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Chapitre 25 :La culotte intime d'Alice

J'aimerai sincèrement m'excuser pour le retard qui s'installe entre chaque chapitre. J'ai eu une rentrée assez difficile. J'ai découvert avec surprise que je travaillais même le mercredi après-midi alors que c'était le moment idéal jusqu'à maintenant pour que je puisse écrire. de plus, le week-end passe trop vite, j'ai juste le temps de faire mes devoirs et de m'amuser avec la famille. Aucun moment pour wattpad. J'en suis navrée. Je vais quand même essayer garder un semblant de rythme sans faire de promesse. Je ne suis pas parfaite, j'ai des défauts dont celui d'être flemmarde... Mais je me bouge quand même le popotin pour vous écrire ce chapitre ce week-end. Je pense que je vais publier un chapitre par week-end SI j'ai de l'inspiration.

Espérant que l'histoire vous plait encore.

Autre chose, mon style d'écriture s'améliore de jour en jour alors je peux comprendre que vous ne trouvez plus la Alice du tout début. Je commence à vraiment la peaufiner. De plus, Alice grandit elle aussi. Cette rentrée en 2nde est un vrai tourment dans sa vie. J'essayerai de le raconter avec le plus d'humour possible.

Vous souhaitant une bonne lecture,

KRINALEY.


Je pense que le monde entier est en deuil. Que plus aucun enfant ne souri à cette heure-si. Que tous les adultes pleurent toutes les larmes de leur corps en gueulant "Mais pourquoi moi ? Qu'ai-je fait donc de si mal ? Pourquoi me détestons à ce point ? ". Que tous les adolescents n'osent même plus regarder leurs affaires trop déprimées pour cela. Que même Dieu les regardent d'un air impuissant en mode "je vous avez prévenu les gars, tout a une fin, surtout les belles choses". Parce que ce soir est le deuil national le plus célèbre que l'Univers connaît. Chaque année, c'est la même chose. Chaque année, la douleur est de plus en plus forte. Parce que demain est un tout autre jour. Parce que demain, notre pire cauchemar se réalisera. Parce que demain, c'est la fin d'une vie et le début d'une autre...

Demain c'est LA RENTRÉE !

Enfin... Plus maintenant puisque mon maudit réveil sonne l'heure de mourir. L'heure d'aller dire adieu à ses proches. La conscience, tu diras à ma culotte noir foncé que jamais je n'oublierai les moments intimes que l'on a partagé ensemble. Parce que des moments intimes entre culottes... C'est rare ! Et avec une culotte noir super confortable... C'est encore plus rare. Dis-lui que je l'aime et que jamais je ne l'oublierai.

Et comme chaque année, Alice en fait-tout un drame, se roulant dans sa couette qui est décorée de morceau de chips au Paprika en pleurant. Tu m'exaspères Alice. Chaque année, c'est le même combat. Sors de cette stupide couette, arrête ton réveil qui sonne depuis 12 MINUTES et lève tes fesses de TON MAUDIT LIT ! Puis arrête de parler de culotte cela en devient gênant à la fin !

NON ! Je ne bougerai pas d'ici. C'est MON lit. MA place. MA vie. Je fais ce que je veux. Ce que j'ai envie de faire. Et j'aimerai ma culotte que tu le veuilles ou non ! Personne, et surtout toi, ne me fera changer d'avis. Je n'irai pas au lycée, un point c'est tout !

-ALICE, JE TE PRÉVIENS SI TU NE SORS PAS DE TA CHAMBRE MAINTENANT JE TE BALANCE LE SAC-POUBELLE PLEIN DANS TA FIGURE ! Me menace ma mère depuis le couloir.

En moins de deux secondes, je saute de mon lit et apparais sur le seuil de ma porte.

Et personne ne me fera changer d'avis... Mes fesses oui ! Chaque année, tu fais la même connerie Alice. Tu es faible Alice. Tu es faible.

Alors-là, je t'interdis de dire que je suis FAIBLE.

JE NE SUIS PAS FAIBLE, TU M'ENTENDS ?

MÊME SANS GUEULER, JE T'ENTENDS ALICE ! Alors aie un peu pitié de mes oreilles et ferme là et va manger.

Non mais oh ! D'où il dit que je suis faible, là ?

Énervée que ma conscience me parle sur ce ton, je vais à la cuisine de mauvaise humeur.

*Attention, la scène qui va suivre peut-être violente pour tous jeunes, très susceptibles le matin de la rentrée. Merci de faire attention, cordialement, la brigade anti-violence le jour de la rentrée.*

Ma stupide mauvaise humeur ne fait qu'augmenter qu'en je vois Samira dans la cuisine, tout heureuse en train de danser et de chanter avec une cuillère en bois sur "Boogie Wonderland". Ce n'est pas que voir ma belle-mère heureuse qui m'énerve.

Mais le fait qu'elle soit heureuse le JOUR DE LA RENTRÉE !

Ça... Je ne peux le concevoir. Cela est trop pour mes pauvres petits yeux. C'est une image d'un choc émotionnel beaucoup trop important. C'est avec une douleur immonde que je m'avance près d'elle chercher mon bol.

*Fragiles des oreilles, veuillez porter des boule quies, Samira n'a pas un don immense pour le chant, mais ne lui dite pas, elle est susceptible aussi*

-DANCE... BOOGIE WONDERLAND.... HA, HA.... DANCE ! BOOGIE WONDERLAND !

Le pire dans cet affront, c'est qu'elle s'ait que je suis dans la pièce. Mais elle ne s'arrête pas pour autant d'être heureuse.

Les gens heureux, j'ai quelque chose à vous dire de la part des gens pas heureux du tout :

ARRÊTEZ DE SOURIRE A TOUT BOUT DE CHAMPS QUAND IL N'Y AUCUNE RAISON DE SOURIRE ! (Surtout le jour de la rentrée)

Cela nous énerve plus qu'autre chose !

Voilà, c'était tout pour moi. Merci m'avoir écouté.

-Salut Alice ! Chantonne gaiement Samira quand c'est le bout du couplet d'où elle  connaît  les paroles (attention ce n'est pas le jeu télévisé, j'adore mon humour merci). Bien dormi ?

-À ton avis ? Je grogne en regardant avec passion amoureuse mon bol tourner un slow dans le micro-onde.

Même mon bol à l'air plus enthousiaste que moi. C'est fou !

Aussi, tout le monde paraît plus enthousiaste devant toi, Alice, surtout le matin quand tu te mets à parler de ta culotte intime.

Oh, tu ne vas pas recommencer quand même ! Qu'est-ce que tu as contre cette culotte ? Elle ne t'a rien fait à ce que je sache. Il n'y a que moi qui puisse la porter. Ah, j'ai compris ! Tu es jaloux !

... Attends-je ne suis pas sur de tout comprendre là. Tu penses que moi, la conscience la plus intelligente de tout les temps, soit jalouse de... D'une CULOTTE NOIR ? Laisse moi rire.

La modestie chez ma conscience est vraiment sans limite.

Dit celle qui se contemple dans le reflet du micro-onde.

Par chance mon bol à fini sa danse et la chanson de Samira est terminé aussi. Je vois avec soulagement ma merveilleuse belle-mère s'asseoir face à moi siroter son thé. Ce grand calme subitement apparut disparaît aussitôt que ma mère entre dans la pièce. Si moi, je suis exécrable le matin... Ma mère, c'est une OGRESSE. Même Shrek n'oserait pas lui parler.

Devant le regard noir qu'elle nous lance, je comprends que ce n'est même pas la peine d'essayer d'avoir un semblant de conversation avec elle. Sitôt mon petit-déjeuner pris, je cours dans la salle de bain me préparer.

Ma mauvaise humeur redescend un peu quand je vois ma culotte noir intime sur ma chaise avec mes habits du jour. Elle m'avait manqué cette culotte.

Voici l'histoire d'amour jamais raconté au par avant entre Alice et sa culotte noire. Une histoire intime et super passionnante. Un best-seller que tout le monde s'arrache. Chaque fille rêve d'avoir sa culotte noire et vivre le même lien qu'Alice et sa culotte.

LE JALOUX ! Sache qu'entre ma culotte et moi, c'est du sérieux. Du sérieux, sérieux.

Tu te rends compte que tu trompes Mathieu avec une CULOTTE ? Cela ne va plus du tout.

Et toi avec tes boîtes de conserve, est-ce que j'en ai fait tout un plat ? Non, je ne crois pas. Alors laisse-moi tranquille.

Ma toilette faite, je sors de chez moi plutôt heureuse. Ma bonne humeur est de courte durée quand je vois que je ne suis pas dans la même classe que Mathieu.

-Sympa de voir que l'on compte, marmonne Lia en croisant les bras vexés.

-Non mais vous comptez les filles, je proteste un peu effrayée de créer une dispute, mais j'aurai tant voulut être dans la classe de Mathieu aussi. Ce n'est pas du jeu.

-La vie n'est pas un jeu.

-Et bah elle devrait, on devrait l'appeler "LA VIE". Les règles seront simples... C'est la vie.

-Quelle définition. Se moque Laura. Vous savez que mourir c'est mourir...

-Non ! Crie Brittany. Je pensais que mourir c'était du caramel.

-Moi je pensais que les toilettes c'était un hamburger. Raille Chloé.

je croise les bras comprenant qu'elles se foutent de ma gueule.

-T'inquiète pas ma chérie, ton jeu à l'air super. Me rassure Mathieu en m'embrassant tandis que la sonnerie retenti.

À contre cœur, je quitte Mathieu et suis la fille dans notre classe. Je sens que cette année ne va pas être de tout repos. Heureusement que ma culotte noire est là pour me soutenir.

Signé :

Une fille qui n'est pas du matin le jour de la rentrée.

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