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#42

C'était loin d'être facile mais nous avons réussi à nous séparer, à nous dire au revoir même si c'était juste temporaire.

Tôt ou tard nous allons nous retrouver....

Après avoir raccompagner Maodo chez lui j'ai pris la direction de l'appartement de Rawane.

Sur place j'ai sonné en vain comme pour son téléphone qu'il ne décroche pas non plus. Comme j'avais toujours les doubles de chez lui contrairement à lui. J'ouvre la porte et constate qu'il n'est pas à l'intérieur....il est partie où ?

J'ai patienté des heures mais pas l'ombre de Rawane, qu'est-ce que je disais de son irresponsabilité .

Dépitée je décide de rentrer chez moi.

À peine arrivé j'entends sonner à la porte, je n'avais aucunement envie de me lever pour aller ouvrir. J'en suis sûre que c'est encore Rawane ce petit m'a dans la peau.

Deug nékhoul,  Magay doundal! Il ne jure que par mon nom!

- Bonsoir , que puisse faire pour vous ?

- Bonsoir Madame Ndoye ...

- D'où est ce que vous connaissez mon nom ?

- Ah excusez moi future ex- madame Ndoye...

- Mais de quel droit vous vous permettez...

- Votre mari a eu raison sur votre état d'insolence.

- Madame dites moi ce qui vous amène chez moi où partez.

- Il ne pouvait en être autrement. Je ne serai pas là première personne que vous mettez dehors, votre mari en est le parfait exemple. D'ailleurs même moi je suis sur le départ, je suis juste venu vous remette ça.

Elle me donne une enveloppe.

- C'est quoi ça ?

- Rendez vous au tribunal en passant je m'appelle Nabou Lo l'avocate de Monsieur Rawane Ndoye.

Elle me tourne le dos et trace sa route.

Je n'en revenais pas une demande de divorce, Rawane est devenu fou où c'est comment.

Pendant que je le cherchais monsieur était avec sa pimbêche d'avocate a manigancer un divorce. Il ne paie rien pour entendre celui là.

Je prends mon téléphone et l'appelle.

Il décroche alors j'étais sur le point de raccrocher....

Allô.... Allô, iow Rawane c'est quoi ces absurdités ?

- Salut....

- Va au diable avec ton salue, tu m'as pris pour ton jouet hein. Man douma sa morom la wakh. Je ne suis pas ton égal.

- Tu me l'as toujours dit mais je n'ai jamais voulu y croire. Légui kham nako comme do sama morom nak nala fii bayi té dém outi sama morom. Je vais aller trouver mon égal à moi pour refaire ma vie.

- C'est à dire ?

- Ça veut dire que s'en est fini de nous deux Neyla trop c'est trop. J'imagine que tu as eu la visite de mon avocate désormais elle sera ton interlocuteur direct.

- Tu crois que ça va être aussi facile...

- Ça ne dépendra que de toi en ce qui me concerne j'ai déjà saisi le tribunal  .

- On est obligé d'en arrivé là Rawane ?

- Tu ne m'as pas laisser le choix Neyla .

- S'il te plaît passe à la maison on va en discuter à tête reposée... je peux aussi venir à ton appartement.

- Je ne suis pas chez moi ...

- Tu es où dis le moi je te rejoins tout de suite...

- Pas besoin Neyla, je ne suis plus dans les dispositions pour discuter avec toi de quoi que ça soit.

- Rawane....

- J'ai des patients qui m'attendent dit il avant de mettre fin à l'appel.

Au début j'étais sous le choc mais par la suite je me suis dit qu'il me teste juste.

[......]

Deux après....

Une semaine après....

Trois semaines et toujours pas de nouvelles venant de lui. Il ne prend même plus mes appels.

Si j'étais en bon terme avec sa famille sakh je pourrais les demandé de le raisonner mais ils seront plus que heureux de ma voir séparer de leur de leurs frères.

Du côté de mes connaissances aussi je ne savais pas vers qui me tourner ma famille n'en parlons même pas.

Et il me manque terriblement, depuis des semaines je ne dors plus, ne mange plus, même au bureau je suis moins productive .

Maodo s'est proposé de parler à Rawane mais je ne pouvais pas accepter et risquer que la situation s'aggrave sachant qu'il est responsable en grande partie de mon divorce quasi imminent.

C'est demain le rendez avec la juge des mœurs mais je préfère garder ma dignité et signer les papiers plus tôt que de m'afficher devant un juré.

Ce qui me faisais le plus mal c'est de devoir traiter avec sa chiante d'avocate. Il suffit de la regarder pour savoir qu'elle en penche pour mon petit lébou. Comme elle m'insupporte celle là.

À la minute où je lui ai affirmé avoir signé les papiers elle a débarquée chez moi pour aller les donné à Maodo pour qu'ils les signe à son tour.

Avant la fin de la journée j'étais officiellement divorcé de Rawane Ndoye.

Je suis une femme divorcée après tant d'années a attendre le mariage. J'en étais arrivé à préférer mourrir vieille fille que porter le statut de femme divorcée.

Du jour au lendemain J'avais perdu mon mari mon bonheur. Quoi que l'on puisse dire j'étais heureuse à côtes de mon beau lébou.

Je suis resté 48 h sur mon canapé à pleurer toutes les larmes de mon corps. J'aime Rawane Ndoye de tout mon être. Maintenant qu'il m'a définitivement tourné le dos je me rends compte du degré de mon amour pour lui.

Une semaine après mon état ne s'était pas amélioré. Au travail je ne parle à personne, mes tâches terminées  je file directement chez moi.

(....)

Actuellement ma sœur vit chez moi car elle a quelques soucis avec son mari mais je lui mets la pression pour qu'elle règle le problème au plus vite. Elle a l'air de beaucoup aimer son mari donc je voudrais pas qu'elle lui arrive la même chose qu'à moi.

- Rokhaya va te changer on doit aller quelque part après .

- Où man je suis fatiguée dh Neyla .

- Assume tu n'étais pas fatiguée quand ton mari te faisais pleurer de joie.

- Ne me parle pas de lui dit elle en tirant la tronche comme pas possible.

Si elle savait que c'est lui qui doit passer tout à l'heure elle risque de sortir de la maison. C'est le seul moyen que j'ai trouvé pour l'aider à retourner dans son foyer.

- En parlant de lui je l'ai croisé en rentrant , il vous passe le bonjour .

- Nous n'en voulons pas .

- Parles pour toi, le bébé a besoin de l'amour de son père.

Rokhaya dh néff  bou bonn la déff. Elle est enceinte de trois mois . Sa fille est avec ma mère qui ne sait pas qu'elle est chez moi depuis trois jours.

- Fais un effort aller lève toi.

- Donne moi ta main s'il te plaît,  prie pour que cette fois aussi ça soit une fille.

- Ah bon et pourquoi ?

- Je te la donnerai directe je n'ai que faire de deux filles.

Elle vit mal son début de grossesse sans parler de la querelle entre elle et son mari. C'est sûrement la raison pour laquelle elle parle ainsi. Elle changera vite d'avis quand elle tiendra son enfant dans les mains.

Amouma dom mais kham nani thi xol la sakh...je ne suis pas mère mais je n'en ignore pas pour autant sa valeur pour une mère.

Je l'aide à se lever et quand elle fut à l'intérieur j'ai informé son mari pour qu'il se dépêche d'être là.

Je suis partie dès qu'il est venu, il fallait qu'ils règlent leur problème seul.

Si seulement on pouvait en faire autant pour moi...

Je tournais en rond sans savoir où aller ni que faire de ma vie...mon petit lébou me manque...mon mari me manque...ça me manque de me sentir femme dans ses bras, tout de lui me manque.

Ayant marre de me lamenter sur mon sors inutilement je décide de faire un tour à la plage histoire de me vider l'esprit.

À peine trois pas sur cette vaste étendue j'ai crû apperçevoire Rawane qui allait vers le côté opposé. Luttant avec cette masse au trét de crêpe qui englouti chaque pas que je faisais je couru derrière lui.

Je ne savais pas encore que faire ni quoi lui dire une fois devant lui mais il fallait que je l'attrape...

Arrivé à son niveau je lui tapote légèrement l'épaule. J'avais les mains toutes moites appréhendant sa réaction.

- Je suis désolé je vous avez pris pour quelqu'un d'autre, Excusez moi.

- Ah ça ne fait rien mais cet endroit est dangereux pour une femme la nuit.

- Ne vous en faites pas pour moi monsieur encore désolé dis je en m'éloignant de lui.

Qu'est ce qui m'arrive ? Je fais des hallucinations maintenant. J'aurais juré qu'il s'agissait bien de Rawane.

J'étais toujours chamboulé par mon état émotionnel quand des cris parvinrent à mes oreilles. C'est pas pour autant que je me suis intéressé à leur provenance ni leur cause.

Ça devenait plus persistant et moi plus consciente de l'environnement dans lequel je me trouve.

Sans réfléchir je cours vers la direction d'où provenait les cris de détresse que j'attends depuis un moment déjà.

- Au secours....Aidez moi ....À l'aide...s'il vous plaît....non....non...Au secours.

Ce n'étaient plus des cris mais des supplications.

Malgré le sable fin de la plage qui ne facilite nullement le déplacement j'ai pressé le pas.

Je sais que c'est risqué pour moi d'entrer dans les bois sans armes mais il le fallait.

Dans ma course je suis tombé sur un sac à main avant de voir des chaussures l'une à une bonne distance de l'autre. C'était assez alarmant comme situation et je ne pouvais pas retourner à ma voiture prendre mon arme. J'avance encore dans les bois et j'ai pu apperçevoire deux silhouettes.

Il faisait tellement sombre que je ne pouvais distinguée les deux individus. Toute fois je savais qu'il y avait bien une femme où fille et c'est elle qui appelle au secours depuis tout à l'heure.

Quand je fut enfin assez près d'eux mes yeux ont failli sortit de leur orbite.

La claire de lune me permet d'avoir une vision assez clair de la scène horrible qui était en train de se passer sous mes yeux.....deux hommes contre une fille. L'un le traînant par les cheveux l'autre arrachant ses derniers vêtements à savoir son pantalon.

Je devais réfléchir à la meilleure  manière pour les attaquer sans qu'ils puissent s'en prendre d'avantage à elle. Il était impossible de savoir s'ils étaient oui où non armés.

J'ai tenté le tout pour le tout en priant pour que mon plan marche.

- Go....go....go....les mains en l'air, tirez sur tout ce qui bouge  dis je en courant vers eux.

La scène m'aurais fait rire en temps normal mais là il fallait que je rattrape au moins l'un des hommes. De vrai lâche qui ont prit la fuite comme je l'espérais. L'un est partie d'un côté l'autre d'un autre côté manquant de tomber.

Du moment qu'ils sont paniquer j'ai un avantage sur eux parce-que je suis suffisamment tranquille et déterminé à les arrêtés.

J'ai pu choper l'un, je ne me fatigue même pas il va me ramener à l'autre qui s'est échappé.

Je suis aller le menotter à la voiture avant de revenir voir la fille qui est resté sur la place la pauvre. Elle doit être en état de choc .

- Merci Madame je n'ose même pas imaginer ce qui se serait passé si vous n'étiez pas venu à mon secours. Dit elle en ramenant ses mains sur sa poitrine dévoilée par ces barbares.

- Mettez ça sur vous dis je en lui tendant le gilet que j'avais sur moi.

- Merci encore dit elle en fondant en larme.

- Vas y vide ton sac.... mais que faisais tu ici à cette heure, seule en plus ?

Je l'aide à se relever et adopter une meilleure position.

- Je n'étais pas venue seule...

- Comment ça? Donc qu'est-ce qui explique que tu sois là agressé par des malfaiteurs ?

- C'est mon copain et son meilleur ami . Ils ont toujours voulu qu'on fasse un plan à trois. Ils me le faisaient comprendre disant qu'ils ont toujours tout partagé. Je ne les prenais jamais au sérieux croyant que c'était juste un délire entre de bons amis.

- Un délire entre de pires ennemis oui, sachant celà tu aurais dû mettre fin à cette relation.

- Je ne pouvais pas savoir qu'ils mettraient leur souhait à exécution...je n'avais aucun doute quant ils m'ont proposé cette sortie à trois, j'étais loin d'imaginer leur intention.

- Je ne comprends pas pourquoi tu les a suivie jusqu'ici pour seulement une balade la plage est loin derrière nous .

- Ils ont bien caché leur jeu car au début on s'amusait bien, mon copain m'avait même porté sur son dos disant à son ami qu'il savait bien prendre soin d'une fille.

Tellement inconsciente et naïve  ces filles !

- Tu as quel âge au juste ?

- J'ai 17 ans.....

- Comment dis je en la regardant de plus près.

Je ne pouvais pas la croire, comment une jeune fille de 17 ans peut sortir comme ça de chez elle la nuit pour un soit disant rendez vous avec son soit disant copain et son soit disant ami à la plage ?

- Donne moi ta pièce d'identité .

Elle me regarde avec de gros yeux.

- Oui je suis flic.

C'est tout ce qu'elle a besoin de savoir.

- Euh....c'est que j'ai pas encore de pièce d'identité parce-que en réalité il me manque six mois pour avoir dix sept ans.

- En résumé  tu as 16 ans et demi donc ?

- Oui dit elle en baissant la tête.

Je l'ai secouru d'un viol certain mais je me demande si elle ne l'aurais pas cherché. J'ai juste envie de la tabassé en ce moment.

- Vas y lève toi je te ramène chez toi, tu habites où ?

- Ne vous en faites pas je peux rentrer seule, merci encore.

- Ferme là et lève toi je te ramène chez toi un point c'est tout .

J'avais la rage contre elle, une fillette qui sort tout juste de la puberté qui se permet de fréquenter des hommes d'âge mûr.

Elle m'avait donné son adresse et le trajet je fus dans le silence.

Je n'en revenais toujours pas elle habite à l'autre bout de la ville en plus.

Amna fiit dh thi xalé... elle est très audacieuse.

- S'il vous plaît madame est ce que vous pouvez me laisser ici sinon ma mère  risque de me gronder.

- Te gronder uniquement ? Estime toi heureuse aller avance je n'ai pas que ça à faire de ma soirée.

À l'intérieur nous trouvons sa mère en train de suivre la télé.

- Bonsoir dis je .

Elle était tellement concentré qu'elle n'a pas entendu mon salue.

- Bonsoir Madame dis je une deuxième fois.

Elle se retourne et cours vers nous dès qu'elle a vu l'état dans lequel se trouve sa fille.

- Wa Bigué iow fo dioungé nii ? Tu viens d'où comme ça ?

Sa fille ne faisait que pleurer au lieu de lui répondre.

- Madame votre fille est en état de choc , elle s'est fait agressé, discutez calmement avec elle et parlez lui sérieusement. Heureusement que je suis tombé sur la scène mais sachez qu'elle n'aura pas toujours cette chance. J'y vais....

- Ah Neyla je ne t'avais pas reconnu ?

Elle me connait d'où celle là.

- C'est moi Maréme dit elle face à mon incompréhension.

Mais je ne la reconnaissait pas pour autant.

- Je suis la grande soeur de Rawane....

Honte sur moi dire qu'elle fut ma belle sœur. Je ne savais plus où me mettre tellement j'étais gêner.

- Wa ki louko dall sakh foo ko dieulé ? Qu'est ce qui est arrivé à ma fille, où l'as tu trouvé d'ailleurs ?

- Man dh plage la démon nokhantou thi la dégu ay youkhou. J'étais partie me promener à la plage quand j'ai entendu ces cris de détresse.

- Ay man ma warou, Neyla aksil toggal ..je suis sous le choc, Neyla prends place .

Tokk diam ? Prendre place et me ridiculiser d'avantage ?

Jamais !

- Merci mais je dois y aller, n'oublie pas de sensibiliser ta fille. Le monde n'est plus ce qu'il était et nos pays encore plus, le mal peut provenir de partout. Avec les enfants il faut être très vigilante, elle peuvent être inconsciente mais c'est aux parents de les guider vers le droit chemin.

- Iow kay boul wakh dara ndidiayam  langay bolél khamnako bou bakh..Ne t'en fais pas je vais la clamer à son oncle elle le connait bien.

- Essaye de parler  avec elle avant de mère à fille pour voir ce ça donne.

- Je vais suivre ton conseil merci encore Neyla sans ton aide je ne sais pas où ma fille se trouverait actuellement.

- Je n'ai fait que mon devoir alors ne me remercie pas, prenez soin de vous.

Elle a voulu me retenir pour prendre un verre mais j'ai décliné son invitation. Il y'avait une certaine gêne entre nous même elle m'est reconnaissante d'avoir sauver sa fille.

Elle a tenue à m'accompagner dehors.

- Wa kay Maty yamal fii goudi na. Tu peux retourner à la maison il se fait tard.

- Wa ki dou Marème dit une dame qui passait près de nous.

Et moi qui viens de l'appeler Maty au calme.

- Man leu kay, c'est bien moi Bèye.

- Ndoye maly maram Ndoye.

Elle me rappelle mon petit lébou Ndeyssan.

- Wa iow khalé yi nénanma gneuwon ngafa , les enfants m'ont rapportés qui tu été de passage à la maison.

- Waw deugleu sama yay moniwon nala yeungal tak bi . Oui ma mère m'avait demandé de te mettre au courant pour le mariage .

MARIAGE ???

- Ah lolou nékhna , kouy takk sakh?C'est une très bonne nouvelle, qui va se marier ?

- Sama Rak bi...Mon petit frère.

Je ne pouvais plus resté là les écouter, Rawane moy diaam deug....Un vrai traitre.

Freelady 🤫

Merci à tout le monde 🤲 vos messages de soutien et commentaires me vont droit au cour. Love sur vous 😘

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