Chapitre 41
Deux semaines. Ça fait deux semaines que je vis le bonheur total. Deux semaines que je suis en couple avec Amélie et j'ai l'impression que je tombe de plus en plus amoureux à chaque jours. Ce sentiment que je ressens en moi à chaque fois que je la vois, que je la touche, que je l'embrasse, ce sentiment que je ressens à chaque fois que je m'endors avec ma princesse collée à moi, il n'y a pas de mots pour le décrire. C'est probablement le meilleur sentiment au monde. Et je veux le ressentir toute ma vie, avec Amélie à mes côtés.
Dans les deux dernières semaines, Catherine s'est intégré parmi nous. Amélie et Vincent devienne de plus en plus proche en tant qu'ami et elle a commencé ses répétitions de danse avec Zachary. Lors de sa première répétition, je ne voulais pas la laisser seule avec l'autre incompétent, mais elle a réussis à me convaincre en m'embrassant passionnément. Je déteste l'effet qu'elle a sur moi et à quel point je peut facilement lui succomber. Mais je l'aime de tout mon être et je ne peux pas le renier.
Après sa première répétition, elle m'a tout de suite appeler et je me suis dépêcher à venir la chercher. Elle m'attendait dehors et dès qu'elle est rentrer dans ma voiture, elle m'a embrasser comme pas possible. Elle savait que j'avais besoin d'être rassuré et elle savait comment le faire. J'adore lorsqu'elle prends les devants pour un baiser.
Je vois très bien que ma princesse essai de sortir de sa dépression. Je vois qu'elle est déterminer. L'autre jour pendant qu'elle me donnait mon cours de danse, mon frère est rentré dans la salle de sport. J'ai bien vu que ça la dérangeait, mais elle a tout de même continuer à danser. Je la voit de plus en plus souriante, je vois sa personnalité refaire surface, toute les habitudes qu'elle avait avant sa dépression. Elle est devenue ma vie. Je ne sais pas ce que je vais faire lorsqu'elle va retourner vivre chez elle lorsque ses parents seront revenus.
La chaleur de son corps contre le mien lorsqu'on dort coller ensemble la nuit va me manquer. La regarder dormir aussi va me manquer. La voir danser dans le studio de danse va me manquer. Elle va vraiment me manquer lorsqu'elle partiras de chez moi. J'ai appris à vivre avec elle, à dormir avec elle, à manger avec elle devant moi, à respirer son odeur comme oxygène... Je ne veux pas qu'elle parte.
Amélie à parler plusieurs fois avec sa mère par conférence vidéo. Mélanie s'affaiblit de jour en jour, mais c'est ses traitements de chimiothérapies qui la font sentir aussi faible. Les médecins disent que la guérison augure bien, mais il y des fortes chances de rechutes à tout moment. Ma princesse garde espoir et continu de sourire malgré ça. Je l'adore pour ça.
- Jayson?
-Tu peux rentrer princesse.
Je viens de terminer de faire de la boxe et je suis en train de me changer dans ma chambre. Je suis seulement en boxeur, mais sa ne me dérange pas qu'Amélie me voit. C'est ma copine.
- Est-ce que je pourrais... Wooo!
Dès qu'elle m'a vue, elle s'est arrêter dans sa phrase et a reculer en mettant ses mains devant son visage. Malgré ses mains qui la cache, je peux très bien la voir rougir. Je rigole doucement face à sa réaction et m'approche doucement d'elle. Je me penche un peu pour que mon visage soit à la hauteur du sien et enlève ses mains de devant son visage.
- Tu n'a pas à être gêné Amélie, dis-je doucement.
Elle est plus rouge que jamais.
- Tu devrais plutôt te trouver chanceuse! Tout ce que tu vois devant toi t'appartient!
Un petit sourire gêné apparaît sur c'est belle lèvre que j'embrasse rapidement avant de rentrer dans ma penderie pour m'habiller.
- Sinon, tu voulais me demander quelque chose, demandais-je.
- Eh, oui. Est-ce que ça dérangerais si je vais passer la nuit chez moi?
Hein quoi? Chez elle?
- Chez toi, demandais-je sans comprendre en sortant de ma penderie avec mon chandail dans mes mains.
- Oui, tu sais chez moi, dit-elle comme si c'était évident. J'ai une maison où j'habite avec mes parents quand ils sont là. Tu sais, où je dors, je mange, passe la majorité de mon temps en dehors de l'école...
- Non je sais de quoi parle, mais tu veux passer la nuit chez toi, c'est ça que je comprends pas, dis-je en m'approchant d'elle.
- Je veux dormir chez moi, dit-elle avec un sourire triste. Ma maison me manque, toute les choses à ma mère et à mes parents sont là et ils me manquent beaucoup.
Je vois dans ses yeux qu'elle se retient de pleurer seulement en parlant de sa mère, alors je la serre dans mes bras.
- Ça te déranges si je viens avec toi, demandais-je doucement?
- Je veux que tu viennes avec moi, dit-elle en se détachant un peu de moi pour me regarder dans les yeux. En plus demain c'est samedi alors on pourras faire la grasse mâtiné.
- D'accord, dis-je avant d'embrasser tendrement ses lèvres. Je vais aller avertir ma mère. Fait ton sac, on pars dans 20 minutes.
Je vois un immense sourire apparaître sur ses lèvres avant qu'elle ne parte dans sa chambre pour préparer ses affaires. J'aime la voir sourire comme elle vient de le faire. Elle sourit de plus en plus et ça me fait sourire à mon tour. J'ai hâte de voir sa maison et sa chambre. J'ai hâte de découvrir ces goûts, ce qu'elle aime.
Je sors de ma chambre pour aller rejoindre mes parents qui écoute la télé au salon ensemble. Je m'assois à côté d'eux et attends qu'il y est une pause publicitaire dans leur émission avant d'entamer la conversation.
- Est-ce que moi et Amélie on pourrait aller dormir chez elle se soir?
- Oui, tant que vous faites pas de bêtises, dit ma mère.
Toujours à sous entendre.
- On va pas faire de bêtises maman, dis-je en soupirant. Sa maison et ses parents lui manquent, elle veut aller dormir chez elle et elle veut que je l'accompagne.
- C'est d'accord pour moi, dit mon père.
- Ok merci, dis-je en me levant.
Alors que j'allais sortir du salon, ma mère dit;
- Tu l'aime vraiment hein?
Je me retourne vers ma mère et vois qu'elle me regarde, pareil pour mon père.
- Oui vraiment beaucoup. Je veux tous faire pour qu'elle soit heureuse et qu'elle ne vive plus de difficulté. Je sais que ça ne fait que deux semaines qu'on sort ensemble, mais c'est la femme de ma vie. Je sais pas ce que je ferrais si elle me quitterais, dis-je sincèrement. Personne à le droit de la toucher. On peut me détruire l'âme, me battre, me faire mal, me tuer même, mais personne ne la touches. Elle est devenu ma vie et si on me l'enlève, je perds la vie.
Ma mère souris, heureuse de ce qu'elle d'entendre et mon père aussi, fier.
- On est content que tu es trouver l'amour Jayson, dit mon père.
Je leur souris, content qu'ils soient content, et sort du salon pour monter les escaliers. Alors que je pose mon pieds sur la première marche, je lèves la tête et mes yeux se posent sur ma princesse qui me regarde avec un immense sourire sur les lèvres. Elle a tout entendu. Elle descends les trois escaliers qui nous sépare et s'accroche à mon cou en enfouissant son visage dans mon cou après m'avoir fait un bisou à la base de la mâchoire.
J'encercle son petit corps avec mes bras et la serre très fort contre moi en mettant mon visage dans ses cheveux. Je suis un peu content qu'elle est entendu ce que j'ai dit. Je pensais très sérieusement se que j'ai dit et je ne crois pas que j'aurai eu le courage de le dire devant elle. Elle me serre très dort dans ses bras et j'ai l'impression qu'elle ne veut pas me lâcher. J'aime cette impression.
Pour ne pas continuer à bloquer les escaliers, je glisse mes mains jusqu'à ses cuisses et les soulève pour qu'elle enroule ses jambes autour de moi, ce qu'elle fait rapidement. Je continu à monter les escaliers et rentre dans sa chambre en fermant la porte derrière nous. Je m'avance dans sa chambre et m'assois sur son lit, en ne lâchant pas une seconde.
- Tu penses vraiment ce que t'as dit, demande-t-elle en murmurant dans mon cou.
- Chacun des mots qui sont sortis de ma bouche étaient les plus sincères de ma vie, murmurais-je.
Elle se décolle un peu de moi pour faire en sorte qu'on se regarde dans les yeux, mais toujours en se serrant fort dans nos bras. C'est le meilleur moment pour dire ce que je veux dire depuis le premier jour que je l'ai embrassé. C'est trois petit mots qui me brûle le bout de la langue depuis deux semaines, c'est le moment de les dire.
Je prends une grande inspiration et ancre mon regard dans la perle rare que j'ai de coller à moi.
- Amélie..., dis-je doucement,.. Je... je t'... , je soupire. Je t'aime Amélie.
Je peux sentir mes joues devenir rouges. Non! C'est pas le moment de rougir! Redevenez normal mes joues! C'est pas le moment! Je la regarde intensément, inquiet de vois sa réaction. Mais ce qui suit me réjouis plus que jamais.
Après ma déclaration, son visage montre qu'elle est surprise pour qu'ensuite un immense sourire apparaisse sur ses lèvres. Elle rapproche son visage très prêt du mien et nos lèvres se frôle. Ça me fait frissonner. Elle m'embrasse doucement et tendrement. Je peux presque sentir l'amour qu'on ressens pour chacun passer par nos lèvres. Meilleures sentiments jamais vécu. Après quelque instants à s'embrasser de cette manière et à ressentir toutes sortes de choses exploser dans mon ventre, Amélie décolle ses lèvres des miennes et colle nos fronts ensemble.
- Je t'aime aussi, Jayson, murmure-t-elle
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