de patiente plutard, le serveur revient à ma table avec une assiette de biscuits chinois.

Je prends un biscuit que j'ouvre. J'enlève le bout de papier qui est à l'intérieur avant de manger le biscuit. Il est plutôt délicieux.

Je prends ensuite le morceau de papier. Une citation y est inscrite : « Quelques fois, les questions sont compliquées, mais les réponses sont simples ».

Cette phrase me fait penser à un exercice de mathématiques.

Je range le papier dans mon sac, lorsque mon copain s'approche de notre table.

_Salut Line !

_Coucou !

Je me lève pour lui faire un câlin. Tandis que lui, presse mes joues pour me faire un bisou sur la bouche. Sur le coup, je regarde autour de moi pour vois si quelqu'un nous aurait vu, mais personne ne réagit. Heureusement, parce que moi je suis un peu gênée face à ces marques d'affection plutôt intimes en public.

Lors du repas, Kim mon copain, recevait beaucoup de message auxquels il ne répondait pas. Pendant notre conversation, il jetait chaque seconde, un coup d'il sur son téléphone. Cétait vraiment bizarre.

Pourquoi est-ce quil a l'air si absent ?

Plusieurs questions fusaient dans mon esprit. Je voulais lui demander qui lui envoyait autant de message. Mais , je n'ai jamais voulu paraitre comme la petite amie un peu trop jalouse et envahissante.

Au moment du dessert, en plus de nos glaces, le servent apporta d'autres biscuits. J'en pris un tout comme mon copain. Cette fois ci, il n'y avait pas de papier, dans le mien, contrairement à mon copain.

Le sien disait : « Il faudrait arrêter avant qu'il ne soit trop tard. ».

_Ils mettent vraiment n'importe quel message dans les biscuits. Dit-il après avoir lu.

_Ah oui, tu trouves ?

_Bien sûr ! Ne me dit pas que tu crois en ce genre de fantaisie ?

_Pas vraiment, mais je trouve que chaque message a du sens.

_Bon ok. On y va ?

_D'accord.

On sorti du restaurent après avoir réglé notre note.

On marche maintenant, main dans la main, dans la rue.

_Kim ?

_Oui !

_Où est ce qu'on va maintenant ?

_Au cinéma.

_Aujourdhui, j'ai vraiment l'impression de célébrer la fête de saint valentin avant l'heure.

_Dans ce cas profite, bebe.

Arrivé au cinéma, on choisit un film romantique, un classique.

Equipé du pop-corn et des sodas, mon copain m'entraine au fond de la salle. Au passage, la salle était pratiquement vide comparer aux autres jours.

Le film commence bien, on ressent l'amour qu'il y a entre les personnages. Je vois mon copain et moi à leur place, si amoureux.

Au milieu du film, mon copain ma prend la main et commence à l'embrasser.

Il laisse ma main pour poser la sienne sur ma cuisse. Il me caresse légèrement, en essayant de remonter un peu plus.

Je lui attrape la main pour freiner ses mouvements, tout en fixant l'écran géant.

_Line !

_Oui ?

_ Regarde-moi, s'il-te-plait !

Je tourne mon regard vers lui et il m'embrasse. Sur le coup, je suis tellement surprise que je mets du temps pour répondre à son baiser.

Ses lèvres sont si doucessi parfaites !

Il repose sa main sur ma cuisse, la remonte un peu plus et la passe sous mon teeshirt.

Kim attrape un de mes seins à travers mon soutient. A ce contact, je lui mort, par accident, la lèvre supérieure, ce qui lui enlève un léger grognement sexy.

_Shuutt ! fait quelquun dans la salle pour nous demander de faire moins de bruits.

Kim lâche automatiquement mes lèvres et mon sein. Lui et moi, nous ne sommes jamais allés plus loin que des baisés et des caresses.

A vrai dire, je ne suis pas encore prête pour l'étape supérieure.

Je sais que Kim est toujours un peu frustré à chaque fois que je l'oblige à s'arrêter. Mais, il me comprend.