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PARTIE 09: TOME 2

*Il n'y a pas de plus grand bonheur que la venue d'un hôte dans la paix et l'amitié.*

PDV de Rashid:

C'est avec ouf de soulagement que je sortis de l'entreprise de Rassoul Diop, enfin d'avoir eu job.

En venant j'avais la certitude que je l'aurais, vu mes compétences ils ne peuvent pas s'en passer de plus les diplômes et qualités que j'ai, on ne le trouve pas partout.

Je savais comment se passent les entretiens c'est pourquoi je me suis bien préparé avec les mots qu'il faut.

Je suis conscient du fait qu'être le DG d'une entreprise et une poste très importante et je remuerai ciel et terre pour relever l'entreprise jusqu'à ce qu'elle soit la meilleure du Sénégal et ensuite les anéantir comme pas possible.

Chaque douleur ressenti, Rassoul ressentira plus.

Ça c'est moi qui le dis.

Je vois que lui et son fils ne sont pas trop proche et c'est déjà un point pour moi.

Je leur surprendrai tous, ça ne m'a pas surpris en voyant que son fils est arrogant car je m'y attendais est vraiment il n'est pas un souci pour moi.

On ne joue pas dans le même rang lui et moi.

Pour ce qui concerne Rassoul je serais davantage plus professionnel pour être plus proche de lui car pour faire tomber son ennemi il faut être proche de lui pour mieux l'étudier.

Je l'humilierai devant tout son pays, et ça c'est pour peu de temps, pas de pitié entre lui et moi.

Œil pour œil, dent pour dent.

Je ne vais pas aussi épargner sa famille et c'est par sa mère que je vais commencer.

Cette satanée de Maman Safia, je lui réserve une très grande surprise qu'elle ne risque pas d'oublier jusqu'à sa mort.

Son sort, c'est pour bientôt et ça sera du lourd.

On n'humilie pas Larissa Narciso et s'en sortir facilement comme si de rien n'était, ça jamais.

Je ferai tout pour les connaître tous et savoir comment ils sont réellement.

Bref!

Vers 11h et quelques j'avais déjà fini de visiter l'entreprise et faire la connaissance des autres avec l'aide du secrétaire que j'ai trouvé jolie mais trop pudique à mon goût avec corps couvert comme une arabe, bref je ne suis pas là pour admirer la beauté des gens mais plutôt pour autre chose.

Un but bien précis.

Comme que j'avais rien prévu pour le reste de la journée j'avais décidé d'aller rendre visite ma tante Leïla puis mon oncle Bachir.

Les rares fois que je l'ai vu c'est lorsqu'ils sont venus en vacances aux États-Unis, je ne connais pas trop leuts enfants qui sont mes cousins aussi.

Des fois j'entends ma mère discuter avec eux via les réseaux sociaux alors que j'ai la flemme d'utiliser les réseaux sociaux, je n'ai même pas ce temps..

Je n'ai jamais eu une vie de famille, j'ai toujours vécu seul avec ma mère et peut-être qu'ici au Sénégal ça changera, vu que j'ai une famille ici.

Mes grands-parents Malick et Waliya, parfois je parle avec eux par téléphone.

C'est mon oncle Bachir que je connaisse le plus parce qu'il vient nous rendre visite très souvent.

Sans plus tarder j'ai sortis l'adresse que m'avait donné ma mère pour aller chez tata Leïla en premièr, puis chez mon oncle Bachir.

Lorsque j'ai montré l'adresse au chauffeur, il m'a dit qu'il connaissait le lieu exact ce qui a facilité le trajet.

Après quelques minutes nous sommes arrivés à la Villa, une fois descendu du voiture je me suis dirigé à la porte avant de sonner.

J'ai constaté que c'était une belle maison, très bien structuré avec des pots de fleurs à l'entrée, jolie mais simple aussi.

Après quelques sonneries, une jeune fille à peu près 20 ans est venu m'ouvrir la porte.

J'avoue qu'elle est aussi avec des très bonnes belle forme mais ça ne me concerne pas, je suis là pour ma tante non?

Moi: Bonjour, est-ce que Tata Leïla est là ?

Et là, subitement elle s'est mise à dire des choses en wolof que je ne comprends pas.

À part ça elle me détailler de haut en bas comme si j'étais un extra-terrestre, de plus elle avait les yeux grands ouverts en parlant.

Ne sachant pas de quoi elle parle je lui dis.

Moi: Heu, pardon je ne comprends pas le wolof.

Encore une fois elle s'est mise à parler en wolof des trucs que j'ai eu du mal à comprendre.

Je ne sais pas de quoi elle parle mais j'en suis sûr que ce n'est rien de bon.

Un instant après elle me dit.

-Heu désolée bonjour, j'ai dis d'entrer qu'elle est à l'intérieur.

Moi: Merci, répondis-je tout simplement en entrant.

Après ceci elle m'a demandé d'entrer, ce que je fis sans réplique.

Elle m'a conduit au salon et une fois que je fus installé, elle me laissa là-bas pour appeler tata Leïla, je ne sais pas qui est-elle mais j'en suis sûr qu'elle n'est pas normale.

J'ai entendu, qu'ils aiment ça.

Subitement j'ai sorti mon téléphone et appeler Miguel, vu qu'il parle plus bien le wolof que moi.

J'en suis sûr qu'une fois revenu elle dira encore des choses que je ne comprends pas et je ferais mieux d'appeler mon roue de secours.

Il décrocha après deux sonneries.

Miguel: Salut Monsieur Kevin Knowle, se moque t-il de moi en riant.

Moi: Boy je ne t'ai pas appelé pour blaguer, je vais faire comme si je ne t'avais pas entendu. C'est plus urgent.

Miguel: Qu'est-ce qu'il y a donc? Tu as un problème là-bas? Rassoul t'a reconnu, c'est ça? s'inquiète-t-il pour moi

Moi: Non ce n'est pas ça, tout va bien. Là je suis chez Tata Leïla mais une jeune fille m'a ouvert la porte mais lorsque je lui ai demandé si Tata Leila est là, avant de me répondre en français il disait des choses en wolof dont je ne comprends pas et j'en suis sûr qu'elle ne disais rien de bon.

Miguel: Qu'est-ce qu'elle a dit? Et qui est-elle?

Moi: J'ai pas réussi à avoir en tête ce qu'elle disait, je ne sais pas non plus qui est elle car elle ne s'est pas présenté.

Miguel: Tu ne pense pas qu'elle est la fille de ta tante?

Moi: Non, je ne pense pas qu'elle soit sa fille vu que ma tante à un teint marron et elle, a la peau très claire.

Miguel: Si tu avais accepté de parler le wolof ici au moins tu aurais du savoir ce qu'elle a dit.

Moi: Moi j'entends des pas venir peut-être que c'est elle. Tu sais ce qu'on va faire, je ne vais pas couper l'appel, si elle revient et recommence de dire des choses en wolof que je ne comprends pas tu vas me donner des réponses plus méchant et je vais lui dire ça OK?

Miguel: Mais elle saura que tu parles avec quelqu'un.

Moi: Non, elle ne saura rien car j'ai porté des écouteurs c'est comme si j'écoutais de la musique.

Miguel: Ok je suis à l'écoute donc.

Je suis plus malin que cette petite fille, il faut que je sache ce qu'elle a dit.

De là où je suis je la vois entrer dans le salon avec un verre d'eau à la main.

Elle: Voici de l'eau, elle prenait sa douche mais elle vient dans un instant, fit-elle en me tendant le verre d'eau.

Moi: Ok merci, c'est gentil.

J'ai pris le verre d'eau dont j'ai bu une gorgée avant de le poser sur le sur la table, subitement elle recommenca encore de parler en Wolof.

Elle: Waa ki mome foumou néikonn si adouna bi, mashallah dall. Il faut que meu niam tounieum you rose yi wayy.
(Où était ce mec dans la planète, mashallah en tout cas, il est très beau. Il faut que je goûte à ses lèvres roses et rapidement.)

Après avoir dit ces mots j'entends Miguel à l'autre bout du fil rire puis me dire de faire comme si je ne comprenais pas ce qu'elle a dit.

Moi: Heu tu dis quoi?

Elle: Non rien d'important je parlais de cette film, essaye t-elle de me bluffer.

Comment peut-elle parler du film alors qu'elle ne fait que me lancer des regard indiscrets. Sans en rester là, elle ajoutait des mots dont Miguel n'a rien raté du discussion.

Il m'a soufflé une réponse et sans attendre je l'ai balancé à la fille. Je ne sais même pas ce que cela signifie et je m'en fous.

Moi: Seu tattou mame yow. (Les fesses de te grande mère à toi).

Du tac au tac je l'a vois me regarder avec surprise, sûrement de ce que je lui est dit, j'espère juste que ce n'est pas des insultes.

Après une trentaine de secondes plus tard, elle me dit.

Elle: Layylaaaa yow konn deigg nga wolof? (Quoi? Donc toi tu sais parlé le Wolof, pose t-elle surprise).

Moi: Dangay lathie? Loutaxx ngeinn beugg djeuw niit?
(Tu demandes? Pourquoi aimez-vous colporter sur les gens?)

Elle: Wayy mann mangii djomi di, yaaaaaaye. (Je commence vraiment à devenir folle, maaaaaaman).

Moi: Akk sayy tatt you reuyy sofoo tamit déi, se moque t-il.
(Avec tes grosses fesses, tu n'es pas en reste aussi).

Tout ce que je lui disais c'est Miguel qui me l'a soufflé, c'est décidé maintenant que je vais chercher quelqu'un pour m'apprendre la langue.

Qui est prêt pour être mon professeur ?

Je ne connais pas la signification de ce que me conseiller Miguel mais j'ai réussi à clouer le bec de cette fille, ça lui apprendra pour la prochaine fois.

Comme elle ne réagissait plus j'ai coupé l'appel en attendant ma tante.

L'ambiance était devenu silencieux, personne ne parlait, on entendait que la télévision.

Quelques minutes plus tard j'entendais des pas venir, du tac au tac la porte s'est ouvert à laissant apparaître tata Leila bien habillée et très belle mashallah mais surprise de me voir.

Leïla: Bonjour, dit-elle en entrant mais s'arrête lorsqu'elle m'a vu. Radhid c'est toi mon fils, oh mon Dieu.

Moi: Oui tata c'est moi, répliquai-je en se levant pour la prendre dans mes bras.

Leïla: Quelle surprise mon fils tu m'as trop manqué, prend place.

Moi: Tu m'as manqué plus, ma tante adorée.

Leïla: J'arrive toujours pas à croire que tu es venu me rendre visite, comment vas-tu mon fils?

Moi: Je vais très bien al-hamdoulilah et toi? Tonton Karim, comment vas t-il?

Leïla: Je vais bien aussi al-hamdoulilah, tonton Karim, a un procès aujourd'hui mais il va bien. Et ta maman pourquoi elle ne m'a rien dit de ta venue pourtant ce matin je l'ai appelé.

Moi: Je voulais vous faire une surprise c'est pourquoi on ne vous a rien dit.

Moi: Oui une surprise, s'en est vraiment. Rashid je te présente ma fille Rashida je sais que vous ne vous connaissez pas car tu es toujours en amérique.

Rashid: Quoi, elle c'est ta fille? On ne dirait pas, elle a la peau plus clair que toi, elle ressemble plutôt à une marocaine.

Leïla: Oui c'est elle ma fille aînée Rashida. C'est normal qu'elle est ait la peau plus clair car elle ressemble plus à ma mère qu'à moi et n'oublie pas que ma mère est une marocaine.

Moi: Je croyais même que c'était une mendiante.

Rashida: Est-ce-que une mendiante s'habille comme ça tchipppp, grosse tête.

Moi: Là-bas en Amérique les mendiants de s'habillent en haillons et toi tu portes de déchirés, me moquai-je d'elle.

Rashida: Maman c'est qui ce psychopathe? s'énerve t-elle en tirant la tronche ce qui m'a fait rire.

Leïla: Heyy jeune fille parle bien, il n'est pas ton égal impolie que tu es. Présente des excuses tout de suite.

Rashida: Je m'excuse, dit-elle à contrecœur.

Moi: Excuse acceptée, répliquai-je en souriant face à sa réaction enfantine.

Leïla: Bon, lui c'est le fils de Tata Larissa.

Rashida: Quoi, c'est lui le fils de Tata Larissa?

Moi: Oui, c'est moi.

Rashida: Je jure que je ne savais pas, oh pardon pour tout à l'heure, lance-t-elle honteuse.

Moi: Non ce n'est pas grave, enchanté cousine, dis-je en lui tendant la main pour la saluer.

Rashida: Enchantée cousin, sourit-elle.

Leïla: Je crois que vous allez vous entendre tous les deux, sourit-elle à son tour.

Moi: Ah oui on va bien s'entendre. Ton fils, il est sorti?

Leïla: Oui Abdel, aujourd'hui il a un match d'Inter classe de basket à son lycée, c'est pourquoi il n'est pas là.

Moi: Il est basketteur?

Leïla: Je peux dire oui, c'est une passion pour lui depuis tout petit, il aime trop la Basket.

Moi: Donc je vais vite m'entendre avec lui car le basket est mon passe-temps favori.

Leïla: Tu as raison car tu es devenu un vrai américain; De plus le basket et les américains c'est une longue histoire d'amour.

Nous sommes restés au salon à discuter pendant beaucoup de minutes, rien n'est plus beau que d'être chez lui et entouré par des gens qui nous aiment.

Se sentir aimé est une merveilleuse sensation, je peux dire la meilleure.

Seulement en quelques minutes j'ai réussi à plus me familiariser avec Tata Leila et j'ai découvert en elle une bonne personne.

Elle m'a raconté comment elle s'est connu avec ma mère avant de savoir qu'elles étaient cousines tous les deux, dire à quelle point ma mère est géniale.

Elle m'a même raconter quelques bêtises qu'elle ont fait ensemble à l'époque.

Ça m'a fait beaucoup de bien de discuter avec elle.

Après une demi-heure je voulais partir.

Leïla: Quoi, partir pour aller où? Tu es chez ta tante, passe au moins la journée tu m'avais beaucoup manqué.

Moi: J'aurais aimé mais il faut aussi que je passe chez tonton Bachir, lui aussi ne sait que je suis au Sénégal.

Leïla: Je vais me fâcher là.

Moi: Non ne fait pas ça, weekend prochaine inchallah je passerai la journée, ça c'est moi qui te le promets.

Leïla: La promesse est une dette, ne l'oublie pas.

Moi: Compte sur moi. Passé mes salutations à tonton Karim et Abdel de ma part s'il-te-plaît.

Leïla: Ne t'inquiète pas je passerai tes salutations inchallah.

Moi: Tata peux-tu me donner l'adresse de chez tonton Bachir?

Leïla: Ce n'est pas la peine Rashida va t'accompagner c'est plus sûr je ne veux pas que tu te perds.

Moi: Non ce n'est pas la peine de déranger ma cuisine, je suis venu en voiture avec un chauffeur.

Leïla: Je ne vais pas prendre ce risque quand même, te laisser partir seul, Rashida peux-tu l'accompagner c'est ton oncle c'est plus sûr?

Rashida: Oui il n'y a pas de problème.

Moi: Donc ma tante on se dit au revoir, prends soin de toi.

Leïla: T'inquiète pas et prends aussi soin de toi mon fils.

Moi: Inch'Allah ce fut un plaisir, bye! Rashida on y va?

Rashida: oui, après toi.




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As-salamou'Aleykoum les amis j'espère que vous allez tous bien et que vous n'êtes pas fâché contre moi ?

J'avais les compositions à préparer motaxx mais leigii j'ai terminé et je ferme samedi inch'Allah.

Vous aurez au minimum deux parties par semaines.

Dingueinn contann lol, yeinn nieup.

Si le Tout-Puissant le veut bien je terminerai l'histoire avant Août pour vite entamé MÂLE = MAL.

La partie d'aujourd'hui, on en parle.

Rashid et Rashida, en route pour aller chez Bachir. Qu'est-ce qui va se passer ???

À bientôt.

Bonne journée à tous.

À part ça passez lire les chroniques de angepurediamant  ,une très belle plume mashallah. Avec des mots qu'il faut à la place qu'il faut.
Vous n'allez pas regretté inshallah.

Votez, commentez mais surtout abonnez-vous s'il-vous-plaît.

Amethe1998
Mercredi 19 Juin 2019.
11h 20mins.
2635 Mots.

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