*Même le poisson qui vit dans l'eau a toujours soif.*

PDV de L'auteur:

Imam: le mariage n'est pas en Islam un sacrement mais un contrat verbal (pouvant également être écrit) c'est entre deux personnes qui déclare vouloir vivre ensemble. ce contrat est ton type ou pas particulier car ils prennent à la fondation d'une famille. En Islam, c'est le mariage qui autorise les relations intimes. en fait il constitue une responsabilisation de l'homme car il ne se limite pas au plaisir donc en juin pendant un moment ou lors d'une soirée sans lendemain. il engendre, avant même de permettre la jouissance, une série de droits et de devoirs. c'est de voir ce qui pourrait épouser, se doit de les connaître.

-Avoir de l'amour pour l'autre :
Dieu, dans le Coran, dit : "Et parmi Ses signes figure le fait qu'Il a créé pour vous, de vous-mêmes, des épouses afin que vous éprouviez le repos auprès d'elles et qu'Il a mis entre vous amour et miséricorde" (Coran 30/21).
L'amour est parfois présent dès le début du mariage (parfois même avant), et parfois ne l'est pas dès le début. Mais en tous les cas il faut l'entretenir et le développer par tous les moyens qui entrent dans le cadre éthique de l'islam : des sourires, des petits cadeaux, un petit tour entre amoureux de temps à autre…

-Avoir de la bonté pour l'autre :
Avoir de la bonté pour son conjoint, c'est avoir de la miséricorde pour lui, s'occuper de son bien-être, partager ses peines et ses joies, en un mot : vivre ensemble, à deux.
Le Prophète n'était-il pas venu ainsi se réfugier auprès de son épouse Khadîdja lorsqu'il avait été effrayé par la première manifestation de l'ange ? Et Khadidja n'avait-elle pas pris le temps de le réconforter par des paroles apaisantes, puis de l'emmener plus tard auprès de son cousin Waraqa ? (rapporté par al-Bukhârî).

-S'embellir pour l'autre (autant que possible) :
Ibn Abbâs disait : "J'aime m'embellir pour ma femme comme j'aime qu'elle s'embellisse pour moi…" (rapporté par at-Tabarî).

- Vivre ensemble sa sexualité :
Cela est un devoir qui incombe à tous deux, et non pas seulement à la femme. Les Hadîths sont dans les deux sens (notamment celui de Ibn Amr, auquel le Prophète, énumérant les devoirs qu'il avait et lui demandant de ne pas exagérer : "… et ta femme a des droits sur toi…", rapporté par al-Bukhârî). D'après Ibn Taymiyya, en susbtance : "La femme a le droit à une sexualité épanouie, selon ce qu'elle désire" 

- Avoir une juste confiance en l'autre :
C'est un devoir que de rester fidèle à l'autre (en ne tombant pas dans la fornication - az-zinâ), et l'autre est naturellement porté à exprimer son attention sur ce fait. Un équilibre se crée ainsi qui conduit chacun des partenaires à contribuer à la fidélité de l'autre. Mais l'attention que l'on porte à l'autre ne doit pas être étouffante au point qu'il y ait des suspicions inutiles ou qu'il y ait un climat de manque de confiance. C'est une juste confiance qui doit régner. Le Prophète a dit : "Il y a une jalousie (ghayra) que Dieu aime et une jalousie qu'Il n'aime pas. La jalousie que Dieu aime est celle qui apparaît au moment d'un problème réel (rîba). Et la jalousie que Dieu n'aime pas est celle qui existe alors qu'il n'y a pas de problème (rîbah)" (rapporté par Abû Dâoûd).

-D'autres devoirs existent qui son spécifiques au mari ou à l'épouse :

-Le mari a le devoir d'assumer sa responsabilité de chef de famille :
Dieu dit dans le Coran : "Les hommes sont qawwâm sur les femmes…" (Coran 4/34). Le mot "qawwâm" désigne ici la fonction de chef de famille (wallâhu a'lam).

-Le mari doit subvenir aux besoins de son épouse (comme à ceux de ses enfants) :
Le Prophète a dit : "… Et vos femmes ont le droit d'être nourries et habillées selon la bienséance" (rapporté par Muslim).

-L'épouse a le devoir d'assumer sa responsabilité à propos de la bonne marche du foyer :
Le Prophète (sur lui la paix) a dit : "Et la femme est une bergère à propos de la maison de son mari et des enfants, et sera questionnée à ce sujet"(rapporté par al-Bukhârî et Muslim).

-L'épouse a le devoir d'assumer sa responsabilité en matière d'éducation des enfants :
Le Prophète (sur lui la paix) a dit : "Et la femme est une bergère à propos de la maison de son mari et des enfants, et sera questionnée à ce sujet"(rapporté par al-Bukhârî et Muslim).

Pour ces 4 devoirs spécifiques, il y a cependant des nuances des deux côtés :

-Chef de famille n'est pas dictateur : le mari doit consulter (shûrâ) son épouse :
Le Prophète ayant demandé à un ansarite la main de sa fille pour un de ses Compagnons nommé Julaybîb, cet ansarite lui dit : "Je consulte au préalable sa mère." "Eh bien d'accord",lui dit le Prophète (rapporté par Ibn Hibbân). De même, des Hadîths montrent le Prophète recueillir le conseil de son épouse Khadîdja après la première révélation, celui de Umm Salama à Hudaybiyya, etc.
En fait chacun des conjoints devrait consulter l'autre autant que possible, le mari ayant ensuite la décision finale à prendre pour ce qui concerne les affaires de la famille.

-Le mari porte seul la responsabilité de nourrir la famille, mais si son épouse veut l'aider sur ce plan elle a la possibilité de le faire :
En effet, rien ne le lui interdit, même si rien ne l'y oblige non plus. Zaynab, épouse de Ibn Mas'ûd, avait ainsi décidé d'aider son mari qui était plus pauvre qu'elle (rapporté par al-Bukhârî).

-Le mari doit aider son épouse dans les affaires du ménage (d'après certains savants, s'il en a les moyens, il doit employer une femme de ménage, par exemple) :
Le Prophète était, chez lui, au service de sa famille, raconte son épouse Aïcha. Puis, lorsque venait l'heure de la prière, il sortait accomplir celle-ci (rapporté par al-Bukhârî). Jâbir ibn Abdillâh, ayant invité le Prophète à manger chez lui, aida sa femme à préparer le repas (rapporté par al-Bukhârî).

-L'épouse doit éduquer les enfants mais n'est pas seule : le mari doit l'y aider :
Le Prophète avait ainsi enseigné à Omar ibn Abî Salama, fils de son épouse Umm Salama, les règles d'usage à observer lors des repas (rapporté par al-Bukhârî).

Tous ces devoirs sont extraits du livre Tahrîr ul-mar'a fî 'asr ir-rissâlah(L'émancipation de la femme à l'époque de la révélation). Qu'Allah le tout puissant vous aide.

Après les rappels du Imam, il formula quelques prières pour leur couple et les souhaite un heureux ménage et de vivre dans l'harmonie et sous la protection d'Allah.

Ceci fait, Père Malick ordonna aux tantes paternelle d'emmener Larissa dans son nouveau domicile car il faisait tard.

La séparation était riche en émotions surtout pour Larissa qui n'arrêtait pas de pleurer car elle va pour l'éternité quitter sa famille pour une autre.

Quitter les gens qu'elle aime, quitter ce qu'ils l'ont soutenu pendant les moments les plus sombres de sa vie.

Pour Maman Waliya aussi d'une part elle ne voulait pas que la mariée l'a quitte mais c'est le destin de toutes les filles.

Après avoir pleurer un bon moment elles se séparent inopinément, Bachir s'était porter volontaire pour les conduire chez son ami.

La route était animé par les accompagnants qui chantaient et criaient alors que Larissa souffrait du chaleur à cause du pagne qui était sur sa tête mais ils sont arrivé plus tôt que prévu car on voyait peu de voiture ce qui a facilité la venue.

Arrivée au lieu prévu la voiture commença à klaxonner ce qui alerta les voisins en signe que la nouvelle mariée est là.

Du tac au tac la quartier était bondé personne, tout le monde voulait savoir comment est la femme de la Rassoul, si elle est belle ou pas?

La curiosité avait retrouvé sa définition, pour ne pas plus perdre de temps la nouvelle mariée sort du voiture pour entrer dans son nouveau chez elle toujours avec la tête couverte aidé par Kira et ses tantes.

Elle marchait doucement en allant vers la porte de la maison mais une fois au seuil ses pensées se dirigèrent vers le jour où elle avait subi le plus grand humiliation de sa vie.

Est-ce que je vais vivre la même chose ici? Qu'est-ce qui m'attend dans cette maison? Le changement de la maman de Rassoul est-elle vrai?

Ce sont ces questions qui lui faisait des tours mais aucun ménage n'est facile et nul ne sera pas épargné car la vie est ainsi faite, s'est-elle dit.

Elle fut chaleureusement accueilli par sa belle-mère et Mayna ce qui l'a redonna un sourire, après les rituels et autres on l'ammena dans la chambre de son mari à son plus grand plaisir car elle commençait à être fatigué en plus la pagne ne facilitait rien.

Elle était dans la chambre avec ses tantes et amis quand soudain la porte s'ouvre laissant apparaître Rassoul dans un Jellaba Blanc avec le sourire aux lèvres, qui s'en prêter attention aux gens se dirige vers sa femme.

Une fois près d'elle, il enleva un peu la pagne et captura ses lèvres sans se soucier des autres, en mettant une bonne ambiance.

Leïla: Hey mec un peu de retenu, on sait tous que c'est ta femme mais faites tout doucement en plus vous avez la nuit pour ça, tchipppp.

Rassoul: Heureusement que tu as bien dit "ma femme" donc j'en fais tout ce que je veux ok, célibataire que tu es.

Leïla: Mon œil wesh, je vais faire comme si je ne t'avais pas entendu.

Kira: Moi je suis d'accord avec Rassoul.

Rassoul: Heureusement que tu es juste toi, elle tape là.

Leïla: Toi tu ne me plaît pas tchip, fit-elle en riant.

C'est dans cette bonne ambiance qu'ils ont rester pendant quelques minutes mais ils fûrent stoppé par les dames qui ont amené le plat de  "Lakh" (bouillie de mil que doivent manger le couple ensemble).

En ce moment l'ambiance s'est multiplié par le public qui voulait savoir qui des deux allaient tâcher l'autre en premier mais après quatre cuillères Larissa renverse le calebasse sur son mari ce qui créa des cris de la part des filles en guise de victoire pour Larissa.

Quelques minutes après les autres décidèrent de rentrer et laisser les deux tourtereaux ensemble, après leur départ le couple ont fait leur ablution ensemble pour prier les deux ra'akas et demander à Allah de les protéger contre Satan et plus les unir.

Après ceci ils se sont mises à discuter de tout et de rien, soudain l'homme dit à sa femme.

Rassoul: Est-ce que tu es prête Habibati?

Larissa: Plus prête comme moi tu meurs, je suis une DIOP tmt.

Rassoul: J'ai l'impression que tu n'as pas peur toi ou je me trompe, fit-il pervers.

Larissa: Je n'ai jamais eu peur moi, fit-elle en s'approchant de son homme.

Aussitôt il se met à l'embrasser pendant quelques minutes puis la femme s'est mis à le caresser travers son caleçon, et son mari commença à la déshabiller.

Demi nu et allongé sur le lit en le dévisageant du regard totalement attentionné à son égard, il se penche vers elle totalement amoureux, il pose ses douce mains sur son corps et se met à la caresser, il sent que cela commence à l'exciter.

Sur sa poitrine il y dépose mille et une baisers envie encore d'aller très loin, titillant son torse avec sa langue délicate, lui mordillant doucement les tétons d'une façon adéquate.

Sur ses fesses il lui fais des caresses généreuse en faisant glisser sa main sur ses jambes.

Il se mord la lèvre inférieure, lui caressant le long de ses cuisses tendrement.

Son mari met sa langue entre ses jambes doucement, soudain Larissa se sent envahi d'une douce sensation chatouilleuse.

Son sexe plein de désir accompagné de la caresse faite son frein avec son index, elle écarte les jambes de sa femme et la pénétra brutalement contre toute attente.

Ce qui invita Larissa à crier de douleur en sortant du sang.

Après quelques minutes dans un monde où ils étaient les seuls à y vivre l'homme se penche sur sa femme et lui dis.

Rassoul: Je suis l'homme le plus heureux et comblé du moment mais surtout d'avoir une perle rare comme toi à mes côtés. Merci de m'avoir donné ce que tu avais le plus cher mais sache que je ne vais jamais prendre le risque de te décevoir, je t'aime Larissa Narcisse Diop.

Larissa: Je t'aime plus mon Habibi.

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Docteur: Mademoiselle Narciso tu m'entends?

Larissa: .........................

Docteur: Mademoiselle tu m'entends?

Larissa: Oui oui je t'entends, arrive-t-elle à dire en essayant de se lever.

Docteur: Al-hamdoulilah tu n'as pas mal j'espère?

Larissa: Non je vais bien, où est mon mari?

Docteur: Mari? Ce sont tes parents qui t'ont amené ici.

Larissa: Qu'est-ce qui s'est passé?

Docteur: Nous étions dans mon bureau moi et tes parents mais soudain tu t'es évanoui lorsque je t'ai annoncé que tu es enceinte de deux semaines.

Larissa: Quoi, je suis enceinte? Donc le mariage n'était qu'un rêve.

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Voici la partie 30.

J'espère que vous êtes contents.

Je vous donne rendez-vous pour les restes avant la fin.

Le rêve, on en parle ?

Accrochez-vous, il ne reste qu'un chapitre.

@Amethe1998✍️
Samedi 06 Avril 2019.
14h 45mins.
2240 Mots.