Elle était dans une rue. Il y'avait du sang partout. Elle appelait au secours mais personne ne répondait. Elle criait, hurlait, gémissait comme un animal blessé, et le monde continuait à tourner. Ses mains étaient recouvertes du sang de ces ciactrices réouvertes. Elle chercha deséspéremment de l'aide. Elle marchait dans la rue, et appelait à l'aide, elle supliait les gens de voir ce qu'elle avait, elle avait mal. ça brulait. Mais les passants semblaient ne pas la voir, ils passaient à côté de la fille sans lui jeter le moindre regard. On aurait dit qu'elle était invisible. Elle ne pu s'empêcher de pleurer, les yeux écarquillés, elle observa la foule. Et tout d'un coup, elle n'était plus dans cette rue, elle se retrouva chez elle. Dans son ancienne chambre, celle de Darwin, avec son père et sa mère. Ses parents étaient entrain de discuter, elle soupira de soulagement ; Enfin, quelqu'un qui allait l'aider. Elle s'approcha de sa mère qui lui jeta un regard serein. Ses cheveux longs cheveux blonds vénitiens étaient retenus en une queue de cheval haute qui montrait son long cou fin. Ses yeux verts étaient de veritables Jades, des bijoux que personne ne pouvait acheté et qui n'avaient pas de semblables. Sa peau à la teinte d'ivoire était à elle seule, quelque chos d'exceptionnel. Ce qui manquait au tableau, c'était de l'inquiètude.

La mère regarda sa fille, et son expressionse durçit en la voyant. Jenna se sentit confuse. Sa mère ne voyait-elle pas qu'elle était bléssée ? Une mère sait. Une mère a cet instinct. Une mère peut aisément lire dans les yeux de son enfant, alors pourquoi ne remarquait-elle pas la peine, la douleur et le mal que ressentais Jenna. Pourquoi ?

L'adolescente cru pendant un instant que sa mère avait vu, qu'elle avait compris. Mais au lieu de cela, elle l'entendi dire :

- Qu'est-ce que c'est que cette tenue, Jenna, on est pas au cirque. Remonte tes bretelles, mets des perles, choisis une robe, maintient le dos droit où tu grandira vielle courbée et seule. Tu dois savoir comment te comporter en lady. En véritable fille. Quand est-ce que tu va le comprendre. Et arrête de manger, demain tu ne mangera rien. Tu jeunera pour compenser cette glace que tu as mangé hier. Tu veux finir seule, pauvre et malheureuse ? C'est ce que tu veux ? Dieu, parfois je souhaite que tu sois plus comme les autres. Soupira-t-elle en regardant sa fille avec désaprobation. Et en un éclair, sa mère nétait plus là. Son père non-plus.

Elle était assise dans sa chambre, les mains tremblante et le corps devenant de plus en plus livide à mesure qu'elle perdait son sang. Dans un dernier essaie, elle appela au secours, elle pria de toutes ses forces mais personne ne vint. Arrivé un moment où la mort vint frapper à sa porte, où le ténèbres lui tinrent compagnie. Elle abandonna et se laissa tomber dans un gouffre sans fond et sans fin, sans éspoir de retour où de lendemain.

Jenna se réveilla en plein milieu de la nuit, un hurlement inhumain de fit entendre et la jeune fille pris un certain temps à comprendre que c'était elle qui avait crié. Ses joues étaient humides de larmes et son corps tremblait comme une feuille. 

Elle prit ses genous dans ses bras et se berça en se répétant que ce n'était rien, que ça allait passer. 

Le réveil digital affichait cinq heure du matin. Jenna soupira tout en se frottant les yeux. Elle n'avait pas assez dormi et elle était sûre qu'elle avait plus de cernes qu'avant. Elle se leva doucement de son lit car les résidu de son rêve étaient encore là. La démarche incertaine, elle se dirigea vers la salle de bain et ferma la porte.

Le reflet que lui offrait la pièce était ignoble. Ses cheveux ne ressemblaient à rien, son visage était d'une pâleur inquiètante et elle voyait dans ses yeux, le spectre des souvenirs qui la hantaient. Elle prit une inspiration tremblante avant de se glisser hors de son pyjama.

Une douche lui ferait du bien. Une douche l'aiderait à se relaxer et à oublier. 

Doucement, elle se glissa sous l'eau tiède. Mais elle avait l'impression que ça n'avait aucun effet. L'adolescente changea la température de l'eau d'un geste brusque et violent. L'eau devint soudain chaude, brûlante. La jeuen fille laissa l'eau inhumainement chaude lui brûler la peau. Elle ferma les yeux ete baissa la tête. La cicatrice, au creu de sa cuisse était toujours là. Elle le serait toujours.

Elle se souvenait des circonstances exactes de son acte. Quand sa mère lui avait ordonné de signer un papier pour devenir top model. C'était un bout de papier qui ne stipulait rien en particulier, sinon qu'elle devait agréer a être quelqu'un d'autre, à jouer le jeu, à se voir partout, dans les magazines, dans les rues, sur les voitures, presque nue, où portant une tenue ridiculement petite pour ne pas dire un bikini. Elle n'avait que 14 ans, elle était toujours comparée à sa mère. La femme la plus belle, la femme aux formes fluides et longilignes. Et Jenna, petite aux formes marquée avec ses hanches encore plus visible à cause de sa taille creusée et de sa poitrine.

Elle n'était rien face à sa mère. Mais catherine Jenner voulait que sa fille devienne ce qu'elle n'avait jamais été.

Cette nuit là, Jenna prit une lame de rasoir aussi coupant qu'une épée, et doucement, presque avec impatience, elle  le plongea dans en haut de sa cuisse. C'était un endroit que personne ne risquait de voir. Elle avait n'avait pas signé le contrat, et sa mère lui en avait voulu. Comme toujours, elle était déçue par sa fille rebelle et qui n'en faisait qu'à sa tête. Jenna du éviter d'aller à la plage où de porter des choses trop courtes, ce qui pourrait laisser entrevoir la fine cicatrice blanche qui restait. et resterait là pour lui rapeler qu'elle était faible, impuissante et indigne aux yeux de sa propre mère.

Jenna sortit de la douche, la peau rouge et le coeur sérré. Le réveil affichait désormais six heure. Une heure sous un enfer de flammes sur son dos, une heure de souffrance. Pourquoi fallait-il qu'elle soit comme ça ? Pourquoi ? 

La jeune fille enroula une serviette propre autour de son corps et prit une tenue à mettre. Un jean et un pull blanc qui sentait bon la lessive de jasmin. Elle s'installa sur son lit et se laissa bercer par le bruit du monde qui s'éveille. Comm c'était beau, d'être debout avant que les autres ne puissent voire le monde. Avant que le vacarme ne commence à envahir la ville. C'est beau, une ville encore endormie. 

Sous le coup de l'impulsion, Jenna ouvrit son emploi du temps. Elle avait cours d'éducation . Vraiment inutile. Ce n'était pas comme si elle voulait entendre quelqu'un parler des dangers des rapports non-protégés. alors qu'elle n'allait surement jamais en avoir. Qui voudrait d'une fille aussi brisée ? 

Le réveil sonna sept heure et Jenna le fit taire d'une tappe séche.  

 Sans prendre le temps de se nourir, elle rassembla ses affaires dans son sac et partit vers son lycée.

Le trajet, elle l'avait appris par coeur. Elle connaissait maintenant les environs mieux que le fond de sa poche. Quand enfin elle arriva devant les grilles encore fermées, elle soupira. Encore une vingtaine de minutes.

Elle s'apprêtait à faire un tour quand quelqu'un posa sa main sur l'épaule de Jenna. D'ordinaire, elle aurait tout de suite réagi au quart de tour et ce serait dégagée, mais ce jour-là, elle ne s'en sentait pas la force, et sa fatigue n'arrangeait rien à la situation. Lentement, elle se retourna et vit deux yeux bleu la fixer comme une énigme difficile à résoudre où un puzzle dont il manquerait plusieurs pièces.

- Ashton. Fit-elle d'une voix monotone et fluette.

Le jeune homme la regarda. Elle semblait fatiguée, ses traits montrait qu'elle était exténuée, comme si elle avait livrer une bataille  et qu'elle ne tenait debout que par miracle.

- Ca va ?

La jeune fit lui jetta un regard ennuyé. Au fond, elle ressentait quelque chose de bien plus fort, comme une force qui cherchait à réunir leur corps coute que coute. Ashton ressentait ça aussi, cette attraction physique qui dépasse l'entendement. Ashton savait exactement ce qu'il ressentait pour la fille devant lui, il avait déjà eu ce genre d'attrnction pour d'autres filles, mais pas aussi fort. Il serra les poings pour ne pas se laisser submerger par la créature angélique à côté de lui. Elle avait l'air si...fragile. Comme un verre sur le point de se briser.

Il détourna le regard, ce n'était pas son genre de demander à une fille ce qu'elle ressentai. Même aprés une séance de copulation, il n'avait jamais demandé à une fille si elle allait bien. Et aucune ne s'est plainte. Il savait qu'il était beau, il savait qu'il attirait le regard, il avait de l'expérience, il savait comme manier le corps d'une fille et s'en servir contre elle comme une arme et l'amener à  découvrir ce que personne ne pourrait lui procurer. Il savait que son attitude était détestable, et lui même détestait son comportement parfois.

- Pourquoi ça n'irai pas ? Répondit la fille en se mordant la lèvre. Le getse n'echappa pas à Ashton et il se demandait si elle savait combien se geste miniscule et ridicule le troublait. Elle ne faisait rien en particulier, et c'était ça qui faisait d'elle quelque chose de diffcile à déchiffrer. 

Ash aurait pu écrire  un roman intitulé " L'art de mettre une fille dans son lit en quatres étapes" et ce roman aurait eu un fanc succés parce que sa technique marchait. Son air Je-m'en-foutiste le rendait mystérieux, sa réputaion de casanova le faisait paraitre comme le fruit défendu. Et sa façon de parler, de bouger avec cette aura de pouvoir purement masculine était aussi un atout incontournable.

Tout ce qui faisait de lui quelqu'un de confiant, sa beauté, son intelligence, sa force. Tout cela semblait dérisoire devant la fille devant lui. Elle l'avait vu dans un état post-chaotique, aprés un combat contre quatre hommes venu lui demander de l'argent. Mais cet argent, Ashton l'avait gagné au péril de sa vie, dans le ring. Il l'avait gagné et il allait le défendre. La fille l'avait vu torse-nu, elle l'avait aidé, elle lui avait donné de son temps, et elle n'avait rien demandé en retour. Pourquoi ? Pourquoi ne pouvait-elle pas demander un service où quelque chose de lui, comme toutes les autres ? Pourquoi ne lui demandait-elle pas de l'embrasser, de sortir avec elle ? Quelque chose que les autres auraient fait car il était évidemment là le fait accompli : Il était Ashton Bradford, le Bad boy millionaire aux filles à ses pieds.

- J'en sais rien. Dit-il en haussant les épaules.

- Qu'est-ce qui s'est passé, l'autre jour ? Demanda Jenna aprés un moment.

- Des gars ont voulu me tabasser. Répondit-il en essayant de ne pas répondre par un " ça ne te regarde pas".

- Oh. Répondit Jenna pensivement,  ne sachant que dire.

- Merci.

Pendant  un moment, Jenna sembla abasourdie par ce qu'elle venait d'entendre. Deux mots n'avaient jamais été prononcés par Ashton Bradford : Le premier étant merci, et le deuxième était pardon.

- Pourquoi ?

- Pour m'avoir aidé. Répliqua-t-il en souriant timidement.

- Je ne le regrette pas en ce moment, ça veut dire que ce n'était pas une si mauvaise idée finalement.

Ashton fit un sourire en coin. Il avait peut-être une idée pour se racheter. Il détestait plus que tout devoir quelque chose à quelqu'un. C'est pour ça qu'il gardait se problèmes pour lui et ne chercahit l'aide de personne. 

- Je fais une fête chez moi, demain. Si tu veux venir. Dit-il lentement en épiant les réaction de la fille. Ses yeux s'écarquillèrent légèrement de surprise.

- En quel honneur, la fête ? Fit-elle en clignant des yeux pour se remettre du choc.

- Aucun évènement en particulier. Les jeunes font des fêtes juste pour s'amuser, tu sais.

- Maintenant, oui, je sais. Dit-elle avec un sourire. Son visage semblait innocent et ses yeux bruns étaient chaleureux et vivant. Une étincelle de malice y rayonnait en permanence.

Les élèves commençèrent à arriver, et les deux adolescents se séparérent sans un " Au revoir".

L'adolescente n'arrivait tout simplement pas à y croire. Et si c'était une blague déstinée à l'humilier ? Où à lui donner de faux espoirs ?

Elle prit ses affaires, l'esprit dans les nuages d'un monde où Bradford serait capable de dire "Merci". 

Elle s'assit au fond de la classe et attendit que les autres élèves arrivent. Un stupide sourire commençait déjà à se développer sur son visage. 

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        Enfin, je vous écrit le chapitre TANT ATTENDU. Ouf, je devrai être en train de réviser mais...non.

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Certains m'ont demandé si j'avais un compte twitter, la vérité est que ... * Regarde autour d'elle suspicieusement*

 Twitter et instagram sont encore de grands mystères pour moi :') 

Je suis vraiment une empotée de première quand je suis hors de ma sphère de connaissance.

Voilà, c'est dit. Ouf. 

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Drina xx