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❥ Chapitre 28

HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LES DROITS D'AUTEUR. TOUT PLAGIAT, REPRISES D'IDÉES SANS EN INFORMER L'AUTEURE, SERA SANCTIONNÉ PAR LA LOI (articles L335-2 et L335-3 du Code de la propriété intellectuelle : trois ans d'emprisonnement et 300 000 euros d'amende). Les quelques fautes que vous rencontrerez sont laissées exprès pour éviter toute reproduction copiée/collée⚠️

- - - - - PDV Jarod - - - - -

Le soleil qui perce à travers les rideaux m'envoie pleinement ses rayons à la figure. Je grogne légèrement en papillonnant des yeux, faisant aussitôt face à la plus merveilleuse des vues qu'on puisse avoir dès le matin : le visage paisible d'Eerika. Aussitôt les images de la veille me reviennent, j'ai l'impression d'être devenu le mec qui saute sur tout ce qui bouge. Ca fait quoi, deux jours que je la cotoie non stop, et elle est déjà dans mon lit. Cela ne fait pas du tout parti de mes principes, mais là, j'en ai rien à foutre. Putain, j'en avais envie, et je n'allais certainement pas me priver. Je me redresse sur les coudes, me penchant pour venir caresser délicatement ses cheveux. Elle émet un léger gémissement, ses paupières battant comme les ailes d'un papillon en envol. Ses prunelles vairons se posent aussitôt sur moi, un sourire charmeur étire en prime ses lèvres charnues.

Eerika : - Mmh... Bonjour...

Jarod : - Bonjour belle endormie... Tu as passé une bonne nuit ?

Eerika : - J'ai quelques courbatures, mais... Je n'ai jamais dormi aussi bien...

Jarod : - C'est réciproque...

Sans y résister, je me viens combler la distance entre nous et dépose mes lèvres contre les siennes pour l'embrasser tendrement. Dès le matin, mon corps s'éveille rapidement suite à la proximité entre nous. Son corps est une véritable appel à la tentation, auquel je ne parviens plus à résister. Une de mes mains friponnes vient frôler son ventre pour se poser contre son mont de Vénus, tandis que mes lèvres aspirent un de ses tétons. Aussitôt un gémissement lui échappe, mon index se fraie un passage entre ses lèvres intimes que je sens trempées.

Eerika : - Jarod...

Je souris à l'entente de mon prénom murmuré, avant de retirer vivement ma main quand la porte de la chambre s'ouvre à la volée sur une tornade. Frustration au plus haut point !

Kalle : - Papa !!! Eerika !!!

Avec tout le naturel du monde, Kalle bondit sur le lit. Une chance que l'on se soit couverts de la couette, on aurait été biens sinon ! Je réceptionne mon fils contre mon torse, alors que ses prunelles brillent d'impatience.

Kalle : - J'ai attendu d'entendre du bruit, j'étais en bas. J'ai besoin d'aide !

Entendre du bruit ? Bordel, j'espère qu'on en a pas trop fait non plus ! Je me racle la gorge alors que la belle blonde à mes côtés se met à glousser, essayant sûrement de se remettre de ses émotions. On a été coupés court ! Nous voir dans le même lit ne semble aucunement poser problème à Kalle. L'étape de lui expliquer pourquoi et comment nous sommes nus sous les draps est encore loin, fort heureusement !

Jarod : - Ahem, besoin d'aide pour quoi ?

Kalle : - Je n'arrive pas à accrocher la dernière étoile.

Je fronce légèrement les sourcils, alors qu'il sautille hors du lit. Quelle étoile ?

Kalle : - Alleeeeez, venez !

Et aussi vite qu'il était arrivé, le voilà reparti. Eerika s'échappe des draps, elle a bien raison, je risque de laisser mes mains baladeuses sur son corps et on serait repartis pour un nouveau round. Je la reluque sans ménagement, constatant qu'elle s'habille avec d'autres vêtements que ceux d'hier.

Jarod : - Tu es allée chercher des vêtements quelque part ?

Eerika : - Oh, euh, non ! C'est ce que j'avais dans mon sac à main.

Jarod : - Il est sacrément grand ton sac pour contenir un pull, un jean, de la lingerie et des bottes ! T'es Mimie Mathy ou quoi ?

Elle balaie l'air devant elle d'un geste de la main.

Eerika : - Oh non, les anges gardiens, c'est pas trop le genre de personnes que je côtoie.

Je reste bouche bée, alors qu'elle se bidonne encore plus.

Eerika : - Jarod, je plaisante ! Je sais que c'est une actrice du nom de Michèle Mathy. Allez, habille-toi qu'on aille voir ce que ton fils a en tête !

Elle s'échappe elle aussi. Je me hâte à récupérer un boxer propre, un jean et un t-shirt, avant de descendre à la va-vite les escaliers. Je suis littéralement sur le cul lorsque j'aperçois le sapin que l'on a acheté hier, décoré de toutes parts. Seule l'étoile à la cime manque. C'est de ça dont parlait Kalle.

Kalle : - J'ai réussi à tout faire tout seul sans rien casser. Mais j'ai besoin d'aide pour mettre l'éoile en haut.

Il me la montre, blottie entre ses mains. Je viens volontiers le porter sous les aisselles afin qu'il appose la dernière touche qui va faire de ce sapin le plus beau de tous. Je constate également qu'il a mis le pendentif contenant la photo de sa mère entre deux guirlandes. Je le garder dans mes bras, ému.

Jarod : - C'est magnifique ce que t'as fait, Kalle. Je suis fier de toi.

Kalle : - Merci, papa. T'as vu, comme ça maman est aussi avec nous. 

Je hoche la tête, heureux, avant de chercher Eerika. Où est-elle partie ? Je nous déplace jusqu'à la cuisine, sans un bruit. J'aperçois la belle blonde avachie en avant sur le plan de travail. Mes yeux fripons ne peuvent s'enpêcher de fixer ses fesses moulées parfaitement dans son jean, tandis que sa voix mélodieuse me parvient.

Eerika : - C'est vrai ?! Sa jauge est passée dans le vert ?! Mais c'est génial !!!

Son euphorie est on ne peut plus claire. Je contourne l'ilôt pour voir qu'elle parle à nouveau à sa boule de cristal. Lorsqu'elle nous voit, elle cache aussitôt son objet, souriant de toutes ses dents.

Eerika : - Vous voilà !

Jarod : - Tu parlais à qui ?

Eerika : - Oh, euh, à personne voyons ! Je regardais mon journal intime.

Jarod : - Je pense pas qu'on ai eu à faire à une jauge, mais soit...

Kalle : - Papa, c'est la boule de cristal des anges de Noël. T'as jamais lu mes histoires ? 

Eerika semble elle aussi surprise, mais reste toute ouïe face à mon fils.

Kalle : - Bah oui ! Quand vous êtes partis hier, après m'avoir couché, j'ai lu un petit peu. Je savais que les cookies du père Noël, je les avais déjà vus dessinés quelque part. C'était dans l'histoire des anges de Noël. Je suis sûr qu'Eerika est l'une d'entre eux, et qu'elle est ici pour veiller à ce que Noël se passe bien !

C'est presque la version que m'a donnée la belle blonde. Je croise le regard de cette dernière qui hausse les épaules.

Eerika : - On dirait que j'ai trouvé mon amoureux, moi. Il croit en ce que je crois !

Kalle éclate de rire, et mon coeur fait littéralement des vrilles. Peu importe qu'il rêve à nouveau, putain je veux entendre ce son jusqu'à la fin des temps !

* * * * *

Emmitoufflés sous un bon plaid, une tasse de chocolat chaud en main, une brioche en forme de bonhomme de l'autre, nous partageons ensemble un bon petit déjeuner préparé par Eerika, quand la sonnette retentit. Je n'ai quasiment pas besoin de me lever pour aller vérifier de qui il s'agit. Mallaury et Fritz ont dit qu'ils seraient là à la première heure.

Jarod : - Kalle, va falloir aller te préparer.

Je n'obtiens aucune réponse. Je me lève à contrecoeur, posant le tout sur la table. Je rejoins l'entrée et ouvre le battant, faisant face à mes grand-parents. Mallaury est la seule à sourire.

Mallaury : - Alors, comment s'est passée cette nuit ?

Cette façon de s'immiscer dans ma vie alors que le bonheur recommence à frapper à ma porte, je vais rapidement perdre patience.

Jarod : - Parfaite. Kalle, papy et mamie sont là. T'es prêt ?

Presque telle une anguille, Kalle s'est glissé devant moi. Je ne l'ai même pas entendu se lever ! Il fixe ses grands-parents dans le plus grand des silences, avant de briser la glace.

Kalle : - Est-ce qu'on peut aller à la salle des fêtes ? On est samedi, et c'est aujourd'hui qu'il y a de la peinture sur boules. Comme ça, je pourrais les ajouter au sapin et maman sera contente !

Je redresse la tête sur Fritz. Une étrange lueur brille dans ses yeux. Il ne m'aboie pas dessus dès le matin, c'est étrange. 

Jarod : - Bien sûr Kalle, on peut y aller.

C'est là-bas qu'Aada faisait toujours des merveilles. Kalle adorait collectionner les boules de toutes les cuoleurs de peintures qui puissent exister. Autnat dire qu'on rentrait à la maison avec des cartons pleins.

Kalle : - Tous ensemble. Toi, mamie, papa et Eerika.

Fritz : - Eerika ?

Je plisse les yeux. S'il recommence, cette fois je lui fous le nez dans la neige !

Kalle : - Oui, elle est trop gentille. Elle nous a fait des mannalas trop bon. C'est une ange de Noël, elle connait le père Noël, alors je dois être sage si je veux avoir mon cadeau !

Mallaury : - Oh ben dis donc, tu en as de l'imagination !

Kalle : - Nan, c'est la vérité ! Alors, on y va ?

Je hausse les épaules, déviant la tête vers Eerika. Souriante, elle avance vers moi et pose une main sur mon bras.

Jarod : - Si Kalle est d'accord, on vient.

Kalle : - Je veux tout le monde avec moi. Comme ça, j'aurais pleins de décorations peintes.

Mon fils se met à courir dans la neige, parfaitement habillé. Bottes, gants et doudoune, il est équipé. Mallaury lui emboite le pas et Fritz pointe un index menaçant vers moi.

Fritz : - Vous venez, mais simplement parce que le p'tit l'a demandé. Et c'est pour Aada, ainsi que son amour pour la peinture sur boules.

Je hoche la tête de manière désinvolte. Je suis fatigué de devoir constamment me justifier avec lui. Les doigts fins et doux de la belle blonde glissent sous mon menton pour m'intimer à la regarder.

Eerika : - Laisse-le parler, on s'en fiche. Le principal, c'est que Kalle veut que tu sois présent. Alors, on va voir qui a des talents de peintre sommeillant en lui ?


- - - - - PDV Eerika - - - - -

J'observe les enfants installés à diverses tables dans ce grand hall. Il y a du monde, cette activité de Noël semble intéresser beaucoup de gens. Je suis restée légèrement à l'écart afin de recontacter Valterri, ma petite altercation avec lui tout à l'heure ne m'avait pas permise de lui poser les questions nécesssaires au bon déroulement de ma mission. Il est sereine : Kalle remonte dans la courbe des enfants sages, la haine qui se développait en lui s'estompe de plus en plus.

J'ai également eu la surprise de voir que ce petit est persuadé que je suis une ange de Noël. Au moins un Harding qui me croit ! Je vais devoir être prudente à l'avenir, personne ne doit normalement être au courant de ma véritable nature, tout adulte est comme Jarod, ne me croyant pas, mais pour les enfants, c'est tout autre chose. 

Je finis par revenir auprès des beaux-parents du militaire, ce dernier étant assis aux côtés de Kalle, un pinceau en main. Son fils lui explique comment faire, mais en mauvais élève, son père fait tout pour ne pas comprendre exactement les motifs qu'il doit peindre. Je croise les bras sous ma poitrine, les observant attentivement. Soudain, Jarod fait un trait de peinture sur la joue du petit qui écarquille les yeux.

Kalle : - Papa !!!

Jarod : - Oups, pardon j'ai pas fait exprès !

Je pose une main contre ma bouche afin de retenir mon rire, mais ces deux-là se mettent à se chercher. Bien rapidement, de la peinture vole dans tous les sens, leur joie étant contagieuse, les autres enfants autour de nous se mettent à faire pareil : arrosser leurs parents. Tout le monde rit aux éclats, réchauffant ainsi mon coeur d'ange. Enfin, il y a bien une personne qui rechigne parmi toute cette euphorie.

Fritz : - C'est n'importe quoi, nos vêtements vont être tâchés ! Mais arrêtez ! 

Il esquisse un pas en avant, avant d'être stoppée par sa femme qui agrippe fermement son bras.

Mallaury : - Je t'interdis de les arrêter. Regarde comme il sourit... Notre petit Kalle est de retour, chéri.



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