Partie 9
Kaïa soupira et le suivit vers la grande bâtisse en bois. Ils entrèrent sans faire de bruit. Ivar l'emmena dans sa chambre éclairé par une bougie. Elle s'affala sur le lit. Ivar commença à se déshabiller.
- Kaïa, change toi.
Elle se redressa sur ses coudes et pose sa tête dans ses mains pour le regarder.
- J'ai pas de chemise. Elle le regarda longuement.
Ivar lui lança sa chemise qu'il venait d'enlever. Elle l'attrapa et se leva.
- Où puis-je me changer?
- Tu peux le faire devant moi cela ne me dérange en aucun cas.
- Ivar.. Soupira t-elle.
- Derrière le drap.
- Merci. Lui souria t-elle.
Elle se dirigea vers le drap et passa derrière celui-ci. Elle enleva sa robe et la laissa tomber à terre. Elle enfila la chemise d'Ivar rapidement.
Ivar a l'autre bout de la pièce. Ne garda que son caleçons pour dormir. Il s'installa assis dans le lit et attendit Kaïa. Le drap était tellement fin qui pouvait voir l'ombre de son petit corps. Il pencha la tête et se mordit la lèvre supérieure. Kaïa sortit de derrière le drap et vint s'allonger à ses côtés. Elle se mit sur le côté et le regarda.
- Pourquoi tu souris? Demanda t-elle.
Ivar n'avait même pas vu qu'il souriait.
- Pour rien.
- Je ne te crois pas. Ivar dis moi.
- Non.
Kaïa non contente de cette réponse décida de lui tirer les vers du nez. Elle monta à califourchon sur lui. Il fut d'abord étonné mais se reprit très vite et agrippa ses hanches férocement. Kaïa frissonna, elle se réinstalla sur lui de sorte à ce que son intimité soit collée à la sienne. Elle lui souria malicieusement.
- Ivar dis moi. Exigea t-elle.
- Depuis quand tu exiges petite chose?
- Depuis que tu dois te faire pardonner le sanguinaire. Elle appuya bien sûr les deux dernier mots.
Les yeux d'Ivar se voilèrent. Il voulut faire descendre Kaïa de ses genoux mais celle-ci l'en empêcha en entourant son cou de ses bras.
- Non! Tu ne peux pas te braquer dès que je te dis quelque chose qui ne te plait pas. Elle prit son visage dans ses mains. Tu as fais une erreur à toi de la rattraper. Elle approcha son visage du siens et colla ses lèvres aux siennes. Ivar répondit à son baiser et la serra contre lui.
- Dis moi s'il te plaît. Chuchota t-elle contre ses lèvres. Ivar était comme envoûté par elle.
- Avec la lumière le drap m'a laissé apercevoir ton corps et je dois dire qu'il est comme dans mes rêves. Kaïa se redressa ce qui fit grogner Ivar.
- Dans tes rêves? Tu as rêvée de moi? Ria t-elle.
- Oui, je ne te l'avais pas dit? Il fit l'étonné.
- Bien-sûr que non! S'exclama t-elle. Tu en as fais beaucoup?
- Plusieurs. J'en fais depuis le premier jour de notre rencontre.
- Je savais que je ne te laissée pas indifférent. Rigola t-elle.
- Tu vas me faire croire que moi je ne te plaisait pas? Tu voulais absolument me
revoir chaque jour.
- C'est vrai, tu me plais.
- Je te plaît encore?
- Bien-sûr que oui! S'exclama t-elle.
- Je suis satisfait, il aurait été gênant que je ne plaise pas à ma femme.
Kaïa se crispa instamment.
- Ivar, nous en avons déjà parlé! Je ne t'épouserais pas maintenant.
- Je te les déjà dis et je te le répètes, je veux que tu deviennes ma femme mais pas dans dans 1 mois, non dans 1 semaine.
- Non! S'exclama t-elle. Tu ne peux pas faire cela. Un mariage ne s'organise pas en 1 semaine! Tu ne peux pas me forcer, je ne suis pas prête. Elle commençait à s'agiter et descendit de ses genoux.
- Je peux et je vais le faire. Il l'a regardait droit dans les yeux. Kaïa avait les larmes aux yeux. Elle savait qu'il était sérieux.
- Je peux pas rester ici, j'ai besoins d'air. Elle s'apprêtait à se lever quand il l'a retint.
- Ne sort pas dehors il fait trop froid pour tu sortes. Kaïa était épuisée par cette journée dure en émotions. Allonge toi et dort. Il s'allongea sur le coté droit du lit et lui tourna le dos. Kaïa soupira et s'allongea à son tour dans le grand lit du plus jeune des Lothbrok.
- Dors maintenant Kaïa. Grogna Ivar en soufflant sur la flamme de la chandelle.
Kaïa ne répondit pas trop énervée contre lui. Elle lui tourna également le dos. Elle ne tarda pas à trouver le sommeil épuisée par cette journée.
/ Kaïa se trouvée dehors, dans le froid et la brume. Elle était seulement habillée de la fine chemise d'Ivar.
- Bonjour Kaïa.
Elle se retournait à l'entente de cette voix.
- Mère ? La voix de Kaïa était tremblotante. Devant elle se trouvait sa mère biologique.
- Oui ma puce c'est moi.
- C'est impossible. Toi et père avez disparue il y a des années! Kaïa avait les yeux exorbités.
- Kaïa..elle tenta d'avancer vers elle.
- NON! S'exclama t-elle.
- Kaïa, ton père et moi sommes en vie!
- Ce n'est qu'un rêve. Cria t-elle.
- Non, nous nous verrons très prochainement.
- Tu mens. Hulk t-elle. Tous ceci n'est qu'un rêve.
Elle recula jusqu'à se retourner et commença à courir droit devant elle. Elle ne savais pas où elle allait. Elle ne désirais qu'une seule choses; partir loin d'ici. Elle se retourna pour regarder derrière elle. Elle ne pu donc pas voir l'énorme raconte devant elle. Elle trébucha sur celle-ci et tomba à terres s'assommant au passage. Elle perdit connaissance quelques minutes avant de revenir à elle. Elle se retourna sur le dos et fit face à ses deux parents. Elle n'eut pas le temps d'ouvrir la bouche qu'elle retomba dans la noirceur de l'inconscience. /
Kaïa se réveilla en sueurs. Elle s'assit sur le lit et se passa une mains sur le visage. Ce rêve était plus qu'étrange. Revoir ses parents après tant d'années était déroutant. Elle se recroquevilla sur elle même. Elle sursauta en sentant une main dans son dos. Elle se retourna et découvrit Ivar, les yeux encore endormît.
- Pourquoi ne dors-tu pas? Lui demanda t-il d'une voix ensommeillée.
- J'ai fais un drôle de rêve. Elle se rallongea d'elle même en posant sa tête sur le torse d'Ivar.
- Raconte moi. Elle soupira et posa sa main sur son abdomen.
- J'ai revu mes parents biologiques. Ma mère me disait qu'ils étaient encore en vie et que nous nous rêverions bientôt. Elle soupira une nouvelle fois. Ca avait tellement l'air réel. Chuchota t-elle. Il passa une main dans ses cheveux et les caressa délicatement.
- A quoi ressemble t-ils?
- Mes parents? Demanda t-elle, il hocha la tête.
- Mon père est un homme grand, fort et intelligent, c'est de lui que je tiens mes yeux. Ma mère, quand à elle est une femme bienveillante et aimante. On me dit souvent que je suis un mélange des deux physiquement et mentalement.
- C'est duquel que tu tiens ton caractère de cochon? Demanda t-il.
- De ma mère. Ria t-elle. Elle remonta son visage vers le siens Mon caractère ne te plait pas?
- Je pourrais m'y faire. Je serais le dompter.
-Ah oui, tu crois?
- Oui, la femme d'un chef se doit de rendre fière son mari.
- Je ne changerais pas et surtout pas pour un homme.
Ivar agrippa l'arrière de la tête de Kaïa et rapprocha son visage du siens.
- C'est ce qu'on verra, stupide fillette.
- Arrête de m'appeler comme cela. Je te rappel que tu as rêvé de moi et je doute que dans tes rêves je me comporte comme une fillette. Elle disait la dernière phrase en approchant son visage du siens.
- C'est vrai dans mes rêves, tu étais tous sauf une enfant. Tu étais une femme. Il resserra l'emprise qu'il avait sur ses cheveux pour qu'elle se rapproche encore plus de lui.
- Et en vrai? Je suis une femme ?
- Je ne sais pas, il me faudrait une démonstration.
Kaïa se redressa et s'installa à califourchon sur lui.
- Une démonstration? Alors je pense que cette chemise est de trop? Minauda t-elle.
- Je pense effectivement qu'il faudrait que tu enlèves cette chemise.
Ivar enleva ses mains de ses cheveux et les descendit sur ses hanches sous sa chemise. Elle leva les bras pour l'incitait a l'enlever et c'est qu'il dit. La chemise vola à traversa la chambre. Se retrouver nu devant cette qu'elle appréciait beaucoup l'intimidée. Elle sentait son regard sur son corps ce qui la frissonner. Ivar remonta ses mains le long de son corps et les posa sur sa poitrine.
Kaïa frissonna à se contacte. Il les caressa pendant quelques minutes la faisant haleter. Il redescendit ses mains que ses hanches pour les agripper férocement. Kaïa enserra sa nuque de ses mains. Elle posa ses lèvres sur les siennes et l'invita à rejoindre ce baiser sensuel. Ce qu'il fit répondant à son baiser.
La pièce devint plus chaude et l'air plus lourd. Le baiser s'intensifier au fur et à mesure que les secondes passés. Les mains d'Ivar caressées le corps de Kaïa passante de sa protéine descendant sur ses fesses. Les mains de Kaïa quand à t-elle ne restèrent pas inactive, elles parcoururent les joues, le torse et l'abdomen d'Ivar. Étant de plus en plus excité par la situation, Ivar retourna Kaïa pour la coucher sur le matelas. Il enleva son pantalon avec hâte et maladresse. Kaïa resta couchée sur le lit à le regarder enlever son caleçon à toute vitesse.
Il revint sur Kaïa qui se plaça correctement sur lit. Il embrassa son cou avec beaucoup de délicatesse. Une main près de sa tête l'autre près de hanches. Il rentra en elle les yeux dans les siens. Kaïa grimaça de souffrance quand le viking rentra plus profondément en elle. Ivar rejeta sa tête en arrière sous l'effet du plaisirs. Il amorça de lents vas et viens pour commencer avant d'accélérer. Leurs corps bougeaient en harmonie. L'extase arriva après de violent mouvements. Ivar tomba sur elle essoufflé. Kaïa caressa ses cheveux, le souffle court. Il se redressa, déposa un baiser sur ses lèvres et roula sur le côté. Kaïa remonta les couvertures sur eux et se mis sur son flanc. Ivar fit de même et ils se regardèrent dans les yeux. Kaïa alla se coller à lui et passa ses bras autour de son cou. Ivar passa lui ses bras autour de ses hanches. Ils s'embrasèrent une dernière fois avant de sombrer dans le sommeil.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro