Je suis tombé sur une image aujourd'hui, elle m'a fait rire, puis j'ai réalisé a quel point c'était juste. Parce que je ne sais pas pourquoi, mais dès que quelqu'un de bien s'approche de moi, je le repousse. Je l'éloigne avant qu'il n'est eut le temps de comprendre. C'est violent et brutal. Je me décide sur un coup de tête. Parce que je panique. Parce que je sais ce que c'est d'aimer inconditionnellement et de devoir sans relevée.

J'ai tournée la page, ça j'en suis sure. Mais ce qui est sûre, c'est que je ne fais plus confiance a quiconque qui pourrait être un ou une possible prétendant. Alors j'attends, je comble mes nuits par la musique de mes amours. De ces cinq garçons qui ignorent qui je suis, mais que j'adore. Je comble ma peur avec cette peluche que je serre a en avoir mal au bras la nuit. Je comble le vide ainsi.

Parce que c'est vrai. À mes yeux, chaque personne qui m'approche semble bien, puis je leur trouve tout les défauts du monde. Et je sais que c'est ma façon de me défendre. Ma façon de ne pas revivre ce que j'ai vécu. Mais je dois m'y faire, je dois apprendre a apprécié les gens, parce que sinon je vais finir seule pour l'éternité et ça me terrifie.

C'est bizarre non, mais j'ai peur que personne ne puisse apprécié une fille comme moi, une fille avec un passé pas toujours lumineux, une fille qui a peur de montrer ce qu'elle est vraiment parce qu'au fond il ne reste pas grand chose. Mais cette fille se reconstruit et c'est ça l'important. C'est ce qui compte au fond. De se rebâtir une vie.

Don't you let it kill you
Even when it hurts like hell
Oh, whatever tears you apart
Don't let it break your heart
Louis