Bonus 3
Julien observait la télévision de façon distraite. À l'extérieur, le soleil était coucher depuis longtemps et il ne voulait avouer se sentiment que quelque chose le préoccupait. Il sentit soudain une présence à ses côtés et tourna la tête vers sa fille qui l'observait une poupée dans les mains.
"Papa n'est pas rentrer?"
"Non. Il est sur une grosse affaire." Répondit simplement Julien avant de retourner sa tête vers la télévision.
"Tu es sûr qu'il va rentrer? Ça fais trois jours que je ne l'ai pas vu!"
"Cela est faux. Hier matin, tu as déjeuner avec lui." Énonça Julien.
"Non, c'est faux! Il est venus remplir sa tasse de café, me dire bye et à quitter. Il n'a rien manger. Je m'ennui de lui. Est-ce que tu t'ennui de lui, aussi?"
Julien tenta de garder sa concentration sur la télévision.
"Il est sur un gros dossier et la date du procès arrive. Il est normal qu'il fasse du temps supplémentaire." Répèta-t-il.
"Maintenant je suis fâché contre lui."
Julien serra les dents avant de prendre une grande respiration. Lui aussi était fâché qu'on le délaisse, mais ne voulait pas l'avouer.
"Il est l'heure d'aller vous coucher princesse." Fit-il remarquant en observant l'horloge. "Dois-je vous border ou êtes-vous rendu assez grande pour le faire vous même?"
Il entendit sa fille rouspéter et trainer les pieds au loin. Il l'observa quitter de son visage neutre et viens passer ses mains dans ses cheveux noir. Il avait allonger depuis un moment. Il les avait aussi long que Rémy les avait de leur temps au secondaire. Et ce dernier était rendu les cheveux court toujours impeccable pour bien paraître devant la cours. Il est vrai que Rémy était très absent c'est derniers temps. Il partait en fusée le matin et revenait tard, quand Julien était déjà au lit, un livre dans les mains. Il ne voulait ce l'avouer, mais une part de lui s'en préoccupait. Il savait qu'il avait des défauts et n'était pas le plis affectionneux, mais Rémy ne s'ennuyait pas de lui?
Soudain il entendit une clé dans la porte d'entré et inconsciemment, il se leva pour aller voir un léger sourire aux lèvres. Son mari refermait la porte derrière lui. Sa cravate était défait, sa chemise légèrement entrouverte, ses manches déboutonner et sous son regard visiblement mécontent, des cernes commençait à paraître. Julien s'assura que son dos était droit, viens agripper l'un de ses poignets d'une main et releva la tête.
"Bonsoir Rémy. Je crois qu'il serait pertinnent que tu ailles voir Olivia pour..."
"Oh, tais-toi. Fais moi pas chier. J'ai eu une journée de merde. La défense vient de nous fournir une nouvelle preuve à même pas une semaine du procès et dans leur tête ont a le temps de l'analyser et de préparer une réfutation. J'ai foutrement mal au pied en plus." Grogna l'avocat.
"Votre langage! Je ne suis en aucun cas..."
"Arrête, j'ai pas envie de jouer." Répliqua Rémy qui bouscula Julien en grognant avant de monter a l'étage et l'ignorer.
Julien le fusila du regard en tremblant. Jouer? Le respect n'était pas un jeu selon lui. Il prit une grande respiration et retient des larmes qui menaçait de noyer ses yeux. Il alla dans la cuisine sortir du four la part qu'il lui avait réserver et le mit dans un plat au frigo. Visiblement, il ne mangerai pas l'un de ses repas aujourd'hui non plus. Puis on cogna de nouveau à sa porte. Mécontent, il alla ouvrir pour tomber face à son père.
"Hey, mon garçon." Dit timidement le père.
Julien observa de façon dédaigneuse la tenus de son père. Il avait pourtant fait un effort vestimentaire.
"Je peux rentrer?" Demanda celui qui l'avait pratiquement élevé seul.
"Tu arrive sans t'annoncer et tu espères une accueille chaleureux? Pourquoi es-tu là sans prévenir? Si tu as encore besoin d'argent oublie. Je ne suis pas ta banque personnel et tu me dois encore 3000$."
"Non. Non. Je... je reviens de ma réunion des AA qui était dans le coin, alors je me suis que... je pourrais venir te dire salut." Dit l'homme un bref sourire.
"Et bien Salut." Répondit simplement Julien sans le laisser entrer.
"Écoute la semaine prochaine, ils vont me fêter et je me demandais si tu voulais venir."
"Ce n'est pas ton anniversaire." Informa Julien.
"C'est... non, mais c'est pour fêter mes un an de sobriété et j'aurais vraiment voulut que mon fils soit là." Tenta le père.
Julien le jaugea du regard.
"Je n'en ai aucune envie." Dit simplement Julien en le dévisageant. "Mais je viendrais, car je me dois de te soutenir dans ton cheminement, père." Termina Julien en faisant un léger signe de tête.
Le vieil homme sourit ravie.
"Grand-papa!" Cria une petite fille en se précipitant dans les bras de son père.
"Salut ma princesse." Dit l'homme en serrant sa petite-fille dans les mains.
"Olivia ne devrais-tu pas être au lit à cet heure." Mentionna Julien mécontent.
"J'ai entendu la porte et je suis sortit voir si c'était papa." Dit l'enfant en se tournant vers son père.
"Hey bien non. Par contre, désires-tu m'accompagner à la fête de ton grand-père la semaine prochaine?"
"Oui! Il va y avoir du gâteau?"
Julien leva les yeux vers son père.
"Je vais en acheter un. Tu veux qu'elle saveur?" Demanda le grand-père.
"Celui avec des petits bonbons dessus." Dit la fillette contente.
"Bien, au lit maintenant, princesse." Avertit Julien en tappant des mains pour attirer son attention.
L'enfant embrassa son grand-père sur la joue, puis Julien se pencha pour recevoir son baiser avant de regarder sa fille s'éloigner. Dés qu'elle fut hors de la vue de Julien celui-ci soupira décourager avant de sortir 20$ de son porte-feuille pour le tendre à son père.
"Je n'ai pas besoin d'argent." Précisa le père en prenant quand même le billet.
"Tu as promis un gâteau à ma fille, assures toi donc que gâteau, il y aura." Dit Julien sur son ton neutre habituelle.
Le père hocha la tête.
"Merci. Je... je suis aller voir ta mère à l'hôpital psychiatrique."
"Je ne suis pas intéresser par tes motivations et votre conversation."
"C'était après... que je sois venus te demander le pardon pour mes tords occasionner. Je voulais allez la voir pour..."
Julien observa le regard fuyant de son père et fronça les sourcils.
"Tu ne lui devais aucune excuse pour les tords causer pendant tes beuveries. Ce serait plutôt l'inverse. Tu as commencer à boire à cause d'elle."
"Oui, je sais, mais je n'ai pas non plus aider la situation. Je crois."
Il leva son regard vers son fils, toujours aussi de glace et prestigieux. Il se sourit ce disant qu'il ressemblait réellement à un roi.
"Encore désolé, de ne pas avoir été le père idéal."
"C'est excuse ont déjà été accepter et je maintiens que tu n'as pas non plus été le pire vu le nombre de fois que tu ma sauver la vie face à elle."
"Si tu le dis. Je vais te laisser. Passe le bonjour à ton mari."
"Je le ferais." Dit Julien qui attendit de voir son père entrer dans sa voiture avant de refermer la porte.
Il la barra et ferma les lumières avant d'éteindre la télévision et se diriger vers sa chambre. Il observa le lit vide un moment de nouveau préoccuper et serra les dents détestant ce si peu de contrôle. Il tourna de bord et vient entrer dans la salle de bain ou Rémy était coucher dans un bain chaud, une serviette sur le visage. Il l'observa un moment avant de venir s'asseoir tel un roi au bord du bain et plonger sa main dans l'eau pour agripper une jambe et la sortir.
"Hey!" Répliqua Rémy mécontent en enleva la serviette. "J'ai dit que j'étais pas d'humeur à jouer."
Mais Julien l'ignora et tira le pied vers lui pour commencer un massage, le regard neutre.
"Ah! Ah~ Ça fait du bien." Dit surpris le blond.
"Tu as mentionner avoir mal au pied, j'écoute ta complainte." Dit simplement le roi en continuant le massage.
"J'ignorais que tu avais du talent pour masser. Je peux en avoir plus souvent?" S'amusa Rémy qui avait retrouver son sourire et présentait son deuxième pied.
"Ma mère m'obligeait souvent à masser différent partie de son corps. J'ai du apprendre rapidement, car le moindre faux mouvement me valait une noyade dans le bain." Dit Julien toujours aussi neutre et ignorant le second pied.
Rémy glissa dans le bain mal à l'aise.
"Désolé."
"Pourquoi? Tu en serais responsable?"
"Non, mais..."
"Alors ne t'excuse pas pour ça. Excuse toi plutôt pour l'impolitesse grave que tu m'as offert en revenant du travail tantôt. Je ne suis pas responsable de ta mauvaise journée de travail, ni ta fille que tu négliges. La connaissant, elle ne dors toujours pas. Après ce bain, tu iras lui dire bonne nuit. Tu n'as aucun droit de discutez cet ordre."
Rémy sourit et hocha doucement la tête.
"Accepter mes plus plates excuse, pour impolitesse grave, maitre~."
"Je verrais. L'autre pied maintenant." Demanda Julien en relâchant le gauche.
Il ne s'avouerait pas que lui aussi se sentait négligé par moment.
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