Harry n'avait eu aucune nouvelle de Louis. Il avait décidé de quitter bien plus tôt que prévue la soirée, il n'avait plus du tout eu envie de danser ou même de simplement discuté avec la moindre personne.

Il avait bien évidement baissé la tête, quand, parmi la foule il avait aperçue Louis embrassé goulûment sa chère petit copine, qui dix minutes avant embrassait le cou du bouclé avec sûrement autant d'envie. Harry ne voulait plus entendre parler de cette histoire. Il avait mis au courant le principal intéressé qui avait préférer ignoré, ce n'avait plus rien avoir avec lui maintenant.

En ce réveillant quelques heures plus tard dans son petit lit, il regarda son téléphone qui ne montrait aucun nouveau message, rien, nada. Louis n'avait pas cherché à savoir où était-il passé, ni même comment ce dernier avait-il pu rentré, pourtant, Harry était persuadé qu'il avait confirmé qu'il dormirai dans l'une des nombreuses chambres de la maison. 

Il sortit de son lit et décida d'attendre le milieu d'après-midi pour espérer avoir un signe de vie du jeune homme.

Il pénétra dans le salon où sa mère était entrain de siroté son thé avec Minette sur les genoux qui exprimait par son ronronnement le bien être d'être à cette place. Il déposa un tendre baiser sur le front de la dame et alla dans la cuisine suivie de près par la chatte qui préférait de loin se remplir la pense de pâté plutôt que de dormir. Elle se frotta allègrement entre les jambes de Harry, qui risqua plus de fois que nécessaire de tomber.

"_ Calme-toi Minette, tu vas l'avoir ton repas. "

Et encore une fois celle-ci répondit par l'un des miaulement les plus grave qu'elle était capable de faire. Harry en était de plus en plus persuadé que son animal savait communiqué avec lui. Il donna donc la nourriture a cette dernière et rejoignit sa mère avec son propre thé.

"_ Tu vas bien mon petit cœur ? Tu m'as l'air pâle.

_ Si je vais bien. Dit-il d'une voix morne.

_ Ne me prends pas pour ce que je ne suis pas. Je ne suis pas dupe. Raconte-moi, c'est le travail ? Tu travailles trop ?

_ Non pas du tout, pas plus que d'habitude.

_ Alors, qu'est-ce-que c'est ? "

Il leva ses yeux vers ceux de sa tendre mère qui la regardait avec un visage exprimant le questionnement. Il baissa les yeux vers le sol où la chatte passa avec encore une fois avec son museau bien rougie.

"_ Il y a ce garçon que j'aime beaucoup que j'ai rencontré y a maintenant plus de deux mois. Et, je l'aime vraiment beaucoup et lui aussi à l'air de m'apprécier. Mais le soucis c'est qu'il a une copine qu'il aime encore plus et elle, elle est beaucoup trop proche de moi. Hier soir elle est allée beaucoup trop loin donc j'ai décidé mettre au courant ce garçon,mais il ne me croit pas et il pense que je ne veux que m'approprier sa copine, alors que c'est tout le contraire. Donc depuis j'ai aucune nouvelle de lui et on est en froids. "

La douce femme qui avait écouté tout le récit d'une oreille attentive regarda son fils, elle passa sa main sous le menton du garçon pour que ce dernier puisse voir son visage qui exprimait un petit sourire désolé.

"_ Ne t'en fais pas mon chat,parfois l'amour fait faire ou fait dire des choses qu'on ne pense pas. Peut-être qu'a sa place tu aurais réagis de la même façon. Attends un petit peu, ça va aller. "

Il hocha doucement la tête avant de récupérer l'animal qui faisait sa toilette, cette dernière lâcha à grave miaulement qui fit rire la petite famille, il déposa la féline sur ses cuisses et caressa son doux pelage blanc.

''-Mais peut-être si ce garçon est tant amoureux de sa copine tu devrais allé voir ailleurs plutôt que te faire du mal, tu ne pense pas mon cœur ?

"_ Non, je me contente très bien de l'amitié que nous partageons. Je n'ai pas besoin de plus que de ce qu'il me donne déjà. J'en suis très heureux. "

Il regarda sur l'horloge mural et vit inscrire midi moins quart, il devait allé ce changer pour travailler. Il se leva et alla s'habiller dans sa chambre, s'habillant d'un jeans bleu, d'un large pull pastel et de son habituel manteau. Il retourna sur ses pas et vit sa mère dans la cuisine nettoyant la vaisselle qu'ils avaient utilisé, il lui déposa un autre baisé sur le front.

"_ J'y vais maman, passe une bonne journée.

_ Toi aussi mon chat, ne pense pas trop à ça, d'accord ?

_ Oui maman, ne t'en fait pas. Je t'aime.

_ Je t'aime aussi mon cœur. "

Et il sortit sur ces mots. La dame resta un petit temps à fixé la porte fermé, son enfant était si doux et avait tellement d'amour à donné. Ça lui faisait de la peine qu'il n'ai personne pour le recevoir. Tant de fois elle l'avait vue les yeux émerveillé et les joues rougie parlant d'un garçon, d'un homme quelconque qui avait mis le feu à sa mémoire et à son cœur, mais à chaque fois ce dernier finissait par préféré les bras des femmes aux siens. Donc il versait des tonnes de larmes, puis retombait sous le charmes d'un autre bel homme, et ce depuis ses premier émoi au lycée. Elle espérait réellement que ce garçon-ci puisse être le bon.

Harry était entrain de ranger les rayons, sa journée allait presque touché à sa fin et il n'avait eu aucune nouvelle de Louis. Il avait secrètement voulu le voir débarqué ici pour faire le plein de nourriture et qu'il lui fasse encore l'une de ses mauvaise blague salace qu'il avait l'habitude faire, mais rien du tout. Il sentait son téléphone lui picoté la cuisse, il avait envie de lui envoyé un message, juste pour savoir comment il allait, mais il ne savait pas si il en avait encore le droit peut-être que Louis ne voulait plus le voir dorénavant. Il sentit son corps monté en chaleur et sa gorge ce resserrée, il ne fallait surtout pas que ça ce termine ainsi, tout mais pas ça. Tant pis pour le règlement pour une fois il prit son téléphone et envoya un message au jeune homme.

Harry à Louis : Louis ?

Il ne savait pas vraiment quoi mettre d'autre, il le rangea de nouveau dans sa poche et retourna faire son travail.

Quand sa journée fut terminée ils'empressa d'allée dans les vestiaires et de vérifié si il avait un nouveau message de Louis, mais cette fois encore il n'y avait rien du tout. Il souffla de tristesse et décida ne pas faire attention à ce désespoir qui prenait place dans son corps. Il quitta la supérette et prit le métro pour rentré chez lui, il s'assit sur l'une des seules place libre et laissa son regard baissé, signe de sa mélancolie, mais la pression du vibreur le fit réagir, il prit son téléphone pour lire son nouveau message.

Louis à Harry : Quoi?

La réponse froide lui fit mal cœur, jamais il ne lui avait répondue de cette manière avant. Il ne voulait pas que leur relation finisse comme ça, jamais. Il était prêt à avoué qu'il avait tout inventé juste pour Louis recommence à lui parler comme son ami, il ouvrit un nouveau message.

Harry à Louis : Je voulais m'excuser pour hier soir, j'ai inventé toute cette histoire, ce n'était pas Émilie la fille que j'ai croisé dans le couloir, j'étais juste jaloux de la relation que vous partagiez et j'ai tendance à être possessif. Mais je ne veux pas que tu ne me considère plus comme un ami, j'ai besoin de toi.

Il envoya le message. Il se détestait de devoir raconté un tel mensonge juste pour avoir encore Louis dans sa vie, il avait des sueurs à l'attente de la réponse du garçon, quand son téléphone vibra entre ses mains, il sentit les larmes venir à ses yeux.

Louis à Harry : T'es vraiment con Harry! T'imagines si je t'avais écouté et j'avais lâché ma copine juste parce que t'es obsédé ! On est pas marié ni en couple donc ne t'occupes pas de ma vie.

Les larmes étaient tellement pleines sur le visage de Harry que même un mouchoir n'aurait pas été assez pour essuyé ses joues, il était au bord du gouffre, plus rien ne serait jamais comme avant, Louis sera comme tous les autres garçons qu'il a aimé autrefois. Toute était finit.