25. Du virtuel au reel (Jonathan Whitesell )
Hello ! Voici un nouvel imagine depuis le temps ! Celui ci est sur Jonathan Whitesell qu'on vera bientôt dans beyond (le 2 janvier pour être précise). Pour tout vous dire je me suis inspirée du rêve que j'ai fait la nuit dernière mais j'ai modifié deux trois choses pour un peu plus de cohérence. J'attends vos avis :) je précise qu'il y aura une suite avec un lemon
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Je n'y croyais pas ! Jonathan Whitesell m'avait envoyé un message sur Twitter suite à l'une de mes publications. J'étais une grande fan bien qu'il n'ait eu juste que là que des rôles secondaires dans les films et séries,je le trouvais génial !
J'avais mis une publication à propos de la nouvelle série dans lequel il allait jouer et il m'avait envoyer un message en anglais bien sûr. Et je peux vous dire que malgré mon médiocre niveau en anglais je n'ai pas eu de difficulté à le comprendre comme quoi quand on veut on peut !
- Bonjour. J'ai vu tes nombreux messages de soutien et je tenais à te remercier. Ça me touche vraiment beaucoup.
J'essayais tant bien que mal de ne pas paraître surexcitée. Je ne voulais pas ressemblait à ces fans hystériques.
- Bonjour. Tu ne peux pas savoir comme ça me fait plaisir de recevoir un message de ta part ! Bien sûr que je te soutien, tu es un acteur très talentueux et je trouve cela dommage que tu n'aies pas de rôle principal pour le moment. Mais je suis certaine que ça arrivera très bientôt ! J'espère aussi pouvoir te voir un jour à une convention the 100 à Paris.
- Merci beaucoup. Ça me touche vraiment. Tu es française ?
- En effet oui. Mon anglais n'est pas très bon pourtant.
- Tu te débrouilles plutôt bien je trouve !
Il avait écrit ce dernier message en français ! Je savais qu'il vivait au Canada, à Vancouver plus précisément et beaucoup de Canadiens parlent français alors ça me faisait vraiment plaisir.
- Tu parles français ?
- Oui. Je vais régulièrement en France. D'ailleurs j'ai prévu d'accompagner le cast' pour la convention, je ne serais pas en tant qu'invité mais je serrais dans le coin.
- Oh mon dieu! C'est vrai ?
- Bien sûr. J'espère t'y voir !
- Hélas je ne peux pas y aller.
- C'est bien dommage... écoutes tu peux toujours me donner tes coordonnées et je t'appellerai quand je serais en France. J'essayerai de te rendre visite ! Ça me fait plaisir de rencontrer le peu de fan que j'ai.
Je ne savais pas ce qui me choquait le plus ! Le fait qu'il me demandait mon numéro, qu'il voulait me voir ou qu'il puisse penser n'avoir que quelques fans !
Je ne me fis pas prier et lui donnais mon numéro. Hélas il m'annonça qu'il se faisait tard chez lui et qu'il devait me laisser. C'est vrai qu'avec le décalage horaire il était 9 h chez moi alors que chez lui il était minuit.
J'eus du mal à me remettre de mes émotions ce jour là mais j'en avais parlé à mes amies proches et elles n'en revenaient pas elles aussi.
Les jours qui suivirent nous avons continuer à discuter et j'avais même appris à le connaître. Tout ça ressemblait vraiment à un rêve.
La convention était dans 2 semaines et je n'avais pas eu de ses nouvelles depuis quelques jours mais alors que je sortais de cours, pressée de rentrer chez moi pour savourer mon début de vacances d'été mon téléphone sonna, affichant ainsi un numéro inconnu.
- Allo ? Soufflais-je dans le téléphone.
- Hey! C'est Jonathan, Jonathan Whitesell.
Je ne répondis pas immédiatement, sous le choque encore une fois.
- Marianne ?
- Hum... oui désolée. Comment vas-tu ?
- Super bien et toi ?
- Je ne peux pas aller mieux !
- Je t'appellais pour te dire que mon billet d'avion est acheté.
- Pardon ?
- Je serais en France dans quelques heures !
J'étais surexcitée et j'avais du mal à le cacher. Des larmes de joies me montèrent aux yeux et il dût m'entendre pleurer.
- Tu pleures ? Je ne savais pas que j'étais aussi repoussant !
Je ris alors. Repoussant ?! Non mais il était loin d'être repoussant.
Il m'annonça qu'il me rappelerait quand il arriverait pour me demander mon adresse.
De longues heures s'écoulèrent tandis j'avais supplié mes parents pour aller le chercher et pour le kidnapper.
Non je plaisante bien sûr. Mais j'essayais tant bien que mal qu'ils acceptent de l'accueillir chez nous quelques temps.
Mes parents ne m'avaient pas cru au début. Ils avaient même pensé que j'avais bu. Je ne leur en voulais pas moi même j'avais eu du mal à le croire.
Mais voilà ils avaient fini par me croire et par accepter. J'attendais maintenant dans le hall de l'aéroport.
Quand je l'ai vu s'approcher avec sa valise j'ai cru que mon coeur aller sortir de ma poitrine. Je m'approchais d'abord précipitamment vers lui puis ralentit timidement pour m'arrêter devant lui.
- Marianne ? Demanda-t-il avec son accent Canadien adorable.
Ayant perdu l'usage de la parole je me contentais de secouer la tête de bas en haut.
Il me sourit et me prit dans ses bras. Et c'était reparti pour un torrent de larmes.
- Mais ne pleures pas, dit-il en séchant mes larmes.
Je souris franchement pour enfin arriver à ouvrir la bouche :
- C'est juste que j'arrive toujours pas y croire ! J'ai l'impression que je rêve !
- Attends. Passes moi ton téléphone, me demanda-t-il.
Étonnée je lui donnais.
Il le plaça devant nous, me demanda de sourire et prit une photo de nous deux.
- Comme ça tu as une preuve que c'est réel.
On était finalement grimpé dans la voiture de mes parents qui nous attendaient patiemment.
On avait passez la journée à Paris puis on était rentré chez moi. J'avais supplié Jonathan de rester quelques temps chez nous. Il avait accepté et ça parraissait lui faire plaisir à lui aussi.
Ça faisait 2 ou 3 semaines que Jonathan était chez nous et on passait tout notre temps ensemble. Il était encore plus formidable que je ne le pensais déjà.
Je m'attachais de plus en plus à lui et je redoutais le moment où il allait devoir partir.
Malheureusement ce moment arriva.
Je me trouvais en ce moment même dans le même hall d'aéroport où je l'avais vu en chair et en os pour la première fois.
J'essayais de ne pas pleurer mais c'était difficile. Il n'était plus mon acteur préfèré, enfin si il l'était toujours mais pas seulement. Il faisait parti de ma vie maintenant et je tenais beaucoup trop à lui à tel point que ça me déchirait le coeur de devoir le laisser partir. Qu'est ce qui allait se passer après ? C'est ça que je me demandais. Et si il ne ressentais absolument pas ce que je ressentais moi.
Et voilà les larmes coulaient abondamment sur mes joues désormais.
- Je t'ai déjà dit de ne pas pleurer..., dit il en posant son front contre le miens.
- Facile à dire, j'ai pas de solution contre ça...
- Moi j'en ai une, annonça-t-il en approchant doucement ses lèvres des miennes.
J'avais l'impression que mon coeur s'était arrêté et que ce n'est que lorsqu'il posa enfin ses lèvres sur les miennes qu'il se remit à battre.
Je ne sais pas si c'était un baiser d'adieu mais c'était un baiser vraiment passionné.
- Je t'aime, avouais-je.
Il me sourit et m'embrassa de nouveau avant de se détacher de moi et de me promettre de rester en contact avec moi et de revenir dès que possible.
J'avais eut tellement de mal à le laisser partir mais j'avais la conviction qu'on se reverrait bientôt. Du moins je l'espèrais.
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