Sauvetage
L'ambulanciere qui me surveillait me pose quelques questions et m'explique qu'ils m'emmenent à l'hôpital psychiatrique pour que je reçoive des soins ainsi qu'une aide psychologique car mes parents avaient vu mes bras. J'essaie sans cesse de lui expliquer que c'était du passé que tout allait bien depuis elle ne voulais pas entendre un mot.
Au bout d'une demi heure de débat je laisse tomber. Je pleurais autant que le jour où je me suis mis sur les rails, heureusement que mes parents ne savaient pas sa même si à mon avis ils s'en doutaient puisqu'ils ont demander une hospitalisation.
Je regarde à travers la vitre arrière de l'ambulance et, je me rend compte qu'une mustang noir nous suivaient. Étais ce lui ? Je n'etais pas sur je voyais flou, je sèche mes larmes et regarde à nouveau. S'était bien lui, une vague de soulagement m'envahit, il me sortira de la j'en suis sur.
Arrivé la bas, ils m'obligent a me déshabiller et mettre une blouse, bien sûr sous la surveillance d'une infirmière. Ensuite un infirmier me demande de le suivre, il me montra ma chambre puis referme la porte à clé une fois que j'ai traversé le seuil.
C'était une pièce, blanche, de plutôt grande taille, je dirai 12 mètre carré. Il n'y avais pas de toilette, l'infirmier m'avais expliquer que pour y aller il y a une sonnette dans ma chambre pour appeler quelqu'un qui m'y emmènera. Il y a seulement un fauteuil et un lit. Je ne recevrai rien d'autre car pour eux tout objet est utilisable pour se suicider. En gros ici je ne peut rien faire, je ne peux pas écrire ou dessiner ni même aller au toilette sans surveillance.
Je me couche sur le lit et commence à pleurer à nouveau, et s'il n'arrivais pas à me sortir de la ? Ou pire, s'il ne voulais pas m'aider à sortir de la...
Plus tard une infirmière, celle qui me surveillait quand j'ai du mettre la blouse, revient. Elle était gentille contrairement aux reste du personnel. On parla un petit moment, elle disais quelle n'aimais pas cette endroit mais quelle y restait pour tenir compagnie au jeune comme moi, car elle était passé par la durant sa jeunesse et sait à quelle point c'est difficile. Je lui demande sil y avais un moyen de sortir d'ici, elle me répond que non pas sans avoir vu un psychiatre plusieurs fois et qu'il me donne l'autorisation de sortir.
Elle sortit un moment puis revient mais pas seule, Spike était avec elle.
A peine avait il franchis le seuil de la porte que je lui fonce dessus et lui saute dans les bras.
Les visites étaient interdite mais l'infirmière la laisser entrer car elle savait que j'en avait besoin.
- je te sortirai de la, tu as ma parole.
L'infirmière nous laissa seule. On s'installa sur le lit, j'étais morte de fatigue et, au bout d'une heure je m'endors à ses côté.
Je me réveil quand j'entend la porte s'ouvrir mais je fais mine de dormir encore. Surtout que Spike n'étais plus à côté de moi.
- que faite vous la? Dit une voix d'homme d'un ton agressif.
Heureusement Spike n'étais peut être plus à côté de moi, mais il étais rester dans ma chambre.
- Bonjour, je suis un oncle éloigné de Kira ainsi que son thérapeute. J'ai fait un tour dans votre établissement et je suis désolé de vous le dire mais se n'est pas un endroit propice pour Kira, cette endroit ne l'aidera en rien. Vos soins seront inefficaces. Une hospitalisation est donc inutile dans se cas, elle est en voie de guérison je peux vous ramener son dossier demain s'il vous faut une preuve. Ainsi je vous propose de la relâcher et de me laisser finir de m'occuper d'elle. Cet endroit la plongera à nouveau dans la solitude et le désespoir, elle tombera encore plus profondément dans sa dépression.
Son discours était très convainquant, j'aurais été le psychiatre j'aurais accepter sa demande sur le champs.
- ses parents ne m'ont pas parler de sa.
- Kira était volontaire pour prendre ses soins, elle est venu me voir d'elle même sans mettre ses parents au courant pour ne pas les inquieter.
- pourquoi n'avez vous pas mis ses parents au courant ?
- secret médical voyons.
Le psychiatre semblait gêner.
- euh oui c'est vrai, très bien. Veuillez me suivre.
Ils sortent tout deux de la chambre.
Quelque minute plus tard, Spike revint. J'étais assise contre le mur, la tête dans mes bras.
Je lève la tête il me tend sa main, je la prend il me lève et il me prend dans ses bras.
- se soir je te fais un dossier en béton et je te jure que demain tes dehors.
- merci...
Il m'embrasse, on reste encore un peu ensemble puis il part.
Je m'assis sur le lit et commence à réfléchir. J'ai pas de sentiment pour lui, je ne suis pas amoureuse de lui tout se que je ressens c'est de l'amitié. Vous me direz "alors pourquoi tu le laisse t'embrasser ?" Tous simplement parce que je sais que lui m'aime bien plus qu'en amitié et avec tout se qu'il fait pour moi je ne peux pas le repousser, il a aussi le droit d'y gagner quelque chose.
Le lendemain matin comme promis il ramène le dossier, le psychiatre accepta de me laisser sortir.
- Spike... merci, merci pour tout. Tes le meilleur, je te doit ma vie.
- c'est normal Amour. Aller viens, on part de cet endroit.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro