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Chapitre 41


Je me réveille dans ce qui semble être une cellule. Je me redresse. J'ai mal à la tête. Putain où je suis ?

Je regarde autour de moi. Putain, je suis dans la merde.... Les flics m'ont chopé. Et maintenant, je fais quoi ? J'attends gentiment qu'on vienne me chercher ?

Parce que si c'est le cas, je dois attendre que Jason se bouge le cul et ça c'est hors de question, parce que de 1, je ne veux pas le voir et que de 2, je ne veux pas le voir. Je me lève et fais le tour. Je vois qu'un flic a remarqué que j'étayais réveillée et se met à m'interroger :

-Vous êtes bien Moon Maëva Orlane Jioba ?

-Ça serait difficile de le nier.

-Dites, vous avez quel âge déjà ?

-17 ans pourquoi ?

-Vous êtes encore mineur, donc.

-Vous êtes intelligent, dites-moi.

-Ne vous moquer pas de moi ou vous pourriez le regretter.

-Oui, bien sûr, ils disent tous ça sauf qu'au moment de passer l'action, ça fait pas si mal que ça.

-Vous savez pourquoi vous êtes là ?

-J'ai volé de la barbapapa dans une fête foraine ?

-Arrête de te moquer de moi, gamine. Tu es inculpé pour le meurtre de 47 personnes à compter d'hier soir où tu as assassiner toute une maison de sang froid.

-Alors déjà de 1, j'ai tué que 46 personnes et de 2, c'est mes affaires, pas les vôtres.

Il avait l'air choqué.

-Quoi, vous entendez pas de ça tout les jours ? Par curiosité, la 47e personne ne serait pas la directrice je-pense-qu'à-mon-cul ?

-C'était l'ancienne directrice de ton orphelinat.

-C'est bien madame je-pense-qu'à-mon-cul. Nan, elle c'est pas moi, désolée. Ou pas mais de toutes manières, vous en avez rien à foutre, n'est-ce-pas ? Pour vous, je ne suis qu'un monstre qui tue des gens sans que vous en connaissiez la raison. Papa avait raison, il n'y a pas plus monstrueux que les humains.

-Qui est-ce-que tu appelles papa.

-Ça ne vous concerne pas. Tout ce que je peux vous dire, c'est que c'est l'assassin de la directrice et de blondasse.

-Qui est blondasse ?

-Cherchez voir si vous ne trouvez pas une morte de l'orphelinat d'il y a environ 4 mois. Une blondasse conne qui passait son temps à me faire chier. Maintenant dégagez et foutez moi la paix.

-Tu sais ce que tu risques comme peine ?

-Non et j'en ai rien à foutre parce que je sortirais de là avant que vous ayez eu le temps de me foutre en taule.

Il m'a cuisiné pendant un bon moment, jusqu'à ce que je me fasse transférée dans une prison. J'aurais pu me barrer, certes, mais il y avait un truc chiant à côté : les journalistes !!! Si une fille comme moi se met à se transformer devant les caméras, je vais finir en rat de laboratoire. En regardant la foule, j'ai cru reconnaitre les cheveux de Elsa, ceux de Angel et ceux de Candy Cane avec une tête de mec. RIn ? Rin a chopé les cheveux bleus clairs de Candy Cane ? WTF ?

Bref, je m'en fous, je vais me débrouiller toute seule. Et puis Angel n'aurait pas pu sortir à accuse de son nez, il n'est pas trop discret. Et si Rin a chopé les cheveux de Candy Cane, il aurait pas osé sortir de peur qu'on se foute de sa gueule, je le connais par coeur...

La prison pour femme, c'est chiant. En dehors des conditions de vie t'as envie de te suicider tellement tu te fais chier, tu as des camarades avec pour la plupart des tronche de bulldogs et qui sont aussi gentilles qu'un coup de pompe dans le cul. Mais personne n'ose m'approcher. Pourquoi ? Parce que je suis une tueuse en série, et que faire chier les tueurs en série ça craint. Bon, je suis pas la seule, mais je détiens un des records du nombre de victimes. Après, il y a bien UNE tronche de bulldog qui m'a fait chier. Reconstitution :

Elle arrive vers moi et se plante devant moi. On est dehors et je me fais chier comme pas possible.

-Alors, il parait qu'on est dangereuse.

-Qu'est-ce-que tu me veux, te trouver un souffre-douleur ? Va chercher quelqu'un d'autre, il ne vaut mieux pas me faire chier, je ne suis pas d'humeur.

-Espèce de sale gosse tu vas me parler autrement-

-T'as tué combien de personnes ?

Elle m'a regardé d'un air vachement étonné :

-Attends, t'as osé me couper, là ?

-J'ai tué 46 personnes en bientôt 5 mois, je peux savoir combien tu en as tué ?

Elle essaya de me donner un coup de poing en me hurlant :

-Non mais tu te prends pour qui espèce de-

Je l'ai coupé quand j'ai attrapé son poing dans ma main et que je l'ai regardé dans les yeux. Elle a eu un mouvement de recul. Je soupirais. Elle avait réussi à m'énerver.

-J'ai les yeux verts brillant, n'est-ce-pas ? Je te déconseille de continuer de me chercher si c'est le cas, ou mon nombre de victimes risque de monter à 47. Donc, je repose ma question : Combien de personnes as-tu tué ?

-Tr... Trois.

-Pff... Pathétique. Ça a tué 3 personnes et ça se croit au dessus de tout le monde ? Mon père a fait mieux que toi. Mes amis ont fait mieux que toi. Alors tu t'excuses tout de suite et peut-être que je consentirais à passer l'éponge. J'ai bien dit peut-être.

Elle avait l'air flippée. Pour en ajouter à sa peur, je lui dis :

-Je te donne 6 secondes.

-Pa... Pardon...

-Pardon MADEMOISELLE.

-Pardon... mademoiselle.

Je lâchais son poing et elle se barra en courant.

Mais en prison, j'ai fait une rencontre étonnante. Une jeune fille bizarre. Toujours renfermée, qui ne parlait à personne et qui des fois pétait des câbles pas possibles. Elle devait être à peine plus grande que moi, elle avait les cheveux roux, longs et bouclés qui cachaient ses yeux.. Je ne la voyais que de loin, et je voyais bien qu'elle avait un plan pour essayer de se barrer. Elle était placée en isolement. Quand je demandais qui c'était, on me répondait qu'elle détenait le record du plus grand nombre de victimes de la prison et qu'elle était là depuis deux jours. Ça faisait une semaine que j'étais en taule et que j'attendais mon procès. Au final, c'est elle qui est venue me voir. Elle s'est assise à côté de moi dans le réfectoire.

-Salut, qu'elle m'a dit.

-Salut.

-Comment tu t'appelles ?

-Moon. Et toi ?

-C'est cool comme nom, Moon. Moi, je m'appelle Arsenic.

-T'as tué combien de personnes ?

-Beaucoup. À vrai dire, je ne compte plus. Et toi ?

-46. En 4 mois.

-Joli. Vraiment. Tu me fais penser à quelqu'un. Tu ne connaitrais pas un certain Jason qui fabrique des poupées ?

What ? Elle le connais ? Je la regardais avec de grands yeux surpris.

-Oui, tu le connais, visiblement. Je suis une de ses amies. Enfin, disons que c'est une de mes victimes. J'aime faire chier les gens et c'est marrant de le faire chier lui, tu ne trouves pas ?

-Si... très...

-Tu lui ressembles vachement. Tu ne serais pas quelqu'un de sa famille ?

-Je suis sa fille... Enfin, d'après lui...

-Jason a toujours raison, donc oui, tu es sa fille.

Elle se pencha vers moi :

-T'as pas envie de te barrer pour le rejoindre ?

-Oui, j'ai envie de me barrer mais pas pour le rejoindre. On s'est engueulés, et du coup...

-Ah d'accord. Oui, je sais qu'il a un caractère de merde. Comme moi. c'est pour ça qu'on s'adore.

-J'ai une question, vous sortez ensemble ?

Ce rougissement de joues ne trompe personne Arsenic. Tu aimes bien mon père, n'est-ce-pas ? Si tu savais ce qu'il fait subir à ses amantes... demande à ma mère...

-Non, on ne sort pas ensemble.

-Est-ce-que tu as l'impression qu'il est mal à l'aise quand il est avec toi ?

-Oui, toujours. Mais je sais que je n'ai aucune chance. Il veut venger celle qui a sans doutes dû être ta mère. Il l'aimait beaucoup.

-C'est bien ça le problème : Il l'aime trop et c'est pour ça qu'il veut que je reste avec lui, je lui ressemble, alors il croit la revoir en moi. Mais je suis moi et pas ma mère.

-Tout à fait d'accord. Au fait, j'ai un plan d'évasion pour ce soir, ça te dit ?

Je lui souris, en la regardant dans les yeux, yeux qu'elle a rouge. Cette fille est-elle humaine ? Je ne sais pas et RÀF.

-C'est parfait.

Mais le soir même, nous ne réussîmes pas à nous enfuir ensemble. Les gardes nous ont trouvé avant et j'étais immobilisée avant qu'on ait pu s'enfuir ensemble. Je lui hurlais de partir, mais elle a essayé de me sortir de là jusqu'à ce qu'elle fasse mine de tomber en chute libre. Mais les puissants battements d'ailes qui s'éloignaient lentement de la prison me prouvaient le contraire. Comment je savais que c'était elle ? Arsi m'a confié qu'elle est une démone.

Et ils ont décidé qu'ils laient avancer mon prcès parce qu'ils ont peur que je m'évade. Je sens qu'on va bien s'amuser. Je vais tellement les faire chier qu'ils vont en devenir fous. Ça va être drôle.

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