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Chapitre 41: La semaine décisive du pouvoir

PDV de Noah :

-C'est l'heure Noah, m'annonce Javier.

Je réponds en hochant seulement de la tête et fixe du regard John. Celui-ci me sourit en rechargeant son arme et la range derrière son dos. Je sais d'avance qu'il possède également plusieurs couteaux dans ses chaussures et sur ses bras. Un vrai malade quand il s'y met. Je réajuste ma veste en cuir noir et me dirige vers ma Range Rover HSE, achetée la semaine précédente, mon petit bijou.

J'étais habillé d'un jean serré noir et troué au niveau des genoux, avec un t-shirt blanc, une chemise noire et des lunettes de soleil accroché à mon t-shirt. Un look de bad-boy diraient certains, mais c'était ma tenue dans la mafia. Je m'installe au côté conducteur tandis que John s'assoit sur le siège passager. Il porte une tenue similaire à la mienne, à l'exception que son t-shirt est noir et qu'il porte une veste de costume noir.

Cela fait deux jours que j'ai pris la décision de reprendre les rênes de la mafia. Le lendemain, j'ai annoncé la nouvelle à John et Javier. John m'a soutenu et a réaffirmé sa participation tandis que Javier a soufflé de soulagement. Il lui a alors fallu une journée pour préparer la semaine décisive du pouvoir, la semaine où je devrai affronter tout adversaire s'offrant à moi. Cela avait fait beaucoup de boucan, surtout lorsqu'on y ajoutait le fait que la légendes des Tigres blancs étaient de retour...

Hier, John s'était également arrangé pour que Nathan, le demi-frère d'Amber à ce que j'ai compris soit dans la même cellule qu'elle. Amber... et dire que je fais tout cela pour elle. Je serais prêt à tout pour la sauver, même à retomber dans mes vices... Les pires quand on y réfléchit. C'est vrai, plus qu'une drogue, la mafia vous enferme dans un cercle infernal dont vous ne sortirez pas sans y laisser votre peau.

Javier rentre dans une autre voiture, accompagné de quelques gardes. Au final, un cortège de trois voitures quitte la propriété de la mafia : c'est le premier jour de la semaine décisive, je vais devoir me présenter officiellement à l'un de nos principaux fournisseurs. Nous avons rendez-vous avec lui dans un entrepôt éloigné de Los Angeles, où siège le manoir. Celui-ci nous appartient et est isolé de toute habitation.

-Tu m'expliques pourquoi tu portes autant d'armes sut toi alors que tu ne seras pas directement sur le terrain ? Je demande à John en ricanant.

Il me lance un regard noir avant de répondre.

-C'est pas de ma faute si mon connard de meilleur ami veut me tenir éloigner.

-Mais qu'est-ce que tu racontes ! Tu es mon arme spéciale, je te garde précieusement tu vois ?

-Ouais, c'est ça, soupire-t-il.

-Allez, arrête de bouder. J'ai besoin de mon meilleur ami au meilleur de sa forme.

-On parle de moi je te rappelle, râle-t-il. Ne t'inquiète pas, je ne raterai rien.

Avant de partir, nous avions eu un petit debrief sur le déroulement du rendez-vous. Il n'y avait aucune raison de penser que cela se terminerait mal mais bon, on ne sait jamais. C'est assez ironique en y pensant car ce n'est que durant la période de succession que les membres de la mafia deviennent fourbes. En dehors de cette période, les membres ne tentent jamais d'atteindre le chef: non seulement parce que celui-ci est intouchable, mais également car la personne qui attentera quelque chose contre lui mourra dans tous les cas. Au final, cette personne ne gagnerait rien.

Alors que durant cette période, le successeur comme moi est "vulnérable" dans le sens où si quelqu'un décide de le tuer, il le peut et s'il survit jusqu'à la fin de la semaine décisive du pourvoir, alors il peut s'octroyer le trône. Bien évidemment, c'est ce que je cherche à éviter.

C'est la voiture de Javier qui mène le cortège jusqu'à l'entrepôt. Nous arrivons aux alentours du bâtiment avec une dizaine de minutes d'avances. De loin, je vois quelques uns de nos hommes, déjà en place depuis quelques heures maintenant. Ils sont éparpillés et cachés tout autour du bâtiment. Nous nous arrêtons pour donner les derniers ordres à nos hommes.

-Bonne chance mon pote, me lance John en me tapant la main. Surtout, ne te fait pas tuer bêtement.

-Haha ! Je n'en ai pas besoin. Et toi, tire bien s'il te plaît.

-Tu penses que j'en aurais besoin ?

-On ne sait jamais.

Il sort de ma voiture et prend son énorme sac de sport à l'arrière. Il s'enfonce dans les fourrées avec quelques hommes tandis que j'attends que Javier termine de donner les instructions. Celui-ci, étant mon prédécesseur doit s'assurer que l'organisation de chaque rencontre se passe correctement. Avant chacune d'entre elle, une réunion stratégique a lieu entre lui, son bras droit Oren, John et moi. Durant toute la semaine, nous sommes une équipe, le but étant que je termine cette semaine en vie.

Quelques minutes plus tard, Javier me fait un signe et remonte en voiture : les voitures peuvent repartir. Je me réengage sur le sentier en terre battue et enfile mes lunettes de soleil. Nous arrivons à destination quelques minutes plus tard, et garons les voitures à l'entrée du bâtiment. Devant celui-ci, plusieurs gardes sont postés. Ils baissent tous la tête en nous voyant arriver, signe de respect. Jusque-là tout va bien.

L'entrepôt se situe éloigné de toute habitation, dans une zone industrielle abandonnée depuis un moment maintenant. La mafia utilisé parfois ses entrepôts pour des transactions importantes, la zone étant entourée d'une petite forêt dominé par des herbes hautes bouffantes et des champignons en tout genre. L'homme n'a pas réussi à exploiter complètement la terre ici.

Je fais signe à mes hommes pour que seulement trois d'entre eux me suivent. Avec Javier et Oren bien évidemment. Nous rentrons dans le vieux bâtiment et arrivons dans une grande pièce centrale, dénués de tout meuble. La porte se referme derrière nous. Le sol poussiéreux, auparavant blanc, a pris une couleur grisâtre, les murs tâchés de multiples traces dégagent une telle humidité que c'est à peine si l'air est respirable. De plus, il n'existe qu'une seule fenêtre cassée qui laisse, heureusement l'air passé dans cet endroit immonde.

Au centre de la pièce, une petite table en bois semble désuète, un fauteuil sur lequel est assis un homme sans âge est disposé sur le côté de celle-ci.

Hernando Pastel.

Dirigeant du trafic d'armes entre les Etats-Unis et le Mexique, l'un de nos plus grands collaborateurs. Il est également le chef de nombreux gangs dans le pays. Grand, cheveux poivre et sel et portant un costume noir, il est ce qu'on pourrait appeler de séduisant si l'on ne regardait pas ses yeux plein de vices. Ce n'est pas un tendre, un cauchemar même dans le milieu. Il a laissé plus de morts derrière lui que de femmes dans son lit, et Dieu seul sait à quel point il aime les femmes.

Je ne l'ai jamais aimé ce connard.

Nous nous approchons de lui avec Javier et Oren tandis qu'Hernando se lève une cigarette à la bouche.

-Quel plaisir de vous voir, s'écrit-il.

Il serre ensuite les mains d'Oren et de Javier. Arrivé face à moi, il tend sa main mais je ne la lui serre pas.

-Tu as grandi petit, siffle-t-il. Quel heureux retour !

Je hoche simplement la tête. Pas besoin de gâcher ma salive devant un pourri tel que lui.

-Heureux de voir que tu es toujours aussi en forme, soupire Javier.

-Disons que la vie est belle, lui répond celui-ci en éclatant de rire. Mais nous ne sommes pas là pour parler de ça.

Il recule et retourne s'assoir dans son fauteuil. Je ne dis rien et fais face à son manque de respect. Qu'est-ce que j'aimerai lui casser la gueule pour lui enlever son air suffisant.

-Alors comme ça, Noah veut succéder à son grand-père. Que c'est touchant, dit-il le mégot à la bouche.

-Comme tu connais les traditions Hernando, rétorque Javier, Noah est venu se présenter à toi comme successeur. Libre à toi de prendre une décision.

-As-tu des objections ? Demande Oren de sa voix bourrue.

Hernando me fixe pendant ce qu'il me semble des minutes avant de sourire et de jeter sa cigarette au sol.

-Tu sais gamin, je t'ai vu t'entraîner avec Dante il y a quelques années et j'ai été impressionné par ta force pour un si jeune âge. Sans aucun doute, tu étais bien le petit-fils de Dante. Fort, courageux, intelligent, tu as toutes les capacités pour devenir un bon chef.

Il s'approche de moi et je comprends à son regard qu'il va faire le con.

-Mais, j'ai un petit problème : ton âge. Je suis désolé de dire ça Noah, mais tu es un enfant, tu n'es même pas majeur. Tu ne connais rien à la vie. En plus de cela, tu as passé deux ans de ta vie loin d'ici. Les choses ont changé mais toi tu es resté un gamin.

En une fraction de seconde, il sort son arme et la pointe sur moi. Lorsque je tourne la tête, je vois que ces hommes nous encerclent, les armes pointées vers nous.

-Eh oui Noah. Je n'ai jamais voulu que les choses se passent comme ça, mais je n'ai pas le choix. Maintenant, je vais vous demander à tous de poser toutes vos armes au sol. Et les mains en l'air.

Je me retiens de ne pas lever les yeux au ciel et sors les deux armes que je cachais dans mon dos. Oren, Javier et nos trois hommes font de même en me voyant faire. Je vois Oren avec des yeux exorbités mais je ne dis rien. Nous levons alors lentement nos mains en l'air.

-Javier, viens vers moi maintenant. Viens voir ton neveu mourir sous mes mains. Et surtout, viens doucement, il ne faudrait pas qu'une de mes balles partent mystérieusement.

La seule personne ayant le droit de proclamer la défaite d'un prétendant au chef de la mafia est le chef de substitution, en l'occurrence ici, il s'agit de Javier. Sans que je ne le contrôle, un rire me prend. J'explose de rire sous les yeux ébahis de l'assistance. Javier avance doucement vers Hernando, les mains toujours en l'air.

-Pourquoi ris-tu espèce de fou ? S'écrit Hernando.

-Non, mais c'est une blague ? Je ricane. Dites-moi que c'est une caméra cachée parce que c'est hilarant.

-Tu tiens autant que ça à la mort ?

-Ah non, je ne rêve pas.

Je hoche la tête lentement et fixe Hernando du regard.

-Tu penses vraiment me tuer aussi facilement ?

Un éclair de doute passe dans les yeux de Hernando avant qu'il ne hurle que l'on me fouille. Un de ses hommes arrive alors et me tâte le corps.

-Doucement, pas touche à mes couilles, espèce de pervers !

Celui-ci me fout un coup de poing dans le ventre en guise de réponse. Je me plie en jurant mais il me relève et continue de me fouiller. Il finit par faire un signe à son chef avant de s'éloigner.

-Tu es encore plus con que je ne le pensais Noah.

-Pas vraiment, non. Dans l'histoire, c'est toi le plus con Hernando. Tu ne vois pas qu'il y a quelque chose qui cloche ?

-Tu parles trop ga...

Il s'arrête brusquement en voyant un point rouge illuminé son cœur.

-Tu as vraiment cru que je viendrais ici sans mes précautions ? Tu es bien naïf. Tu te rappelles de John, eh bien il est là dehors avec un magnifique fusil de précision gros calibre, tout droit arrivé d'Allemagne. Je ne vais pas te dire exactement de quelle marque il s'agit mais je sais juste que John s'est parfaitement l'utiliser mais bon, c'est du blabla inutile puisque tu es déjà au courant. Alors tu peux me tirer dessus, mais tu mourras juste après. La seconde d'après ce sont tes hommes qui mourront. Je survivrai avec un très bon médecin et toi...

Hernando ne me répond pas. J'entends d'ici les rouages de son cerveau. Il sort finalement un sourire factice et lève son arme en l'air.

-Je savais que tu en avais dans le froc. Baissez-vos armes, dit-il à ses hommes. Bienvenue parmi nous garçons.

Il ricane et me serre la main de force. Je le lâche et ramasse mes armes. Je rigole avec lui, range l'une de mes armes dans mon dos et garde l'autre en main.

-Vous avez là un bon gamin, continue Hernando en s'adressant à Javier.

Je souris et la seconde d'après, tire sur sa jambe. Il pousse un cri de douleur et s'écroule au sol. La plupart de ses hommes lève alors leurs armes sur moi. Mes hommes débarquent alors dans l'entrepôt et pointent tous les hommes de Hernando.

-C'est à vous de voir, je lance aux hommes d'Hernando pendant que celui-ci git au sol, mon arme toujours pointée sur lui, vous êtes avec moi et je vous épargne, ou vous êtes contre moi et vous mourre tous.

Ils me regardent avec des yeux apeurés avant de jeter un à un leurs armes. Je me tourne ensuite vers Hernando et lui prends son arme.

-Arrête de geindre comme une mauviette Hernando. Aujourd'hui, tu viens de comprendre qui j'étais : le futur El Toro. Alors, mets-toi bien une chose dans le crâne, le prochain manque de respect que tu feras preuve envers moi te mènera directement en enfer, est-ce clair ?

Celui-ci me regarde les yeux larmoyants avant de hocher la tête.

-Bien, je lance en me relevant. On peut y aller, je fais un signe à Javier.

Celui-ci hoche la tête et nous nous dirigeons vers la sortie. Je retourne dans ma voiture et démarre pour aller chercher John. Celui-ci est bien descendu de son perchoir et m'attend un peu plus loin. Arrivé près de lui, il monte dans ma voiture avec son sac.

-Ça s'est bien passé au final ? Non ?

-Ouais. Il a un peu déconné mais je l'ai calmé.

-Cela m'avait manqué, dit-il après quelques minutes de silence.

-Moi aussi.

La semaine décisive du pouvoir passe assez lentement. Chaque jour commence par un nouveau rendez-vous dont trois d'entre eux par des combats avant de se ponctuer par une victoire. Mes adversaires m'avaient quasiment tous sous-estimés, ils avaient été déçus. Je n'en avais tué aucun pour l'instant; comme la tradition l'exigeait, je devais juste les enfermer s'ils abdiquaient. Personne ne s'est trouvé dans le cas échéant pour l'instant.

Aujourd'hui, nous sommes vendredi, et c'est le dernier jour de la semaine décisive du pouvoir. Je ne m'en sors pas trop mal avec plusieurs hématomes, une plaie ouverte en voie de cicatrisation sur mes côtes et quelques coupures. La seule chose qui risque de me causer un problème est mon genou droit : lors de mon dernier combat, un connard a réussi à me déboîter celui-ci. Bien évidemment, ce con a payé pour cela et risque de s'en souvenir toute sa vie... Néanmoins, si mon genou a été remis en place, cela n'empêche que je suis fragilisé de la jambe droite, qui est maintenu par une attelle. Pour l'instant, cela ne me préoccupe pas trop, je peux toujours me défendre mais avec modération.

J'ai déjà rencontré les associés, les fournisseurs et les collaborateurs les plus importants de la mafia. Généralement, le dernier jour de la semaine décisive du pouvoir est assez calme, peu ose affronter le successeur. Javier en est d'ailleurs tout fier : il est certain que je prendrais sa place. Je n'en pense pas moins mais je préfère rester sur mes gardes, on se sait jamais. La cérémonie de succession aura lieu demain matin et Javier et son équipe la préparait. Pendant ce temps, John et moi étions sur le qui-vive.

Il est dix-neuf heures, et Javier me convoque dans la salle du trône, une immense pièce dans laquelle a lieu le bal annuel de la mafia. C'est dans celle-ci que se fera également la cérémonie de succession. Je retrouve Javier en train de discuter avec un gars de la maintenance. Pour l'occasion, la salle a été savamment décorée. Les lustres scintillent de milles feux, les tables sont toutes disposées de telle sorte que la table centrale placée au fond de la salle soit mise en avant. Une allée centrale mène d'ailleurs à cette table: un tapis rouge se déroulant de la grande porte jusqu'à la table. Tous les membres de la mafia sont invités à la cérémonie, le but étant de présenter le nouveau chef. Il y a plusieurs personnes dans la salle, s'attelant à la décoration des tables.

-Noah, me dit Javier en me voyant, je voulais te demander si tu souhaitais porter le costume de cérémonie de Dante ?

-J'y suis obligé ?

-Non mais il faudra donc que tu en achètes un et te connaissant tu auras la flemme.

-J'ai déjà des tenues avec moi qui pourraient faire l'affaire. Par contre, je vais utiliser ses accessoires.

-Pour le narguer même en haut ? Ricane-t-il.

-Exactement, je souris.

En effet, depuis la première fois que j'avais vu Dante, ses bracelets et ses bagues m'ont toujours fascinés mais il m'avait toujours interdit de les toucher. Toujours. Mais maintenant, il n'était plus là pour me surveiller... Je continue à discuter avec Javier de la cérémonie mais bizarrement, et sans que je ne comprenne pourquoi, je ne me sens pas à l'aise dans la salle. Toutes ces personnes...

Je n'ai pas le temps de m'interroger davantage que John m'appelle. Je fronce les sourcils en voyant son prénom s'afficher. Pourquoi m'appelle-t-il alors que nous sommes à quelques mètres l'un de l'autre ? Mon meilleur ami n'est pas du genre à m'appeler pour rien. En plus, il était censé me rejoindre il y a quelques minutes maintenant.

J'allais décrocher quand les grandes portes se ferment brusquement. Je lève la tête et observe Merias s'approcher lentement vers moi. Il n'est pas le seul et sans que je n'ai le temps de réagir, tous les hommes de la salle pointe leurs armes sur moi.

-Il est temps pour toi de mourir Noah, me dit Merias d'une voix menaçante.

Et merde !

___________________________

Voilà le chapitre 41!!!!

Mon Dieu! J'ai cru ne jamais le terminer 😂😂

Sinon, comment l'avez-vous trouvé?
On découvre un autre côté de Noah... Les choses se corsent pour lui.

Je vous préviens, on se rapproche de la fin de la première partie de l'histoire, quelques chapitres (5-8), je ne sais pas encore 😅😅
Par ailleurs, je ne sais pas s'il faut que je m'arrête à la première partie ou que je continue? Donnez moi vos avis

(À mon avis, à la fin de la première partie, vous demanderez une suite mais bon 😅😅😂)

À part cela, j'ai une bonne nouvelle à vous annoncer : j'ai eu mon bac!!! 😍😍 voilà 😂 et j'espère que tous ceux qui l'ont passés l'ont également eu. 😘

Je vous annonce aussi que je pars en voyage humanitaire au Brésil pendant trois semaines dans moins de deux semaines. J'essaierai de vous poster un chapitre avant mais je ne vous promets rien parce que je ne pense pas que je pourrais le faire là-bas 😅

Merci encore pour tous mes nouveaux lecteurs ! 😍 j'espère que mon histoire continue à vous plaire 😅

N'hésitez pas à voter et à commenter, je réponds à tout!!!!! 😍😂

A la prochaine et bisous de moi!!!  😍😍😘❤️

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