Partie 6
/Elle le regarda dans les yeux avant de lui sourire. Elle arrima ses hanches à celles d'Ivar. Elle commença à onduler des hanches lui faisant raffermir sa prise sur ses hanches. Il enroula ses bras autour de la fine taille de la jeune femme. Leur bassins s'emboîtèrent. Collant leurs intimités étroitement. Ivar grogna et Kaïa rigola. Elle entoura sa nuque de ses bras et frôla ses lèvres des siennes. La scène était sensuelle. Ivar décida d'accélérer les choses.
Il la souleva légèrement d'un bras et de l'autre il aligna son sexe à celui de la jeune fille. Elle s'agrippa à ses fortes épaules. Il rentra le bout de son sexe a l'intérieur du siens. Kaïa grimaça d'inconfort, pour oublier sa douleur, elle l'embrassa.
Ce baiser devint vite passionné. Leurs langues s'entremêlèrent et ne se lâchèrent plus. Ivar poussa de plus en plus son sexe à l'intérieur de Kaïa. Celle-ci le sera plus fort contre elle.
Avant d'être totalement en elle, Ivar sentit une fine résistance et c'est Kaïa qui la brisa. Elle s'enfonça en lui en un coup de rein. Elle souffla plusieurs fois pour essayer de s'habituer. Ivar la câlina et embrassa son cou espérant l'apaiser.
Kaïa laissa couler quelques larmes. Se sentant plus à l'aise, elle amorça quelque vas et viens lent, ses mouvements la faisaient souffrir mais les baisers d'Ivar dans son cou la détendit. Ils gémirent en cœur et Ivar accéléra les vas et viens à l'aide de ses mains posés sur les hanches de Kaïa.
L'orgasme les frappa, ils se laissèrent aller l'un contre l'autre. Kaïa se souleva d'Ivar et s'allonger à ses côtés. Ivar se coucha et l'attira à lui. Elle posa sa tête sur son torse et le caressa. Ivar passa sa main dans ses cheveux et la descendit dans son dos.
Elle frissonna et ferma les yeux. Le moment était tendre.
- Je t'aime Ivar.
- Je t'aime aussi Kaïa. /
Ivar se réveilla en sursaut. Il regarda autour de lui mais ne vit rien. C'était le calme complet. Il se passa une main dans les cheveux. Il était essoufflé, ce rêve avait l'ai si réel. Il éteint pourtant sur d'avoir senti le grain de sa peau sous ses doigts.
Toutes les nuits depuis qu'il était ici se ressemblaient. Il rêvait de Kaïa, de pouvoir la toucher, l'embrasser et de la combler. Il n'était pas sûre de pouvoirs la combler un jour. Mais depuis ses rêves, il reprenait peu à peu espoir. Le fait de l'imaginer nue devant lui avait réussi à réveiller le bas de son corps endormit jusqu'à maintenant. Le bruit de froissement d'un peau le sortit de ses pensées.
Il tourna la tête et trouva Björn, l'aîné de la fratrie dans sa tente.
- Mon frère, je suis étonné de te voir déjà réveillé. Je dois dire que je suis déçu, je comptais de lancer de l'eau glacée pour te réveiller.
- Désolé de te décevoir mais ce n'est pas aujourd'hui que tu le feras. Ivar dégagea les peaux de son corps et sortit du lit. Il s'habille rapidement et remit ses cheveux en place.
- Nous ne partons pas tout de suite, il nous reste encore quelques tentes à ranger.
- Très bien, je vais faire un tour en forêt alors. Ivar commença à se diriger vers celle-ci.
- Ivar! L'appela Björn. Il se retourna vers lui. Ne te fais pas trop d'illusion. Elle ne viendra pas.
- Tu ne la connaît pas. Elle viendra j'en suis sûre.
- Je veux juste t'éviter une énième désillusion.
- Ne t'inquiète pas pour moi. Il partit sans se retourner derrière lui.
Arrivée à la forêt , il s'installa sur le tronc où il avait l'habitude de s'assoir. Il regardait la forêt tout en réfléchissant. Que ferait-il si elle ne venait pas? Il irait sans doute à son village la prendre de force et tuerais tout ceux qui se mettraient sur son chemin. Au risque de la perdre. Il était décidé à ne pas la laisser lui filer entre les doigts.
Dans un petit village non loin de la forêt, les villageois se préparer. Ils chargèrent les charrettes de tous ce qu'il au vaut besoin. Kaïa aida ses parents et sa sœur à charger la leur. Elle ne se posait pas la question, faisait-elle le bon choix. Elle était sûre de son choix. Elle voulait partir avec lui. Elle avait conscience qu'elle ne le connaissait à peine mais elle lui faisait confiance.
La nouvelle de son départ avait fait le tour. Elle eut le droit à des questions auxquelles elle ne répondait que très vaguement. C'était sa vie et elle faisait se qu'elle voulait. La guérisseuse du village l'avait mit en garde mais elle ne l'écoutait pas. Quoi qu'il se passerait elle assumerais ses choix.
Dès que la charrette fut pleine. Kaïa embrassa ses parents et sa sœur et les serra longuement dans ses bras.
- Je vous aimes, je reviendrait vous voir.
- Nous t'aimons aussi. Lui répondit son père.
- J'aimerais te dire de venir avec nous mais cela serait égoïste de ma part. Alors vis ta vie et sois heureuse. Avoua Rita.
- Je reviendrais je te les promis. Répondit-elle.
Ils entendirent tous le cloché qui annonçait leur départ imminent. Elle les embrassa une dernières fois.
- Tu seras une grande femme ne te laisse surtout pas marcher sur les pieds. Elle hocha la tête et sourit à sa mère. Ton père et moi avons un cadeau pour toi. Elle ouvrit grand les yeux.
Son père parti et revint quelques minutes plus tard accompagné d'une magnifique jument à la robe argenté. Kaïa ouvrit les yeux sous le choc.
- Je te présente Tonnerre, ta jument.
- Mais c'est trop. Elle chercha ses mots. Vous n'auriez pas dû. Elle caressa la croupe de l'animal fascinée.
- Nous voulions te l'offrir à ton anniversaire mais avec ce départ précipité nous avons trouvé judicieux de te l'offrir maintenant. Répondit son père.
- Merci, merci et encore merci. Elle sauta dans leur bras et les serra fortement contre elle. Je vous aimes tellement.
- Nous aussi.
Ils se firent couper par un des villageois.
- Adelbert, il va être temps de partir.
- Très bien. Il regarda sa fille. Soit heureuse ma fille, il embrassa son front et la libérera de son étreinte.
- N'oublie pas que nous serions toujours là pour toi. Sa mère lui embrassa la joie.
- Je t'aime ma sœur. Elle l'a prit dans ses bras. Reviens nous vite. Elle la relacha.
Kaïa monta sur sa monture son sac accrocha à sa monture et fit un signe de main à sa famille et galopa jusqu'à la forêt. Elle était partagée entre deux sentiments. La tristesse et la joie. Elle balaya d'un geste de la main la larme qui vaut coulée le long de sa joue. Elle arriva rapidement à la forêt car en cheval c'était toujours mieux qu'à pieds.
Arrivée à la lisière de la forêt, elle attacha Tonnerre à un arbre. Elle se dirigea à leur point de rendez-vous, elle ne savait pas si elle y trouverait Arson vu l'heure mais elle décida qu'elle l'attendrait toute la journée si il le faut.
Elle s'approcha du point de rendez-vous et s'aperçut qu'il y avait déjà quelqu'un assit sur le tronc d'Arson.
Puis en s'approchant d'avantage elle reconnut sa silhouette. Elle se dépêcha de s'approcher de lui, il se retourna entendant le bruit des feuille qui craquée et la reconnut.
Il se demandait ce qu'elle faisait déjà là. Peut-être était-elle venu lui annoncer qu'elle ne souhaitait pas venir? Il espérait que cela ne soit pas le cas.
Arrivée à sa hauteur Kaïa lui sauta dans les bras. Il répondit à son étreinte en passant ses bras autour de ses hanches. Kaïa se redressa légèrement et embrassa délicatement ses lèvres. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire. Ivar lui posa la question qui lui brûler les lèvres.
- Que fais-tu ici?
- Mon village part ce matin vers un autre village à cause des attaques des vikings. Il déglutit légèrement. Et moi j'ai pris la décision de partir avec toi. Souria t-elle.
- Vraiment? Demanda t-il surpris.
- Vraiment. Répondit-elle Tu n'as pas l'air content.
- Bien-sûr que si je suis heureux mais il faut que je t'avoue quelque chose.
- Vas y dis moi.
- D'abord tu dois me promette de ne pas partir et de rester à mes côtes quoi qu'il arrive.
- Je te le promets. Elle colla son front au siens et encra ses yeux dans les siens.
- Je t'es...
- Comme c'est mignon. Railla une voie forte.
Ils se décolèrent l'un de l'autre et se retournèrent vers la direction de la voix. Devant eux se tenait quatre hommes. Ivar les reconnut tout de suite. C'est hommes n'étaient que ses frères. Björn, Ubbe, Hvitserk et Sigurd. Il comprit que tous ne se passera pas comme prévu.
- Que faites-vous là ? Grogna t-il. Il sentit Kaïa se crisper alors pour la rassurer il l'a serra davantage contre lui.
- Nous venions te chercher Ivar. Les autres nous attendent.
- Arson qui sont-ils et pourquoi il t'appel Ivar? Kaïa commença à s'éloigner de lui.
- Kaïa écoute..
- Ah c'est toi la fameuse Kaïa ? Et bien, Kaïa nous sommes ses frères. Je m'appel Björn et voici, il désigna ses frères. Ubbe, Hvitserk et Sigurd. Et lui il pointa du doigt le jeune infirme. C'est Ivar. Nous sommes les Lothbrok.
Kaïa se détacha d'Ivar et se releva les jambes tremblotante et les larmes au yeux. Elle ne pouvait pas y croire.
- Ce n'est pas possible. Elle prit sa tête entre ses mains et se tournât vers Ivar. Dis moi que ce n'est pas vrai. Elle cria. Dis le moi! Ses yeux d'habitudes si bleu prirent une teinte grises. Tu t'es moquée de moi. Vous avez du bien rigoler. C'est vrai pourquoi est-ce ce que quelqu'un s'intéresserait à moi. Elle faisait les cents pas se moquant de la présence des cinq garçons. Rita avait raison, je suis stupide!
- Kaïa arrête.
- Toi arrête. Tu en as déjà assez fait. Hurla t-elle. Je ne veux plus jamais te revoir.
Ivar vu rouge.
- Et ta promesse? Tu crois vraiment que je suis le genre d'homme à se contenter d'un Non?
- Il n'y a plus de promesse. Elle le regarda une dernière fois avant de partir en courant en bousculant ses frères.
Ivar la regarda partir sans rien pouvoir faire.
- Vous devez êtres contents de vous?
- Ivar, elle l'aurait su a un moment ou un autre. Lui répondit Ubbe.
- Juste fermait la. Il descendit du tronc et se dirigea vers le campement. Celui-ci ci était vide. Il se tourna vers ses frères qu'il l'avait suivit. Ou sont-ils?
- On leur a donné l'ordre de commencer sans nous.
- C'est pas vrai! Hurla t-il. Kaïa. Il se dirigea vers son char et monta dessus.
- Que se passe-t-il ? L'interrogea t-il.
- Le village que l'on doit piller, c'est celui de Kaïa et elle se dirige droit là bas! Il prit les rênes de son cheval et prit le chemin vers le petit village.
Ses frères montèrent sur leur destrier et le suivirent.
Kaïa sorti de la forêt en courant et monta cheval. Il fallait qu'elle retourne dans son village. Elle espérait qu'ils ne soit pas encore partis. Elle laissa couler ses larmes le long de ses joues. Comment n'avait-elle pas pu le reconnaitre? Ses vêtements, son arrogance, son infirmité. Tous le village ne parler que des frères Lothbrok. Ils appelaient Ivar le sanguinaire. Elle accéléra la cadence voulant rentrer au plus vite.
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