Chapitre 11
La journée c'est bien passé. J'ai surveillé Amélie durant toute la journée et personne est venu l'embêter. Je la regardais souvent pendant les cours et les pauses et quelques fois elle me surprenait à me regarder. Mais au lieu de baisser la tête et faire comme si elle ne m'avait pas vue, elle me sourit. Toujours d'un beau sourire qui me fait sourire à mon tour. J'adore la voir sourire!
Les cours sont terminé et on doit reprendre l'autobus. Je fait comme hier et me dépêche à faire mon sac avant de partir vers la casier d'Amélie. Elle me voit arrivé et me sourit avant de terminer son sac et de fermer son casier. Elle mets ses écouteurs et nous partons vers les autobus. Quand la foule d'élèves deviennent plus dense, je passe mon bras alentour de ses épaules pour la coller à mon torse pour ne pas la perdre. Arrivé à l'autobus je rentre en premier et m'arrête devant mon banc avant de me retourner vers Amélie qui me suivait.
- Assis-toi sur le bord de la fenêtre, lui dis-je en lui pointant le banc.
Elle obéit et s'assois la première. Je m'assoit à côté d'elle et attends que le bus part. Quelque instants avant le départ, Amélie regarde par la fenêtre alors que quelqu'un frappe brusquement la vitre se qui la fait sursauter et se coller à moi. Je la prends dans mes bras même si elle essais de sens défaire et me penche pour voir qui a frapper la fenêtre. C'est David et sa bande, qui sont maintenant en train de rire. Je leur lance un regard noir, toujours avec Amélie dans les bras, avant de leur faire un doigt d'honneur, qui les fait taire. Ils me regardent tous comme si ils allaient me tuer et alors qu'ils allaient me crier une insulte, le bus part.
Quels enfoirés ceux-là. Je desserres les bras pour laissé Amélie se replacé. Elle me dit un petit merci et je lui sourit. Elle se retourne vers la fenêtre et continu à regarder le paysage. J'aurai vraiment du apporter ma musique parce que là, je m'emmerde royalement. Après quelques minutes à rien faire, je me tourne vers Amélie et enlève un de ses écouteurs avant de le mettre dans mon oreille. Elle se tourne vers moi et me regarde confuse.
- J'ai oublié mon iPod et mes écouteurs à la maison et je m'emmerde, alors j'écoute de ta musique, dis-je.
- Ah d'accord, dit-elle tout bas. Tiens.
Elle me tends son iPod que je prends sans trop comprendre.
- Tu peux choisir la musique, dit-elle.
- Ok.
J'ouvre son appareil et choisi la musique. Elle a de très bon goût dans la matière! Il y a les classiques de tous les styles de musique! Je décide de faire jouer un album de Bon Jovi. Une fois notre arrêt arrivé, j'enlève l'écouteur le temps de descendre. Une fois sorti de l'autobus, je me mets à côté d'Amélie, remets son écouteurs et passe mon bras par-dessus son épaule. Ce geste n'a pas l'air de la déranger, alors je le referait surement dans les jours à venir.
Arrivé à la maison, je débarre la porte. Amélie enlève ses écouteurs en même temps qu'elle enlève ses souliers. Alors qu'elle allait partir de l'entrée je l'attrape part le bras et lui dit;
- Oublie pas que tu passes la soirée avec Jeremy.
Elle hoche la tête et se défait de mon emprise sur son bras avant de monter dans sa chambre. Je monte moi aussi dans ma chambre pour me changer en vêtements de sport et descend dans la salle des ports pour faire un peut de boxe. Je mets du heavy metal a fond et commence à frapper.
Je pense au fait que ce pervers de Pierre est toucher à Amélie, que David l'es fait trébucher en plus de rire d'elle en lui faisant peur. En pensant à tout ça je commence à frapper de plus en plus fort, de plus en plus rapidement. Je ne veux plus qu'on touches à elle, je ne veux pas que David l'approche. Je dois la protèger. Je ne veux pas que quelque chose lui arrive.
J'entends rien à cause de la musique et je ne sens rien à cause de ma colère. Je suis dans mon monde. J'ai n'ai aucune connaissance du temps, lorsque je vois Amélie dans l'embrasure de la porte de la salle en train de regarder la salle . J'arrête de frapper et me tourne vers elle. Elle rougis en réalisant me voyant torse nu. Sa me fait sourire et j'arrêt la musique.
- Qu'est-ce qu'il y a, lui demandais-je.
- Ta mère ma envoyer pour te dire qu'on soupait dans dix minutes, dit-elle.
- D'accord.
Je me retourne pour remettre mon chandail et prends une gorgé d'eau dans ma bouteille d'eau que je m'étais pris avant de descendre, et lorsque je me retourne vers Amélie, je remarque qu'elle regarde attentivement le petit studio de danse.
- Est-ce que tu en fait, je lui demandes.
Elle reporte ses yeux vers moi et me regarde confuse.
- De la danse, dis-je en désignant la studio.
Elle hésite longuement avant de répondre, mais alors qu'elle ouvre la bouche pour répondre, ma mère nous appelle pour monté manger. Amélie ne perds pas son temps pour monter les escaliers pour éviter de continuer la conversation.
Je montes à mon tour et dit à ma mère que je montes me changer et que je redescend pour manger. Je me rends dans ma chambre et en passant dans le corridor, je remarque que la porte de la chambre a Amélie est légèrement ouverte, contrairement à d'habitude, qui est toujours fermé. Je décide d'ouvrir doucement la porte pour voir, par simple curiosité.
Je rentre dans sa chambre et voit que son lit en encore bien fait. Elle ne c'est toujours pas installé! Par contre je remarque qu'il y a une nouvelle chose dans sa chambre autre que ces habituels écouteurs; une photo d'elle et de sa famille déposé sur une de ces tables de chevet. Je m'approche du cadre qui contient la photo et la prends dans mes mains. Elle à les yeux de sa mère et la structure du visage de son père. Sa soeur lui ressemble beaucoup sauf qu'elle a les yeux bruns foncé. Sur la photo tout les membres de la famille regarde l'objectif et semblent vraiment très heureux. Je reconnais le paysage de New York derrière eux. Amélie semble être la plus heureuse. Elle est plus jeune, trois ou quatre ans plus jeune. Elle est tout aussi belle qu'elle l'est maintenant. C'est beaux yeux verts contient l'étincelle constante de bonheur qu'elle avait avant. C'est cheveux sont un peu plus long, mais ça lui va très bien. Cette photo me fait sourire et me donne envie de voir l'ancienne Amélie, toujours souriante. Elle me manque.
Alors que je repose le cadre a sa place, j'entends mon frère m'appeler dans le corridor. Je sort rapidement de la chambre d'Amélie.
- Qu'est-ce que tu faisait dans la chambre d'Amélie, me demande-t-il.
- Elle m'avait emprunter quelque chose et je suis aller le reprendre, inventais-je.
- Ok, mais dépêche toi de te changer, on a faim, dit-il avant de retourner à la cuisine.
Je rentre dans ma chambre et me change rapidement pour ensuite descendre dans la cuisine et rejoindre ma famille qui m'attendait pour manger.
Le souper est tranquille. C'est surtout Jeremy qui fait l'animation, comme d'habitude, et nous écoutons. Une fois le repas terminer, alors qu'Amélie allait commencer à débarrasser la table, comme elle avait pris l'habitude de le faire, je lui dit;
- Toi, vas jouer avec mon frère, dis-je avec une voix autoritaire pour ne pas qu'elle me contredise.
Elle lâche ce qu'elle faisait et part rejoindre mon frère dans le salon avant de monter en haut. J'aide ma mère à faire quelques corvées avant de monter dans ma chambre. En passant devant la chambre de mon frère, j'entends des éclats de rire en sortir. Ce n'est pas le rire de Jeremy, c'est le rire d'Amélie. Son beau et magnifique rire qui me fait sourire à tout coup. A l'entendre, elle semble très heureuse, plus heureuse que mon frère. Je veux savoir ce qu'il font. Je me trouve une excuse pour aller les voir et cogne à la porte de la chambre de mon frère.
- Entrer, cri Jeremy.
Je rentre et voit mon frère et Amélie coucher part terre à regarder des photos qui sont étendus partout alentour d'eux. Ils sourient tout les deux de toutes leurs dents et semble plus content que jamais.
- Ça va, demandais-je.
- Ouais toi, me demande mon frère.
- Bien. Je voulais juste vous dire que j'allais commencer les millions de devoirs à Amélie, alors ne venez pas me déranger s'il vous plait.
- D'accord, dit Jeremy. Bonne chance!
- Merci, je vais en avoir besoin. J'espère qu'ils ne sont pas trop durs, dis-je en regardant Amélie qui semblait un peu gênée du fait qu'on mente à mon frère.
- À toi de voir si tu es assez intelligent, me répondit-elle sans penser, en souriant toute heureuse comme mon frère.
Après avoir réaliser que c'était sorti tout seul, elle plaqua ses mains sur sa bouche et me regarda pour voir ma réaction. À mon plus grand étonnement, je ne fait que sourire. Mon frère part à rire en disant;
- Très bien dit Amélie!
- Je suis intelligent, dis-je avant de rire comme mon frère.
Amélie ne rit pas. Elle n'a toujours pas enlever ses mains de sa bouche. Je me penche vers elle, assez bas puisqu'elle est couché part terre, et lui chuchote à l'oreille pour ne pas que mon frère entende;
- Tu peux rire, j'ai le sens de l'humour. Je n'ai pas pris ça comme une insulte.
Je me relève en lui souriant pour la rassurer que je ne crierai pas après elle pour ce qu'elle vient de dire, mais elle n'enlève pas ses mains de sa bouche. Je leur dit au revoir et part dans ma chambre pour faire des devoirs imaginaires.
Deux heures plus tard on cogne à ma porte. Je me précipite vers mon bureau, prends un crayon, ouvre des cahiers d'école quelconque et dit à la personne d'entrer. Jeremy rentre dans ma chambre suivi d'Amélie pour venir me donner un câlin et me souhaiter bonne nuit. Il fait la même chose avec Amélie et part ce coucher.
- Je suis désolée pour ce que j'ai dit tantôt, dit elle tout bas.
Je me lève de mon bureau et me rapproche d'elle.
-Pas besoin de t'excuser, dis-je calmement. Je t'ai dit que je ne l'avait pas pris comme une insulte.
- C'est sorti tout seul.
- Je t'ai dit que tu n'avais pas besoin de t'excuser. Maintenant sort de ma chambre pour que je terminer tes devoirs, dis-je en lui souriant gentiment.
Elle me sourit à son tour et sort de ma chambre après m'avoir souhaiter bonne nuit.
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