31. Théo (Teen Wolf)
- Je répète que je ne le sens pas ce mec...
- T/P tu ne vas pas recommencer avec ça. Tu ne sens jamais personne. Tu t'es méfiée d'Isaac alors que tu as fini par tomber amoureuse de lui.
- Ne lui rappelles pas ça Scott, ça va lui refaire penser à Isaac... s'exclama Lydia.
- Merci de me rappeler qu'il était amoureux d'Allison et qu'il est parti en France après sa mort....
- Je veux pas te faire de mal T/P, j'allais seulement te rappeler que tu t'es méfiée de lui, de Malia, de Kira,... mais au final tu as appris à les connaître, continua Scott.
- Ce n'est pas pareil. Ce mec dégage quelque chose.
- Oh que oui... il est hyper sexy, s'exclama Malia.
Stiles lui lança un regard noir.
- Bref, croyez moi ou pas mais je suis sûre qu'il cache quelques chose.
Énervée, je quittais la pièce et rentrai chez moi. Je m'affalais sur mon lit et laissais libre cours à mes pensées.
Dès qu'il était arrivé, je m'étais méfiée de ce mec. Certes il était vraiment très attirant, et il le savait, mais il avait plutôt l'air d'un psychopathe selon moi. Mais personne ne me croyez, pas même Stiles.
Je sortis mon téléphone et composais le numéro de celui que j'avais tant bien que mal essayé d'oublier, Isaac. C'était la faute de Scott, il en avait parlé. J'hésitais une seconde à l'appeler, puis appuyer sur le bouton. J'entendis un bip, puis deux.
- T/P ? Repondit Isaac à l'autre bout du fil.
Ma gorge se serra en entendant sa voix. J'avais envie de lui dire qu'il me manquait terriblement, que je l'aimais, mais au lieu de ça je raccrochais vivement.
- Il te manque hein ?
Je sautais brusquement sur mes pieds, me préparant à attaquer l'intrus.
- Qu'est-ce que tu fais là Théo ? Crachais-je.
Il s'approcha dangereusement de moi.
- Je suis venu te remonter le moral.
- Sors d'ici Théo.
Il s'approcha encore plus de moi.
- Je sais que ce n'est pas ce que tu veux. C'est ce que ta bouche dit, mais ton corps dit autre chose, dit-il en m'attrapant le poignet.
Il passa sa main sur ma peau, et à ce contact, je frissonnais.
- Tu te fais des idée Raeken.
- Ton coeur bat tellement vite.
Il avait ce sourire tellement énervant. Je donnerai n'importe quoi pour lui arracher.
- Pourquoi tu ne l'a pas suivi ? Me demanda-t-il.
- De qui tu parles ?
- Tu sais très bien. Isaac.
- Je ne pouvais pas. Il était... il est amoureux d'Allison, et il l'a perdu.
- Mais ça ne te fait pas plaisir ? Tu as le champs libre maintenant qu'Allison n'est plus là.
- Est-ce que tu te rends compte de ce que tu dis Théo ? T'es vraiment un grand malade! Allison était mon amie!
- Mais je suis sûr que tu es soulagée qu'elle soit morte.
A peine il eut terminé sa phrase que je fonçais sur lui. Le plaquant contre le mur, je l'attrapais par la gorge, la serrant le plus fort possible grâce à ma force surhumaine.
Il ria comme un aliéné et lutta pour ouvrir la bouche:
- J'aime ta fougue.
Je laissai mon côté loup garou prendre le dessus tandis que mes griffes et mes crocs ressortaient. Je le jettais avec violence sur le lit et me plaçais à califourchon au dessus de lui pour lui assaillir le visage de coups.
- Frappes moi si ça peut te soulager, commença-t-il avant de parvenir à prendre le dessus pour inverser la tendance, mais j'ai une autre solution.
Il était maintenant au dessus de moi et bloquais mes mains au dessus de mon visage avant de plaquer ses lèvres contre les miennes. Très vite, le baiser prit le goût du sang, dû aux blessures que je lui avais infligées. Entonnement, je ne le repoussais pas. Je lui rendais même son baiser plein de fougue.
Il lâcha mes poignets pour glisser ses mains le long de mon corps jusqu'à ma taille. Il passa ses mains sous mon tee-shirt pour me le retirer mais je le bloquais.
- Une minute Raeken. Tu ne crois quand même pas que je vais craquer aussi facilement ?
- J'en suis même certain, dit-il en posant ses lèvres sur mon cou avant de le mordiller.
Instinctivement mes mains trouvèrent leur place dans les cheveux de Théo.
- Je ne céderai pas, nous deux, ça n'arrivera jamais, annonçais-je.
Il ne contesta pas et me déchira mon tee shirt avant de m'embrasser langoureusement. Pendant ce baiser passionné, il passait ses mains partout sur mon corps, me faisant lâcher quelques gémissements.
Je glissais mes mains le long de son torse jusqu'à sa boucle de ceinture. Je lui ôtais son pantalon tandis que Théo se chargeait de mon soutien gorge pour le jeter à travers la pièce. Très vite, le reste de nos vêtements subirent le même sort.
Il rapprochait son corps continuellement et s'amusait à frotter sa peau contre la mienne juste pour me titiller. Lorsqu'il frotta son bassin contre le mien, un soupir que je ne pus contrôler, s'échappa de ma bouche.
Tout sourire il lâcha:
- Je savais que je te plaisais.
- Non. Tu me dégouttes Raeken. Tu es immonde et je te déteste.
- On verra si tu dis toujours ça après ce que je vais te faire, annonça-t-il, toujours le sourire au coin des lèvres.
Tandis qu'il reposait ses lèvres sur mon cou, me faisant rejeter la tête en arrière, il glissa sa main vers mon entre jambe et commença une douce torture.
Je retenais le plus possible mes gémissements tandis qu'il s'amusait de la situation:
- Tu me détestes toujours autant ?
Je parvins je ne sais comment à articuler:
- Oui, je te déteste.
- Tu es sûr? Demanda-t-il en cessant sa douce torture.
Haletante je le suppliais:
- Non, ne t'arrêtes pas.
Il sourit encore avant d'annoncer:
- Je te réserve autre chose.
Ni une ni deux, il me compléta sans me laisser le temps de me poser la moindre question. J'aurai dû à avoir mal face à son manque de douceur mais je ne ressentais rien. Je le vis prendre ma douleur lorsqu'il posa sa main sur ma taille.
- Tiens tiens, pas aussi Bad boy que tu ne laisses paraître Raeken.
- Ne dis pas n'importe quoi, dit-il en commençant à bouger.
Très vite, le plaisir commença à monter crescendo et on profitait un maximum des sensations qu'on se procurait mutuellement. Je mentirai si je disais que Théo ne savait pas s'y prendre. Il avait l'air de savoir exactement comment me faire plaisir.
Je ne saurai dire combien de temps avait duré cette partie de jambe en l'air mais j'avais complètement perdu la notion du temps. Épuisés, on s'était endormi, l'un contre l'autre.
Mais mon sommeil fut de courte duré lorsque j'entendis mon téléphone vibrait. Je tendis ma main pour l'attraper tandis que Théo, allongé contre moi, me serrai contre lui:
- Laisses...
Je parvins finalement à attraper mon téléphone et perdis mes moyens en voyant le nom d'Isaac s'afficher sur l'écran. Mais je n'eus pas le moment de réagir puisque Théo attrapa le téléphone pour répondre:
- Allo ? Isaac ? Ah non T/P ne m'a jamais parlé de toi. Attends si. Tu es le gros con qui n'avait dieu que pour Allison et qui ne voyait pas T/P.
- Théo, mais tu es fou! Raccroches.
- Je t'avoue que tu nous embêtes un peu là, on était en train de passer du bon temps. Oui c'est mieux que tu rappelles plus tard. Ou pas. Oui, ne rappelles pas. Restes en France, dit-il avant de raccrocher.
- Mais t'es cinglé, criais-je en lui frappant l'épaule.
- Oh oui, frappes moi, cria-t-il avec une voix débile.
- T'es définitivement fou Raeken, riais-je.
- Oui, je suis fou de toi T/P.
Je levais les yeux au ciel avant d'attraper ses vêtements pour les lui jeter au visage:
- Arrêtes tes conneries Don Juan, et rhabilles toi.
Il m'attrapa par la taille en m'attirant contre lui.
- Non, on dort encore un peu.
Fatiguée, je cédais et me rendormis contre lui après m'être disputée intérieurement. J'étais absolument débile et j'allais le regretter, j'en étais certaine.
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Et oui, me revoilà. Flemmes d'écrire une longue note donc je dirais juste que le prochain imagine sera une sorte de suite mais vous pourrez la lire indépendamment.
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