chapitre 2
- Tu ne connais même pas le gars Hélène, je ne te conseille pas de sortir avec lui, Tu n'as pas penser au fait qu'il pourrait etre un kidnappeur ?
- Il n'en a pas la tête en tout cas. Je suis prêt à courir le risque. Tu penses que parce que ça m'est arrivé une fois que ça va m'arriver à chaque fois que je mets les pieds en Haïti ?
- Je le fais pas confiance. Tu vas m'attendre, à mon retour on fera tout ce que tu veux. Commença t'elle en s'habillant pour aller travailler.
- Tu me rappelles ma mère. Je suis capable de me protéger ma belle, ne t'inquiètes pas.
- OK. Je suis en retard, fait attention à toi. S'empressa t'elle de s'en aller.
- Tu as oublier ton portable.
- Merci ma chérie, je l'oublie tout le temps. N'oublie pas d'arranger la chambre madame la vacancière. Rigola t'elle.
- À vos ordre madame.
- J'ai la gueule de bois. Se plaigna t'elle.
- ça te serviras de leçon prochaine fois, madame la soûlade.
Il était environ 9h lorsqu'elle se leva. La Mère de Myrlène est venue l'apporter son petit déjeuner au lit.
Quelle gentillesse. Pensa t'elle.
Elle finit d'avaler son déjeuner, composé d'un bon café au lait, accompagner de quelque banane mûre, de l'omelette, du pain et de jus d'orange.
Elle fait le lit, comme la demander Myrlène, juste avant qu'elle aille prendre une douche. Pour ensuite S'habiller d'un Jean bleu à taille haute, d'un t-shirt jaune avec motif, associé à son sac et à sa paire de sandale noire Elle accompagne le tout avec des boucles d'oreilles en or, et quelque bracelet de la même couleur.
Elle peigne ses longs cheveux lissés, elle se maquille du fond de teint, un peu de mascara, de trait liner, un peu de brillant à lèvre et une touche de fard à paupière. Elle se parfume, juste avant de regarder son reflet dans le miroir. Le résultat est à couper le souffle.
- Tu vas sortir Hélène? demanda Marie, la mère de Myrlène. Qui se tenait à l'embrasure de la porte.
- Oui tatie, je sors avec un ami.
-Ah! Le jeune homme qui est en bas ?
- Oui tatie!
- Tu es jolie ma fille.
- Merci tata. Dit-elle en l'embrassant. On se voit tout à l'heure.
- Pour la nourriture, tu en veux quoi aujourd'hui?
- Ne m'attends pas pour manger. Acheter les nécessaires à mon retour je...
- Vas-y! Il t'attend. La coupa t'elle.
Elle dévale les escaliers, apparemment, Smyrold était dans le salon, il portait un Jean bleu, un t-shirt noire et pour finir une paire de vans noir. Le noir lui sied à merveille on dirait. Mon Dieu! Qu'est-ce qu'il est séduisant!
- Bonjour! Dit t'elle en l'embrassant.
- Bonjour Hélène, tu es ravissante. La complimenta t'il.
- Merci! T'es pas mal non plus.
- On y vas?
Il y avait un Pathfinder noir garé dehors.
- Alors on va où? Demanda t'elle toute en prenant quelque photo pour publier sur facebook.
- Au resto, car je n'ai pas eu le temps de prendre le déjeuner ce matin. Tu aimes les enfants? Demanda t'il subitement.
- Oui beaucoup. Me dis pas que tu as l'intention de m'engrosser.
- J'aime ton sens de l'humour tu sais? Ria t'il.
- Et moi j'aime ton sourire.
- Pour de vrai? Demanda t'il.
- Bien sûre que non. Rigola t'elle.
- petite gamine mal élevée.
Elle fait semblant de lui bouder. En croissant ses mains sur sa poitrine.
- J'ai bien vu que tu me boudes?
- ...
- Pour me faire pardonner je vais t'acheter des friandises. Dit il en se garant près d'un supermarché.
- T'es sérieux là?
- aller descends petite fille, à moins que tu préfères que je te...
- Dans tes rêves ouais! La coupa t'elle en descendant.
- T'aurais dû voir ta tête lorsque j'ai dis que j'allais te laisser dans la voiture. Ria t'il en affichant ses dents blanches.
Ils entrèrent dans le supermarché. Smyrold. Et elle a acheter des petits gateaux, des chips et des sucreries et quelque fruits pour lui. Elle a voulu payer mais Smyrold a carrément refusé chose qu'elle a mal prit.
- Tu aurais dû me laisser payer.
- C'est moi qui t'es invité donc à moi de payer.
- Ça va, mais prochaine fois c'est moi qui paierais.
- Ce sera comme tu voudras madame.
Elle regarde la ville à travers le vitre de la voiture, le paysage, les gens qui vaquaient à leurs activités. À les regarder, elle pense un peu à une fourmilière.
- Nous sommes arrivés! Fit t'il en coupant le contact.
Ils entrèrent à boukante un bar restaurant.
- Bonsoir Monsieur Georges. Commença la réceptionniste en affichant ses deux rangées dents blanches.
- Bonsoir Vaunette, Une table pour deux s'il vous plait!
- suivez-moi s'il vous plait!
Des restaurants de luxe, j'en ai l'habitude d'en fréquenter, mais ce petit coin est nettement différent. Dedans on à l'impression d'être dans un chalet. Son décor naturel est à couper le souffle. Les chaises ainsi que les tables sont faites en bois. sur la table est déposée des petits bateaux en bois. En plus sa vue se donne sur la mer. Donc on peut tranquillement manger tout en regardant les lames de la mer jaillissant sur le rivage. Tout en écoutant du bon compas aussi. J'espère que la nourriture sera aussi une réussite tout comme le décor. Remarqua Hélène en admirant l'endroit.
- Vous prendrez la même chose que d'habitude monsieur? Demanda un serveur qui n'arrête pas de la dévisager.
- Oui. Répondît t'il sèchement.
- Et pour vous madame?
- Je n'ai pas très faim. S'adressa t'elle à Smyrold.
- La même chose que moi. Répondit t'il au serveur.
- J'adore tes yeux tu sais? La Complimenta t'elle pour qu'il arrête de lancer des regards noir au serveur.
- Tu es conscience que tu es entrain de me draguer là? Ouais je sais que tu aimes chaque parcelle de mon corps.
- Pas du tout mon pauvre, c'était juste un compliment.
- ça fait à peine deux jours qu'on se connait, pour autant j'ai l'impression que nous nous connaissons depuis des lustres.
- ouais! Je suis fantastique, je sais. On me le dis si souvent cette phrase.
- Sérieux, si tu continues franchement de toi je ne vais plus m'en passer. Rigola t'il.
- Si je te dis tu me croirais pas.
- Quoi?
- Justement c'est ça l'idée. Tu aurais due voir ta tête. Se plia t'elle pour rigoler. Tu t'attendais à ce que je te sors quelques chose de plus sérieux?
- Venant d'une petite folle comme toi, je m'y attendais tu sais. Au faite je ne sais quasiment rien de toi à part que tu as un coeur en or pour aider les gens en situation défavorisés de ton entourages.
- Merci Smyrold, je suis pédiatre, en dehors de mon travail je m'investis dans des projets d'aide lucratives.
- Parle moi un peu plus de ta famille. Demanda t'il en l'écoutant attentivement.
- Ne me dis pas que tu comptes leurs demander ma main.
- Je t'ai déjà dis que j'adore ton sens de l'humour?
Elle souria en guise de reponse juste avant de se lancer.
- J'ai quitté le cocon familiale à mes 18 ans, ma mère n'a pas voulu que je fasse la medecine. Mais c'est sa façon, une vraie mère-poule, toujours à vouloir tout contrôler.
Le serveur leur interrompt, en leur apportant les plats. Du riz noir, accompagné du sauce de poulet, des bananes pressés, du salade et du jus de papaye pour finir. Le tout à l'air très appétissant.
- De très jeune J'ai du me battre pour atteindre mes objectifs avec où sans l'aide de mon entourage. Je me suis battus pour me faire un nom dans la société.
À un certain temps, j'étais de l'autre côté du mur, je sais ce que c'est que d'être sans recours, est-ce pourquoi j'aime aider les gens, surtout celles qui ont la volonté d'atteindre leurs buts dans la vie. Poursuiva t'elle.
- Je suppose que ça n'a Pas été facile pour toi, mais je te félicite pour ton courage.
Ils finissent de manger, le met n'était pas mal, mais elle s'attendait à mieux. Comme l'adage le dit " Rien n'est jamais plus bien fait que par soi-même." la prochaine fois j'y songerais.
Vers les une heures, après avoir finit de manger ils se fait rendirent à 90 où ils effectua une petite visite du "fort picolet"
La journée s'annonce pas mal. On peut déjà dire qu'elle est superbe. Mais peut ont prévoir ainsi pour la fin?
Smyrold en média*
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