Chapitre 13
La journée à passer vite. Comme hier, je surveillais Amélie, mais aujourd'hui je la surveillais plus intensément. Durant la pause du midi, j'ai expliquer le problème à Vincent et il va tout faire pour m'aider à la protéger. J'ai aussi "engager" des gars avec qui je suis en bon terme, pour la surveiller et la protéger de David. Il doit venir m'avertir si David s'approche trop d'elle.
Une fois de retour a la maison, je fait comme à mon habituelle; je descend au sous-sol faire de la boxe. Je suis encore frustré de se qui c'est passé aujourd'hui. Je me défoule sur le punching bag et sa me fait du bien. Une heure plus tard je monte dans ma chambre pour aller prendre une douche pour après commencer mes devoirs.
Amélie est allée s'enfermé dans sa chambre dès que nous sommes arrivés. Je me demandes ce qu'elle fait. Elle va toujours dans sa chambre après l'école et en sort seulement pour manger. Mais ça, c'était avant que je lui interdise de voir mon frère, mais maintenant qu'elle a le droit je pense bien que Jeremy ne va pas la lâcher une seule soirée.
Ma mère arrive avec mon frère quelque minutes après que j'ai commencé mes devoirs. Je descend pour aller les saluer et retourne dans ma chambre suivi de mon frère. Je m'assois à mon bureau et lui sur mon lit et me regarde travailler.
- Est-ce que c'est vrai que les professeurs à Amélie lui donne beaucoup de devoirs, demande Jeremy.
- Oui, dis-je simplement.
C'est totalement faux. On est dans la même classe, avec les même prof et ils ne nous on pas donner beaucoup de devoirs dernièrement et aucun projet n'a été lancé.
- Est-ce que tu connaissais Amélie avant qu'elle vienne habiter ici, me demande-t-il après un moment de silence.
- Oui, c'était une connaissance.
- Est-ce qu'elle est toujours aussi gênée? Plutôt, pourquoi elle est gênée quand tu es là?
- J'en ai aucune idée. Pourquoi tu dis quand je suis là? Elle agit différemment quand je suis là, demandais-je en me retournant vers lui.
- Oui. Avec moi, hier, quand on jouait ensemble, elle arrêtait pas de sourire et de rire, mais dès que tu es rentré, elle a tout arrêter. Et surtout quand elle t'a lancé "À toi de voir si tu es assez intelligent", dit-il en imitant sa voix ce qui me fait rire, elle a réagit comme si elle venait de voler dans un magasin. On aurait dit qu'elle avait peur de toi. Durant les repas elle ne parle pas, mais hier elle parlait.
- Ah bon, dis-je étonné de se qu'il vient de dire.
- Est-ce que tu lui as fait le stupide discours que tu fait toujours aux visiteurs pour leur faire peur, demande-t-il en me regardant comme si j'avais fait quelque chose de grave.
C'est mon frère je peux lui dire, même si je sais qu'il ne va pas tellement apprécier.
- Oui, en quelque sorte.
- Pourquoi tu lui as dit tout ça même alors que tu savais que c'était elle?
- Je savais pas que c'était elle, alors je me suis emporter!
- Tu lui surement dit quelque chose de différent des autres visieurs, parce qu'elle agit pas de la même manière que les autres.
- Ça se peut, dis-je.
Il ne sait surement pas que c'est comme ça qu'elle agit normalement. Enfin, peut-être pas normalement parce que avant elle n'était pas comme sa. Ça veut dire que quand elle est avec mon frère, elle redeviens l'Amélie d'avant. Pourquoi pas avec moi?
Parce que tu l'as engueuler pour rien et qu'elle a peur que tu lui fasse quelque chose, malgré ce que tu lui as dit pour la rassurer quand David s'en est pris à elle. Elle ne fait que respecter ce que tu lui as dit quand elle est arrivé. Elle ne veut pas rentré dans ta vie personnelle, comme tu lui as dit, alors elle reste loin de toi.
Merci conscience de m'éclaircir les idées. Mais je sais toujours pas pourquoi elle est devenue froide avec tout le monde. C'est sa que je veux savoir.
- C'est une fille très gentille, tu sais, dit Jeremy.
- Oui, je sais.
- Les garçons, dit ma mère en rentrant dans ma chambre,
- Oui, dis-je en même temps que Jeremy.
- Vous descendrez, on mange.
- D'accord, dis-je encore une fois en même temps que mon frère.
Ma mère sourit et descend dans la cuisine, suivi de nous. Amélie est déjà assise à sa place. On s'assoit à notre tour et ma mère apporte le repas. Nous mangeons tout en écoutant les aventures de Jeremy. Après que mon frère ai raconter comment c'était passer son diner à l'école, ma mère prends la parole;
- Alors Amélie, commence-t-elle. Ton séjour jusqu'ici se passe bien?
- Oui, merci de demander, dit-elle en souriant.
- Les garçons t'on-t-il aider à t'installer?
- Oui, en quelque sorte.
- Est-ce que tu as vu le petit studio de danse au sous-sol?
- Oui je l'ai vu. C'est une très belle salle.
- Tu sais, tu peux faire de la danse quand tu veux. Ne sois pas gênée.
Elle fait de la danse? Comment ma mère le sais?
- Merci de m'en informer, dit-elle.
- Ne te gêne pas à demander de l'aide à Jayson, il serait ravi de t'aider.
Amélie se tourne vers moi et me regarde dans les yeux. L'aider? L'aider à quoi? Me demander quoi? Je ne comprends pas le sujet de conversation. Il y a quelque chose que je ne sais pas.
- D'accord, dit-elle en me regardant timidement.
Le repas se termine sur ce sujet de conversation. Jeremy aussi ne semble pas comprendre de quoi elles parlaient. On débarrasse la table tous ensemble et on aide à ramassé la cuisine. Une fois la tâche terminer, je remonte dans ma chambre tout comme mon frère et Amélie.
Je termine mes devoirs et après je joue sur mon ordi. Je me demandes vraiment de quoi elles parlaient. Est-ce que ça à un rapport au comportement d'Amélie? Dû fait qu'elle soit froide avec tout le monde? Que je la retrouve à rien faire d'autre que d'écouter de la musique coucher dans son lit quand je rentre dans sa chambre? Toute ses questions me pousse à aller poser d'autre question à Amélie.
Je me lève de mon lit et me dirige vers sa chambre. Je cogne et deviner quoi... aucune réponse. Je regarde l'heure; 9:27. Elle doit déjà dormir. Je décide alors d'aller poser mes questions à ma mère. Je descends dans la cuisine et la retrouve devant son ordinateur assise à la table à manger avec une tasse de thé dans les mains. Je vais m'assoir à côté d'elle.
- Amélie est charmante, n'est-ce pas, dit ma mère.
- Ouais, répondis-je simplement.
- Je suis contente que Jeremy l'ai accueillit à bras ouvert, ça l'a surement fait sentir la bienvenue.
- Surement.
- Je te remercie d'avoir fait un effort, je suis sûre que ça l'a aider.
Aider à quoi, bon sang? Si seulement elle savait que mes efforts n'on absolument rien apporter.
- De rien. Mais je la trouve quand même assez bizarre.
- Pourquoi donc?
- Je sais pas. Quand tu as dit qu'elle savait se faire petite, je pensais pas que tu disais aussi petite que ça. En plus elle se couche super tôt, même les samedi!
- C'est normale pour sa situation.
- Comment ça normale pour ça situation?
- C'est un de ses échappatoires, dit-elle en me regardant comme si je ne comprenais absolument rien, qui en passant, est le cas.
- Échappatoires à quoi, demandais-je encore plus perdu.
- Elle ne te l'as pas dit?
- Arrête de répondre à mes questions par d'autres questions, maman! Je veux des réponses!
- Elle ne te l'a vraiment pas dit?
- J'imagine que non puisque je ne comprends pas de quoi tu me parles!
- Elle est dépressive.
Elle est quoi? Attendez, j'ai cru mal entendre! Comment elle peut être dépressive? Elle était toute joyeuse en début d'année scolaire...
Mais elle a changée. Elle est devenue dépressive. C'est pour ça qu'elle est devenue froide avec tout le monde, me dit ma conscience.
Ça explique tout. Pourquoi elle est comme ça, pourquoi elle s'endort plus tôt que tout le monde, pourquoi elle ne fait presque rien de ses temps libres...
Et toi tu ne l'a pas beaucoup aidé en lui criant deçu.
J'y avait penser conscience, inutile de me le rappeller.
- Non elle ne me l'avait pas dit, dis-je à ma mère un peu sous le choc.
- Ah bon.
- Est-ce qu'elle a d'autre échappatoires, autre que le sommeil, demandais-je.
- D'après ce que sa mère m'a dit, il y a la musique...
C'est pour ça qu'elle à toujours ses écouteurs dans ses oreilles.
- la danse...
C'est pour ça qu'elle regardait avec envie le studio de danse l'autre soir.
- et d'après ce que j'ai pu voir depuis qu'elle est arrivé ici, ton frère c'est rajouter à la liste.
C'est pour ça qu'elle agit de manière complètement différente lorsqu'elle est seule avec lui.
- Est-ce que tu sais pourquoi elle est devenue dépressive, demandais-je après un petit moment de silence.
- Elle s'est refermé sur elle même. Elle ne s'ouvrait à personne et elle n'arrêtait pas de se remettre en question, ce qui l'a amener en dépression. Pauvre petite. C'est tellement une belle jeune fille, elle ne mérite pas de se sentir comme ça.
Ça je suis totalement d'accord.
- Elle n'a pas de meilleure amie qui peut la ramener à la normale?
- D'après sa mère, elle n'a jamais eu de meilleure amie. Elle a toujours eu peur que quelqu'un trahisse sa confiance alors elle n'est jamais devenue proche de personne.
Pauvre elle! Comment survire sans meilleur ami! Je ne sais pas ce que je ferais sans Vincent! Ça doit tellement être horrible pour elle! En plus avec moi qui me suis acharné sur elle alors qu'elle est obligé d'habiter avec moi...
Ta mère t'avait demander de faire un effort pour ne pas que tu t'acharne sur elle et qu'elle s'enfonce plus bas dans sa dépression, mais se n'est pas ça que tu as fait.
Tais-toi conscience! Je me sens déjà assez mal, viens pas en rajouter plus!
Je ne fais que dire la vérité.
Ferme-là!
- Pauvre elle, dis-je sincèrement.
- Oui, elle ne mérite pas ça.
- Je crois que je vais aller me coucher, dis-je en faisant une bisou sur la joue de ma mère.
- Bonne nuit Jayson.
- Bonne nuit maman.
Je remonte à l'étage et m'arrête devant la chambre d'Amélie. Je me sens vraiment, mais vraiment mal pour elle. J'ai été tellement égoïste de dire tout se que je lui est dit quand elle est arrivé. Je lui est empêcher de voir mon frère, qui est un échappatoire. Je lui est aussi en quelque sorte empêcher de faire de la danse, parce que je lui est crier de ne pas se mettre trop à l'aise dans la maison. Je suis vraiment idiot.
Je repense que la musique est aussi un de ses échappatoire. C'est pour ça qu'elle dort avec ses écouteurs. Mais si elle continu comme ça, à dormir avec son casque d'écouteur, elle va finir par avoir les marques des coussins d'écouteurs d'imprimer sur ses oreilles.
Je vais dans ma chambre et prends mon petit amplificateur que j'utilise rarement. Je retourne dans le corridor et rentre doucement dans la chambre d'Amélie. Il fait noir, mais je connais la disposition des meubles pour pas me cogner sur un meuble et avec la lumière du corridor, je vois en partit ce qu'il y a dans sa chambre. Je rentre en faisant le moins de bruit possible, même si je sais très bien qu'elle a ses écouteurs et qu'elle n'entends rien. Je me rapproche de son lit et la regarde. Elle est comme la dernière fois; calme et sereine. Mais je vais surement la réveiller avec se que je vais faire.
J'hôte une des couvertures qui repose sur le corps d'Amélie pour trouver son iPod. Par chance je le trouve rapidement, se qui me sauve d'enlever d'autre coucher de sur elle. Avec la plus grande délicatesse possible, même si se geste est habituellement pas délicat, je déconnecte ses écouteurs de sa source de musique. Après, je me dirige vers son bureau et dépose l'amplificateur dessus. Je sens que Amélie bouge dans son lit, mais je n'y prête pas tellement attention. Je mets son iPod sur l'ampli et repart a musique qu'elle écoutais avec un niveau de son assez bas.
Je me retourne pour voir Amélie et réalise qu'elle est assise dans son lit avec ses lunettes sur le nez à me regarder.
- J'ai fait quelque chose de mal, demande-t-elle à moitié endormie.
Je m'approche de son lit et m'assois sur le bord pour la regarder de plus prêt. C'est la que je remarque qu'elle ne porte pas son chandail I LOVE NEW YORK. Elle porte une simple brassière de sport noire et grise, ce qui laisse paraitre une partie de son ventre. Remarquant que je la fixe, Amélie remonte les couvertures pour se cacher.
- Non, tu n'as rien fait de mal ,dis- je en lui souriant. Je viens juste d'apprendre ta situation. Je suis désolée pour tout se que je t'ai crier samedi soir, dimanche et lundi matin. Je ne savais pas que tu étais dépressive et tout se que j'ai dis n'a pas aider. En plus, je t'ai privé de se qui te permets de te sentir mieux et je me sens vraiment mal à cause que ça. Pardonne moi s'il te plait.
- Tu n'as pas à demander pardon, tu ne le savais pas, dit-elle en me souriant à son tour.
- Mais quand même, j'ai pas été correct, je m'excuse.
- Si je dis que tu es pardonné, est-ce que tu vas me laisser dormir?
- Oui, dis-je en rigolant un peu.
- Tu es pardonné.
- Merci, dis-je en la prenant dans mes bras.
Elle est toute chaude. Ça me fait du bien. En plus, elle sent super bon. Je me lève de son lit et me dirige vers sa porte.
- Jayson, m'interpelle Amélie.
- Oui, dis-je en me retournant.
- Merci pour le haut-parleur.
-Plaisir, dis-je en lui souriant avant de fermer sa porte.
Il faut que je l'aide dans sa dépression. Je veux qu'elle redevienne celle qu'elle était avant. Je doit la sortir de sa dépression.
Je dois la sortir de ça...
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