Chapitre 15
Chapitre avec des parties spicy 🌶🌶
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PDV Kylian – Avril 2022
Ca faisait si longtemps qu'une femme ne m'avait pas mit autant de stress. Avec Amélia c'était tout ou rien. Elle pouvait me repousser au maximum et me faire rentrer dans des colères noires. Mais, c'était également celle qui m'apaisait, pouvait me donner envie de perdre la raison au point de préparer des trucs fou, comme ce soir. Si j'écoutais mon cerveau, alors je ne serais pas là ce soir, je ne lui aurais pas laissé un jeu de clés pour chez moi. Seulement, j'étais là. Devant son immeuble, ne sachant pas si elle allait honoré mon invitation. Est-ce que je lui avait même simplement laisser le choix ?
Cela faisait 15 minutes que je l'attendais et que je guettais mon téléphone comme un ado, ayant son premier rendez-vous. Jamais je n'aurais pensé que ça pouvait de nouveau m'arriver, mais elle était revenu et mes certitudes c'était envolés. Assis à l'arrière de ma voiture aux vitres teintés, je n'avais pas pris la peine de sortir, car les paparazzi ne me lâchaient jamais. Avoir accompli son rêve était tellement plaisant, mais épuisant à la fois. Je devais toujours calculer tout à l'avance, pour éviter les ragots et la mauvaise presse. Je devais préserver ma famille et mes proches de ce que les médias pouvaient inventer. Au début c'était compliqué, je ne comprenais pas pourquoi autant d'engouement autour de ma personne. Puis, avec la coupe du monde qu'on avait remporté en 2018, ça avait atteint son paroxysme. On voulaient me voir partout, savoir ce que je pensais, qui je fréquentais etc. Avec ma mère on avait adopté la politique 0 informations. Hors parler de ma carrière, mes sponsors et l'association que j'ai monté, je ne laissais rien entrevoir de ma vie privée. Par moment, je mettais quelques clichés de famille, ou d'évènement, mais pas de détails. 0 informations.
Malgré tout, il suffisait d'une photo de mes vacances, avec un mannequin ou autre et j'étais en tête des tweet, pour une nouvelle idylle imaginaire. J'avais décidé de laisser couler, je ne les arrêterais jamais. La dernière en date, c'est ma relation avec la petite fille du regretté Johnny Hallyday. Mais cette fois, je devais reconnaitre que les médias n'avait pas totalement tort. On essayais juste de faire connaissance, mais avec le retour d'Amélia, j'avais très vite mit court à tout ça.
Je suis dans mes pensées, lorsque la portière s'ouvre sur elle. Elle entre non sans un sourire timide, celui qui signifie qu'elle est gênée. J'aimais la gêné, je la trouvais tellement irrésistible comme ça. Elle avait mit une superbe robe longue bleu nuit à paillette, aves une paire de talon transparent. La robe moulait son corps de façon à ce que je ne puisse rien deviner. Puis il y avait cette fente, bien trop importante, pour ne pas déjà me donner des envies.
- Tu vas avoir froid sans vestes, ai-je seulement réussi à dire alors que j'aurais aimé lui dire tellement plus.
- Tu ne m'a pas tellement laissé le temps avec tes messages de menace !
Elle met la main dans ses cheveux bouclés pour les mettre vers l'arrière et je ne tiens plus, je détache ma ceinture et dépose ma main sur sa nuque avant de l'embrasser sauvagement. Je sens bien qu'elle est surprise, mais répond tout de même à la ferveur de cette nouvelle étreinte. Dans un geste rapide, je la fais s'installer à califourchon sur moi, tout en continuant de gouter à ses lèvres. Elle met fin à ce baiser et m'observe avec un large sourire.
- On va peut être prendre notre temps non ?
J'opine de la tête et elle se replace sur son siège et j'informe le chauffeur qu'il peut démarrer.
- Alors cette journée M. Mbappé ?
- M. Mbappé c'est mon père ! Ca sera toujours Kylian ou tout ce que tu veux d'autre pour toi.
Je ne la quitte pas des yeux et elle se mordille l'intérieur de la joue avant de sourire à nouveau.
- Ok Kylian, donc cette journée ?
- Top, j'ai dû tourner des pub. C'est pas ce que je préfère mais on s'y fait à force.
- Quel star tu es dis-moi ?
- Star, je ne sais pas.
- Bien sûr que si, ne soit pas modeste. Tu es devenu tout ce que tu espérais. Je dirais même que t'es encore mieux.
Je l'observe et elle semble sincère. Voir l'admiration qu'elle avait toujours eu pour moi, m'avait aidé à me surpasser. Amélia a toujours été aussi importante que le reste des membres de ma famille. Elle faisait partie de cette famille.
- Merci, c'est vrai que je suis plutôt pas mal.
Elle ricanait et encore une fois, mon cœur s'est emballé. Si ça continue, je vais devoir dire adieu à ma carrière, à force de l'éprouver comme ça.
- On parle de moi, mais tu es devenue influenceuse Amélia. Tu es suivi par des milliers de gens.
- C'est possible, dit-elle timidement.
- Possible ? Je te confirme, je regarde ton compte à chaque fois.
- Ah bon ? Dit-elle surprise. Mais t'es pas abonné.
- Non ... j'aimerais mais, tous mes faits et gestes sont surveillés. Si je m'abonne à toi ça se verra crois moi.
- Je comprends. Je commence tout juste à m'habituer aux articles de bloggeur à mon sujet.
- Ça va ? Pas trop dur ?
- Non, c'est petit niveau comparé à toi. T'es tout le temps sur la toile, difficile de passer à côté du joueur le plus adulé.
- Faut pas écouter ce que disent les articles.
- Même pas concernant une certaine Laura ?
Je la fixe et cette jalousie dissimulé, me fait plus plaisir qu'il ne le faudrait.
- Si c'était vrai, ça change quelque chose ?
- Sortir avec une femme et coucher avec moi la veille, c'est peu limite non ? Dit-elle tentant de camoufler son agacement.
- C'est limite, mais c'est pas le cas. Je ne sors pas avec elle. Dis-je pour mettre fin au suspense.
- Jamais ? Ajoute-t-elle.
- T'es jalouse ma parole !
- Q- Quoi ? Dit-elle en bégayant et la voir perdre ses moyens me satisfait amplement. N- Non, bien sûr que non. Tu n'es pas si irrésistible Kylian.
- Tu es sûr ? Dis-je calmement ne quittant pas ses lèvres, que j'ai envie d'embrasser à nouveau.
Elle déglutit et ne répond plus rien en se contentant d'observer la route. Je souris et le reste du trajet se fait dans le silence. Une fois arrivé sur place, deux de mes gardes du corps nous attendent, leur voiture étant arrivé avant. C'est aussi une chose à laquelle j'ai dû m'habituer. Toujours sortir avec une protection humaine. Amélia observe les lieux et se tourne vers moi.
- T'as l'intention de me noyer dans la Seine ?
J'éclate de rire, car elle a toujours une imagination qui dépasse l'entendement.
- Oui, totalement et j'ai mis cette superbe chemise à plusieurs centaine d'euros pour t'étrangler dans l'eau.
- Donc tu comptes m'étrangler ? Dit-elle en faisant mine d'être scandalisé.
- Allez suis moi, au lieu de dire de la merde.
Je lui saisit la main et ce simple geste lui a fait autant d'effet qu'à moi. Je l'ai conduite jusqu'à une péniche où un serveur nous a accueilli et emmené jusqu'au milieu de ce magnifique bar flottant. J'avais choisi le « Off Paris Seine ». Ce bar était somptueux, avec une vue direct sur la scène et une énorme piscine, tout en longueur au milieu.
- C'est magique Kylian ! Dit-elle en me lâchant la main pour se faire sa propre visite.
- Ouais c'est superbe ici.
- Superbe c'est faible, c'est normal qu'il n'y ait personne ?
- Oui j'ai privatisé, après leur service du soir.
Elle ouvre la bouche puis la referme et réitère l'opération sans jamais dire un seul mot.
- T'inquiètes c'est pas grand-chose.
- Pas grand-chose ? Tu déconnes ? Tu as privatisé un bar pour moi !
- Oui, mais ça va, je peux me le permettre. C'est pas comme si je le faisais tous les week-end.
Elle reste silencieuse et s'assoit près de la piscine, retire ses chaussures et laisse ses pieds se balancer dans l'eau qui est recouverte de pétales de rose. Je m'assois à ses côtés et enlèves également les miennes, pour faire de même.
- Les pétales, c'était nécessaire ? Dit-elle en me taquinant.
- Pourquoi, t'aimes pas ?
- Si, c'est juste que je comprend pas pourquoi tout ça, dit-elle en désignant le bar des mains. Tout ça pour moi.
Sa simplicité m'attendrit et je lui caresse la joue, ce qui la fait rougir immédiatement.
- Tu sais, j'étais persuadée qu'on serait encore ensemble aujourd'hui. Je pensais qu'on seraient peut être marié.
Elle me fixe intensément, je n'arrive pas à déchiffrer ce qu'elle pense de ces révélations.
- Kylian ...
- Alors tout ça, c'est quoi pour celle qui aurait dû être ma femme ?
Ses yeux dévorent les miens et avant même que je ne puisse ajouter quoi que ce soit, elle est de nouveau à califourchon sur moi au bord de cette piscine. Elle se penche afin que sa tête soit si près de la mienne, que je peux sentir son souffle sur mes lèvres. Elle m'excite et en même temps me chamboule. Rien ne m'avait jamais autant mit dans cet état.
- Ta femme Kylian ?
- Ca à l'air de te surprendre...
- Oui.. je pensais que ... enfin je me disais que ...
- Que je t'avais oublié, que tu n'avais plus cette place pour moi ?
- Oui, dit-elle en se penchant en arrière les yeux vers au plafond.
Si elle savait à quel point cela m'excitait, elle ne ferait jamais ça. Le fait même qu'elle soit sur moi, juste au-dessus de mon début d'érection était un supplice. Mais là, avoir son corps courbé et totalement à moi me donnait des envies obscènes. Je place mes mains sous ses fesses et la force à de nouveau se coller à moi.
- C'est impossible, dis-je en chuchotant presque. Tu es mon évidence Amélia. Mon irrésistible évidence.
Elle attrapa ma nuque et posa ses lèvres sur les miennes. Elle devait en avoir eu autant envie que moi, mais c'était beaucoup moins sauvage, bien plus doux. Elle prenait son temps et je suivais la cadence de ce baiser aussi sensuel que rempli d'émotions, qui traversait tout mon corps. Je tenais tant bien que mal sur mes mains, pour ne pas me retrouver au sol, mais elle n'avait qu'un seul but : Me faire flancher.
- Hum, vos coupes..
On relève la tête et le serveur se tient là, aussi rouge qu'une pivoine. Je le calcule que 2 secondes et reviens poser mes yeux sur Amélia, qui sourit et se relève. Elle remercie ce pauvre garçon et prend les deux coupes. Je me relève tant bien que mal et prend le verre qu'elle me tend.
- On trinque à quoi du coup ? Demande-t-elle
- Au futur.
- C'est tout ?
- Au futur que tu auras avec moi, que tu le veuilles ou non. Tu préfères ?
Elle fait la moue et se contente de trinquer et de boire son champagne. La musique fini par retentir et le son « might let you » débute. Amélia boit et se déhanche autour de la piscine. Je l'observe avec minutie, j'essaie de la rejoindre, mais elle s'évertue à mettre de la distance. Elle ne sait pas qu'à ce jeu, c'est elle qui perdra...
PDV Amélia
Cette chanson était vraiment une de mes préférés J'aurais pu croire à une coïncidence, mais ce n'était pas possible. Depuis le moment où j'étais monté dans cette voiture, tout était si parfait. Ce moment avec lui n'aurait pas pu plus me ravir. J'avais bu ma coupe de champagne à la vitesse de l'éclair et déjà le serveur venait m'en proposer une autre. Je la prenais sans trop me faire prier, adorant la sensation de ses petites bulles sur mon palet. Puis je m'asseyais sur l'une des chaises hautes de ce bar splendide. Kylian est apparu devant moi, comme si le fait d'être trop éloigné, était devenu insoutenable. Il fit un bref signe de la main et en regardant derrière moi le serveur s'en alla. Mon tabouret se tourna pour être face à lui et a il écarta mes deux jambes afin de s'y placer au milieu. Tout à l'heure il était à ma merci, cette fois, il décide clairement de prendre sa revanche. Il commence par m'embrasser tout en remontant légèrement le tissu de ma robe. Mes mains encerclent son visage afin de mieux savourer ce baiser. Puis sans que je ne m'y attendes, ses doigts se sont retrouvé à caresser mon intimité encore protégé par ma culotte en dentelle rouge. Il s'attelait à me rendre barge. Ses baisers se sont déportés pour continuer dans mon cou et je resserrais mon étreinte pour ne pas tomber de la chaise haute.
- Kylian...
- Chut, laisse-moi faire.
Je déglutissais ne sachant pas si j'avais encore la force d'aligner plus de mots. Délicatement, il mit ses deux mains sur mes hanches et fit glisser ma culotte le long de mes jambes tout en s'écartant. Une fois qu'il l'eu en main, il l'a rangea dans sa poche.
- Pas certaine que ce soit ta taille, ni ton style.
Il eut ce petit sourire en coin provocateur et des frissons me parcouraient l'échine. Sa démarche était tellement sensuel, que ma respiration se figea net, et mon regard ne parvenait pas à se détacher de lui. Puis la chanson « Sophie » de Matt Houston passait, je souriais.
- Non mais t'as choisi la playlist non ?
- C'est possible...
- Parfaite jusqu'au bout, cette petite surprise.
- Tu me diras ça quand ça sera fini, la surprise n'est pas complète.
- Ah et il manque quoi ? Demandais-je à bout de souffle alors qu'il était de nouveau entre mes jambes.
Il poussa la chaise haute à force de ses jambes et mon dos se retrouva collé au bar.
- Cette robe Amélia ...
Je l'observais, lui aussi tentant de se maitriser et ça m'excitait d'autant plus.
- Je sais que tu aimes le rouge, mais comme avec Paris c'est plutôt un bleu nuit...
Il se contenta pour simple réponse d'embrasser ma poitrine, dont le décolleté ne laissait peut de place aux doutes. Puis en se redressant, il plongea ses yeux dans les miens et le monde autour avait totalement disparu. Nous étions seuls dans notre bulle encore une fois. Sa main passa derrière moi pour qu'il puisse se tenir.
- T'as plus jamais intérêt à la mettre en public !
- Q- Quoi ? Mais qu'est-ce que ...
Avant même que je ne termine ma phrase, déjà hésitante, il faisait pénétrer un doigt en moi et un bruit sourd m'échappa. Il plaqua sa bouche contre la mienne et je perdais l'équilibre, saisi par des milliers de décharges électriques de plaisir. Heureusement que ce bar était là pour soutenir mon poids. Il faisait des va et viens si lent, j'en voulais plus et plus vite. C'était de la torture. Il ne quitta pas mon visage de ses yeux, comme savourant mes différentes expressions, ce qui augmenta ma gêne ou mon plaisir, je ne savais plus. Alors que le plaisir était plus intense, il retira son doigt qui était en moi, s'écarta et saisi ma culotte dans sa poche pour s'essuyer. Je le scrutait, abasourdie qu'il ait pu me stopper net, sans avertir.
Il avait le culot de rire en plus de cela et je repris mes esprits, sautant de cette chaise, prête à partir. Après quelques pas, il me devança.
- Tu vas où ?
- Loin de toi, y a rien de raisonnable à ce qu'on fait et encore moins si c'est pour ça.
Il me scruta et ne se départissait pas de ce sourire sûr de lui, que je voulais lui faire ravaler, autant que je voulais embrasser ces lèvres.
- Tu vas me noyer dans la piscine maintenant ?
- Arrêtes tes bêtises. Je t'ai juste donné un avant-goût de ce que tu peux avoir.
Toutes les sensations que je pouvais éprouver sous mon bas ventre était clairement interdite.
- Un avant-gout de quoi ?
- Tu n'as pas une petite idée, dit-il en me prenant par taille.
- Peut être...
Il souriait de toutes ses dents, qui m'avait déjà fait fondre il y a des années. Puis il regarda la piscine et me regarda à nouveau.
- Non, c'est hors de question. Cette robe coûte un bras et mes cheveux vont gonfler et ...
Je n'eu pas le temps d'évoquer la suite, qu'il nous jeta tous les deux dans cette piscine rempli de pétale. En revenant à la surface, je mis des coups sur son torse, qu'il ne devait quasiment pas sentir.
- Mes cheveux ! Dis-je en hurlant et il était mort de rire.
Difficile de rester en colère, quand il était si joyeux. Je me retenais de rire avec lui juste par respect pour ma chevelure.
- Ils vont s'en remettre, allez souri petit cœur.
A l'évocation de ce petit nom, qui avait été le mien autrefois, je me figeais. Il remarqua aussitôt ce changement et se rapprocha de moi et dégagea les mèches mouillés qui étaient sur mon visage.
- Ça te gêne que je t'appelles comme ça ?
- Oui ... enfin non, c'est ce que j'ai été pour toi.
Il marque un petit moment de silence avant d'ajouter :
- Peut être que c'est ce que tu es encore.
Mon cœur qui frôlait déjà l'aérobie, s'emballa au moment où il m'embrassa. Puis on sorti de l'eau et il me dirigea vers des chambres. De toutes évidence, il y avait également un hôtel par ici. Nous étions recouverts de nos serviettes car, même s'il ne devait pas y avoir grand monde dans le hall, il ne souhaitait pas être reconnu, ni pris en photo, ce que je comprenais. Une fois dans la chambre, je pris ma douche et il n'hésita pas longtemps à m'y rejoindre. Il me fit l'amour sous les jets d'eau et c'était encore plus bon que le veille. En ressortant, il y avait de la buée dans toute la chambre. Il me porta comme une princesse après avoir mis mon peignoir, avant de me déposer sur le lit. Il s'allongea à mes côtés et me dit :
- Je veux qu'on le fasse Amélia.
- Laisse moi me remettre de la douche déjà.
- Non, dit-il en rigolant.
- Si, il faut que tu me laisses ...
- Non, je te parle pas de coucher ensemble mais de se remettre ensemble.
- Oh ...
Mes angoisses n'étant jamais bien loin, je me sentais prise de panique et il semblait comprendre quand cela se produisait car il ajouta :
- A notre rythme, ne disons pas qu'on s'est remis ensemble, mais qu'on se voit régulièrement déjà.
- Tu parles d'un rythme, c'est la deuxième nuit que je vais passer avec toi et pas que pour dormir Kylian.
- Je te confirme que tu vas pas dormir de suite, dit-il de façon espiègle.
- Eh ! Dis-je en lui balançant un coussin sur la tête.
- Je suis sérieux Lia, t'en dis quoi ?
Je l'observais lui et sa belle mâchoire carré, ses yeux marrons et ce corps de Dieu grec. Rien que pour ces choses, j'aurais pu dire oui. Mais je pensais aussi au mal que l'on s'était fait, et à tous mes secrets ...
- On est pas en couple si c'est ce qui te fait peur et...
- C'est ok, dis-je sans réfléchir davantage.
Son sourire s'était élargi et son visage s'illuminait de mille feux.
- Ok, fêtons ça !
- Fêter quoi ? Dis-je en rigolant.
- Cette fois, tu es à moi et j'ai bien l'intention de te garder.
Tout en moi se remplissait d'une chaleur réconfortante et je n'avais pas le temps de m'émouvoir, qu'il se mit au-dessus moi.
- Maintenant laisse moi te montrer ce dont tu vas avoir droit.
Je souriais, le désir étant déjà en train de remonter en flèche. Il pouvait bien faire ce qu'il voulait de moi, j'étais toute à lui, je l'avais toujours été....
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