*Il est dur d'être pauvre, il est encore plus dur d'être seul.*

PDV de Rashid:

Aujourd'hui j'ai pris la décision de rencontrer le propriétaire de l'hôtel pour discuter avec lui, vu que j'ai annulé ma réservation pour les deux mois car je compte déménager chez Tonton Bachir.

Vous-même savez que je n'ai pas le choix.

J'ai déjà payé les deux mois pour l'hôtel et comme que je quitte, je veux avoir un terrain d'entente avec le propriétaire pour voir comment ils vont me rembourser.

J'ai dépensé une fortune vraiment et je comprends car c'est un hôtel de cinq étoiles de plus c'est très chic.

Ça n'a pas été difficile de le voir, de plus ses employés ont pris soin de moi comme il se doit vraiment.

J'ai entendu dire qu'il est un homme juste et qu'il s'appelle Mr Dieng.

À l'instant je suis dans son bureau en train de l'attendre, j'avoue que c'est une très grande pièce, et bien décoré avec des photos accrochées au mur. De sa famille je crois.

Quelques instants après la porte s'est ouvert laissant apparaître un homme au physique imposant, un peu élancé, je suppose que c'est lui car il est dans toutes les photos.

Mr Dieng: Bonjour Monsieur, désolé pour l'attente j'avais quelque chose à régler en bas, dit-il en me donnant la main pour me saluer.

Moi: Bonjour, ce n'est pas grave je comprends parfaitement.

Mr Dieng: Merci pour la compréhension, c'est comment le nom?

Moi: C'est Monsieur Knowle.

Mr Dieng: Enchanté Monsieur Knowle! Bon que puis-je faire pour vous?

Moi: Ça fait quatre jours aujourd'hui que je suis logé dans votre hôtel et un venant j'avais payé pour deux mois mais je ne pense pas que ça sera possible.
Mes grands-parents m'ont presque forcé de venir pour vivre avec eux et je ne pouvais pas refuser donc je voudrais annuler la réservation et j'aimerais savoir comment ça va se passer le remboursement.

Mr Dieng: Si je comprends bien, vous aviez pris la décision de rester ici pendant deux mois mais ta famille veut que vous veniez vivre avec eux. Vous voulez savoir si on va vous rembourser l'argent que vous avez déjà payé ou pas?

Moi: Oui exact, c'est ça.

Mr Dieng: Bien sûr qu'on va vous rembourser votre argent mais on va prendre le prix des 4 jours que vous avez déjà passé ici.

Moi: Oui je sais, je comprends parfaitement.

Mr Dieng: Quand voulez-vous quitter?

Moi: Au plus tard dans trente minutes.

Mr Dieng: Ok il n'y a pas de problème Monsieur Knowle. J'espère que vous êtes satisfait de nous même si votre séjour n'a pas été long?

Moi: Très satisfait même et dommage que je vous quitte aujourd'hui. J'ai même vu que mon chien est déjà in-love des lieux.

Mr Dieng: Oui c'est vrai, j'ai remarqué ça. En tout cas nous vous serons toujours ouvert en cas de besoin inch'Allah.

Moi: Je n'hésiterai pas de venir vers vous en cas de besoin.

En si peu de minutes on s'est un peu familiariser, j'ai découvert qu'il est un mec simple et ouvert à tout le monde, j'en suis la preuve.

Hélas que je vais quitter son hôtel de sitôt mais si j'aurais un événement ou quelque chose comme ça, c'est c'est dans son hôtel que je vais l'organiser inch'Allah.

Après ça nous sommes restés dans son bureau à discuter pendant beaucoup de minutes et il m'a un peu parlé de lui.

J'ai pu savoir qu'il vit ici à Dakar avec sa femme, ses parents et ses trois enfants.

Il m'a aussi dit qu'il s'appelle Kabir Dieng (l'ami de Momo dans TRAHISON).

Kabir: Allez, parle-moi de toi maintenant.

Moi: Ma vie est comme un drame je dirais. Un autre jour je te parlerai de moi le temps qu'on sera plus libre et là on aura largement le temps.

Kabir: Ok pas de soucis Monsieur l'anonyme, sourit-il.

Moi: Non même pas. À part ça j'adore la tenue que tu portes c'est très joli. J'aime bien vos tenues traditionnelles là, j'aimerais bien en avoir.

Kabir: C'est vrai que c'est très joli. D'ailleurs c'est ma mère qui les vend.

Moi: Ah bon, vous allez me mettre en rapport avec elle et là j'en achèterai.

Kabir: On peut se tutoyer maintenant. Si tu veux même, je t'emmènerai dans sa boutique. C'est à toi de voir.

Moi: Je t'appellerai un jour que je serai libre pour que tu m'emmènes dans son boutique vu que j'ai ton numéro personnel maintenant. À part ça, comme que je commence bien à adorer votre pays je voudrais construire une maison ici histoire de rester là-bas lorsque je viendrai en vacances.

Kabir: Ce n'est pas un souci car j'ai un ami architecte et il pourrait t'aider.

Moi: C'est mon jour de chance ou quoi? Ce serait un plaisir de faire sa connaissance.

Subitement mon téléphone s'est mis à sonner en signalant l'appel de Junior pour me dire qu'il est arrivé à l'hôtel pour m'aider à prendre mes affaires et déménager.

Moi: Je pense que je vais partir, mon cousin est déjà là pour m'aider à prendre mes affaires. On se dit à bientôt?

Kabir: Oui à bientôt Kevin, n'hésite surtout pas de m'appeler en cas de besoin.

Moi: Ne t'inquiète pas pour ça. Ce fût un plaisir de faire ta connaissance.

Kabir : De même, au revoir, dit-il en m'accompagnant jusqu'à la porte.

Même s'il y'a des gens méchants, il y'a aussi des personnes d'une gentillesse naturelle, comme Kabir Dieng.

Je l'apprécie bien.

J'ai pris son numéro personnel et je compte l'appeler un de ces jour pour qu'il m'amène à la boutique de sa mère.

Bref, j'ai trouvé Junior et Bryan au jardin de l'hôtel en train de m'attendre avec Miss qui jouer avec Lucky.

Visiblement ils s'aiment bien les deux.

Ça n'a pas été difficile de m'aider car j'avais pas beaucoup de bagages à part les cadeaux que m'avait donné ma mère pour eux.

PDV de Rachid:

Quand est-ce que mon propre père va-t-il m'aimer?

Toujours là à dire du n'importe quoi sur moi.

Oui j'ai commis une erreur j'accepte mais ce n'est pas la fin du monde bon sang.

Toujours là à me comparer avec les autres, ce que je déteste le plus au monde.

Seulement pour me rabaisser c'est pourquoi il a embauché ce mec venu de nulle part, je ne lui fais pas confiance d'ailleurs.

Je mènerai mon petit enquête, et vite lui régler son cas.

Mes petits frères de même que moi avons des parts dans l'entreprise mais pour le toucher il faudra d'abord se marier, il est plus que intelligent le vieux.

Même si j'aimerai prendre mes parts je ne vais jamais prendre le risque de me marier de si tôt et hypothéquer ma vie, ça jamais.

Ces derniers temps je ne faisais que merdé et j'accepte mais ce n'est pas une raison de m'enlever du poste de Directeur Général.

Tout ça à cause de ces maudits journalistes qui ont mis partout ma photo dans la boîte de nuit.

J'étais juste avec quelques potes histoire de passer du bon temps, rien de plus.

Qu'importe ce que j'ai fais c'est l'entreprise de mes parents j'en fais ce que je veux et ça personne n'y peut rien.

Mon poste je vais le récupérer des mains de ce fameux américain car ça m'appartient.

J'en suis sûr qu'il y'a certains qui en sont content pour ça mais c'est mal me connaître s'ils pensent que je vais rester les mains croisées.

Rachid Diop, ne sera jamais au plus grand jamais humilié, pour moi tout les moyens sont bonnes pour briller et j'en userai de ces moyens.

S'ils pensent que ce monsieur au nombreux diplômes va prendre ma place aussi facilement, mieux vaut sortir cette pensée de leur tête.

Il est un homme comme tous les autres et tout le monde savent que la femme a toujours été une faiblesse pour l'homme.

Je vais ternir sa réputation seulement à une journée, et pour cette mission je sais qui appeler.

Si je reste dans mon coin sans réagir, je serai l'unique perdant dans l'histoire, je sais aussi que Papa fait tout son possible pour que Rahmane intègre l'entreprise une fois ses études universitaires terminé et ça ce n'est pas un bon signe pour moi.

Il a toujours rester son préféré et se sera ainsi pour toujours, donc il faut que je réagisse.

À part ma grand-mère personne ne prends ma défense à la maison.

Comme la plupart du temps papa est encore en train de me mettre à mal avec maman.

Rassoul: Je ne vais pas encore te donner cette poste. Comme si tu ne savais pas ce que tu veux dans la vie. Change pour l'amour de Dieu avant qu'il ne soit trop tard, me lance t-il à bout de souffle.

Moi: J'ai entendu ce que tu as dit mais je t'avais promis que ça n'allait plus se reproduire mais n'empêche que tu as cherché quelqu'un d'autre juste d'autre pour m'humilier.

Rassoul: Combien de fois je t'ai donné une nouvelle chance alors que tu ne les pas saisi. Un grand homme comme toi qui ne sait pas quoi faire de sa vie, j'ai honte.

Kira: Tu me déçois de jour en jour, qu'est-ce que tu manques pour que tu sois aussi fainéant? Toujours là à courir derrière les filles, s'il te plaît change, émit-elle lasse.

Rassoul: Son comportement est inné, il ne changera jamais.

Maman Safia: C'est quoi votre problème avec lui? Il n'est qu'un jeune homme, il est conscient qu'il a fait quelque chose qu'il n'aurait pas dû faire, ça s'arrête là. Mais non vous ne faites que l'engeuler.

Moi: Au moins il y a quelqu'un qui m'aime ici.

Rahmane: Mais mamie n'oublie pas que l'entreprise n'est pas aussi un jouet.

Moi: Toi, tu la fermes. Tu en sais rien de l'entreprise.

Rassoul: Tu n'as même pas honte d'insulter ton petit frère devant tes aînés, même le petit Rahmane et plus mature que toi.

Moi: Rahmane par içi, Rahmane par là et toujours Rahmane. Tout le monde sait qu'il a toujours été ton préféré de nous tous.

Kira: RACHID, tais-toi.

Moi: Non je ne vais pas me taire car ce que je dis est la stricte vérité.

Rassoul: J'ai honte lorsque je t'entends dire ces mots. Tu dis que c'est Rahmane mon préféré pourtant j'ai les raisons de l'être mais je ne l'ai pas fait car vous êtes tous au même pays d'égalité sur moi. De tous mes enfants c'est toi seul qui a eu de ma part des vacances hors l'Afrique, avant tes vingt ans tu avais presque fait le tour du monde alors que les autres ne l'ont pas toujours fait. Après le baccalauréat je me suis décarcassé pour que tu partes à Londres et continuer tes études là-bas et pourtant Rahmane même après son bac il est toujours au Sénégal. Tes mots m'ont blessé profondément. Je me demande qu'est-ce que j'ai fais de mauvais pour mériter un fils comme toi, finit-il en se levant pour partir suivi de Rahmane qui me regardait avec dépit.

Kira: Tu me dégoûtes, je n'aurais jamais cru qu'un jour tu allais te comparer à ton petit-frère, celui dont tu devrais être son repère, me lance-t-elle avant de me tourner le dos.

Putin, quel malheur.

Peut-être que je suis allé trop fort sur mes propos et j'ai eu mal au cœur d'être la source de leur problème, il ne restait que ma grand-mère et moi au salon.

Mince, quant est-ce ça va terminé .

Maman Safia: Ne te décourage pas à mon petit fils chéri, toi-même tu sais qu'ils t'aiment beaucoup c'est juste qu'ils sont en colère rien de plus.

Moi: Ça se voit à des kilomètres qu'ils regrettent de m'avoir eu.

Maman Safia: Ne redis plus jamais ça. Ce que tu dois faire c'est reprendre ton poste sinon ça ne sera pas bon pour toi et puis tu sais que ton père ne badine jamais avec l'entreprise.

Moi: Je promets que demain ce fameux Monsieur Knowle sera mit au porte, paroles de Rachid Diop.

Aussitôt dit, aussitôt je me suis levé pour aller à son appartement, elle.

Ce que j'ai en tête, seule elle peut le faire pour moi car elle en est capable.

Il faut que mon père me refasse confiance et pour ça je dois détruire le nouveau.

Éclipse de quelques minutes de trajet, je suis arrivé à son appartement.

Comme toujours je l'ai trouvé très sexy avec ses formes à couper le souffle, je pense que je vais passer une good-night.

Juste pour me détendre, ce n'est pas interdit de passer quelques minutes de bonheur.

Adjistacha: Coucou mon bébé, m'embrasse t-elle.

Moi: Hum toujours aussi délicieuse.

Adjistacha: J'espère que tu passeras la nuit aujourd'hui?

Moi: Sans dépend de comment vont se passer les choses, toi-même tu sais. Bon j'ai un travail pour toi et je veux que tu l'accomplisse comme il se doit.

Adjistacha: Quel genre de travail encore? J'espère juste que ce n'est pas trop risqué?

Moi: Mission Séduction! Tu as vu le nouveau que mon père a donné mon poste?

Adjistacha: Qui l'américain, oui je l'ai vu l'autre jour lorsqu'il faisait la présentation des employés.

Moi: Bien, je veux que tu m'aides à ce qu'il soit licencié.

Adjistacha: Comment ça, je n'ai pas compris?

Moi: Si ce n'est que le physique, tu en as et les atous aussi sans te flatter. Je veux que demain tu vas dans son bureau et que tu le charmes ensuite le déshabillé comme si vous allez faire l'amour. Pendant ce temps je mettrai une caméra dans son bureau là il ne pourrait pas le voir et après avec cette vidéos je réussirai à avoir mon poste.

Adjistacha: Lorsque les choses se passent comme prévu tu auras ton poste mais moi mon visage sera dans la vidéo et je tiens à ma réputation c'est pas sûr.

Moi: Ton visage sera masqué comme d'habitude et j'espère que tu me crois car on a travaillé sur des cas plus difficiles et ça a toujours été clean. Tu me fais confiance?

Adjistacha: Oui mais je serai nue cette fois et c'est un peu compliqué, dit-elle récente.

Moi: Je te promets que tu n'as pas de risque à courir. Je te protégerai donc relax toi aussi.

Adjistacha: Ok il n'a pas de problème je le ferai pour toi mon bébé.

Moi: Je savais que je pouvais compter sur toi, mais pendant ce temps laisse-moi visiter ton corps de rêve, l'a déshabillé ais-je.

PDV de L'auteur:

Pour son premier jour de travail il est venu avant le grand patron et a trouvé son bureau très propre.

Sans perdre du temps il s'est mis à étudier le dossier qui étaient sur la table pour entamer son travail.

Il était très concentré qu'il n'a même pas vu la fille entrer dans son bureau habillé d'une façon très vulgaire.

C'est lorsque la demoiselle lui a caresser la tête qu'il a su que quelqu'un est entré dans son bureau.

Mais il est resté sans gêne.

Rashid: Qui es-tu et qu'est-ce que tu fais dans mon bureau?

Adjistacha: J'ai frappé à la porte pendant beaucoup de minutes et tu ne m'as pas répondu c'est pour cela que je suis entré.

Rashid: Oui tu as raison j'étais très concentrée c'est pour cela. Que puis-je faire pour vous?

Adjistacha: Heu c'est le DRH qui m'a demandé de vous remettre ce dossier, fit-elle en lui caressant la tête.

Rashid: Il vous a aussi demandé de me caresser la tête je suppose.

Adjistacha: Heu non c'est juste que j'en ai l'habitude mais si tu veux je peux aussi arrêter, dit-elle en parlant de façon sensuelle et provocatrice.

Rashid: Je préfère mourir que tu arrêtes, une déesse comme toi on le laisse pas filer, répond-t-il en se levant et en tirant la demoiselle vers lui en même temps.
Vu que mon bureau est assez spacieux, ça ne serait pas mal de passer une dizaine de minutes inoubliable. Tu ne trouves pas?

Adjistacha: Je ne dirais pas non en tout cas.

Aussitôt elle s'est mis à le caresser affectueusement.

Rashid s'est mit derrière elle et commenca a le sucer le coup sensuellement, le bout de sa langue, ses lèvres lui donner des frissons pendant que ses mains parcouraient le corps de celle-ci.

Il prenait son temps en lui caressant l'intérieur de ses cuisses jusqu'à sa fourche, elle avait les jambes qui figoelaient par cette réaction.

Il l'offrait du plaisir, un plaisir qui l'a rendait dingue jusqu'à ce qu'elle se dégage du bonheur, pour s'allonger sur le fauteuil.

Impatiente de passer à l'acte, jusqu'à en oublier son mission.

Ses seins étaient une de ces plus belles fiertés, gros, pleins, durs, elle sait que c'est une des cartes maîtresse pour plaire aux hommes et les attirer dans ses filets.

À un moment donné elle a senti les mains de Rashid lui caresser avec curiosité sa petite culotte, en train de repérer les fantes et évaluer son taux d'humidité.

Dans un élan de témérité, il a tiré sur l'élastique et a glissé un doigt entre ses lèvres.

Les hommes font toujours attention lorsqu'ils caressent une nouvelle femme pour la première fois mais Rashid a su trouver très vite le bon temps et s'est vite adapté à l'anatomie de sa conjointe.

Il écarta doucement les jambes de celle-ci et tâte le terrain avec ses doigts agiles, puis commence à lui faire des vas et viens avec.

Avec son autre main il lui caressait les seins et ses tétons.

Rashid lui caressait encore de haut en bas et mit un doigt à l'entrée puis l'enfonce au fond jusqu'à ce qu'elle soit mouillé par le plaisir que lui procure l'homme.

Elle était allongée sur le fauteuil avec les yeux fermés et disait des mots incompréhensibles.

C'est en plein rêve pour qu'on l'a pénètre que Rashid lui a donné une gifle monumentale digne de ce nom, c'est qui l'a poussé à ouvrir les yeux, surprise par l'attitude de ce dernier.

Adjistacha: C'est quoi ces manières avant de faire l'amour, tu ne vois pas que j'attends que tu te déshabille aussi? Tu es taré ma parole.

Rashid: Tu pensais que j'allais me salir en ayant un rapport avec toi, sale p*te. Celui qui t'a demandé de me piéger et toi pensez que c'est avec le sexe que vous allez m'avoir, c'est mal me connaître.

Adjistacha: Quoi, je ne comprends rien de ce que tu dis?

Rashid: Ok on va être plus clair, tu as voulu jouer à un jeu qui n'était pas réservé à toi. Pour te montrer que je suis plus malin je fais semblant comme si tu m'intéressais alors que non. La preuve tu ne m'as pas entendu jouir de plus mon pantalon n'est pas en mode promotion. Juste parce-que tu me dégoûtes.

Adjistacha: Oh mon Dieu, dans quel pétrin je me suis mis?

Rashid: Je n'ai utilisé qu'un seul de mes doigts pour te faire mouiller, un seul doigt j'ai dis. Dis à ton chef que je suis plus malin que lui des milliers de fois

Adjistacha: Menteur, j'en suis sûr que tu n'es pas un vrai homme.

Rashid: Tu me fais rire ma chère. Un vrai homme c'est dans l'esprit et c'est là-bas que tout se joue. Maintenant ramasse tes torchons d'habits et quitte mon bureau tout de suite.

Sûrement guettée par la honte, elle commenca à pleurer.

Rashid: Tu auras de quoi pleurer lorsque je prendrai la vidéo que ton coéquipier a caché dans mon bureau puis le publier sur les réseaux sociaux mais avant tout ça je me ferai le plaisir de masquer mon visage.

Adjistacha: Wouy sama ndayy yakounaa, sama adouna yakouneu. (Je suis foutue, j'ai détruit ma vie).

Rashid: Oh tu es tellement mignonne lorsque tu pleures, si tu savais. J'ai aussi une bonne nouvelle pour toi, devine?
Tu es v.i.r.é.e

Adjistacha: Quoi? Pas ça s'il te plaît. Je n'ai que mon travail.

Rashid: Oh mince j'allais même l'oublier, dis à Monsieur le fils du patron de venir m'attaquer directement s'il est un vrai homme comme il le prétend, et s'il veut récupérer son poste aussi.

Voyant qu'elle pleurait toujours Rashid lui a pris par le bras elle l'a traîné hors de son bureau pour continuer le travail qu'il faisait.

Rashid: Comme je l'avais dit l'autre fois c'est œil pour œil et dent pour dent, fit-il en fermant la porte de son bureau.

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As-salamou'Aleykoum les amis j'espère que vous allez tous bien ?

Vos impressions pour la partie ?

Une longue partie, j'espère que vous êtes contents.

Je vous balance votre suites si vous votez nombreux donc à vous de jouer.

Rashid, on en parle?

Des suggestions ?

Pour ceux qui n'ont pas encore lu ma première chronique TRAHISON je vous conseille d'aller l'a lire que compte fusionner les deux chroniques.

Coucou à adjistacha, tu en dis quoi du partie. Je te l'ai dédiée.

S'il-vous-plaît votez, commentez mais surtout abonnez-vous.

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Amethe1998
Lundi 24 Juin 2019.
16h 15 minutes.
3539 Mots.