chapitre 5
Le lendemain, Hélène se leva de très tôt, la dispute qu'elle avait eu avec Myrlène l'avait vraiment perturbé. Toute petite elle avait toujours détesté les querelles familliales. Toujours à vouloir fuire lorsqu'elle était en face de ces genre de situation.
Elle se dirigea vers la salle de bain qu'elle partage avec Myrlène. La porte étant verrouillé, ce qui signifie qu'elle est à l'intérieur. Au moment où elle s'apprêta à s'en aller la porte s'ouvre. Elle s'arrêta pour regarder puis poursuiva son chemin. Myrlène s'empressa donc de la retenir.
- Hélène, je m'excuse pour mon comportement. Je sais que je n'aurais pas du te traiter ainsi ainsi mais j'avais l'impression que cet homme était entrain de me voler ma place.
- C'est pas grave, personne ne peut te voler ta place ma chérie. Sur ces mots, elles se font un câlin.
- Tu m'as manqué ma chérie. Déclara Myrlène.
- À moi aussi.
- Je veux que tu reviennes dans la chambre. Je dois y aller sans quoi mon boss va me gronder.
- on en discutera à ton retour.
Hélène entra dans la salle de bain, elle se baigne, puis elle de rendit dans sa chambre. Elle s'habilla d'une robe moulante jaune accompagné D'une paire de paire d'Addidas blanc et noir de la même couleur. Elle
- Tu vas sortir Hélène? Interrogea sa tante.
- Ah tatie tu m'a fais peur. Sursauta t'elle.
- Mes excuses ma chérie ce n'était pas dans mes intentions. D'où tu parles toute seule ma fille? C'est un truc pour les fous tu le sais.
- Non tatie, parler à soi-même c'est un fait normal. En communication ça s'appelle " communication intrapersonnelle. On se prépare à quelque chose tu vois. Expliqua t'elle à sa tante.
- Je comprends. Répondit t'elle en secouant sa tête. En réalité la pauvre n'avait rien capté a ce qu'elle l'expliquait
- C'est encore l'une des mythes de la réalité haïtienne. Tu t'en souviens que quand j'étais petite tu me disais de ne pas marcher avec une seule chaussure sans quoi ça causerait la mort de ma mère.
- je m'en souviens très bien. Ria t'elle. C'était la seule façon de te faire mettre les deux. Tu tenais tellement à ta mère. J'espère qu'à présent qu'elle ne travail plus elle à du temps pour toi.
- Hum. Soupira t'elle juste avant de répondre. Elle est comme tu l'avais connue tatie. Elle est là seulement pour me coller sur le dos. M'indiquer comment m'habiller, agir, avec quel gars je dois sortir, quelle profession qui m'est appropriée.
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