*Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal; c’est le courage de continuer qui compte.*

PDV de Rashid:

C'est quoi cet rêve encore?

On dirait réalité tellement que ça m'a pris de haut.

Pas vous?

Moi Rashid Narciso, le fils de Larissa Narciso me suicider?

Qu'Allah SWT m'en préserve.

Depuis que je connais Junior c'est la première fois qu'il a fait quelque chose de bon en me réveillant, je ne veux même pas imaginer comment ma mère ferait après.

Hier avant de dormir j'étais trop fatigué c'est pourquoi que j'avais même oublié de formuler quelques prières.

Et si ça se passait comme dans mon rêve et qu'un jour Rassoul découvre tout?

Bref, plus d'attention il faut que je le fasse.

On dirait un film ma vie.

En regardant l'heure sur la montre accroché au mur j'ai remarqué qu'il est huit heures moins quarante huit.

J'ai autant dormi donc? Alors que d'habitude je me lève à cinq heures du matin.

Ça sent une mauvaise journée là.

Précipitamment je me suis dirigé dans la salle de bain pour me doucher, à l'instant si je ne fais vite je serai en retard.

J'en suis sûr que la famille est entrain de prendre le petit déjeuner sans moi, oh non.

Aller au boulot sans les délices de Maman Waliya, oh non.

Après une trentaine de minutes j'étais déjà en route pour direction à l'entreprise.

Une fois au bureau à part Zouleykha beaucoup de personnes n'étaient pas encore venu dans mon département.

Voyant que j'étais un peu de mauvaise humeur, elle m'a amenée une tasse de café dans mon bureau.

Une tasse de café matinale, hum c'est comme paradis sur terre.

Zouleykha: Voici du café pour monsieur l'américain, fit-elle en entrant dans mon bureau après avoir toqué.

Moi: Tu ne sais même pas la bonne chose que tu viens de faire madame la voilée, l'a tacquinais-je.

Zouleykha: La gentillesse d'une femme africaine surtout sénégalaise tu connais? me sourit-elle. C'est demoiselle pour l'instant, ne me fait pas vieillir.

Moi: On dirait pas de modestie en vous, la gentillesse j'ai les preuves vraiment. Et qu'est-ce que tu attends pour devenir madame?

Zouleykha: Rien, j'attends pas grand chose.

Moi: Qu'est-ce que tu n'as pas donc?

Zouleykha: J'ai tout ce qu'il me faut sauf le futur mari, tu vois. rit-elle en montrant sa belle denture.

Moi: Tu l'auras bientôt juste plus de patience ça viendra.

Zouleykha: Inch'Allahou rabbih, je ne désespère pas. Bon, je vous laisse travailler, à tout à l'heure, dit-elle en se levant.

Moi: Oui et merci pour le café Mademoiselle Kounté.

Zouleykha: Combien de fois devrais-je vous dire que ce n'est pas Mademoiselle Kounté mais plutôt Mademoiselle Konté, dit-elle en souriant.

Moi: Pardon encore, fis-je en rigolant.

Aussitôt je me suis mis au boulot, j'avais des tas de choses à faire pour la journée.

Après le licenciement des employés qui ne faisaient que remplir l'entreprise il fallait que je recrute d'autres à leur place.

Ne rien foutre et beaucoup gagné c'est du vol ça, chose que je ne vais pas accepter à ma présence.

Beaucoup de choses à refaire dans cette entreprise, à la fin c'est fatiguant.

Hâte de rentrer chez moi.

J'étais trop concentré sur ce que je faisais que je n'avais même pas vu l'heure filé.

Il était l'heure du pause passé de cinq minutes quand je sortais de mon bureau pour aller à ma rencontre avec Kabir le propriétaire de l'hôtel où j'avais logé.

Même si ce n'est qu'une fois qu'on s'est vu, occupés à cause du boulot on s'appelle souvent.

Sa maman a eu récemment une nouvelle arrivage des tenues traditionnelles et il faut que j'en profite.

Actuellement il m'attend à la boutique de sa daronne, j'ai déjà eu l'adresse.

Ça ne sera difficile de m'y conduire vu que c'est pas loin.

Après quelques minutes de trajet je l'ai trouvé au lieu prévu, au pas de la porte du shop de sa mère.

Kabir: Hey mon américain, pas de problème en venant?

Moi: Non pas du tout, je n'ai suivi que les instructions comme tu me l'avais expliqué.

Kabir: En plus d'être américain tu es intelligent mec.

Moi: Arrête de te moquer toi, je ne suis pas du tout un américain c'est juste que j'ai leurs nationalité de plus je vis là-bas.

Kabir: On ne dirait pas en voyant la couleur de ta peau.

Moi: Oui c'est normal ayant une mère métisse, tu vois?

Kabir: Oui je vois, allez ne reste pas là entre, dit-il en ouvrant la porte et entré dans la boutique.

Moi: Merci, répondis-je en entrant.

Comme dit il m'a invité à entrer dans la boutique mais j'étais bouche-bée une fois à l'intérieur.

Il y'avait que de belles tenues et la plupart était à mon goût, je me ferai pas mal de plaisir.

Pourquoi ne pas même en acheter quelques pour Junior, Bryan, Abdel et Miguel vu que c'est classique et civilisé.

En tout cas ce que je vois me plaît bien et je risque de vider la boutique.

Au fond j'y vois une femme entrain de discuter avec des clients et j'en déduis que c'est la mère de Kabir vu la façon dont ils se ressemblent.

On dirait presque l'âge de ma mère car elle n'est pas vieille et je l'ai trouvé belle et souriante.

Lorsqu'elle nous a vu, sitôt, elle s'est dirigée vers nous, très eurythmique.

Kabir: Ma maman adorée, dit-il en lui faisant la bise.

Fatou Maodo: Parceque t'en as d'autres? fit-elle en faisant mine de bouder ce qui a eu le don de m'arracher un sourire.

Kabir: Oh ne te fâche pas, j'en ai qu'une seule.

Fatou Maodo: Que ça soit clair, sourit-elle.

Kabir: Bon je te présente mon nouveau ami Kevin, un amoureux de tes ténues. Et toi Kevin, elle c'est ma mère.

Moi: Bonjour Madame, dis-je en lui tendant la main.

Fatou Maodo: Quoi? Tu ne me fait pas de bise, je suis ta mère non?

Moi: Ah bien-sûr, fis-je en lui faisant la bise. Ravi de faire ta connaissance, c'est un plaisir de te rencontrer.

Fatou Maodo: De même filston, j'espére que tu vas bien?

Moi: Oui je vais bien al-hamdoulillah.

Kabir: Bon il voulait profiter du nouvelle arrivage.

Fatou Maodo: Il n'y a pas de problème, suis moi.

Kabir: Ok je vous laisse choisir le temps que j'appelle Momo et Ameth pour voir s'ils vont venir ou pas?

Aussitôt dit, aussitôt nous nous sommes mis à choisir quelques modèles, j'avais même l'embarras du choix.

C'était simple mais jolie, de plus pas trop chère.

À la fin j'en avais choisi plus de vingt tenues, mes cousins en seront contents, ça c'est sûr.

La mère de Kabir m'a même offert deux tenues comme cadeau.

Au moment où j'étais à la caisse pour payer, deux hommes de ma génération ont fit leur apparition et vu la façon dont ils se sont salué avec Kabir j'en déduis que se sont ses meilleurs amis dont il me disait.

Après ceci je les vois venir vers moi, sûrement pour me les présenter.

Kabir: Hey mec t'as déjà fini?

Moi: Oui j'étais juste entrain de payer.

Kabir: Tu as aimé ce que tu as choisi j'espére?

Moi: Plus que aimé même vraiment, il faut que j'y passe plus souvent.

Kabir: Il n'y a pas de problème et surtout c'est chez toi. Bon je te présente mes meilleurs potes depuis l'enfance Momo et Ameth, dit-il en les désignant. Et vous voici Kevin un ami.

Moi: Salut les gars, ravi de faire votre connaissance.

Momo: Salut Kevin ravi aussi d'avoir fait ta connaissance, c'est un plaisir.

Ameth: J'espére que tout va bien, et Sénégal tu trouves comment?

Moi: Pas mal je dirais, trop cool votre pays j'aime en tout cas.

Ameth: Tu as déjà visité le pays j'espére? Comme l'île de Gorée, le monument de la renaissance et autres?

Moi: Malheureusement pas encore je vois ces lieux juste à la télé.

Momo: On fixera une date et on te fera visiter le pays, t'inquiètes pas tu verras par toi même. Le Sénégal et sa beauté légendaire.

Moi: Cette idée ne me déplaît pas en tout cas, je veux même acheté une maison içi.

Kabir: Ah ça fait l'occasion, l'autre jour je t'avais dit que j'avais un ami architecte et qu'il pourrait t'aider à construire une maison.

Moi: Oui tu as raison je me rappelle.

Kabir: Le voici, dit-il en désignant Ameth. Il pourrait t'aider.

Moi: Tu sais ce qu'on va faire, je vais prendre tes contacts et là on aura le temps de plus en parler.

Ameth: Il n'y a pas de problème, ce serait un réel plaisir de t'aider.

Kabir: Mon ami aussi dont je t'avais dit qu'il gère une grande entreprise d'Import & Export c'est Momo, si tu as quelques choses par rapport à ça il pourrait t'aider.

Moi: Merci à vous les gars c'est gentil de votre part. Je peux vous faire confiance?

Momo: Bien-sûr, tu peux nous faire confiance à tous.

Ameth: On était le trio infernal mais comme qu'il y'a un nouveau on sera le quatuor infernal.

Avec eux je me sentais déjà à l'aise alors qu'on vient tout juste de se rencontrer mais on dirait des lustres vu notre complicité soudain.

Le Téranga sénégalais j'en ai la preuve.

Nous avons échangé de contact avant de se quitter tout à l'heure.

Ils étaient aussi venu pour acheter quelques tenues comme moi mais après cela nous sommes allés manger un morceau ensemble.

J'ai pu savoir quelque chose d'eux mais moi j'avais tenu à ne rien dire pour l'instant.

Bref en ce moment je suis dans ma voiture pour retourner à l'entreprise, vu que l'heure du pause tire à sa fin.

Kabir et ses amis, sont retournés à leurs travaux, ayant des responsabilités à gérer.

Ce que j'ai choisi sont dans la voiture, une fois à la maison je donnerai à Junior et Bryan ce que je leurs ai acheté et pour Abdel il viendra le récupérer.

Pour Miguel je vais le lui envoyer, et je sais qu'il aimera, connaissant son style.

Arrivé à l'entreprise avant de sortir de ma voiture, j'ai pensé appeller ma mère par rapport au détective qu'elle avait engagé.

Sitôt j'ai pris mon téléphone et composé son numéro, il fait qu'elle m'éclaircisse.

Après trois sonneries elle a décroché.

Moi: Hi mom how are you going?
(Salut Maman comment ça va?)

Larissa: Oh m'y son i'm good al-hamdoulillah and you?
(Oh mon fils je vais bien al-hamdoulillah et toi?)

Moi: I do not complain al-hamdoulillah too.
(Je ne me plains pas al-hamdoulillah aussi.)

Larissa: Hey but what is not going today I feel you a little cold there, lou xéiw.
(Mais qu'est-ce qui ne va pas aujourd'hui je te sens un peu froid là.)

Moi: Everything is fine. Tell me why you had a private detective to follow me in the morning at night?
(Tout va bien. Dis moi pourquoi tu avais engagé un détective privé pour me suivre du matin au soir?)

Larissa: How do you know this?
(Comment sais-tu cela?)

Moi: Mom you think you talk to a child? I didn't expect that coming from you.
(Maman tu penses que tu parles à un enfant? Je ne m'attendais pas à ça venant de toi)

Larissa: I was desperate and I did not know what to do and how to react. You even know that my dreams are always realizing and the other day I had dreamed of you and it was strange, that was what scared me.
(J'étais désespérée et je ne savais plus quoi faire et comment réagir. Toi même tu sais que mes rêves se réalisent toujours et l'autre jour j'avais rêvé de toi et c'était étrange, c'est ce qui m'avait effrayée.)

Moi: I know but I said you do not worry because I'm fine.
(Je sais mais je t'avais dit de ne pas t'inquiéter car je vais bien.)

Larissa: A mom always stays a mom, be cautious my prince.
(Une maman reste toujours une maman, soit prudent mon prince.)

Moi: Ok bye be cautious too, love you.
(Oui soit prudente aussi, je t'aime.)

Larissa: I love you much, have a nice day.
(Je t'aime plus, passe une belle journée.)

Moi: Thanks bye.

Tout ce que je ne peux pas sur terre est être en colère contre ma chère mère, je l'aime tellement.

Elle me manque autant que Houston me manque, tout me manque même mon bureau.

Je ne veux pas qu'elle s'inquiète plus pour rien, j'en suis sûr que c'est son rêve qu'il lui fait flippé mais rien de tout ça ne m'arrivera inch'Allah.

Comme que j'ai terminé ce que je faisais je suis sorti de ma voiture et me diriger à l'intérieur pour joindre mon bureau.

J'étais dans l'ascenseur et au moment où il se fermait une belle dame est venue pour entrer aussi.

Au début elle me regardait et je pensais que c'était normal car c'est la première qu'on se voit mais à la fin j'avais l'impression qu'elle me dévorait des yeux sans me le cacher.

Elle avait les yeux fixés sur moi comme si j'étais un extra-terrestre, j'en étais même gêné à la fin.

C'est quoi ces manières encore, au fond de moi je priai fort qu'on arrive à l'étage afin que je puisse sortir.

Ces secondes m'ont paru une éternité.

Une fois qu'on est arrivé sur le point de sortir quand elle m'a pris par la main.

La Dame: Tu dois penser que je suis folle ou autre chose en te regardant ainsi, dit-elle en me caressant le visage.

Moi: Que me voulez vous, qui êtes-vous?

La Dame: Oh mon Dieu tes yeux, je ne peux pas y croire.

Moi: Madame je ne vous connais et vous vous permettez de me toucher le visages, pardonnez moi c'est pas poli ça ne se fait pas.

La Dame: Non ça ne peut pas être du coïncidence, j'en suis sûr.

Moi: Que dites-vous Madame tu me fais peur là.

La Dame: Attend tu es son fils?

Moi: Écoutez moi bien, vous ne me connaissez pas moi de même donc bye.

La Dame: Attend ne pars pas jeune homme, je suis ta tante pat.........

Avant même qu'elle puisse terminer sa phrase j'étais déjà parti, les bonnes manières sont passées où?

On dirait qu'elle me connait alors que moi pas le moindre du monde.

Sans rien plus attendre je me suis dirigé dans mon bureau, je pense que cette femme ne va pas bien mentalement.

Elle a sûrement un problème.

Aussitôt que je suis entré dans mon bureau, mon téléphone s'est mit à sonner.

Il affichait le nom de Miguel à l'écran signifiant son appel.

Subitement j'ai décroché.

Moi: Seugn bii nangaa deiff yow, essayais-je de lui impressioner en parlant wolof.

Miguel: Tu me montres que tu essaies de manier la langue, c'est pas mal pour l'instant.

Moi: Mann olof réik layy lakk, malakoo geuneu deigg saxx, souriais-je.

Miguel: Walay dafsiyy baxx wayéi topp thiossanou djambour réik, doo toubab déi domou Sénégal ngeu.

Moi: Hey toi aussi je ne comprends pas ceçi, traduction?

Miguel: Trouve toi un traducteur ou une traductrice dans ce cas, rit-il.

Moi: Méchant mec va.

Miguel: Bref je voulais te dire que les documents dont tu me demandais sont terminées, je te l'ai envoyé par mail. Tu n'as que les imprimer.

Moi: Good job Man, maintenant c'est à moi de jouer.

Miguel: Encore une fois je te conseille d'abandonner Rashid.

Moi: Tu as tout fait, allez je te laisse à plus tard, fis-je en coupant l'appel.

Il serait capable d'en faire tout un plat, chose que j'ai pas envie du moment où je suis.

Rassoul Diop, l'entreprise sera de toi à moi.

J'en fais une promesse.

PDV de L'auteur:

Rassoul était dans son bureau entrain d'étudier quelques dossiers concernant l'entreprise quand soudain une femme est entrain dans son bureau.

Il était surpris en voyant la femme dans son bureau car il ne s'attendait pas à l'a voir, n'empêche qu'il l'a bien accueilli comme tout frère qui voit sa unique sœur.

Avec le sourire coller aux lèvres, d'un visage radieux.

Rassoul: Quelle bonne surprise tu me fais là, tu as laissé ton grand frère ces derniers jours. Comment ça va soeurette?

Mayna: Attend, avant tout qui est d'abord cet jeune que j'ai vu entrer dans le bureau d'à côté?

Rassoul: Quel jeune homme parles-tu?

Mayna: Celui qui a le teint clair comme un blanc avec les yeux marrons, je l'ai vu entré dans le bureau près du vôtre.

Rassoul: Ah je comprends maintenant, tu parles de Kevin. C'est un nouveau il est là juste récemment.

Mayna: Sais-tu qu'il est le fils de Larissa.

Rassoul: Quoi? Je ne crois pas bien entendu ce que tu as dit.

Mayna: Cet Kevin ou je ne sais pas quoi, il est le fils de Larissa Narciso soit en sûr.

Rassoul: Ce que tu insinues est très grave, comment tu le sais?

Mayna: Parceque.............................

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As-salamou Aleykoum les amis j'espère que vous allez tous bien?

Voici votre partie, j'espére que vous avez aimé.

Je vous promets une suite très chaude comme d'habitude.

On a encore reconnu Rashid Narciso on dirait.

Qui a hâte que La Vengeance À Tout Prix finisse???

On accélére donc???

S'il-vous-plaît les lecteurs et lectrices fantômes votez, ça ne tué pas il suffit juste d'appuyer sur l'étoile ⭐.

À bientôt.

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Amethe1998✍️
Mardi 23 Juillet 2019.
16 heures 03 minutes.
2931 Mots.