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Chapitre 2 : Entrée à N.Y HIGH

Comment se faire remarquer dés le premier jour du lycée ? la réponse est simple : Se retrouver pourchassée par Ashton Bradford dans le couloir principal.

Jenna baissa la tête dans l'espoir que les gens ne voient pas son visage. Elle pressa le pas et étreignit son sac. Q'est-ce qu'il lui voulait ? était-ce à propos de la veille ? Pourquoi la suivait-il encore ?

Elle jeta un coup d'oeil aux cicatrices sur ses poignets, soupira tout en redescendant les manches de son pull juqu'à ce qu'on ne voit de sa main que ses doigts. Son coeur battait la chamade. Elle essaya de se fondre dans la foule pour que son poursuivant perde sa trace mais qu'on la laisse tranquille était impossible.

-  tu crois que tu peux m'echapper comme ça ?  Sérieusement, Je connais le lycée comme ma poche. Dit-il en la rattrapant en quelques pas.Il souriait. Mais qu'est- ce qu'il veut à la fin ?

Jenna cacha ses poignets encore plus profondément dans ses manches. Avoir une réputation de fille suicidaire dans son lycée n'aide généralement pas à se faire des amis. Sauf s'ils ont eux aussi suicidaires. Elle pinça ses lèvres, son esprit la torturait de toutes les façons possibles.

Tant d'yeux posés sur elle. Tant de regards qui la jugent. Elle n'aurait pas du venir. Ce jean n'était pas le meilleur choix à prendre ce matin, elle aurait du prendre quelque chose de plus grand. Son pull était ajusté, elle aurait préfferé en prendre un autre, qui cacherait ses formes aux yeux cruels du monde. Pourquoi n'était-elle pas née à l'époque où les formes égalaient la beauté ? à l'époque où les femmes étaient jalouses des  pin-up  ? Pourquoi fallait-il qu'elle se sente si faible, si observée, si mal ?

Elle avait envie de pleurer. Elle ne connaissait qu'un seul moyen d'evacuer la pression, mais elle ne pouvait pas. Elle s'était promis de ne plus le faire. Elle devait résister à la tentation de soulager sa douleur par une autre. Les citations que sa thérapeute lui répétait sans cesse firent irruption dans son esprit :

" Il est des moments où il faut choisir entre vivre sa propre vie pleinement, entièrement, complètement, ou traîner l’existence dégradante, creuse et fausse que le monde, dans son hypocrisie, nous impose "

"Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait"

" Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde."

'Dieu, donnez-moi la force. Dit-elle en s'arrêtant d'un coup.

Ashton s'arrêta lui aussi.il  la fixa , perplexe. Pourquoi s'était-elle arrêté ?

- Qu'est-ce que tu veux ? Demanda-t-elle en plantant ses yeux dans ceux du garçon qui pendant un instant cessa de respirer.

Ses yeux étaient aussi gris qu'un ciel orageux. Tellement expréssifs et pourtant impassibles. Jenna les avait hérité de sa mère. Elle n'avait malheureusement pas hérité de ses formes.

-  Tu ne devrais pas t'excuser, non ? Dit Ashton en lui servant son sourire en coin qui faisait craquer les filles de bien des façons.

- Pourquoi je devrais m'excuser ? c'est toi qui as commencé. Arrêtes de me suivre, je dois aller au bureau du principal.

-J'ai commencé ? Répondit-il d'un ton incrédule. Je n'ai dit que la vérité. C'est parce que j'ai dit "grosse" ? Demanda-t-il aprés un moment de silence.

Jenna se mordit la lèvre inférieure. Dieu seul savait combien elle en avait souffert, de ces surnom qu'on lui affublait d'office partout où elle allait. Elle avait appris à cacher sa douleur et à ne jamais montrer à quel point cela la blessait. Elle avait appris à sourire au lieu de pleurer, à ne pas répondre aux commentaires insultants.

- Tu aurais préfferé que je mente ? tu préffère " ma belle", où " ma jolie" ?  c'est mieux comme ça ? La questionna-t-il en souriant, il aimait ça. Il voulait la voir craquer, la voir pleurer. Comment un être comme elle pouvait croire qu'il pouvait insulter Ashton Bradford ? il fallait être complètement inconscient pour le chercher, et il fallait être fou pour le défier.

Chaque phrase qu'il prononçait était comme un couteau planté dans le coeur de la jeune fille  qui se crispa. Elle voulait lui envoyer un bon coup de poing dans la figure pour qu'il comprenne combien il l'exaspérait. Combien ce qu'il disait la mettait en colère. Mais cela reviendrait à montrer que ce ses paroles l'affectaient. Et il était hors de question qu'il découvre ses faiblesses. 

-Tu es un connard, tu le sais ça ? c'est à cause de gens comme toi que d'autres se sentent mal dans leur peau. Lui dit-elle calmement. Tu crois qu'en rabaissant les autres, tu arrivera à les dominer. Tu critique pour qu'on te respecte. Eh bien devines quoi ,champion, ça ne prend pas avec moi. Rien de ce que tu pourra me dire ne changera ma façon de te voir, et tu n'arrivera jamais à me rabaisser, je sais ce que je vaut, et je sais que tu n'en vaux pas la moitié.

Elle fit volte face, en sentant le poid des dixaines de regard pictotant sa nuque. Son discours n'était fait que de mensonges. Elle se sentait rabaissée, mal aimée, incomprise. Ce n'était pas juste.

Elle  ouvrit la porte où était écrit " Bureau du principal " et la ferma dérrière elle et plaqua un sourire sur son visage. Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes.

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Nouveau chapitre ! :)

comment vous trouvez ?

lâchez les comm's!!

Je posterai une fois par semaine, parfois plus. Cette histoire est le récit de vie combiné de trois types personnes :

1 . la  fille timide,  mal dans sa peau qui vit un amour à sens unique et qui ne peut se décider à se confesser.

2.Une fille incroyable qui est toujours brave aux yeux du monde et qui souffre lorsqu'elle est seule.

3.Une fille réservée, qui a des problèmes familiaux et qui évacue sa colère et son chagrin de la mauvaise façon.

Parce je suis une adolescente, que toi dérrière ton écran, tu l'es aussi, tu l'as déjà été, où tu va le devenir. Parce que notre monde est régi par le paraitre et la superficialité.  je voudrais juste répeter ce que benjamin franklin a dit un jour: "

« Une grande beauté une force formidable de grandes richesses ne sont pas vraiment d'un grand intérêt. Un cœur juste surpasse tout cela. »

voilà pour vous (: 

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love yaaaaaaa!

Drina xx

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