/Ivar releva la tête de son corps pour la regarder dans les yeux. Elle le regarda et lui sourit tendrement. Elle caressait toute les parties de son corps à sa portée. En passant par son torse, par son cou, sa joue et vint agripper ses cheveux. Ivar grogna à ce geste et Kaïa rigola.

- Arrête ça stupide fillette. Grogna t-il.

Kaïa le fit taire par un geste qui le surprit. Pendant qu'il grognait, elle avait rapprocher son visage du siens. Elle avait d'abord effleurée ses lèvres des siennes puis sans attendre elle avait agrippée sa lèvres inférieur avec ses dents. Elle tira légèrement dessus ce qui fit encore grogner Ivar. Il resserrait ses mains sur les hanches de la jeune fille. Elle lui faisait un effet fou.

- Tu devrais arrêter de me taquiner si tu n'es pas prête pour la suite.

- Qui t'as dit que je n'étais pas prête? Lui répondit-elle avec un grand sourire.

Elle reprit ses lèvres sauvagement sans oublié de lui mordre la lèvre inférieure. Elle descendant de ses hanches.

- Que fais-tu?

- Je t'enlève ton pantalon, beaucoup trop encombrant pour ce qui va suivre.

Il rigola et la regarda faire. Elle manipulait ses jambes avec délicatesse et tendresse. Elle jeta le pantalon à terre et regardait ses jambes. Ivar était gêné. Elle caressa ses jambes et les embrassa en remontant. En passant par son ventre mais sans toucher son sexe en élection. Elle embrassa son torse, son cou, sa mâchoire et termina par ses lèvres. Celle-ci elle les embrassa tendrement en caressant ses joues. Elle le regarda dans les yeux avant de lui sourire./

Ivar se réveilla en sursaut suite aux coups donnés contre le bois de sa tente.

- Qu'est ce qui y a? Grogna t-il.

- Le voyeur est revenu, dépêche toi de te préparer.

Ivar soupira mais se leva quand même. Il s'habilla et sortit de sa tente. Tous étaient attroupé autour de l'homme. Ivar les poussa pour aller devant avec ses frère. Björn prit la parole.

-Maintenant que nous sommes tous présents. Il appuya son regard sur Ivar. Commence mon ami.

- Ils savent que nous sommes ici, sur leurs terres. Les villageois ont été prévenus de notre arrivée. Chaque village doit fuir avant notre arrivée et doit tous laisser derrière eux. Nous ne pouvons pas rester trop longtemps. Ils prévoient de nous attaquer dans trois jours. Ils faut que l'on partent. Parla l'homme.

- Depuis quand tu décides pour nous? Rétorqua Ivar.

- Ivar arrête ça. Ils nous restent encore deux village, nous ne partirons pas avant d'y être allés. Préparez vous, nous partons dans peu de temps et demain après midi nous ferons le dernier et partiront.

Tous les vikings approuvèrent. Björn s'éloigna, bientôt suivi par Ivar.

- Et si je voulais rester ici moi?

- Pourquoi voudrais tu rester? Devant le silence de son cadet il reprit. Pour qui devrais-je dire plutôt.

- Réponds moi.

- Qu'est-ce que tu veux que je te dise? Que ferais-tu ici? Tu ne connais personne! Pour les autres, tu seras un poids. Et cette fille là, tu crois vraiment qu'elle tient à toi? Laisse moi rire quand elle pourra trouver mieux elle te laissera. Ou alors quand elle saura qui tu es, crois moi qu'elle te laissera tomber et il sera trop tard pour revenir à Kattegat.
Alors prépares toi, on ne doit pas tarder. Il partit sans se retourner laissant Ivar avec ses idées noirs.

Les vikings partirent du campement et marchèrent vers le prochain village. Arrivée à celui-ci, le même phénomène que les fois derniers s'était produit. Le village étais vide de tous occupants. Les vikings pillèrent en groupe. Seul Ivar étais resté seul, il ruminé les paroles de son aîné. Il ne voulait pas y croire. Il entra dans une maison et trouva des accessoires pour femmes. Parmi eux, il trouva un foulard en velours noir. Il le prit et l'emmena avec lui.

Il retrouva ses frères.

- Tiens tu ramènes un cadeau à ton amie. Lui lança Sigurd.

- Ferme là.

- Laisse le tranquille. Rétorqua Ubbe.

Sigurd défia ses frères du regard et partit. Ils le suivirent. Ils sont bientôt rejoint par le reste de la troupe. Ils reprirent leur chemin dans le pus grand des silences.

A peine arrivé au campement, Ivar se dirigea vers la forêt. Quand il y arriva, il trouva Kaïa assit sur son tronc. Elle était de profile. Il l'a trouva encore plus belle. Des qu'elle l'aperçut, elle se leva et se précipita vers lui.

- Bonjour Arson. Elle se baissa à sa hauteur et embrassa sa joue.

-Bonjour Kaïa. Il était surprit par son geste spontané.

Il alla s'installer sur le tronc et attendit qu'elle le rejoigne. Elle s'installa assit face à lui.

- As tu passée une bonne matinée?

- Hm.

- Bon, il fallait que je réponde à ta question. Alors je m'appel Kaïa, j'ai 17 ans. Je vie dans un petit village à une heure d'ici. Je vie chez ma meilleure amie Rita car mes parents ont disparus lors d'une attaque viking lorsque j'étais très jeune. J'adore faire du cheval et les balades dans là forêt. Je n'ai jamais eu de petit ami et j'espère trouver quelqu'un qui m'aime. Voilà à toi.

- Une attaque viking ?

- Oui ordonné par Ragnar Lothbrok. Un guerrier nordique. Ils sont partis avec eux et depuis je n'ai plus aucune nouvelle. Ivar voyait bien que Kaïa souffrait. Parlons d'autre chose si cela ne te dérange pas? Il hocha la tête. Parle moi de toi Arson.

- J'ai rien à dire.

- Je suis sûre que si. S'il te plait, j'ai envie de te connaître.

Ivar soupira. Il n'avait pas envie de parler. Demain il partirait laissant derrière lui la seule femme qui s'intéresse à lui.

- J'ai 17 ans. Je vis dans un petit village dans le nord. Je suis un prince. J'ai quatre grands frères et j'ai perdue mes parents. Ils ont étaient assassinés. Le sujet était douloureux pour Ivar alors Kaïa décida de ne pas l'embêter avec cela.

- Tu as des frères? Parle moi en.

- Ils ne sont pas intéressants. Ils passent leur journée à me lancer des piques.

- Ah.. Kaïa voyait bien que quelque chose n'allait pas. Alors parle moi de ton village?

- Kattegat est un petit village dans le nord. Il y a beaucoup de forêt. La mer à perte de vue et une plage. J'aime regarder les étoiles sur la plage la nuit au calme. C'est vraiment beau. Il soupira.

- J'aimerais bien y aller.

Ivar la regarda interdit. Il devait se lancer.

- Kaïa, j'ai quelque chose à te dire.

Kaïa prit ses mains dans les siennes. L'air grave qu'il arborait l'inquiétée.

- Vas y dis moi.

- Je repart pour Kattegat demain. Annonça t-il froidement.

Il la regarda, attendant sa réponse.

- Non! Tu ne peux pas me laisser. On vient à peine de se rencontrer. Je ne veux pas que tu partes. Les yeux de la jeune fille se remplir d'eau.

- Alors viens avec moi. Ivar n'avait pas réfléchi.

- Quoi?

- Tu as très bien entendu. Je ne le répéterais pas.

- Mais qu'est que je ferais là bas? Et ma famille?

- Je ferais de toi ma femme. Tu la dit toi même, tu n'as plus de famille à part ta meilleure amie.

- Ta femme? Tu veux m'épouser? Kaïa souriait fortement. Je ne sais pas si je peux abandonner Rita.. Et mes parents adoptifs ont tellement fait pour moi..

- Oui, ma femme. Réfléchis y. Demain après midi, tu viendras ici me donner ta réponse.

Elle acquiesça et prit son visage entre ses mains.

- Je suis tellement contente de t'avoir rencontré Arson.

Ivar se contenta de lui sourire. Kaïa approcha son visage du siens et posa ses lèvres sur les siennes.
D'abord raide, Ivar se détendit et agrippa ses hanches. Le baiser étais doux et sauvage à la fois. Kaïa fit quelque chose qui surprit Ivar. Elle lui mordit délicatement la lèvre inférieure. Ivar grogna. Cela lui rappelait son rêve. Kaïa se détacha de lui et lui sourit. Elle caressa sa joue.

- Ja vais devoir y aller, mon père s'inquiète que je passe autant de temp en forêt. Il a peur qu'il m'arrive quelque chose. Soupira t-elle.

- Il ne peut rien t'arriver. Tu es avec moi.

- Je le sais mais je ne peux lui parler de toi. Souriait-elle.

- Il ne vaut mieux pas en effet.

Kaïa déposa un chaste baiser sur les lèvres d'Ivar et se redressa. Elle épousseta sa robe pleine de feuille. Ivar la regardait avec intérêt. Cette fille étais décidément surprenante.

- Bon et bien À demain Arson.

Elle commença à partir quand il l'attrapa par le bras. Elle se retourna surprise.

- Réfléchis bien.

Kaïa hocha la tête et partit des questions plein la tête.